Splendeurs et misères d’un strip-tease
Récit érotique écrit par Mowgli [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-06-2013 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Splendeurs et misères d’un strip-tease
Content de vous retrouver les mecs, pour ce troisième épisode qui devrait plaire à certains d’entre vous. En effet, j’ai reçu pas mal de mails où les mecs souhaitaient obtenir des photos de ma petite personne, mais j’ai préféré refuser dans un premier temps, avec le souhait de laisser les mots agir d’abord pour l’enchantement de l’imagination. Cependant, je ne vous cacherais pas qu’une autre raison s’y dissimule, car mon corps est loin d’être celui d’un éphèbe au sens fantasmagorique du terme. Si cet épisode risque de faire souffrir l’idéalité de mon image, il aura le mérite de donne une note réaliste grâce à une vérité des plus nues. Alors commençons …
Dois-je vous rappeler à quelle délicate situation je devais faire face ? A cause de mon incapacité à la fermer, ma « petite caillera » (même s’il fait deux fois ma taille dans tous les sens du terme, j’adore ce surnom) vient de mordre dans la pomme de la discorde. Si mes lèvres ont réussi à sceller sa colère, Driss réclame réparation pour le tort que je lui ai fais subir. Pendant que Monsieur est confortablement installé sur mon canapé, il m’ordonne de déhancher mon corps comme si j’étais un professionnel du Gogo. D’ailleurs, les derniers mots de la fin du récit étaient les suivants :
— Attends, je crois que tu n’as pas compris. Tu as dansé sur ma queue comme une petite pute, alors tu vas continuer, en m’exécutant un strip-tease bien och. Tu as eu le droit de voir la queue de ton mâle, maintenant je veux voir le corps dans son intégralité de ma femelle. Je veux te voir en mode lopsa affamée, comme si tu voulais me rendre ouf. Compris ?
Depuis le temps, vous devez commencer à cerner mon personnage, c’est-à-dire que même si je me vois déstabiliser à l’intérieur, je me sens obliger de n’en rien laisser paraître. Ce qui me permet de faire bonne figure reste la musique qui continue de jouer dans l’atmosphère. Il me suffit de quelques notes pour que je perde le contrôle de mon corps, qui décide de se mouvoir aux grés de ses propres envies. Certes, je suis terrifié à l’idée que Driss puisse découvrir la nudité de mon corps, mais la symphonique partition aspire dans le néant cette inquiétude. Très vite, je saisis qu’il sera la premier à me voir tel que je suis, mais autant qu’il puisse me voir dans sa plus grande sublimité.
— Leçon numéro 2 : quand ton mâle est vénère, donnes lui ton corps en pâture. Et frère, profites d’être debout pour aller me chercher un truc à boire, genre une bière, m’ordonne-t-il.
A côté de l’anatomie d’un mec comme Driss, il serait difficile de ne pas faire de comparaison en défaveur de la sienne. Or, je dois admettre que mon corps ne tient pas la distance, ce qui me fait sentir ridicule. S’il porte en lui la beauté des dieux, je me situe en-dessous de l’échelle de la perfection. Pourtant, je ne peux m’empêcher de penser que je possède un pouvoir qui pourrait supplanter celui de cette harmonie sculpturale : savoir me servir de mon corps. Rappelez vous que la première fois que j’ai fais venir ma caillera, c’était en ondoyant sur ses genoux. Après tout, la maîtrise du corps ne pourrait-elle pas parfois être aussi impressionnante que sa simple apparence ?
Afin de vous laisser de la place dans le récit, je ne vous donnerais pas le nom de la musique sur laquelle j’ai effectué ma lap dance. Par contre, rien ne vous empêche de prendre quelques secondes pour mettre le son qui vous ferait le plus tripper dans cette situation. Ainsi il vous sera possible de recréer à la perfection l’ambiance de cette nuit, en choisissant pour un moment d’être Driss assis sur le canapé ou Mowgli debout face à ce mec… c’est-à-dire moi. Allons, dépêchez-vous ! Installez-vous ! Et que le spectacle commence.
