Souvenirs érotiques et cochons d‘un érotomane - La cochonne (4)
Récit érotique écrit par Egrewam [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-03-2022 dans la catégorie Plus on est
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Souvenirs érotiques et cochons d‘un érotomane - La cochonne (4)
Le lendemain matin, debout le premier, je suis en train de préparer le petit-déjeuner, lorsque Mathilde fait son apparition dans la cuisine. Elle porte juste une culotte qui lui cache à peine le sexe et qui rentre entre ses fesses, par derrière.
Elle se penche vers le frigo. Le spectacle qu’elle m'offre par derrière est pour le moins bandant : entre les fesses généreuses, je peux voir pénétrer la partie arrière de la culotte chiffonnée, réduite à l’état de cordon.
Elle sent mes yeux sur son derrière, elle se penche de plus en plus sur le frigo, et, tout en feignant de réfléchir à ce qu’elle va prendre, elle écarte impudiquement les fesses. Par moment, elle se penche tellement, que je peux entrevoir, de chaque côté du mince cordon de nylon blanc, les bords de l’auréole brune de son anus cerné de poils sombres. Cette grosse cochonne est obscène - et elle le sait !
Elle se relève et avec un regard sur l'érection qui gonfle mon slip, elle se glisse derrière ma chaise, prend ma main, la conduit entre ses jambes et serre les cuisses. Sa chatte est brûlante, sa culotte un chiffon trempé. Elle se penche à mon oreille :- Bonjour mon cochon… Hier... C'était fort… On recommencera... Sens, je suis déjà si mouillée que j‘ai presque fait dans ma culotte...
Tout en parlant elle frotte ses cuisses l‘une contre l‘autre. Elle se masturbe contre ma main emprisonnée contre sa motte. Elle se penche sur mon épaule, saisit ma queue bandée dans mon slip et commence à me branler en me chuintant à l'oreille :- Rien que d‘imaginer tout ce qu'on va faire, je vais pisser dans ma culotte…Au moment où je suis sur le point de me jeter sur elle, Mathilde cesse brusquement la branlette.
- Montons… J'ai envie...
Elle remonte, balançant ses grosses fesses et ses seins dans l’escalier. Je bande comme un âne, je la suis des yeux jusqu’à ce qu’elle aie disparu et monte à mon tour.
Lorsque j'entre dans sa chambre, je la trouve vautrée dans un fauteuil, cuisses écartées, jambes reposant sur les accoudoirs, passant ses doigts sur le côté de sa culotte, si trempée que sa cyprine coule entre ses fesses. Elle a le trou du cul tout mouillé !
Je sors ma queue et mes couilles, fait glisser mon slip. À poil, je me jette sur elle. Elle s'attend à être giflée de la raideur de ma bite tendue avant de la lui enfoncer dans la bouche, mais mon impatience se porte sur sa culotte, guenille saturée de la mouille poisseuse et odorante de son con.
Devant la difficulté à lui rapprocher les jambes pour la lui enlever, je tire brutalement. Elle se déchire, je lui en éponge la chatte et la raie, en insistant sur son cul, comme pour en assécher les poils qui le garnissent. Je la hume, je bave, je crache dessus.
Elle me regarde me la mettre dans ma bouche, mes joues se creusent, j'en aspire les sucs. Elle me voit déglutir, elle se sent un peu frustrée, elle aurait aimé que je recrache sur elle le jus que j'ai extrait, ce mélange de sa mouille et de ma salive.
Elle n’en peut plus d’une envie de quelque chose, elle ne sait trop quoi, mais peu importe, pourvu que ce soit cochon ! Je la fait glisser au sol et mettre à quatre pattes. Dans le miroir, elle me voit habiller ma pine et mes couilles de sa culotte et commencer à m'astiquer le manche.
Ma figure s’approche de ses fesses, mon nez et ma bouche cherchent à s’y introduire, elle réalise ce que je veux. Ce qui la fait mouiller encore plus. Pour me faciliter la tâche, le visage de côté, écrasé sur le tapis, de ses deux mains tendues en arrière, elle écarte ses fesses.
