suite 3e épisode
Récit érotique écrit par transparent [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-09-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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suite 3e épisode
Cet épisode précédent, ou je n’avais rien prémédité, mais ou les choses se sont passées instinctivement, a permis de déplacer un peu notre relation. Nous avons souris, pris du plaisir, gagné en complicité immédiatement.
Par la suite j’apprendrais en discutant avec elle lors d’une pose déjeuner, qu’elle a aimé. Notamment parce qu’elle est ressortie frustrée de sa relation avec son ex. Lui était sans imagination, elle ne voulait pas le brusquer. Résultat elle le surprend avec une fille chez lui et se dit qu’elle a perdu son temps, qu’elle s’est faite avoir. A présent, elle me dit vouloir penser a elle, profiter. J’entend le message cinq sur cinq.
Par la suite nos jeux se poursuivent. L’un des épisodes suivant se produit un samedi matin, je lui fais parvenir un texto, lui demandant de m’attendre dans son petit appartement à la cité universitaire. Je lui donne mes instructions. Elle me répond juste oui, c’est d’accord. Quelques heures plus tard, je roule en direction de chez elle. Je gare mon véhicule et rejoins l’entrée de l’immeuble.
Je retrouve le couloir, les odeurs et les bruits déjà rencontrés le soir de notre première relation.
J’ouvre sa porte sans frapper, après avoir vérifier l’heure sur ma montre. J’ai du retard, c’est volontaire. La porte comme demandé par moi, n’est pas fermée à clef. Je rentre, referme la porte, me tien sans bruit debout à l’entrée.
Elle est nue, à quatre pattes dans la petite pièce. Son visage est tourné vers la fenêtre, j’ai une vue imprenable sur son cul. Ses yeux son clos, fermés sous un bandeau. Je m’avance peu après, sans un mot. J’observe sa poitrine qui bouge, elle est essoufflée, nerveuse. La pièce n’est pas grande, je prends mon temps pour l’observer.
Je place ma chaussure entre ses jambes. Je fais remonter le bout noir brillant de mon soulier contre sa cuisse. Elle ne dit rien. Je continue, frotte son sexe et observe son liquide qui s’est déposé sur le cuir. La situation l’excite déjà, j’en suis ravi.
Je me place devant elle, m’accroupi. Je remonte d’un doigt sous son menton son visage aux yeux masqués. Je dessine de mon index, le contour de ses lèvres. Je touche ses seins tendus. Puis enfin, je retire son bandeau. Son visage s’illumine aussitôt. Ses yeux brillent, un sourire apparait. On s’embrasse tendrement. Elle passe autour de mon cou ses bras. Ses seins venant frotter le tissu de ma veste. Je place ma main sur son cou et je perçois les battements de son cœur.
Je l’aide à se relever en la soutenant. Puis la tourne et je la place en appui debout les mains contre la porte. Je baisse mon pantalon et sans autre préliminaire la pénètre. Je m’agrippe à ses hanches, pour avoir plus de force. Elle se repositionne, s’arque voute des bras contre la porte. Elle gémi un peu surprise par ma brusquerie. Sa claque fort, elle plonge ses yeux dans les miens, à travers le miroir sur la porte. Très vite elle se mord les lèvres, je vois qu’elle fait des efforts pour ne pas crier. Ses talons se soulève, elle cambre mieux son dos. Moi j’accélère encore le mouvement. Ses seins bougent dans tous les sens, je le vois dans la glace sur la porte. Elle a maintenant trouvé la position. Elle fait des bruits de moins en moins discret. Elle a de plus en plus de mal à se retenir. Je fais des vas et viens intense, elle crie maintenant.
Je sais que tout le monde nous entend à l’étage. C’est obligé. Il est 11h30 un samedi matin. Sa dure ainsi un moment, j’ignore combien de temps. C’est une fille qui a besoin d’exprimer bruyamment son plaisir. Elle tente un instant de garder les lèvres closes, puis après elle reprend ses gémissements de plus en plus forts. J’accélère encore et encore jusqu’à la fin.
Je passe ma main pour pincer son téton droit. C’est ce qui déclenche son orgasme peu après. Je viens dans l’instant. Je me déverse en elle. Elle hurle littéralement.