Malgré le fait que je me sois retourné pour ne pas lui faire face, je sens son regard acéré qui me détaille sous les moindres coutures comme pour juger des charmes de la marchandise. Cette impression se transformait en une véritable torture, lorsqu’elle devint presque physique, éprouvant une vague de brûlante me parcourir le corps. A cette seconde précise, j’aurais pu défaillir, si l’attraction de la musique sur mon organisme n’avait pas opéré. Il existe de ces moments où l’esprit s’évade pour laisser la place vacante au seul corps, décidant qu’il n’y a plus à réfléchir mais à agir. Ainsi dans la position de l’homme de Vitruve, les notes de musique initiales commencèrent à pénétrer à travers mes ongles, pour se répandre dans l’ensemble de mon anatomie.
Comme un charmeur de serpent hypnotise la bête pour la faire onduler, la musique prend pleine possession de mon corps. Ce sont mes mains, qui sortent les premières de la torpeur dans un tournoiement, qui laissent s’éclore mes doigts tels les pétales d’une fleur au printemps. Très vite, le mouvement se répercute à mes bras, qui se s’élancent dans une ondulation d’abord restreinte avant de prendre son envol dans une courbe plus délayée. Je peux sentir mes omoplates se décoller sous ma peau, mettant en branle un à un l’ensemble des muscles de mon dos. Concentrées sur l’action générale, mes hanches prennent le relais afin de transmettre l’énergie le long de mes jambes. Lorsque Dorothée rencontre l’homme de fer blanc dans le magicien d’Oz, il lui faut huiler l’armure avant que celle-ci se mettent en marche ; de la même manière, ma structure avait besoin de s’échauffer avant de pouvoir faire montre de ce qu’elle est capable. Au moment où chaque parcelle me semble apte à l’exécution, je lance mon corps dans une impulsion giratoire, afin de faire front à mon terrible individu.
A croire qu’il n’y a pas de mystère dans la séduction, car je crois que peu importe le corps tant que l’esprit se persuade de son charme. En d’autres termes, je sais que le mien n’est pas esthétique dans sa sculpturalité, mais l’attirance se joue sur une autre harmonie. Rien ne sert d’incarner la perfection tant que l’esprit en fait une obsession, il suffit de lâcher prise pour que l’homme se pare d’un nouvel éclat. Face à mon keum, je comprends que je ne suis plus la même personne, que mon âme s’est métamorphosée du cygne blanc au cygne noir. Au revoir pureté virginal, innocence du corps et chasteté immaculé, laissez place à l’impudicité lascive, au stupre voluptueux et à la vicieuse débauche. Rien ne sert de lutter contre la transformation, car lorsque la tâche s’est fait jour, elle ne peut plus s’effacer. Au contraire, elle prend possession de l’être… et j’étais en sa possession.
Driss n’a pas bougé, il a gardé la même position. Les cuisses bien écartés, il laisse à jours la bosse conséquente qui déforme son boxer. Ses mains sont repliées derrière sa tête, dans une attitude pleine d’arrogance et de désinvolture. Son visage ne trahis aucune expression, hormis ses yeux d’un noir profond allumés de flammèches qui semblent vouloir brûler les vêtements dissimulant mon corps. Devant cet Hérode, il ne me reste plus qu’à exécuter la danse des sept voiles. Après tout, Salomé n’a eu que ce qu’elle voulait alors elle doit en payer le prix.
La musique continue sa symphonique envolée, mais le mouvement s’est fait plus intense, emporté dans un léger crescendo. Pris dans les méandres de la partition, mon corps se débat afin de conserver le rythme, où tout n’est qu’oscillation, bouillonnement et révolte, comme une mer sous la tempête, ou un ouragan par l’action du vent. Par un léger mouvement du visage, mon client me fait comprendre qu’il est temps que mes vêtements se défassent. Profitant de l’occasion, il se penche vers son sac, afin d’y pécho un paquet de cigarettes. Monsieur veut pouvoir profiter à fond de son strip avec une bière dans la main et une clope dans l’autre. Un vrai maquereau, ce qui n’est pas pour me déplaire car les clichés ont ce petit quelque chose qui me rend dingue.
