Stage à Paris
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-03-2014 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Stage à Paris
Je dois suivre un stage pas loin de Paris. J'ai demandé à Julie, mon épouse de venir avec moi. Au moins le soir nous pourrons sortir, voir des spectacles, surtout de nu, comme j'aime. Elle aussi a pris gout à voir de jeunes femmes dénudées, à tel point que je me demande si pas hasard, elle n'aimerait pas faire un essai coquin.
Je laisse le matin Julie à l'hôtel. Quand je reviens, un après midi, elle est absente. Elle doit visiter un grand magasin, sans doute. J’attends sans crainte quand je reçois un coup de fil.
• Ne l'attends pas, je suis occupée.
• A quoi ?
• Je ne suis pas seule : je vais baiser par une autre.
Aussitôt ma queue se lève : j'imagine ma femme dans les bras 'une autre comme elle. Je me sens obliger de lui demander la suite :
• Comment elle est ?
• Comme moi en plus grande.
• Son corps ?
• Comme tu aimerais de le payer. Tu bandes ?
• Oui, je bande.
• Branles toi. Quand je me serais faite bien mettre, je reviendrais, attends moi pour me baiser ou m'enculer, m'enculer plutôt.
Ainsi elle baise avec une autre. Je ne suis jaloux qu'en parti. Ma queue est droite, je ne peux me retenir. Je vais me branler en pendant à Julie, à ses fesses et surtout à la fille qui lui donne du plaisir. Elle m'expliquera tout quand elle reviendra. Ma main fait des miracles sur ma queue. Il me semble qu’elle est contre moi, que c'est sa main qui s'active sur ma bite. Je fais durer le plaisir tant que je peux en arrêtant souvent, en reprenant puis en cessant encore. Mais je sens venir du fond de mon corps un plaisir inavoué, celui de la masturbation. Je le dirais tout à l’heure à mon épouse.
Le temps passe vite. Il est plus de 23 heures quand elle revient. Elle a faim, comme moi, sauf que j’ai faim d’elle. Au restaurant elle me raconte son aventure ;
« J’allais monter dans un taxi quand a surgit une fille de mon âge. Nous allions dans la même direction, alors elle nous sommes parties ensemble. Elle m’a surpris en prenant ma main. Nos doigts sont restés croisés. Puis, je ne sais comment c’est venu, j’ai eu envie de sa bouche sur la mienne. Tu sais c’est la première fille que j’ai eu envie d’embrasser. Je me suis penchée sur elle. Sans résister elle m’a donné sa bouche, sa langue.
Je sais que le chauffeur nous regardait, il devant se demander jusqu’où nous irions. Nous ne le savions pas encore. C’est lui qui a décidé pour nous : il nous a déposées devant un hôtel, pas un machin étoilé, non juste des chambres pour couples illégitime ce que nous étions.
J’ai continué à prendre les décisions. C’est vite que nous sommes encore embrasées. J’étais toute mouillée. J’avais envie d’elle, pas d’une autre, d’elle. Je pensais à peine à toi, à ta queue. J’étais corps à corps avec une autre. Je sais que si tu avais été là, tu aurais voulu te la payer. Mais j’avais envie d’elle comme tu aurais eu envie. Je sentais mon corps de tendre vers son corps. Nous nous sommes tenues les fesses, les bas ventres serrés. Que j’avais envie de la sentir, de la lécher.
Quand nous nous sommes couchées, emmêlées, nous savions comment faire pour l’autre. Je crois que c’est elle qui a posé sa main sur moi la première, elle était chaude, très chaude. Moi aussi je l’ai touché pour la caresser, lui faire du bien. Nous nous sommes branlées.
Je sentais son sexe sous ma main : il était mouillé, comme le mien. Tu aurais aimé lui tripoter le clitoris, comme j’ai fait. Sous ma paume je sentais les poils de son pubis.
Elle me branlait presque mieux que toi. J’étais offerte à ses caresses. Je sentis bien quand elle réunissait deux ou trois doigt sur ma fente d’abord puis dans mon con. Je me donnais totalement. Elle m’a fait jouir plusieurs fois avec sa main.
J’arrivais moi aussi à mettre ma main dans sa chatte. Si tu savais comme elle état mouillée, plus que moi. Je l’ai faite jouir une seule fois. J’allais abandonner quand elle est venue me donner toute sa chatte sur ma bouche. C’était excitant de sentir sa cyprine dans ma bouche, un peu comme tu quand tu me lèche, sauf que c’était un autre sexe que je suçais. Je comprends que tu aimes lécher la chatte.
Nous nous sommes aimées en faisant un 69. J’étais dessus : comme avec toi. Nous nous sommes retournées, j’étais juste sous elle. Je voyais son cul. J’ai fait comme toi, j’y ai mit mon doigt profond, je sentais bien son anus s’ouvrir, se refermer autour de moi. Elle me l’a rendu. Mon premier doigt de fille dans le cul ».