Ensuite c’est un peu flou, je crois que mes jambes me lâchent. Je me retire, en me laissant tomber sur le lit à coté. Elle dégringole à terre prêt de la porte. Je suis assis sur le lit, le pantalon sur les genoux. Je me renverse sur le dos. Quand je me redresse un peu plus tard, je la vois qui rampe à terre vers moi. Elle se place entre mes jambes pour saisir mon sexe et le prendre en bouche.
Elle me regarde avec des yeux de feu et retire mon sexe pour me murmurer dans un sourire un merci lumineux.
Elle suçote mon sexe, me lèche les cuisses, me fais des petits bisous. Je me penche pour l’embrasser. Elle est à moitié assise, à moitié couchée entre mes jambes. Mes mains s’attardent sur son dos, ses seins, dans ses cheveux.
Peu après elle file sous la douche, je me rhabille. Le bruit de l’eau ampli la pièce, je me mets à inspecter son placard à la recherche de la robe que je vais lui demander de mettre.
Je trouve enfin une robe blanche moulante dans un tissu un peu élastique. Je lui tends celle-ci lorsqu’elle sort nue de la salle de bains. Elle a les joues un peu roses.
Met cela je te prie.
Elle me sourit.
J’ajoute, je veux que tu ne mettes que cela.
Elle se glisse à l’intérieur, la robe lui fait une seconde peau. Elle épouse ses formes parfaitement. C’est une mini jupe qui s’arrête en haut des cuisses. Le décolleté met en valeur ses seins, qui se serrent l’un contre l’autre sous le tissu.
Elle portera des hauts talons avec et après avoir refermé la porte de l’appartement nous marchons ensemble dans le couloir pour rejoindre la sortie. Je souris en pensant que quelques minutes avant elle emplissait ces lieux des cris de sa jouissance.
Ou allons-nous ? me dit elle.
J’ai réservé une table au restaurant devant le port.
Je la regarde, elle est magnifique, sans maquillage, ses cheveux encore un peu humides. Ses yeux encore brillants de l’amour que nous venons de faire.
Dehors sur le parking, je passe ma main sur sa taille, pour ouvrir la porte du véhicule.
Elle dépose furtivement un baisé sur le coin de ma bouche avant de prendre place dans la voiture.
Un courant d’air soulève une mèche de cheveux juste avant que je referme la portière.
Nous avons pris le temps pour déguster notre apéritif. J’observe qu’à la table à coté un vieux monsieur mange seul. Les tables sont étroites et rapprochées.
Parle moi Jessica de ce que nous venons de faire, de ce que tu as ressentie.
J’ai un petit sourire, elle aussi, d’un coup d’œil sur le coté, je lui fais comprendre mon but.
Elle commence à me dire l’attente, les yeux bandés, sa position qui lui fait mal aux genoux avec la texture raiche de la moquette de sa chambre.
J’observe au fur et à mesure les gestes qui se fige de l’homme seul.
Elle poursuit j’ai aimé que tu me défonce comme ça contre la porte. J’ai vraiment pris du plaisir ajoute t-elle. Je lui dis que je pense que l’ensemble de l’étage le sait à présent.
Tout en racontant ses sensations, à travers cette histoire, elle s’échauffe. L’apéritif peut être aussi l’aide. J’aperçois sa peau qui rougie un peu, ses tétons qui apparaissent sous sa robe.
Sans que j’aie à la relancer, elle poursuit. J’aimerais pratiquer la sodomie. Je veux te sentir en moi comme ça. Mais en même temps j’ai un peu peur.
Je lui réponds que lorsqu’elle voudra m’offrir ce cadeau, nous réserverons une chambre dans l’hôtel que tu vois en face. Ce sera notre rituel à chaque fois que nous passerons un palier dans notre relation, nous réserverons à cet endroit. Nous ferons cela si tu le souhaites. Je serai attentif à la délicatesse et la douceur de cette première fois. Mais je te laisse libre de ton choix.
Le vieux à coté en entendant tout cela manque de s’étrangler.
Quand il a quitté le restaurant un peu plus tard, nous le verrons gros et essoufflé passer entre les rangées de tables pour regagner l’extérieur, arborant un visage un peu trop pale.