Par la grâce des Dieux, je possède le don de mimétisme : il me suffit de voir une fois quelque chose pour que je réussisse à le reproduire peu ou prou. Ainsi je ne me sens pas déconcerter grâce à l’expérience visuelle que j’ai acquise durant ses nombreuses années de célibat. A moi d’y inclure ma signature, pour rendre ce moment mémorable aux yeux de ce beau gosse. Le plan est de dévoiler mon corps dans ce qu’il a de plus adorable, pour descendre vers ce qu’il a de plus disgracieux. Fort de cette idée, je décide de commencer par dévoiler mes jambes, en faisant tomber négligemment le jean qui les recouvre. Elles sont certes piquetées d’une pilosité brun-roux, qui tranche sur le blanc crémeux de ma peau, mais leurs formes en fuseaux laissent présager une souplesse et une agilité, dont je fais preuve en deux-trois jeux de jambes. Longues et effilées, mes membres inférieurs présentent une puissance tempérée par la légèreté, qui peut enflammer les esprits les plus imaginatifs.
Afin de donner de l’interactif à ce show, je fais rouler les os de mon squelette sous ma peau, tel un félin en pleine action. Je m’approche de lui avec toute la volupté de mes déhanchements et la prestesse de mes pas. Il s’agit de présenter la bonne attitude, pour laisser à l’autre la place de se projeter dans le film de ses fantasmes. Je profite de ses jambes écartées pour m’asseoir sur la première venue. Lascivement, je me penche en avant, dans le but non avoué de lui faire admirer ma croupe, et je glisse un doigt dans l’une de mes chaussettes pour la retirer. Décidé à passer sur l’autre cuisse, j’exécute une rotation à 180°, qui m’oblige à frôler sa queue de mon fessier. Surpris, il pousse un léger soupir, suivi d’un grognement frustré. Installé sur l’autre versant, je joue de ma flexibilité pour lever ma jambe bien droite le long de mon torse, afin de retirer la deuxième chaussette.
Voyant que le charme fait son effet, je me glisse entre ses cuisses dans une position accroupie et relève mes jambes en restant le torse vers le sol, afin de lui laisser une vision pleine de mon derrière. Au lieu de me frotter comme une chatte en chaleur sur son corps, je décide de faire l’indifférent en repartant à mon point de départ. Il s’agit désormais de soulever mon tee-shirt, mettant à jours la finesse de mon buste. Ne voulant pas le retirer tout de go, je le fais voleter le long de ma taille, laissant à l’air libre le dessin de mon nombril qui se présente sous la forme d’un trou à l’image d’autres plus utiles. Cependant, j’ai beau avoir le cygne noir, qui se fout royalement des imperfections de mon corps, le cygne blanc persiste encore à frétiller d’horreur face à mon pelage viril.
Et il y a de quoi s’inquiéter, car Driss présente une apparence glabre, où la peau luit par sa simple nudité. Seul quelques poils se font jour autour de sa queue comme j’ai pu le admirer au préalable, ou encore sous ses aisselles que j’ai pu vérifier grâce à son débardeur. Sinon, rien… alors que mon cas est autre. Je ne suis pas au point de me confondre avec un gorille ou une moquette mais, si ma virilité se fait jour, c’est bien par la présence de mes poils. Prenant mon courage à deux mains, je fais tournoyer mon vêtement, en le retirant d’un geste enlevé comme la cape d’un magicien dissimule le secret d’un tour de magie. La toison de mon torse a cette particularité de dessiner dans une parfaite symétrie une figure proche des images de Rorschach. Chacun peut y voir, ce que son subconscient lui dicte. Comme sur mes bras, mes poils présentent un puissant noir, qui contraste avec le blanc porcelaine de ma peau. S’ils peuvent se réunir avec plus de force, entre mes deux pectoraux et autour de mes deux tétons, ils peuvent également laisser à nu des plages entières de peau dans un mode clairsemé.