J'y précipite ma langue et accompagne ma branlette du goût de son cul. Elle s‘agite, geint. Je m'allonge sur le tapis et la fait asseoir sur moi. Sur ma figure, en lui écartant bien les fesses pour que ma bouche soit collée comme une ventouse à sa rondelle, et qu’en la faisant tourner, ma langue pénètre bien au fond.
Elle sent le mouvement de ma main sur ma queue. Elle passe une main pour tâter mes couilles qui roulent au bas de son menton. Elle réussit à entourer mon bassin et de l’autre main, elle vient tenir compagnie à la mienne qui serre mon manche emprisonné dans sa culotte.
Je ne suis plus seul à me branler, et autre satisfaction, c’est elle qui me lèche le cul. C‘en est trop... Je râle et lâche mon jus... Sa main serre ma tige dans le mince tissu de la culotte, qui ne peut retenir complètement le foutre qui gicle avec force.
Elle en a un peu sur les doigts, mais elle en veut plus. Elle me confisque sa culotte qui dégouline autant de moi que d'elle. Elle me fait soulever mon fessier et me la passe et la repasse dans la raie pour qu’elle soit bien enduite de nos deux jus... Avant de bien nettoyer de sa langue ce qu'elle y a étalé, sans oublier l’enduit de sperme qui me fait encore la queue brillante, à peine ramollie.
Enchevêtrés sur le tapis, barbouillés de sperme et de mouille, c'est ainsi que tante Cécile nous découvre en pénétrant dans la chambre.
- Ce n'est pas gentil de commencer sans moi…Elle est debout au dessus de moi. Elle fait glisser son peignoir…- Pierre, viens t'occuper de ta tante…Mes mains remontent sur ses hanches. J'atteins l’élastique de la culotte, la descends jusqu’aux cuisses. Elle écarte les jambes, je flaire son sexe, tire la langue et touche. Ma salive l'excite, elle mouille, elle sent fort, j‘adore son odeur de femelle en chaleur. Ma langue glisse le long de sa fente.
Mes doigts la déplient, la langue s’attarde à l’entrée, s’y engage, et ma bouche embrasse le clitoris, le tète, le titille, et ses gémissements exigent plus encore, que je la bouffe encore. Je l'écarte avec mes mains, la pénètre d’un doigt, lui en fourre un deuxième, sa mouille coule sur ma main.
Je lui enlève sa culotte. Elle se retourne, pose ses mains sur une chaise et écarte les jambes. Ainsi, penchée, le derrière offert, je la lape. Je m'agenouille et elle se creuse d’envie, je lui administre un doigt, puis deux qui la font gémir. Mathilde nous regarde. Sa main vient se poser, va chercher ma queue. Elle prend le pieu, le caresse et le prend à pleine main, le branle soigneusement pour me faire bander à nouveau.
Je sens sa bouche se poser dans mon cou. La tante attrape à nouveau mes mains, les pose sur ses hanches, je comprends ce qu'elle veut. Je la guide un peu, elle vient se presser contre ma queue, s'empaler sur ma bite. Mathilde a sous les yeux le spectacle de son gros cul rond, ouvert.
Pliée comme une garce, tante Cécile me voue son cul en gémissant sous mes coups de queue. Bon sang, comme je la lime et comme elle aime ça. Mathilde m'embrasse, roule sa langue sur la mienne, descend à genoux et effleure de ses doigts mes couilles qui cognent contre la chatte de ma tante. Je me retire du con et ordonne à Mathilde de me lécher. Elle me regarde en clignant des yeux et engouffre ma queue dans sa gorge.
Elle me pompe, me branle avec ses lèvres, aspire mon gland, on dirait qu‘elle raffole de me bouffer, qu‘elle rêve de me boire, elle me dévore avec des yeux dégoulinants de vice.