• Encules moi maintenant, je penserais à cette langue sur moi.
• Branles moi un peu avant.
• Après j’ai besoin de ta bite dans le cul. Vite s’il te plait.
Elle est pressée de se faire mettre : elle prend de sa salive pour en tapisser l’anus. Je sens ma bite avoir des mouvements incontolés.Elle m’a excité profondément. Elle me veut dans le cul, j’aime.
Elle reste sur le coté, en ouvrant ses fesses avec ses mains. Ma bite approche, elle la sent. C’est à peine si elle me touche. Je sens ses fesses autour de la queue. Je sens l’anus tout au bout de la bite. Le gland va l’ouvrir.
• Oui, mets-la-moi
• Comme ça ?
• C’est bon te sentir dans le cul. Enfonces moi à fond, mets-moi là profond.
Ce dialogue m’échauffe auconre. Elle le fait exprès ? Elle m’explique son souhait :
• Branles moi aussi.
Je passe ma main sur ses hanches, je trouve ce que je veux : son clitoris. Je sens sur moi ses longs cheveux. Je m’enfonce doucement pour moi, pas pour elle. Pourtant c’est qui cri brusquement :
• Je jouis, encore.
• Moi aussi je vais jouir dans ton cul. Salope.
• Oui je suis je salope, je me suis faite niquée par une autre tout à l’autre, c’était bon, je veux recommencer avec une autre devant toi, sans que tu me touche.
Le lendemain de devait retourner au stage. Je reste tranquille à Paris. Elle sort dans l’après midi. Je sais qu’elle va rejoindre une autre fille. Elle m’a promis de m’appeler quand elle se fera baiser avec l’autre. J’attends au lit, ma bite dehors, dans ma main. Je commençais à me branler encore quand elle m’appelle.
Je rejoins le plus vite possible l’hôtel, la chambre où j’ente sans frapper. Elle est là, couchée avec une autre, son amante, sa belle amante. Elles ne font pas autre chose que de se toucher le sexe. Son sourire éclate prouve qu’elle me veut, qu’elles me veulent.
La quelle baiser en premier ? J’allais baiser ma femme : elle me demande de baiser l’autre qui se donne à ma pine. Elle est bien mouillée comme me l’a déjà dit mon épouse. J’entre dans ce con offert. Je suis sur elle, je la lime. Je la baise sans remord. J’ai une drôle de récompense, ma femme entre un doigt dans mon cul. Puis elle se déplace pour donne son sexe à la bouche de notre amante. Je vois son sexe ouvert la langue qui lèche son sexe. Et moi aussi je vais jouir dans le sexe d‘une autre avec son accord….
Vive les stages à Paris.
Je laisse le matin Julie à l'hôtel. Quand je reviens, un après midi, elle est absente. Elle doit visiter un grand magasin, sans doute. J’attends sans crainte quand je reçois un coup de fil.
• Ne l'attends pas, je suis occupée.
• A quoi ?
• Je ne suis pas seule : je vais baiser par une autre.
Aussitôt ma queue se lève : j'imagine ma femme dans les bras 'une autre comme elle. Je me sens obliger de lui demander la suite :
• Comment elle est ?
• Comme moi en plus grande.
• Son corps ?
• Comme tu aimerais de le payer. Tu bandes ?
• Oui, je bande.
• Branles toi. Quand je me serais faite bien mettre, je reviendrais, attends moi pour me baiser ou m'enculer, m'enculer plutôt.
Ainsi elle baise avec une autre. Je ne suis jaloux qu'en parti. Ma queue est droite, je ne peux me retenir. Je vais me branler en pendant à Julie, à ses fesses et surtout à la fille qui lui donne du plaisir. Elle m'expliquera tout quand elle reviendra. Ma main fait des miracles sur ma queue. Il me semble qu’elle est contre moi, que c'est sa main qui s'active sur ma bite. Je fais durer le plaisir tant que je peux en arrêtant souvent, en reprenant puis en cessant encore. Mais je sens venir du fond de mon corps un plaisir inavoué, celui de la masturbation. Je le dirais tout à l’heure à mon épouse.
Le temps passe vite. Il est plus de 23 heures quand elle revient. Elle a faim, comme moi, sauf que j’ai faim d’elle. Au restaurant elle me raconte son aventure ;
« J’allais monter dans un taxi quand a surgit une fille de mon âge. Nous allions dans la même direction, alors elle nous sommes parties ensemble. Elle m’a surpris en prenant ma main. Nos doigts sont restés croisés. Puis, je ne sais comment c’est venu, j’ai eu envie de sa bouche sur la mienne. Tu sais c’est la première fille que j’ai eu envie d’embrasser. Je me suis penchée sur elle. Sans résister elle m’a donné sa bouche, sa langue.
Je sais que le chauffeur nous regardait, il devant se demander jusqu’où nous irions. Nous ne le savions pas encore. C’est lui qui a décidé pour nous : il nous a déposées devant un hôtel, pas un machin étoilé, non juste des chambres pour couples illégitime ce que nous étions.