Est-ce qu’une caille n’est pas censée avoir en horreur le poil ? Obsédé par ce cliché, je me rends compte que j’ai omis de m’inquiéter d’un deuxième détail. De légères cicatrices viennent vriller ma peau sur mes avant-bras et mes épaules, mes hanches et mes fesses. Il s’agit d’un relief sur mon enveloppe, qui forme de longues lignes creuses à la couleur violacée. Impossible de ne pas les rater, d’autant plus que la lumière leur donne un éclat mordoré. Concrètement, elles donnent l’impression que des griffes se sont plantées dans ma peau, pour les lacérer avec force. Je les ai depuis ma petite enfance, alors j’ai pris l’habitude de vivre avec et de ne pas les voir, mais devant ce rebeu plein de perfection, je me sens fondre de honte.
Dans ce genre de situation, rien ne sert de montrer son désarroi. Autant se persuader d’être seul, afin de finir convenablement ce qui a été commencé. Il ne me reste plus que mon boxer a viré, pour que je sois dans une complète nudité, et ce qu’il dissimule n’est pas là pour rattraper le reste. Heureusement, je ne suis pas du genre à me laisser vaincre sans batailler avec tous les moyens à ma disposition. Avant d’être à sa merci, il me reste encore quelques tours dans mon sac, car ce boxer a la faculté de me mouler outrageusement l’arrière-train. Un peu d’espièglerie et d’astuce me rappellent que s’il y a une chose que je sais faire, c’est déplacer mon corps à la pointe du couteau de la sensualité. Mon adresse ne répond plus à ma raison et se lance dans une manifestation de ses multiples capacités.
Lorsque le fer est chaud, il convient de le battre ; alors quand mon lascar est sur le point d’exploser, il ne me reste plus qu’à lancer le bouquet final. Je monte sur la pointe de mes pieds, afin de donner une meilleure silhouette à mon corps, et tourne sur moi-même jusqu’à être de trois-quarts dos. Je pose mes doigts entre l’élastique de mon boxer et ma peau, puis le fais descendre le long de mes jambes, donnant à Driss une vue subreptice de mon intimité. Il n’y a pas à aller par trois milles chemins, soit mon cul est un fantasme soit il ne l’est pas. De petites dimensions, il prend une forme sphérique, marquée par deux plis aux commencements des cuisses. Et surtout, les poils ne l’ont pas épargné … avec une raie particulièrement fournie d’une douce toison.
Les dernières notes de musique se jouent pendant que je me relève de ma position outrageuse. Ma tête recouvre ses esprits, se rappelant de la présence de Driss à ses côtés. Instantanément, les émotions me font défaut, en recouvrant ma peau d’une teinte rouge cramoisie à cause de la honte qui me submerge. Et là, j’entends ces mots :
— Putain, comment tu gères ! Je n’avais jamais vu une pute se donner autant. Je dois me retenir pour ne pas devenir un loup, se jetant sur sa proie. Tu as un corps et un cul de bonhomme, mais tu m’a fais chavirer. Dingue, ce contraste entre la virilité apparente de ton corps et la féminité de ta silhouette. Tu sais te servir de ton cul, mais mon instinct d’animal en rut me fait sentir quelque chose. Viens de plus prés que j’observe la réactivité de ton trou.
S’il vous faudra attendre la suite, rien ne nous empêche de continuer sur le même registre en m’écrivant. En décidant de ne pas dévoiler la musique de mon strip, je souhaitais vous donner un petit devoir : de m’envoyer le nom du morceau qui vous fait le plus tripper. Après tout, je me donne à vous et j’aimerais bien en découvrir plus sur chacun d’entre vous. Alors que ceux qui sont partant pour plus d’interactivité n’hésitent pas, surtout que comme on dit « qui m’aime, me suive ». En échange, je pourrais vous révéler la playlist de ce strip, qui risque d’en étonner plus d’un.
