sublimement soumise 2
Récit érotique écrit par Eléa [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-12-2006 dans la catégorie Dominants et dominés
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sublimement soumise 2
Le lendemain matin, on me laisse dormir longuement et heureusement car je suis épuisée. De plus, mes orifices, soumis à rude épreuve le jour précédent, sont encore douloureux d'avoir été étirés dans tous les sens. Je sens mon sexe palpiter et en m'éveillant je me rends compte que je suis encore abondamment mouillée : par le sperme que Josh a déversé en moi la veille ou par l'excitation permanente que la situation provoque malgré tout en moi ?
Vers 11h00 quelqu'un entre dans ma chambre : c'est Eric, le beau black, qui m'apporte mon petit déjeuner. Je sens une odeur de café et de croissants : finalement la soumission comporte de bonnes surprises !
Mais auparavant, il me regarde avec un grand sourire et me dis " ma belle il va falloir que tu paye ton petit déjeuner ". Il pose le plateau hors de ma portée, et durcissant le ton me parles de nouveau " allez petite chienne, à quatre pattes sur le lit et montres-moi ton cul ".
Pas moyen d'éviter l'ordre, je m'exécute. " Penches-toi en avant " m'ordonne Eric. Je me retrouve le cul tendu vers le haut, mes petits trous bien offerts, la tête posée sur le lit. Eric commence à me toucher sans ménagement, me frotte le clitoris, qui ne tarde pas à gonfler. Je commence à gémir, puis je sens ses doigts qui me pénètrent méthodiquement la chatte, puis l'anus. " Tu mouilles bien petite garce " me dis t'il, " des manières pareilles méritent une correction ". Il commence alors à me fesser, doucement puis de plus en plus fort. Je serre les dents et je tente de rester sans bouger, car j'ai bien compris que si je bronche, la correction sera pire…
Au bout d'une vingtaine de coups, il s'arrête et contemple, satisfait, son œuvre : j'ai le cul tout rouge. " tu verras, ce n'est qu'une entrée en matière " me dit-il, ce qui me donne froid dans le dos...
Puis enfin, il enfile un préservatif et se décide à me pénétrer, assez brutalement. Il me baise profondément, tout en m'introduisant un doigt dans l'anus. Je sens ma chatte dilatée par son gros membre, et je reste docilement dans la même position, attendant qu'il se répande en moi, ce qu'il ne tarde pas à faire.
" Allez voilà ton déjeuner, tu l'as bien gagné petite chienne ". Et il me pose le plateau sur le lit avant de sortir.
A peine ais-je fini que Denis entre dans ma chambre. Il me détache de la chaîne, mais pour aussitôt me fixer une laisse au collier et sans presque me regarder, m'emmène comme un chien en balade, vers je ne sais ou. Je suis toujours nue, et déambuler ainsi dans une maison sans savoir qui je v ais croiser est plutôt gênant.
Denis me laisse dans une pièce qui est, je pense, le donjon ou je suis déjà venue hier : la pièce est grande, avec un tas d'instruments au mur et la fameuse boite ou j'ai été enfermée.
Puis les quatre hommes arrivent et m'entourent. Je sens la panique m'envahir, en me demandant ce qu'ils vont me faire. Ils me palpent, me tournent dans tous les sens, me penche en avant pour inspecter mes orifices et discutent de ce qu'ils vont me faire subir.
Christophe prend la parole :
" Tu sais pourquoi tu es là ? " Me demande t-il. Ton maître t'as confié à nous pendant ces quelques jours afin que nous t'apprenions les bonnes manières. Il nous a signalé un gros défaut chez toi : tu refuses la sodomie nous a-t-il dit… " .
Je sens mon cœur s'emballer et je murmure un " oui " étranglé.
" Pourquoi " me demande t'il ?
" Ca me fait mal, maître, josh est trop bien membré pour me pénétrer "…
" c'est ce que nous allons voir " me répond t'il. Tu es ici pour mettre tes orifices à disposition, nous allons t'apprendre à te soumettre totalement.
