Spécial partouze

- Par l'auteur HDS Baiserjouir -
Auteur homme.
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Récit libertin : Spécial partouze Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-12-2013 dans la catégorie Plus on est
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(8.0 / 10)

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Spécial partouze
Je mesure ma chance : enfin je vais partouzer. Que me mettre ? Question très féminine, surtout pour finir nue entourée. Donc, une culotte, dessus un marcel, une jupette, celle que je mettais quand je faisais du tennis. Un regard dans la glace : je suis parfaitement salope. Je vais me faire mettre jusque là.
Un dring, j’ouvre sa porte. Plein de monde, surtout des hommes. Dommage j’aurais préféré des filles. Je vais suivre mon plan : me faire baiser, sucer, enculer par un ou des hommes. Je ferais des bêtises ensuite uniquement avec des filles.
Il est bien monté, presque trop celui qui me fait des mamours. Par contre sa main droite est habile quand il me masturbe. Je ne sais comment il fait en caressant le clitoris. Je jouis fort bien, mieux que quand je me branle. J’allais le sucer pour boire son miel. Je suis devancée par une main d’homme. Je regarde ce couple se faire des caresses entre hommes. Celui qui m’a fait jouir se laisse masturber par un autre. J’adore de voir la main autour de la queue. Je voudrais rester tout près pour boire le sperme. Je n’ai pas cette chance, c’est la bouche du branleur qui vient à ma place. Il a une goute de sperme au coin des lèvres. Je reste accroupie quand enfin un type, moche vient près de moi, il me caresse la chatte avant d’y poser sa bouche. Il est peut être moche, mais qu’elle langue, quel plaisir de se laisser aller vers des orgasmes multiples avec lui.
Je suis déçue de ne pas avoir de bite sur le cul. J’aurais tant aimé me faire sodomiser. Tant pis je le ferais à la maison avec le gode. L’hôtesse enfin me voit. Elle vient m’embrasser sur la bouche. Sa main est sur ma chatte. J’aime quand elle me touche là, je sais qu’elle va me donner du plaisir : je suis venue pour ça, non ?
Elle n’est pas seule. Une autre nana, blonde cette fois la tient par la main. Sans être jalouse, j’envie cette fille que je ne connais pas d’être si proche de mon nouvel amour. Nous partons nous isoler dans une chambre, au fond de l’appart. Elles se mettent à deux autour de moi, une m’embrasse les seins, l’autre est totalement penchée vers mon abricot. C’est plus que bon, je me laisse faire quand j’ai envie de caresser les deux autres figues. Mes mains se posent doucement, écartent un peu les lèvres pour bien être à l’endroit visé. Je caresse les deux clitoris, j’arrive à faire réagir les deux femmes. J’allais les faire jouir quand à mon tour j’ai deux mains sur moi. Elles aussi me branlent. J’abandonne ce que je faisais pour profiter de cette double caresse.
Elles me font coucher, je suis à leur disposition. Mon amante me fait mettre sur le dos, je ne sais trop pourquoi. Je sens un corps venir s’assoir sur mes reins. L’autre reste à mes cotés. Je tâtonne pour arriver à passer une main entre deux jambes. Je suis enfin entre deux fesses. Elles ne veulent pas que je………….Si elles veulent que je passe mes doigts dans une raie. L’autre sur mes reins frotte sa chatte sur moi.
Je trouve une raie passablement ouverte. Je passe doucement à la recherche d’un petit trou, puisque c’est le but. Je ne savais pas que des filles entre elles fassent ce genre de sport. C’est chaud, humide, prêt à l’ouverture. Mon doigt glisse dans l’intimité d’un anus féminin. C’est doux, glissant, j’aime cette sensation de posséder une femme. Si j’avais une bite j’aimerais sodomiser. Je comprends vite qu’un doigt ne suffit pas : j’en rajoute un deuxième Les grands soupirs me rassurent. Je vais faire jouir une nouvelle conquête.
Je reçois à mon tour une main sur les fesses. Elle est caressante, elle masse, elle cherche une raie : j’en ai une. Des doigts explorent en venant dans mes fesses. Vite qu’elle arrive, moi aussi j’ai envie de la main là, où elle va. Oui, je la sens, je sens deux doigts sur mon anus. J’ouvre mes fesses, je donne mon cul. Je donnais du plaisir à une fille, j’en donne encore à une autre sur mes reins. C’est à mon tour. Je reçois avec reconnaissance ces doigts suir entrent dans mon cul.
Je crois que c’est mon amante qui se permet cet amusement. Je tends mes fesses vers le haut. Les doigts sortent, entrent comme ils veulent : moi j’en profite. Si je pouvais je me branlerais. Ca monte du ventre, ça descend vers le sexe, puis vers l’anus. Que c’est bon de se faire caresser le cul par une fille. Meilleur que quand c’est une bite qui est à la place.
Je reçois une récompense quand en plus de l’anus, c’est ma chatte elle-même qui est saccagée par une autre main de fille. Et là, mon plaisir ne connait pas de limite. Elle caresse le clitoris, le con et le périnée. Je suis comblée au possible : tous mes endroits sensibles, sauf les seins, sont occupés.
Je reste immobile à attendre les orgasmes. J’en suis au dernier que je finis quand mon amante me remet sur le dos. Elle vient poser sa tête entre mes cuisses, lèche ma chatte. Je me laisse faire. Notre amie commune vient poser son sexe que ma bouche. Je sens ses lèvres, son clitoris, son vagin. Ma langue goute la cyprine un peu moins épicée que celle de mon amour. Je cherche à l’intérieur du sexe un endroit précis que je trouve. Son point g réagit rapidement : je la fait jouir plusieurs fois. Je fais jouir ma partenaire encore une fois : je pars moi aussi sous la même caresse particulière.
Je demande une chose impensable pour moi, seulement c matin : je veux qu’elles me mettent une ou l’autre une main en entier dans la chatte. Je veux connaitre cet effet d’être totalement possédée. Ma charmante amante me demande me mettre en position : sur le dos, les jambes bien ouvertes, encore plus. Je suis sa disposition. Elle pose sa main fermée sur moi. Je la sens bien, elle force à peine pour m’y mettre trois doigts, puis force encore, mes chairs s’écartent comme jamais. D’un seul coup elle met les deux autres doigts. Je suis dilatée. Elle tourne sa main en moi, elle n’arrête pas, elle continue, continue………..Je pars dans un grand cri de jouissance.
Elle m’a promis que la prochaine fois nous ferions la même chose ensemble en nous mettant un 69. Il me tarde.
Quand le jour se lève, glauque, je n’ai plus de besoin, sexuel au moins. Je me connais, d’ici ce soir je me branlerais encore deux ou trois fois, même si j’ai un peu mal au vagin.

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Texte coquin : Spécial partouze
Histoire sexe : Une rose rouge
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