J’ai continué à prendre les décisions. C’est vite que nous sommes encore embrasées. J’étais toute mouillée. J’avais envie d’elle, pas d’une autre, d’elle. Je pensais à peine à toi, à ta queue. J’étais corps à corps avec une autre. Je sais que si tu avais été là, tu aurais voulu te la payer. Mais j’avais envie d’elle comme tu aurais eu envie. Je sentais mon corps de tendre vers son corps. Nous nous sommes tenues les fesses, les bas ventres serrés. Que j’avais envie de la sentir, de la lécher.
Quand nous nous sommes couchées, emmêlées, nous savions comment faire pour l’autre. Je crois que c’est elle qui a posé sa main sur moi la première, elle était chaude, très chaude. Moi aussi je l’ai touché pour la caresser, lui faire du bien. Nous nous sommes branlées.
Je sentais son sexe sous ma main : il était mouillé, comme le mien. Tu aurais aimé lui tripoter le clitoris, comme j’ai fait. Sous ma paume je sentais les poils de son pubis.
Elle me branlait presque mieux que toi. J’étais offerte à ses caresses. Je sentis bien quand elle réunissait deux ou trois doigt sur ma fente d’abord puis dans mon con. Je me donnais totalement. Elle m’a fait jouir plusieurs fois avec sa main.
J’arrivais moi aussi à mettre ma main dans sa chatte. Si tu savais comme elle état mouillée, plus que moi. Je l’ai faite jouir une seule fois. J’allais abandonner quand elle est venue me donner toute sa chatte sur ma bouche. C’était excitant de sentir sa cyprine dans ma bouche, un peu comme tu quand tu me lèche, sauf que c’était un autre sexe que je suçais. Je comprends que tu aimes lécher la chatte.
Nous nous sommes aimées en faisant un 69. J’étais dessus : comme avec toi. Nous nous sommes retournées, j’étais juste sous elle. Je voyais son cul. J’ai fait comme toi, j’y ai mit mon doigt profond, je sentais bien son anus s’ouvrir, se refermer autour de moi. Elle me l’a rendu. Mon premier doigt de fille dans le cul ».
• Encules moi maintenant, je penserais à cette langue sur moi.
• Branles moi un peu avant.
• Après j’ai besoin de ta bite dans le cul. Vite s’il te plait.
Elle est pressée de se faire mettre : elle prend de sa salive pour en tapisser l’anus. Je sens ma bite avoir des mouvements incontolés.Elle m’a excité profondément. Elle me veut dans le cul, j’aime.
Elle reste sur le coté, en ouvrant ses fesses avec ses mains. Ma bite approche, elle la sent. C’est à peine si elle me touche. Je sens ses fesses autour de la queue. Je sens l’anus tout au bout de la bite. Le gland va l’ouvrir.
• Oui, mets-la-moi
• Comme ça ?
• C’est bon te sentir dans le cul. Enfonces moi à fond, mets-moi là profond.
Ce dialogue m’échauffe auconre. Elle le fait exprès ? Elle m’explique son souhait :
• Branles moi aussi.
Je passe ma main sur ses hanches, je trouve ce que je veux : son clitoris. Je sens sur moi ses longs cheveux. Je m’enfonce doucement pour moi, pas pour elle. Pourtant c’est qui cri brusquement :
• Je jouis, encore.
• Moi aussi je vais jouir dans ton cul. Salope.
• Oui je suis je salope, je me suis faite niquée par une autre tout à l’autre, c’était bon, je veux recommencer avec une autre devant toi, sans que tu me touche.
Le lendemain de devait retourner au stage. Je reste tranquille à Paris. Elle sort dans l’après midi. Je sais qu’elle va rejoindre une autre fille. Elle m’a promis de m’appeler quand elle se fera baiser avec l’autre. J’attends au lit, ma bite dehors, dans ma main. Je commençais à me branler encore quand elle m’appelle.
Je rejoins le plus vite possible l’hôtel, la chambre où j’ente sans frapper. Elle est là, couchée avec une autre, son amante, sa belle amante. Elles ne font pas autre chose que de se toucher le sexe. Son sourire éclate prouve qu’elle me veut, qu’elles me veulent.
La quelle baiser en premier ? J’allais baiser ma femme : elle me demande de baiser l’autre qui se donne à ma pine. Elle est bien mouillée comme me l’a déjà dit mon épouse. J’entre dans ce con offert. Je suis sur elle, je la lime. Je la baise sans remord. J’ai une drôle de récompense, ma femme entre un doigt dans mon cul. Puis elle se déplace pour donne son sexe à la bouche de notre amante. Je vois son sexe ouvert la langue qui lèche son sexe. Et moi aussi je vais jouir dans le sexe d‘une autre avec son accord….
Vive les stages à Paris.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Dommage que le texte manque d'aération ce qui le rend pénible à lire, (A quoi pensent les correcteurs???).