Il attrape ma laisse et me tire vers une table en bois recouverte d'un tapis assez épais. Il me fait grimper dessus, me fait mettre à 4 pattes, comme Eric tout à l'heure, puis m'entrave à l'aide d'une barre qui comporte 4 bracelets : elle m'écarte les jambes et me fixe également les poignets. Je suis penchée en avant sans pouvoir bouger, et pour faire bonne mesure, il me pose un bandeau et un baillon. Je suis aveuglée et la boule dans ma bouche commence rapidement à me faire baver. La table à l'intérêt de porter mon sexe à la bonne hauteur, ils peuvent me travailler comme ils le souhaitent, sans se fatiguer !
Ensuite les choses sérieuses commencent… Je sens un fin tuyau s'introduire dans mon anus, et rapidement je devine qu'il est en train de me faire un lavement. Mon ventre se rempli d'eau, je commence à me tortiller de douleur. Mais ils me laissent me gonfler d'eau tiède pendant un temps qui me semble interminable. Enfin l'un d'eux me détache, me guide car je suis toujours aveuglée, vers les toilettes pour que je me vide. Puis avec un gant il termine ensuite ma toilette, avant de me refaire monter sur la table et de me refixer mes bracelets, toujours dans la même position.
" bien maintenant que tu es bien propre nous allons pouvoir passer aux choses sérieuses ". Je devine la voix de Christophe, celui qui me fait le plus peur.
Je frissonne. Je sens un god bien lubrifié se présenter à l'entrée de mon anus. J'ignore quelle taille il fait, mais il me pénètre lentement, et j'ai l'impression qu'on m'écarte les entrailles. Le sphincter de mon anus commence à souffrir, au fur et à mesure que la dilatation se poursuit… Je gémis, mais implacable, Christophe continue à me perforer en lents va-et-vients, qui s'introduisent de plus en plus loin. Au bout d'un temps qui me semble infini, je sens le god qui rentre enfin totalement, et mon cul se refermer un peu sur sa base, moins grosse que la partie plantée en moi. Il me fixe solidement le god avec une chainette, suivant la même technique que la veille : une chaîne autour de la taille et une autre chaîne bien serrée entre les jambes, qui m'empêche d'expulser l'intrus.
Puis pendant que mon cul s'habitue lentement à être dilaté, il pousse un peu la chainette sur le coté et me pose un spéculum dans le vagin. Ensuite il l'écarte de plus en plus, jusqu'à ce que je sente la paroi en plastique de ce dernier peser contre le god enfoncé dans mon cul, à travers la mince paroi de peau qui sépare les deux. Il m'inspecte, et je l'entends qui prends quelques photos de la scène et en discute avec ses acolytes qui n'en ont pas perdu une miette.
Enfin comme la veille, on m'enlève mon baillon et je dois de nouveau sucer des sexes, les uns derrière les autres. Les bites se succèdent dans ma bouche, on me bloque la tête et je dois sucer sans broncher et avaler les jets de sperme que je prends à la suite. Ils ont vraiment décidé de me faire passer mon refus de l'éjaculation… Je sens un sexe se vider dans ma bouche, puis l'homme m'attraper fermement la nuque et je suis obligée de lui nettoyer la queue du mieux possible, jusque dans les moindres recoins. Quand j'ai fini, il ne reste plus la moindre goutte. Il est aussitôt remplacé par un autre, qui effectue la même manœuvre…Je me demande quel tableau j'offre, entravée, le cul en l'air, un god et un spéculum fiché en moi, les yeux bandés, contrainte d'avaler giclées sur giclées entre deux hauts le cœur…
Au bout d'un moment, ils ont tous jouit et se laissent aller à des commentaires sur la scène. Ils détaillent mon corps et sa posture mais je me rends compte rapidement que l'espoir que la séance soit finie est vain ! Je sens qu'on devisse le spéculum puis qu'on le retire. Et oh miracle on retire aussi les chaînettes et le god planté dans mon cul ! je respire. Mais seulement quelques secondes, avant que le cauchemar ne recommence : non seulement je sens de nouveau une pression contre mon anus, mais je devine que le god est plus gros !