Et tante Cécile ondule son cul pour m’exciter. Elle écarte ses fesses, et ses orifices se dilatent à vue d’oeil. Elle lèche son majeur et il disparaît entre ses fesses. Et tandis que Mathilde me pompe, Cécile se lime ainsi. Je lui prodigue mille caresses, et pour finir une claque sur les fesses.
Elle retire alors son doigt et m'implore maintenant. Des doigts, je lui en fourre deux. Elle est trempée, toute dilatée, mes doigts l'enculent, vont et viennent en même temps que ma queue dans la gorge de Mathilde.
Et puis n’en pouvant plus, je me retire de sa bouche et lentement, je m’introduis au fond du cul de tante Cécile. Elle me serre bien et je bande d’autant plus. Je parviens à l'enfiler complètement, et elle s'abandonne à ma queue. Elle se laisse enculer, ça lui plaît. Garce, elle en demande toujours plus, elle se cambre et je viens cogner profondément.
Ma bite va et vient entre ses fesses, et mes mains sur ses hanches la font valser en bêlant. Mathilde va se mettre devant elle et caresse son visage, l'embrasse, lui dit des saloperies qui l'excitent, et ma queue gonfle et voudrait exploser.
Mathilde, tout en l'embrassant, caresse la fente de Cécile, la fouille, branle son clitoris et que si bien traitée, elle halète et vient s'empaler comme une folle sur ma bite. Je sens son trou s’élargir encore, je l'assaille de coups de queue et elle crie et jouit en pissant sur mes couilles. Je crie aussi en giclant mon foutre au fond de ses entrailles.
Je me retire, pantelant, et elles viennent se coller à moi. Elles me cajolent, m’embrassent. Elles s’embrassent aussi, et leurs langues se mêlent, lèchent mes lèvres et se mélangent à nouveau.
Tante Cécile se glisse contre Mathilde, ses doigts la pénètrent, elle descend contre elle pour la lécher. Je prend ses cuisses et les écartes pour qu'elle puisse la fouiller de sa langue. Mathilde m’embrasse et gémit sous la langue de ma tante. Je tiens ses cuisses ouvertes et Cécile la lèche et l’ouvre avec son index, le cul se soulève comme pour être pris plus encore.
Sa respiration s’accélère, elle devient folle, sa chatte brûlante réclame une queue. Une main, un doigt ne lui suffit pas, elle veut qu’on l’emplisse et que son con explose. Elle ondule sous les caresses, ses yeux se ferment, elle s’abandonne au plaisir, elle crie, ses reins et son dos cambrés, sa poitrine tendue, elle râle, son sexe trempé, bouillant, ses cuisses grandes ouvertes, elle tremble et crie de jouissance.
Je bande, elle me fait à nouveau bander, la grosse cochonne. Je viens sur elle, elle se laisse faire, je prends son cul, le soulève, elle est chaude et trempée. Elle soupire, caresse mon dos, je reste au-dessus d’elle. Je laisse couler un filet de salive dans sa bouche et ça l’excite, ma salive fraîche.
Les yeux plein de sexe, elle me supplie. Ses fesses se soulèvent sous moi, pour essayer de trouver ma queue et j'adore la voir se tordre ainsi. Je la laisse ainsi se tortiller un instant encore, la retourne, la met à genoux, elle supplie : - Viens dans mon con ! Viens dans mon cul ! Mets-moi ta grosse queue partout !
Et je la baise. En bas, ma tante me réclame, au sol, elle me veut aussi, mais la garce, elle va attendre un peu, je veux faire gémir Mathilde. Je la prends bien à fond, elle halète à chaque coup de bite, elle respire de plus en plus fort, sa tête part en arrière, ma queue dans son cul la brûle et son con est inondé de son jus.
Je vais gicler. Je me retourne vers tante Cécile et lui fourre ma verge dans la bouche pour qu’elle me pompe. Je suis au bord. Je regarde ses lèvres s’appliquer, me retire, me branle au-dessus d’elle et jute, elle tire la langue pour recevoir mes giclées.