A bientôt les gars !
Dois-je vous rappeler à quelle délicate situation je devais faire face ? A cause de mon incapacité à la fermer, ma « petite caillera » (même s’il fait deux fois ma taille dans tous les sens du terme, j’adore ce surnom) vient de mordre dans la pomme de la discorde. Si mes lèvres ont réussi à sceller sa colère, Driss réclame réparation pour le tort que je lui ai fais subir. Pendant que Monsieur est confortablement installé sur mon canapé, il m’ordonne de déhancher mon corps comme si j’étais un professionnel du Gogo. D’ailleurs, les derniers mots de la fin du récit étaient les suivants :
— Attends, je crois que tu n’as pas compris. Tu as dansé sur ma queue comme une petite pute, alors tu vas continuer, en m’exécutant un strip-tease bien och. Tu as eu le droit de voir la queue de ton mâle, maintenant je veux voir le corps dans son intégralité de ma femelle. Je veux te voir en mode lopsa affamée, comme si tu voulais me rendre ouf. Compris ?
Depuis le temps, vous devez commencer à cerner mon personnage, c’est-à-dire que même si je me vois déstabiliser à l’intérieur, je me sens obliger de n’en rien laisser paraître. Ce qui me permet de faire bonne figure reste la musique qui continue de jouer dans l’atmosphère. Il me suffit de quelques notes pour que je perde le contrôle de mon corps, qui décide de se mouvoir aux grés de ses propres envies. Certes, je suis terrifié à l’idée que Driss puisse découvrir la nudité de mon corps, mais la symphonique partition aspire dans le néant cette inquiétude. Très vite, je saisis qu’il sera la premier à me voir tel que je suis, mais autant qu’il puisse me voir dans sa plus grande sublimité.
— Leçon numéro 2 : quand ton mâle est vénère, donnes lui ton corps en pâture. Et frère, profites d’être debout pour aller me chercher un truc à boire, genre une bière, m’ordonne-t-il.
A côté de l’anatomie d’un mec comme Driss, il serait difficile de ne pas faire de comparaison en défaveur de la sienne. Or, je dois admettre que mon corps ne tient pas la distance, ce qui me fait sentir ridicule. S’il porte en lui la beauté des dieux, je me situe en-dessous de l’échelle de la perfection. Pourtant, je ne peux m’empêcher de penser que je possède un pouvoir qui pourrait supplanter celui de cette harmonie sculpturale : savoir me servir de mon corps. Rappelez vous que la première fois que j’ai fais venir ma caillera, c’était en ondoyant sur ses genoux. Après tout, la maîtrise du corps ne pourrait-elle pas parfois être aussi impressionnante que sa simple apparence ?
Afin de vous laisser de la place dans le récit, je ne vous donnerais pas le nom de la musique sur laquelle j’ai effectué ma lap dance. Par contre, rien ne vous empêche de prendre quelques secondes pour mettre le son qui vous ferait le plus tripper dans cette situation. Ainsi il vous sera possible de recréer à la perfection l’ambiance de cette nuit, en choisissant pour un moment d’être Driss assis sur le canapé ou Mowgli debout face à ce mec… c’est-à-dire moi. Allons, dépêchez-vous ! Installez-vous ! Et que le spectacle commence.
Malgré le fait que je me sois retourné pour ne pas lui faire face, je sens son regard acéré qui me détaille sous les moindres coutures comme pour juger des charmes de la marchandise. Cette impression se transformait en une véritable torture, lorsqu’elle devint presque physique, éprouvant une vague de brûlante me parcourir le corps. A cette seconde précise, j’aurais pu défaillir, si l’attraction de la musique sur mon organisme n’avait pas opéré. Il existe de ces moments où l’esprit s’évade pour laisser la place vacante au seul corps, décidant qu’il n’y a plus à réfléchir mais à agir. Ainsi dans la position de l’homme de Vitruve, les notes de musique initiales commencèrent à pénétrer à travers mes ongles, pour se répandre dans l’ensemble de mon anatomie.