Cette fois-ci je panique, et je me débats dans mes liens. C'est peine perdue, le seul résultat est de les faire rire, et de sentir que pour m'empêcher de bouger, ils m'attachent le collier à un anneau fixé sur la table, réduisant encore plus mes mouvements. Puis une main inquisitrice me pose une pince sur chaque sein, et je sens la douleur me mordre comme la veille. Pendant ce temps, le god me pénètre lentement mais aussi cruellement que le précédent, et je commence à réellement comprendre l'état de soumission : bien qu'excitant parfois, c'est surtout un état ou je suis à la merci de ceux qui m'entourent, totalement disponible pour leurs envies ! Dilatée au maximum, je gémis comme une chienne, le cul totalement ouvert par l'engin. Mais ce n'est pas fini, manifestement Josh leur a demandé de m' ouvrir totalement car ils m'enlèvent mon bandeau : je peux enfin voir, et c'est pour découvrir le second god qu'ils veulent m'introduire : en fait ils m'ont enlevé mon bandeau juste pour que j'ai une idée de la taille de ce qui va me pénétrer !
Je découvre un god monstrueux, d'une longueur relativement standard, mais surtout d'un diamètre de 7 cms. Ils me refixent ensuite le bandeau, et je reste bloquée dans la même position, terrorisée, à attendre que le monstrueux engin s'enfonce en moi. Bien que fistée la veille, je tremble et c'est bien pour ça qu'ils m'ont permis de voir l'engin ! L'intromission ne tarde pas à commencer, et si j'ai souffert pour la sodomie, je déguste aussi pour la pénétration. Je ne sais lequel des 4 hommes est derrière moi, mais le god s'enfonce inexorablement dans mes entrailles, lubrifié abondamment pour pouvoir se planter en moi, et petit à petit je sens mes muscles vaginaux s'écarter et se soumettre à l'intromission.
Quand c'est terminé, j'ai la sensation que je vais exploser : je suis réellement dilatée au maximum de mes possibilités.
" Tout ça va te préparer aux doubles pénétrations " me dit Christophe, tu vois qu'il n'y avait pas besoin de faire toute une histoire, tu peux très bien prendre une bite dans le cul et une dans le sexe en même temps ! La prochaine fois, tu accepteras de vraies bites sans faire de manières. Tu vas rester comme ça un moment, histoire de bien réfléchir à la condition de soumise… "
J'ai encore très mal et je gémis doucement, toujours bloquée sur la table. Ils se contentent de rire et quittent la pièce, me laissant dans mes liens.
Le temps passe, le douleur s'estompe petit à petit, mais elle n'est pas remplacée par l'excitation. Les gods ne me stimulent pas en vibrant, contrairement aux vibromasseurs, je dois juste les supporter en moi sans contrepartie.
Après un temps qui semble ne jamais finir, j'entends enfin quelqu'un entrer. C'est Yves, dont je reconnais la voix, accompagné de Christophe.
Il vérifie ma dilatation, constate que je ne gémis plus et se décide à me détacher. Ils m'enlèvent baillon et bandeau, ainsi que mes bracelets. Puis Yves me refixe solidement une chaîne autour de la taille et me passe entre les jambes toujours la même chaînette qui va m'obliger à garder les deux gods monstrueux en moi.
" allez, debout, descends de là " m'ordonne t'il. Je me redresse avec difficulté, et quand j'essaye de bouger, j'ai tout simplement le souffle coupé. Les gods sont énormes et me causent une vive douleur au moindre mouvement ! " dépêches-toi " m'ordonnes t'il, plus sèchement, avant de me donner deux coups de badine cinglants sur les fesses. " plus vite, sinon c'est 20 coups que je te donne. Et en silence, je ne veux pas entendre un bruit ". Quelqu'un t'attend à coté, je ne veux pas lui amener une pleurnicheuse ! ".
Je ravale ma douleur et entreprends de marcher lentement. Je les suis, après qu'ils aient refixé ma laisse à mon collier, en essayant de ne pas les faire attendre et sans gémir…
Dans la pièce à coté, m'attends Josh ! Il me regarde, tout surpris du tableau qu'il découvre : sa compagne les seins pris dans des pinces, une chaîne autour de la taille, et une chaînette entre les jambes, qui retient deux gods monstrueux qu'il découvre quand mes deux geôliers m'ordonnent de me pencher en avant. Un sifflement admiratif lui échappe " fff vous avez fait du bon boulot, elle fait de gros progrès manifestement ! ".
