Stationnement payant....
Récit érotique écrit par Caro69 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
- • 4 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Caro69 ont reçu un total de 3 337 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-08-2008 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 459 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Stationnement payant....
A l’hôtel….. Avec un black
Cela faisait 3 fois que je faisais le tour du pâté de maison pour trouver une place de stationnement. Des travaux en cours de réalisation sur la chaussée ne me facilitaient pas la tâche. Un des ouvriers qui avait remarqué mon embarras, me fit signe de la main et déplaça une barrière de chantier, suffisamment pour que je puisse garer mon véhicule. J’ai trouvé ça sympa de sa part et l’ai remercié d’un sourire généreux. A ma descente de voiture, il s’est avancé vers moi pour engager une mini conversation des plus banales. Mais à mon retour, cet ouvrier couvert de poussières, black, est, de nouveau, venu à ma rencontre et avec un culot phénoménal, il m’a tendu un bout de papier chiffonné sur lequel figurait un numéro de téléphone. J’ai, bien sûr, supposé que c’était le sien.
J’ai toujours été attirée sexuellement par les hommes de couleurs et les magrébins.
Aussi, la tentation fut trop forte et le soir même je lui passais un coup de fil et nous nous donnâmes rendez-vous, le lendemain à 17 h 30 (après son travail) sur le parking d’un hôtel économique de banlieue.
J’avais emporté un appareil photo jetable, et, dès que nous avons pris possession de la chambre je lui ai demandé s’il ne voyait pas d’inconvénient à ce qu’on l’utilise. Il était très excité et il n’avait pas envie de me refuser quoi que soit (moi non plus d’ailleurs). Il s’est déshabillé complètement et lorsque j’ai voulu enlever mes vêtements, il m’a demandé de garder ma culotte et mon soutien gorge. Ensuite il m’a demandé d’aller uriner, la porte ouverte. Je me suis exécutée et lorsque j’eu finie, il n’a pas voulu que j’essuie ma chatte avec du papier comme je le fais d’habitude. Il m’a alors ôté mon soutien gorge, m’a présenté debout face au grand miroir, et, de par derrière a fait glisser mon slip le long de mes jambes. Il m’a légèrement écarté les fesses, toujours face à la glace, et à caressé puis fouillé ma chatte abondamment humidifiée par le mélange, à la fois, des traces de mon récent pipi et par mon excitation. Avec sa main trempée il a, ensuite, caressé mes seins, mon visage et a introduit 2 doigts dans ma bouche. Quand il m’a retournée face à lui, je sentais son membre dur se frotter contre mon ventre. Tout en prenant des photos, il m’a demandé de le sucer. Ce type me rendait folle. Quand il m’a allongée sur le lit, il m’a fait mettre dans différentes positions (notamment, à quatre pattes, les cuisses bien ouvertes et en écartant mes fesses avec les mains pour qu’il puisse apprécier mon anus et ma chatte dilatée). Il m’a demandé de me masturber jusqu’à la jouissance. Je me suis frictionnée le clitoris, devant lui, les jambes bien écartées jusqu'à ce que je pousse râle de plaisir. J’étais toute molle, mais lui était dans un état d’excitation surréaliste. Il m’a prise dans toutes les positions avec une vigueur peu commune. A trois reprises il a changé de préservatif, et, chaque fois, il fallait que je le suce pour le « nettoyer » et lui redonner vigueur.
Je n’en pouvais plus ! Mais j’étais reconnaissante car il m’a fait jouir plusieurs fois.
Il ma demandé quand on remettait ça. Je lui ai répondu qu’il fallait rester sur ce bon souvenir.
Il a quitté l’hôtel le premier, et, avant de partir il m’a piqué ma culotte et m’a dit d’un ton sarcastique : « t’es pas la première bourgeoise que je baise et je constate que vous êtes toutes plus chiennes les unes que les autres ».
Je suis restée comme deux ronds de flan !