Après qu’il a quitté le restaurant nous nous mettons tous deux à rire. Elle ajoute un peu plus tard, j’étais sérieuse, je voudrais le faire pour ma première fois avec toi.
Par la suite j’apprendrais en discutant avec elle lors d’une pose déjeuner, qu’elle a aimé. Notamment parce qu’elle est ressortie frustrée de sa relation avec son ex. Lui était sans imagination, elle ne voulait pas le brusquer. Résultat elle le surprend avec une fille chez lui et se dit qu’elle a perdu son temps, qu’elle s’est faite avoir. A présent, elle me dit vouloir penser a elle, profiter. J’entend le message cinq sur cinq.
Par la suite nos jeux se poursuivent. L’un des épisodes suivant se produit un samedi matin, je lui fais parvenir un texto, lui demandant de m’attendre dans son petit appartement à la cité universitaire. Je lui donne mes instructions. Elle me répond juste oui, c’est d’accord. Quelques heures plus tard, je roule en direction de chez elle. Je gare mon véhicule et rejoins l’entrée de l’immeuble.
Je retrouve le couloir, les odeurs et les bruits déjà rencontrés le soir de notre première relation.
J’ouvre sa porte sans frapper, après avoir vérifier l’heure sur ma montre. J’ai du retard, c’est volontaire. La porte comme demandé par moi, n’est pas fermée à clef. Je rentre, referme la porte, me tien sans bruit debout à l’entrée.
Elle est nue, à quatre pattes dans la petite pièce. Son visage est tourné vers la fenêtre, j’ai une vue imprenable sur son cul. Ses yeux son clos, fermés sous un bandeau. Je m’avance peu après, sans un mot. J’observe sa poitrine qui bouge, elle est essoufflée, nerveuse. La pièce n’est pas grande, je prends mon temps pour l’observer.
Je place ma chaussure entre ses jambes. Je fais remonter le bout noir brillant de mon soulier contre sa cuisse. Elle ne dit rien. Je continue, frotte son sexe et observe son liquide qui s’est déposé sur le cuir. La situation l’excite déjà, j’en suis ravi.
Je me place devant elle, m’accroupi. Je remonte d’un doigt sous son menton son visage aux yeux masqués. Je dessine de mon index, le contour de ses lèvres. Je touche ses seins tendus. Puis enfin, je retire son bandeau. Son visage s’illumine aussitôt. Ses yeux brillent, un sourire apparait. On s’embrasse tendrement. Elle passe autour de mon cou ses bras. Ses seins venant frotter le tissu de ma veste. Je place ma main sur son cou et je perçois les battements de son cœur.
Je l’aide à se relever en la soutenant. Puis la tourne et je la place en appui debout les mains contre la porte. Je baisse mon pantalon et sans autre préliminaire la pénètre. Je m’agrippe à ses hanches, pour avoir plus de force. Elle se repositionne, s’arque voute des bras contre la porte. Elle gémi un peu surprise par ma brusquerie. Sa claque fort, elle plonge ses yeux dans les miens, à travers le miroir sur la porte. Très vite elle se mord les lèvres, je vois qu’elle fait des efforts pour ne pas crier. Ses talons se soulève, elle cambre mieux son dos. Moi j’accélère encore le mouvement. Ses seins bougent dans tous les sens, je le vois dans la glace sur la porte. Elle a maintenant trouvé la position. Elle fait des bruits de moins en moins discret. Elle a de plus en plus de mal à se retenir. Je fais des vas et viens intense, elle crie maintenant.
Je sais que tout le monde nous entend à l’étage. C’est obligé. Il est 11h30 un samedi matin. Sa dure ainsi un moment, j’ignore combien de temps. C’est une fille qui a besoin d’exprimer bruyamment son plaisir. Elle tente un instant de garder les lèvres closes, puis après elle reprend ses gémissements de plus en plus forts. J’accélère encore et encore jusqu’à la fin.
Je passe ma main pour pincer son téton droit. C’est ce qui déclenche son orgasme peu après. Je viens dans l’instant. Je me déverse en elle. Elle hurle littéralement.