La suite plus tard...Si vous avez aimé, écrivez-moi sur mon mail !
Vers 11h00 quelqu'un entre dans ma chambre : c'est Eric, le beau black, qui m'apporte mon petit déjeuner. Je sens une odeur de café et de croissants : finalement la soumission comporte de bonnes surprises !
Mais auparavant, il me regarde avec un grand sourire et me dis " ma belle il va falloir que tu paye ton petit déjeuner ". Il pose le plateau hors de ma portée, et durcissant le ton me parles de nouveau " allez petite chienne, à quatre pattes sur le lit et montres-moi ton cul ".
Pas moyen d'éviter l'ordre, je m'exécute. " Penches-toi en avant " m'ordonne Eric. Je me retrouve le cul tendu vers le haut, mes petits trous bien offerts, la tête posée sur le lit. Eric commence à me toucher sans ménagement, me frotte le clitoris, qui ne tarde pas à gonfler. Je commence à gémir, puis je sens ses doigts qui me pénètrent méthodiquement la chatte, puis l'anus. " Tu mouilles bien petite garce " me dis t'il, " des manières pareilles méritent une correction ". Il commence alors à me fesser, doucement puis de plus en plus fort. Je serre les dents et je tente de rester sans bouger, car j'ai bien compris que si je bronche, la correction sera pire…
Au bout d'une vingtaine de coups, il s'arrête et contemple, satisfait, son œuvre : j'ai le cul tout rouge. " tu verras, ce n'est qu'une entrée en matière " me dit-il, ce qui me donne froid dans le dos...
Puis enfin, il enfile un préservatif et se décide à me pénétrer, assez brutalement. Il me baise profondément, tout en m'introduisant un doigt dans l'anus. Je sens ma chatte dilatée par son gros membre, et je reste docilement dans la même position, attendant qu'il se répande en moi, ce qu'il ne tarde pas à faire.
" Allez voilà ton déjeuner, tu l'as bien gagné petite chienne ". Et il me pose le plateau sur le lit avant de sortir.
A peine ais-je fini que Denis entre dans ma chambre. Il me détache de la chaîne, mais pour aussitôt me fixer une laisse au collier et sans presque me regarder, m'emmène comme un chien en balade, vers je ne sais ou. Je suis toujours nue, et déambuler ainsi dans une maison sans savoir qui je v ais croiser est plutôt gênant.
Denis me laisse dans une pièce qui est, je pense, le donjon ou je suis déjà venue hier : la pièce est grande, avec un tas d'instruments au mur et la fameuse boite ou j'ai été enfermée.
Puis les quatre hommes arrivent et m'entourent. Je sens la panique m'envahir, en me demandant ce qu'ils vont me faire. Ils me palpent, me tournent dans tous les sens, me penche en avant pour inspecter mes orifices et discutent de ce qu'ils vont me faire subir.
Christophe prend la parole :
" Tu sais pourquoi tu es là ? " Me demande t-il. Ton maître t'as confié à nous pendant ces quelques jours afin que nous t'apprenions les bonnes manières. Il nous a signalé un gros défaut chez toi : tu refuses la sodomie nous a-t-il dit… " .
Je sens mon cœur s'emballer et je murmure un " oui " étranglé.
" Pourquoi " me demande t'il ?
" Ca me fait mal, maître, josh est trop bien membré pour me pénétrer "…
" c'est ce que nous allons voir " me répond t'il. Tu es ici pour mettre tes orifices à disposition, nous allons t'apprendre à te soumettre totalement.
Il attrape ma laisse et me tire vers une table en bois recouverte d'un tapis assez épais. Il me fait grimper dessus, me fait mettre à 4 pattes, comme Eric tout à l'heure, puis m'entrave à l'aide d'une barre qui comporte 4 bracelets : elle m'écarte les jambes et me fixe également les poignets. Je suis penchée en avant sans pouvoir bouger, et pour faire bonne mesure, il me pose un bandeau et un baillon. Je suis aveuglée et la boule dans ma bouche commence rapidement à me faire baver. La table à l'intérêt de porter mon sexe à la bonne hauteur, ils peuvent me travailler comme ils le souhaitent, sans se fatiguer !