Mathilde se glisse sous elle, entrouvre les lèvres, et tante Cécile laisse couler le foutre de sa bouche, et nous nous embrassons, et mêlons nos langues...
Je les adore, mes deux cochonnes !
Elle se penche vers le frigo. Le spectacle qu’elle m'offre par derrière est pour le moins bandant : entre les fesses généreuses, je peux voir pénétrer la partie arrière de la culotte chiffonnée, réduite à l’état de cordon.
Elle sent mes yeux sur son derrière, elle se penche de plus en plus sur le frigo, et, tout en feignant de réfléchir à ce qu’elle va prendre, elle écarte impudiquement les fesses. Par moment, elle se penche tellement, que je peux entrevoir, de chaque côté du mince cordon de nylon blanc, les bords de l’auréole brune de son anus cerné de poils sombres. Cette grosse cochonne est obscène - et elle le sait !
Elle se relève et avec un regard sur l'érection qui gonfle mon slip, elle se glisse derrière ma chaise, prend ma main, la conduit entre ses jambes et serre les cuisses. Sa chatte est brûlante, sa culotte un chiffon trempé. Elle se penche à mon oreille :- Bonjour mon cochon… Hier... C'était fort… On recommencera... Sens, je suis déjà si mouillée que j‘ai presque fait dans ma culotte...
Tout en parlant elle frotte ses cuisses l‘une contre l‘autre. Elle se masturbe contre ma main emprisonnée contre sa motte. Elle se penche sur mon épaule, saisit ma queue bandée dans mon slip et commence à me branler en me chuintant à l'oreille :- Rien que d‘imaginer tout ce qu'on va faire, je vais pisser dans ma culotte…Au moment où je suis sur le point de me jeter sur elle, Mathilde cesse brusquement la branlette.
- Montons… J'ai envie...
Elle remonte, balançant ses grosses fesses et ses seins dans l’escalier. Je bande comme un âne, je la suis des yeux jusqu’à ce qu’elle aie disparu et monte à mon tour.
Lorsque j'entre dans sa chambre, je la trouve vautrée dans un fauteuil, cuisses écartées, jambes reposant sur les accoudoirs, passant ses doigts sur le côté de sa culotte, si trempée que sa cyprine coule entre ses fesses. Elle a le trou du cul tout mouillé !
Je sors ma queue et mes couilles, fait glisser mon slip. À poil, je me jette sur elle. Elle s'attend à être giflée de la raideur de ma bite tendue avant de la lui enfoncer dans la bouche, mais mon impatience se porte sur sa culotte, guenille saturée de la mouille poisseuse et odorante de son con.
Devant la difficulté à lui rapprocher les jambes pour la lui enlever, je tire brutalement. Elle se déchire, je lui en éponge la chatte et la raie, en insistant sur son cul, comme pour en assécher les poils qui le garnissent. Je la hume, je bave, je crache dessus.
Elle me regarde me la mettre dans ma bouche, mes joues se creusent, j'en aspire les sucs. Elle me voit déglutir, elle se sent un peu frustrée, elle aurait aimé que je recrache sur elle le jus que j'ai extrait, ce mélange de sa mouille et de ma salive.
Elle n’en peut plus d’une envie de quelque chose, elle ne sait trop quoi, mais peu importe, pourvu que ce soit cochon ! Je la fait glisser au sol et mettre à quatre pattes. Dans le miroir, elle me voit habiller ma pine et mes couilles de sa culotte et commencer à m'astiquer le manche.
Ma figure s’approche de ses fesses, mon nez et ma bouche cherchent à s’y introduire, elle réalise ce que je veux. Ce qui la fait mouiller encore plus. Pour me faciliter la tâche, le visage de côté, écrasé sur le tapis, de ses deux mains tendues en arrière, elle écarte ses fesses.