Comme un charmeur de serpent hypnotise la bête pour la faire onduler, la musique prend pleine possession de mon corps. Ce sont mes mains, qui sortent les premières de la torpeur dans un tournoiement, qui laissent s’éclore mes doigts tels les pétales d’une fleur au printemps. Très vite, le mouvement se répercute à mes bras, qui se s’élancent dans une ondulation d’abord restreinte avant de prendre son envol dans une courbe plus délayée. Je peux sentir mes omoplates se décoller sous ma peau, mettant en branle un à un l’ensemble des muscles de mon dos. Concentrées sur l’action générale, mes hanches prennent le relais afin de transmettre l’énergie le long de mes jambes. Lorsque Dorothée rencontre l’homme de fer blanc dans le magicien d’Oz, il lui faut huiler l’armure avant que celle-ci se mettent en marche ; de la même manière, ma structure avait besoin de s’échauffer avant de pouvoir faire montre de ce qu’elle est capable. Au moment où chaque parcelle me semble apte à l’exécution, je lance mon corps dans une impulsion giratoire, afin de faire front à mon terrible individu.
A croire qu’il n’y a pas de mystère dans la séduction, car je crois que peu importe le corps tant que l’esprit se persuade de son charme. En d’autres termes, je sais que le mien n’est pas esthétique dans sa sculpturalité, mais l’attirance se joue sur une autre harmonie. Rien ne sert d’incarner la perfection tant que l’esprit en fait une obsession, il suffit de lâcher prise pour que l’homme se pare d’un nouvel éclat. Face à mon keum, je comprends que je ne suis plus la même personne, que mon âme s’est métamorphosée du cygne blanc au cygne noir. Au revoir pureté virginal, innocence du corps et chasteté immaculé, laissez place à l’impudicité lascive, au stupre voluptueux et à la vicieuse débauche. Rien ne sert de lutter contre la transformation, car lorsque la tâche s’est fait jour, elle ne peut plus s’effacer. Au contraire, elle prend possession de l’être… et j’étais en sa possession.
Driss n’a pas bougé, il a gardé la même position. Les cuisses bien écartés, il laisse à jours la bosse conséquente qui déforme son boxer. Ses mains sont repliées derrière sa tête, dans une attitude pleine d’arrogance et de désinvolture. Son visage ne trahis aucune expression, hormis ses yeux d’un noir profond allumés de flammèches qui semblent vouloir brûler les vêtements dissimulant mon corps. Devant cet Hérode, il ne me reste plus qu’à exécuter la danse des sept voiles. Après tout, Salomé n’a eu que ce qu’elle voulait alors elle doit en payer le prix.
La musique continue sa symphonique envolée, mais le mouvement s’est fait plus intense, emporté dans un léger crescendo. Pris dans les méandres de la partition, mon corps se débat afin de conserver le rythme, où tout n’est qu’oscillation, bouillonnement et révolte, comme une mer sous la tempête, ou un ouragan par l’action du vent. Par un léger mouvement du visage, mon client me fait comprendre qu’il est temps que mes vêtements se défassent. Profitant de l’occasion, il se penche vers son sac, afin d’y pécho un paquet de cigarettes. Monsieur veut pouvoir profiter à fond de son strip avec une bière dans la main et une clope dans l’autre. Un vrai maquereau, ce qui n’est pas pour me déplaire car les clichés ont ce petit quelque chose qui me rend dingue.