Ensuite les choses sérieuses commencent… Je sens un fin tuyau s'introduire dans mon anus, et rapidement je devine qu'il est en train de me faire un lavement. Mon ventre se rempli d'eau, je commence à me tortiller de douleur. Mais ils me laissent me gonfler d'eau tiède pendant un temps qui me semble interminable. Enfin l'un d'eux me détache, me guide car je suis toujours aveuglée, vers les toilettes pour que je me vide. Puis avec un gant il termine ensuite ma toilette, avant de me refaire monter sur la table et de me refixer mes bracelets, toujours dans la même position.
" bien maintenant que tu es bien propre nous allons pouvoir passer aux choses sérieuses ". Je devine la voix de Christophe, celui qui me fait le plus peur.
Je frissonne. Je sens un god bien lubrifié se présenter à l'entrée de mon anus. J'ignore quelle taille il fait, mais il me pénètre lentement, et j'ai l'impression qu'on m'écarte les entrailles. Le sphincter de mon anus commence à souffrir, au fur et à mesure que la dilatation se poursuit… Je gémis, mais implacable, Christophe continue à me perforer en lents va-et-vients, qui s'introduisent de plus en plus loin. Au bout d'un temps qui me semble infini, je sens le god qui rentre enfin totalement, et mon cul se refermer un peu sur sa base, moins grosse que la partie plantée en moi. Il me fixe solidement le god avec une chainette, suivant la même technique que la veille : une chaîne autour de la taille et une autre chaîne bien serrée entre les jambes, qui m'empêche d'expulser l'intrus.
Puis pendant que mon cul s'habitue lentement à être dilaté, il pousse un peu la chainette sur le coté et me pose un spéculum dans le vagin. Ensuite il l'écarte de plus en plus, jusqu'à ce que je sente la paroi en plastique de ce dernier peser contre le god enfoncé dans mon cul, à travers la mince paroi de peau qui sépare les deux. Il m'inspecte, et je l'entends qui prends quelques photos de la scène et en discute avec ses acolytes qui n'en ont pas perdu une miette.
Enfin comme la veille, on m'enlève mon baillon et je dois de nouveau sucer des sexes, les uns derrière les autres. Les bites se succèdent dans ma bouche, on me bloque la tête et je dois sucer sans broncher et avaler les jets de sperme que je prends à la suite. Ils ont vraiment décidé de me faire passer mon refus de l'éjaculation… Je sens un sexe se vider dans ma bouche, puis l'homme m'attraper fermement la nuque et je suis obligée de lui nettoyer la queue du mieux possible, jusque dans les moindres recoins. Quand j'ai fini, il ne reste plus la moindre goutte. Il est aussitôt remplacé par un autre, qui effectue la même manœuvre…Je me demande quel tableau j'offre, entravée, le cul en l'air, un god et un spéculum fiché en moi, les yeux bandés, contrainte d'avaler giclées sur giclées entre deux hauts le cœur…
Au bout d'un moment, ils ont tous jouit et se laissent aller à des commentaires sur la scène. Ils détaillent mon corps et sa posture mais je me rends compte rapidement que l'espoir que la séance soit finie est vain ! Je sens qu'on devisse le spéculum puis qu'on le retire. Et oh miracle on retire aussi les chaînettes et le god planté dans mon cul ! je respire. Mais seulement quelques secondes, avant que le cauchemar ne recommence : non seulement je sens de nouveau une pression contre mon anus, mais je devine que le god est plus gros !