J'y précipite ma langue et accompagne ma branlette du goût de son cul. Elle s‘agite, geint. Je m'allonge sur le tapis et la fait asseoir sur moi. Sur ma figure, en lui écartant bien les fesses pour que ma bouche soit collée comme une ventouse à sa rondelle, et qu’en la faisant tourner, ma langue pénètre bien au fond.
Elle sent le mouvement de ma main sur ma queue. Elle passe une main pour tâter mes couilles qui roulent au bas de son menton. Elle réussit à entourer mon bassin et de l’autre main, elle vient tenir compagnie à la mienne qui serre mon manche emprisonné dans sa culotte.
Je ne suis plus seul à me branler, et autre satisfaction, c’est elle qui me lèche le cul. C‘en est trop... Je râle et lâche mon jus... Sa main serre ma tige dans le mince tissu de la culotte, qui ne peut retenir complètement le foutre qui gicle avec force.
Elle en a un peu sur les doigts, mais elle en veut plus. Elle me confisque sa culotte qui dégouline autant de moi que d'elle. Elle me fait soulever mon fessier et me la passe et la repasse dans la raie pour qu’elle soit bien enduite de nos deux jus... Avant de bien nettoyer de sa langue ce qu'elle y a étalé, sans oublier l’enduit de sperme qui me fait encore la queue brillante, à peine ramollie.
Enchevêtrés sur le tapis, barbouillés de sperme et de mouille, c'est ainsi que tante Cécile nous découvre en pénétrant dans la chambre.
- Ce n'est pas gentil de commencer sans moi…Elle est debout au dessus de moi. Elle fait glisser son peignoir…- Pierre, viens t'occuper de ta tante…Mes mains remontent sur ses hanches. J'atteins l’élastique de la culotte, la descends jusqu’aux cuisses. Elle écarte les jambes, je flaire son sexe, tire la langue et touche. Ma salive l'excite, elle mouille, elle sent fort, j‘adore son odeur de femelle en chaleur. Ma langue glisse le long de sa fente.
Mes doigts la déplient, la langue s’attarde à l’entrée, s’y engage, et ma bouche embrasse le clitoris, le tète, le titille, et ses gémissements exigent plus encore, que je la bouffe encore. Je l'écarte avec mes mains, la pénètre d’un doigt, lui en fourre un deuxième, sa mouille coule sur ma main.
Je lui enlève sa culotte. Elle se retourne, pose ses mains sur une chaise et écarte les jambes. Ainsi, penchée, le derrière offert, je la lape. Je m'agenouille et elle se creuse d’envie, je lui administre un doigt, puis deux qui la font gémir. Mathilde nous regarde. Sa main vient se poser, va chercher ma queue. Elle prend le pieu, le caresse et le prend à pleine main, le branle soigneusement pour me faire bander à nouveau.
Je sens sa bouche se poser dans mon cou. La tante attrape à nouveau mes mains, les pose sur ses hanches, je comprends ce qu'elle veut. Je la guide un peu, elle vient se presser contre ma queue, s'empaler sur ma bite. Mathilde a sous les yeux le spectacle de son gros cul rond, ouvert.
Pliée comme une garce, tante Cécile me voue son cul en gémissant sous mes coups de queue. Bon sang, comme je la lime et comme elle aime ça. Mathilde m'embrasse, roule sa langue sur la mienne, descend à genoux et effleure de ses doigts mes couilles qui cognent contre la chatte de ma tante. Je me retire du con et ordonne à Mathilde de me lécher. Elle me regarde en clignant des yeux et engouffre ma queue dans sa gorge.
Elle me pompe, me branle avec ses lèvres, aspire mon gland, on dirait qu‘elle raffole de me bouffer, qu‘elle rêve de me boire, elle me dévore avec des yeux dégoulinants de vice.
Et tante Cécile ondule son cul pour m’exciter. Elle écarte ses fesses, et ses orifices se dilatent à vue d’oeil. Elle lèche son majeur et il disparaît entre ses fesses. Et tandis que Mathilde me pompe, Cécile se lime ainsi. Je lui prodigue mille caresses, et pour finir une claque sur les fesses.