Par la grâce des Dieux, je possède le don de mimétisme : il me suffit de voir une fois quelque chose pour que je réussisse à le reproduire peu ou prou. Ainsi je ne me sens pas déconcerter grâce à l’expérience visuelle que j’ai acquise durant ses nombreuses années de célibat. A moi d’y inclure ma signature, pour rendre ce moment mémorable aux yeux de ce beau gosse. Le plan est de dévoiler mon corps dans ce qu’il a de plus adorable, pour descendre vers ce qu’il a de plus disgracieux. Fort de cette idée, je décide de commencer par dévoiler mes jambes, en faisant tomber négligemment le jean qui les recouvre. Elles sont certes piquetées d’une pilosité brun-roux, qui tranche sur le blanc crémeux de ma peau, mais leurs formes en fuseaux laissent présager une souplesse et une agilité, dont je fais preuve en deux-trois jeux de jambes. Longues et effilées, mes membres inférieurs présentent une puissance tempérée par la légèreté, qui peut enflammer les esprits les plus imaginatifs.
Afin de donner de l’interactif à ce show, je fais rouler les os de mon squelette sous ma peau, tel un félin en pleine action. Je m’approche de lui avec toute la volupté de mes déhanchements et la prestesse de mes pas. Il s’agit de présenter la bonne attitude, pour laisser à l’autre la place de se projeter dans le film de ses fantasmes. Je profite de ses jambes écartées pour m’asseoir sur la première venue. Lascivement, je me penche en avant, dans le but non avoué de lui faire admirer ma croupe, et je glisse un doigt dans l’une de mes chaussettes pour la retirer. Décidé à passer sur l’autre cuisse, j’exécute une rotation à 180°, qui m’oblige à frôler sa queue de mon fessier. Surpris, il pousse un léger soupir, suivi d’un grognement frustré. Installé sur l’autre versant, je joue de ma flexibilité pour lever ma jambe bien droite le long de mon torse, afin de retirer la deuxième chaussette.
Voyant que le charme fait son effet, je me glisse entre ses cuisses dans une position accroupie et relève mes jambes en restant le torse vers le sol, afin de lui laisser une vision pleine de mon derrière. Au lieu de me frotter comme une chatte en chaleur sur son corps, je décide de faire l’indifférent en repartant à mon point de départ. Il s’agit désormais de soulever mon tee-shirt, mettant à jours la finesse de mon buste. Ne voulant pas le retirer tout de go, je le fais voleter le long de ma taille, laissant à l’air libre le dessin de mon nombril qui se présente sous la forme d’un trou à l’image d’autres plus utiles. Cependant, j’ai beau avoir le cygne noir, qui se fout royalement des imperfections de mon corps, le cygne blanc persiste encore à frétiller d’horreur face à mon pelage viril.
Et il y a de quoi s’inquiéter, car Driss présente une apparence glabre, où la peau luit par sa simple nudité. Seul quelques poils se font jour autour de sa queue comme j’ai pu le admirer au préalable, ou encore sous ses aisselles que j’ai pu vérifier grâce à son débardeur. Sinon, rien… alors que mon cas est autre. Je ne suis pas au point de me confondre avec un gorille ou une moquette mais, si ma virilité se fait jour, c’est bien par la présence de mes poils. Prenant mon courage à deux mains, je fais tournoyer mon vêtement, en le retirant d’un geste enlevé comme la cape d’un magicien dissimule le secret d’un tour de magie. La toison de mon torse a cette particularité de dessiner dans une parfaite symétrie une figure proche des images de Rorschach. Chacun peut y voir, ce que son subconscient lui dicte. Comme sur mes bras, mes poils présentent un puissant noir, qui contraste avec le blanc porcelaine de ma peau. S’ils peuvent se réunir avec plus de force, entre mes deux pectoraux et autour de mes deux tétons, ils peuvent également laisser à nu des plages entières de peau dans un mode clairsemé.