Ensuite c’est un peu flou, je crois que mes jambes me lâchent. Je me retire, en me laissant tomber sur le lit à coté. Elle dégringole à terre prêt de la porte. Je suis assis sur le lit, le pantalon sur les genoux. Je me renverse sur le dos. Quand je me redresse un peu plus tard, je la vois qui rampe à terre vers moi. Elle se place entre mes jambes pour saisir mon sexe et le prendre en bouche.
Elle me regarde avec des yeux de feu et retire mon sexe pour me murmurer dans un sourire un merci lumineux.
Elle suçote mon sexe, me lèche les cuisses, me fais des petits bisous. Je me penche pour l’embrasser. Elle est à moitié assise, à moitié couchée entre mes jambes. Mes mains s’attardent sur son dos, ses seins, dans ses cheveux.
Peu après elle file sous la douche, je me rhabille. Le bruit de l’eau ampli la pièce, je me mets à inspecter son placard à la recherche de la robe que je vais lui demander de mettre.
Je trouve enfin une robe blanche moulante dans un tissu un peu élastique. Je lui tends celle-ci lorsqu’elle sort nue de la salle de bains. Elle a les joues un peu roses.
Met cela je te prie.
Elle me sourit.
J’ajoute, je veux que tu ne mettes que cela.
Elle se glisse à l’intérieur, la robe lui fait une seconde peau. Elle épouse ses formes parfaitement. C’est une mini jupe qui s’arrête en haut des cuisses. Le décolleté met en valeur ses seins, qui se serrent l’un contre l’autre sous le tissu.
Elle portera des hauts talons avec et après avoir refermé la porte de l’appartement nous marchons ensemble dans le couloir pour rejoindre la sortie. Je souris en pensant que quelques minutes avant elle emplissait ces lieux des cris de sa jouissance.
Ou allons-nous ? me dit elle.
J’ai réservé une table au restaurant devant le port.
Je la regarde, elle est magnifique, sans maquillage, ses cheveux encore un peu humides. Ses yeux encore brillants de l’amour que nous venons de faire.
Dehors sur le parking, je passe ma main sur sa taille, pour ouvrir la porte du véhicule.
Elle dépose furtivement un baisé sur le coin de ma bouche avant de prendre place dans la voiture.
Un courant d’air soulève une mèche de cheveux juste avant que je referme la portière.
Nous avons pris le temps pour déguster notre apéritif. J’observe qu’à la table à coté un vieux monsieur mange seul. Les tables sont étroites et rapprochées.
Parle moi Jessica de ce que nous venons de faire, de ce que tu as ressentie.
J’ai un petit sourire, elle aussi, d’un coup d’œil sur le coté, je lui fais comprendre mon but.
Elle commence à me dire l’attente, les yeux bandés, sa position qui lui fait mal aux genoux avec la texture raiche de la moquette de sa chambre.
J’observe au fur et à mesure les gestes qui se fige de l’homme seul.
Elle poursuit j’ai aimé que tu me défonce comme ça contre la porte. J’ai vraiment pris du plaisir ajoute t-elle. Je lui dis que je pense que l’ensemble de l’étage le sait à présent.
Tout en racontant ses sensations, à travers cette histoire, elle s’échauffe. L’apéritif peut être aussi l’aide. J’aperçois sa peau qui rougie un peu, ses tétons qui apparaissent sous sa robe.
Sans que j’aie à la relancer, elle poursuit. J’aimerais pratiquer la sodomie. Je veux te sentir en moi comme ça. Mais en même temps j’ai un peu peur.
Je lui réponds que lorsqu’elle voudra m’offrir ce cadeau, nous réserverons une chambre dans l’hôtel que tu vois en face. Ce sera notre rituel à chaque fois que nous passerons un palier dans notre relation, nous réserverons à cet endroit. Nous ferons cela si tu le souhaites. Je serai attentif à la délicatesse et la douceur de cette première fois. Mais je te laisse libre de ton choix.
Le vieux à coté en entendant tout cela manque de s’étrangler.
Quand il a quitté le restaurant un peu plus tard, nous le verrons gros et essoufflé passer entre les rangées de tables pour regagner l’extérieur, arborant un visage un peu trop pale.
Après qu’il a quitté le restaurant nous nous mettons tous deux à rire. Elle ajoute un peu plus tard, j’étais sérieuse, je voudrais le faire pour ma première fois avec toi.
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