Elle retire alors son doigt et m'implore maintenant. Des doigts, je lui en fourre deux. Elle est trempée, toute dilatée, mes doigts l'enculent, vont et viennent en même temps que ma queue dans la gorge de Mathilde.
Et puis n’en pouvant plus, je me retire de sa bouche et lentement, je m’introduis au fond du cul de tante Cécile. Elle me serre bien et je bande d’autant plus. Je parviens à l'enfiler complètement, et elle s'abandonne à ma queue. Elle se laisse enculer, ça lui plaît. Garce, elle en demande toujours plus, elle se cambre et je viens cogner profondément.
Ma bite va et vient entre ses fesses, et mes mains sur ses hanches la font valser en bêlant. Mathilde va se mettre devant elle et caresse son visage, l'embrasse, lui dit des saloperies qui l'excitent, et ma queue gonfle et voudrait exploser.
Mathilde, tout en l'embrassant, caresse la fente de Cécile, la fouille, branle son clitoris et que si bien traitée, elle halète et vient s'empaler comme une folle sur ma bite. Je sens son trou s’élargir encore, je l'assaille de coups de queue et elle crie et jouit en pissant sur mes couilles. Je crie aussi en giclant mon foutre au fond de ses entrailles.
Je me retire, pantelant, et elles viennent se coller à moi. Elles me cajolent, m’embrassent. Elles s’embrassent aussi, et leurs langues se mêlent, lèchent mes lèvres et se mélangent à nouveau.
Tante Cécile se glisse contre Mathilde, ses doigts la pénètrent, elle descend contre elle pour la lécher. Je prend ses cuisses et les écartes pour qu'elle puisse la fouiller de sa langue. Mathilde m’embrasse et gémit sous la langue de ma tante. Je tiens ses cuisses ouvertes et Cécile la lèche et l’ouvre avec son index, le cul se soulève comme pour être pris plus encore.
Sa respiration s’accélère, elle devient folle, sa chatte brûlante réclame une queue. Une main, un doigt ne lui suffit pas, elle veut qu’on l’emplisse et que son con explose. Elle ondule sous les caresses, ses yeux se ferment, elle s’abandonne au plaisir, elle crie, ses reins et son dos cambrés, sa poitrine tendue, elle râle, son sexe trempé, bouillant, ses cuisses grandes ouvertes, elle tremble et crie de jouissance.
Je bande, elle me fait à nouveau bander, la grosse cochonne. Je viens sur elle, elle se laisse faire, je prends son cul, le soulève, elle est chaude et trempée. Elle soupire, caresse mon dos, je reste au-dessus d’elle. Je laisse couler un filet de salive dans sa bouche et ça l’excite, ma salive fraîche.
Les yeux plein de sexe, elle me supplie. Ses fesses se soulèvent sous moi, pour essayer de trouver ma queue et j'adore la voir se tordre ainsi. Je la laisse ainsi se tortiller un instant encore, la retourne, la met à genoux, elle supplie : - Viens dans mon con ! Viens dans mon cul ! Mets-moi ta grosse queue partout !
Et je la baise. En bas, ma tante me réclame, au sol, elle me veut aussi, mais la garce, elle va attendre un peu, je veux faire gémir Mathilde. Je la prends bien à fond, elle halète à chaque coup de bite, elle respire de plus en plus fort, sa tête part en arrière, ma queue dans son cul la brûle et son con est inondé de son jus.
Je vais gicler. Je me retourne vers tante Cécile et lui fourre ma verge dans la bouche pour qu’elle me pompe. Je suis au bord. Je regarde ses lèvres s’appliquer, me retire, me branle au-dessus d’elle et jute, elle tire la langue pour recevoir mes giclées.
Mathilde se glisse sous elle, entrouvre les lèvres, et tante Cécile laisse couler le foutre de sa bouche, et nous nous embrassons, et mêlons nos langues...
Je les adore, mes deux cochonnes !
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