Est-ce qu’une caille n’est pas censée avoir en horreur le poil ? Obsédé par ce cliché, je me rends compte que j’ai omis de m’inquiéter d’un deuxième détail. De légères cicatrices viennent vriller ma peau sur mes avant-bras et mes épaules, mes hanches et mes fesses. Il s’agit d’un relief sur mon enveloppe, qui forme de longues lignes creuses à la couleur violacée. Impossible de ne pas les rater, d’autant plus que la lumière leur donne un éclat mordoré. Concrètement, elles donnent l’impression que des griffes se sont plantées dans ma peau, pour les lacérer avec force. Je les ai depuis ma petite enfance, alors j’ai pris l’habitude de vivre avec et de ne pas les voir, mais devant ce rebeu plein de perfection, je me sens fondre de honte.
Dans ce genre de situation, rien ne sert de montrer son désarroi. Autant se persuader d’être seul, afin de finir convenablement ce qui a été commencé. Il ne me reste plus que mon boxer a viré, pour que je sois dans une complète nudité, et ce qu’il dissimule n’est pas là pour rattraper le reste. Heureusement, je ne suis pas du genre à me laisser vaincre sans batailler avec tous les moyens à ma disposition. Avant d’être à sa merci, il me reste encore quelques tours dans mon sac, car ce boxer a la faculté de me mouler outrageusement l’arrière-train. Un peu d’espièglerie et d’astuce me rappellent que s’il y a une chose que je sais faire, c’est déplacer mon corps à la pointe du couteau de la sensualité. Mon adresse ne répond plus à ma raison et se lance dans une manifestation de ses multiples capacités.
Lorsque le fer est chaud, il convient de le battre ; alors quand mon lascar est sur le point d’exploser, il ne me reste plus qu’à lancer le bouquet final. Je monte sur la pointe de mes pieds, afin de donner une meilleure silhouette à mon corps, et tourne sur moi-même jusqu’à être de trois-quarts dos. Je pose mes doigts entre l’élastique de mon boxer et ma peau, puis le fais descendre le long de mes jambes, donnant à Driss une vue subreptice de mon intimité. Il n’y a pas à aller par trois milles chemins, soit mon cul est un fantasme soit il ne l’est pas. De petites dimensions, il prend une forme sphérique, marquée par deux plis aux commencements des cuisses. Et surtout, les poils ne l’ont pas épargné … avec une raie particulièrement fournie d’une douce toison.
Les dernières notes de musique se jouent pendant que je me relève de ma position outrageuse. Ma tête recouvre ses esprits, se rappelant de la présence de Driss à ses côtés. Instantanément, les émotions me font défaut, en recouvrant ma peau d’une teinte rouge cramoisie à cause de la honte qui me submerge. Et là, j’entends ces mots :
— Putain, comment tu gères ! Je n’avais jamais vu une pute se donner autant. Je dois me retenir pour ne pas devenir un loup, se jetant sur sa proie. Tu as un corps et un cul de bonhomme, mais tu m’a fais chavirer. Dingue, ce contraste entre la virilité apparente de ton corps et la féminité de ta silhouette. Tu sais te servir de ton cul, mais mon instinct d’animal en rut me fait sentir quelque chose. Viens de plus prés que j’observe la réactivité de ton trou.
S’il vous faudra attendre la suite, rien ne nous empêche de continuer sur le même registre en m’écrivant. En décidant de ne pas dévoiler la musique de mon strip, je souhaitais vous donner un petit devoir : de m’envoyer le nom du morceau qui vous fait le plus tripper. Après tout, je me donne à vous et j’aimerais bien en découvrir plus sur chacun d’entre vous. Alors que ceux qui sont partant pour plus d’interactivité n’hésitent pas, surtout que comme on dit « qui m’aime, me suive ». En échange, je pourrais vous révéler la playlist de ce strip, qui risque d’en étonner plus d’un.
A bientôt les gars !
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Je te verai bien te bouger sur un morceau de radio eb
ps : je ne suis pas sûre de l'orthographe :-/
ps : je ne suis pas sûre de l'orthographe :-/
Très bien écrit, tu alternes très bien le langage de la cité avec un vocabulaire soutenu, ça donne une bonne dynamique au récit ! Bref, à quand la suite, j’ai hâte de te relire ! :D
c'est quand que passe à l'acte