Cette fois-ci je panique, et je me débats dans mes liens. C'est peine perdue, le seul résultat est de les faire rire, et de sentir que pour m'empêcher de bouger, ils m'attachent le collier à un anneau fixé sur la table, réduisant encore plus mes mouvements. Puis une main inquisitrice me pose une pince sur chaque sein, et je sens la douleur me mordre comme la veille. Pendant ce temps, le god me pénètre lentement mais aussi cruellement que le précédent, et je commence à réellement comprendre l'état de soumission : bien qu'excitant parfois, c'est surtout un état ou je suis à la merci de ceux qui m'entourent, totalement disponible pour leurs envies ! Dilatée au maximum, je gémis comme une chienne, le cul totalement ouvert par l'engin. Mais ce n'est pas fini, manifestement Josh leur a demandé de m' ouvrir totalement car ils m'enlèvent mon bandeau : je peux enfin voir, et c'est pour découvrir le second god qu'ils veulent m'introduire : en fait ils m'ont enlevé mon bandeau juste pour que j'ai une idée de la taille de ce qui va me pénétrer !
Je découvre un god monstrueux, d'une longueur relativement standard, mais surtout d'un diamètre de 7 cms. Ils me refixent ensuite le bandeau, et je reste bloquée dans la même position, terrorisée, à attendre que le monstrueux engin s'enfonce en moi. Bien que fistée la veille, je tremble et c'est bien pour ça qu'ils m'ont permis de voir l'engin ! L'intromission ne tarde pas à commencer, et si j'ai souffert pour la sodomie, je déguste aussi pour la pénétration. Je ne sais lequel des 4 hommes est derrière moi, mais le god s'enfonce inexorablement dans mes entrailles, lubrifié abondamment pour pouvoir se planter en moi, et petit à petit je sens mes muscles vaginaux s'écarter et se soumettre à l'intromission.
Quand c'est terminé, j'ai la sensation que je vais exploser : je suis réellement dilatée au maximum de mes possibilités.
" Tout ça va te préparer aux doubles pénétrations " me dit Christophe, tu vois qu'il n'y avait pas besoin de faire toute une histoire, tu peux très bien prendre une bite dans le cul et une dans le sexe en même temps ! La prochaine fois, tu accepteras de vraies bites sans faire de manières. Tu vas rester comme ça un moment, histoire de bien réfléchir à la condition de soumise… "
J'ai encore très mal et je gémis doucement, toujours bloquée sur la table. Ils se contentent de rire et quittent la pièce, me laissant dans mes liens.
Le temps passe, le douleur s'estompe petit à petit, mais elle n'est pas remplacée par l'excitation. Les gods ne me stimulent pas en vibrant, contrairement aux vibromasseurs, je dois juste les supporter en moi sans contrepartie.
Après un temps qui semble ne jamais finir, j'entends enfin quelqu'un entrer. C'est Yves, dont je reconnais la voix, accompagné de Christophe.
Il vérifie ma dilatation, constate que je ne gémis plus et se décide à me détacher. Ils m'enlèvent baillon et bandeau, ainsi que mes bracelets. Puis Yves me refixe solidement une chaîne autour de la taille et me passe entre les jambes toujours la même chaînette qui va m'obliger à garder les deux gods monstrueux en moi.
" allez, debout, descends de là " m'ordonne t'il. Je me redresse avec difficulté, et quand j'essaye de bouger, j'ai tout simplement le souffle coupé. Les gods sont énormes et me causent une vive douleur au moindre mouvement ! " dépêches-toi " m'ordonnes t'il, plus sèchement, avant de me donner deux coups de badine cinglants sur les fesses. " plus vite, sinon c'est 20 coups que je te donne. Et en silence, je ne veux pas entendre un bruit ". Quelqu'un t'attend à coté, je ne veux pas lui amener une pleurnicheuse ! ".
Je ravale ma douleur et entreprends de marcher lentement. Je les suis, après qu'ils aient refixé ma laisse à mon collier, en essayant de ne pas les faire attendre et sans gémir…
Dans la pièce à coté, m'attends Josh ! Il me regarde, tout surpris du tableau qu'il découvre : sa compagne les seins pris dans des pinces, une chaîne autour de la taille, et une chaînette entre les jambes, qui retient deux gods monstrueux qu'il découvre quand mes deux geôliers m'ordonnent de me pencher en avant. Un sifflement admiratif lui échappe " fff vous avez fait du bon boulot, elle fait de gros progrès manifestement ! ".
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