Suis passée à la douche et tout en me savonnant j’avais l’impression que ma chatte avait subie l’assaut d’une troupe de Sénégalais.
Cela faisait 3 fois que je faisais le tour du pâté de maison pour trouver une place de stationnement. Des travaux en cours de réalisation sur la chaussée ne me facilitaient pas la tâche. Un des ouvriers qui avait remarqué mon embarras, me fit signe de la main et déplaça une barrière de chantier, suffisamment pour que je puisse garer mon véhicule. J’ai trouvé ça sympa de sa part et l’ai remercié d’un sourire généreux. A ma descente de voiture, il s’est avancé vers moi pour engager une mini conversation des plus banales. Mais à mon retour, cet ouvrier couvert de poussières, black, est, de nouveau, venu à ma rencontre et avec un culot phénoménal, il m’a tendu un bout de papier chiffonné sur lequel figurait un numéro de téléphone. J’ai, bien sûr, supposé que c’était le sien.
J’ai toujours été attirée sexuellement par les hommes de couleurs et les magrébins.
Aussi, la tentation fut trop forte et le soir même je lui passais un coup de fil et nous nous donnâmes rendez-vous, le lendemain à 17 h 30 (après son travail) sur le parking d’un hôtel économique de banlieue.
J’avais emporté un appareil photo jetable, et, dès que nous avons pris possession de la chambre je lui ai demandé s’il ne voyait pas d’inconvénient à ce qu’on l’utilise. Il était très excité et il n’avait pas envie de me refuser quoi que soit (moi non plus d’ailleurs). Il s’est déshabillé complètement et lorsque j’ai voulu enlever mes vêtements, il m’a demandé de garder ma culotte et mon soutien gorge. Ensuite il m’a demandé d’aller uriner, la porte ouverte. Je me suis exécutée et lorsque j’eu finie, il n’a pas voulu que j’essuie ma chatte avec du papier comme je le fais d’habitude. Il m’a alors ôté mon soutien gorge, m’a présenté debout face au grand miroir, et, de par derrière a fait glisser mon slip le long de mes jambes. Il m’a légèrement écarté les fesses, toujours face à la glace, et à caressé puis fouillé ma chatte abondamment humidifiée par le mélange, à la fois, des traces de mon récent pipi et par mon excitation. Avec sa main trempée il a, ensuite, caressé mes seins, mon visage et a introduit 2 doigts dans ma bouche. Quand il m’a retournée face à lui, je sentais son membre dur se frotter contre mon ventre. Tout en prenant des photos, il m’a demandé de le sucer. Ce type me rendait folle. Quand il m’a allongée sur le lit, il m’a fait mettre dans différentes positions (notamment, à quatre pattes, les cuisses bien ouvertes et en écartant mes fesses avec les mains pour qu’il puisse apprécier mon anus et ma chatte dilatée). Il m’a demandé de me masturber jusqu’à la jouissance. Je me suis frictionnée le clitoris, devant lui, les jambes bien écartées jusqu'à ce que je pousse râle de plaisir. J’étais toute molle, mais lui était dans un état d’excitation surréaliste. Il m’a prise dans toutes les positions avec une vigueur peu commune. A trois reprises il a changé de préservatif, et, chaque fois, il fallait que je le suce pour le « nettoyer » et lui redonner vigueur.
Je n’en pouvais plus ! Mais j’étais reconnaissante car il m’a fait jouir plusieurs fois.
Il ma demandé quand on remettait ça. Je lui ai répondu qu’il fallait rester sur ce bon souvenir.
Il a quitté l’hôtel le premier, et, avant de partir il m’a piqué ma culotte et m’a dit d’un ton sarcastique : « t’es pas la première bourgeoise que je baise et je constate que vous êtes toutes plus chiennes les unes que les autres ».
Je suis restée comme deux ronds de flan !
Suis passée à la douche et tout en me savonnant j’avais l’impression que ma chatte avait subie l’assaut d’une troupe de Sénégalais.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Caro69
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...