Suite avec des noirs très larges
Récit érotique écrit par Omarrrr [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-12-2021 dans la catégorie Plus on est
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Suite avec des noirs très larges
Isabelle m’a proposée d’aller danser lundi après-midi. Elle sait que j’adore cela. Elle m’a donnée rendez-vous chez elle. Dès mon arrivée, elle m’a prise dans ses bras et m’a embrassée avec passion. C’était devenu un rituel chez nous. Isabelle m’aimait et elle me le prouvait. Je ne faisais rien pour la décourager. Je n’étais pas gouine, mais je n’étais pas insensible à ses caresses.
Isabelle m’a préparée pour la sortie. Elle m’a déshabillée, c’était vite fait, car comme d’habitude, je n’avais que ma robe, pas de dessous inutiles. Tout d’abord, un lavement, il faut toujours être prête à tout. Elle a vérifié l’épilation de ma chatte, quelques poils sont apparus qu’elle s’est empressée d’éliminer. Allongée sur le lit, cuisses largement ouvertes, je lui offrais mon intimité. Elle a sorti de son armoire une guêpière qu’elle m’a enfilée. C’était la première fois que je mettais ce genre d’accessoire. Celle-ci se laçait dans le dos. Elle dégageait largement la chatte et le cul, le laçage très serré m’obligeait à me cambrer, faisant ressortir mon cul. Les seins n’était pas couverts, mais présentés comme sur un plateau. Malgré la chaleur J’enfilais des bas que je fixais au porte-jarretelles. Isabelle m’a maquillée, y compris mes tétons.
Isabelle m’a emmenée devant le miroir. L’effet était saisissant. Elle a accentué l’épaisseur de mes lèvres, mes yeux étaient soulignés de khôl, mes tétons bandaient, fardés de rouge, la guêpière accentuait la finesse de ma taille et mettait mes seins en valeur. Isabelle a complété ma tenue par un plug anal de bonne taille. Pour me préparer, m’a-t-elle dit.
J’ai enfilé une robe très courte et boutonnée devant. Isabelle a boutonné ma robe en laissant deux boutons détachés en haut et en bas. À chaque pas on pouvait voir la lisière de mes bas – quant au haut, mes seins étaient presque visibles. Il ne fallait pas que je me penche.
Nous voilà partie. Je croyais y aller en voiture, mais Isabelle avait décidé de prendre le métro. J’avais un peu honte de ma tenue, une vraie pute. Les hommes me regardaient avec du désir dans les yeux, les femmes avec de la réprobation… à part une ou deux. Comme à chaque fois que nous étions en public, Isabelle montrait que je lui appartenais. Elle me serrait contre elle, m’embrassant, sa main posée sur mes fesses. Parfois, pour provoquer, elle me plaquait contre un homme, celui-ci ne savait que faire, mais quand je saisissais sa bite à travers son pantalon, il comprenait, sa main filait sous ma robe, il constatait alors avec surprise que j’étais cul nu.
Nous sommes descendues dans un quartier que je ne connaissais pas. Des graffitis partout, les rues étaient sales. Des groupe d’hommes, black où maghrébins stationnaient devant des bars sordides. J’avais un peu peur, Isabelle semblait à son aise. Sur notre passage, les hommes lançaient des réflexions dans leur langue, on ne comprenait pas, mais leurs gestes équivoques (ils se touchaient la bite à travers le pantalon), n’avaient pas besoin de traduction.
Je commençais à me demander où Isabelle m’entraînait. Je lui posais la question. Sa réponse fut évasive, me promettant seulement une expérience inoubliable.
Nous arrivâmes devant une porte. Isabelle toqua apparemment selon un code convenu.
Un judas s’ouvrit, puis la porte. Un grand black, gigantesque, saisit Isabelle dans ses bras, sa bouche s’empara de celle de mon amie, sa main fila sous sa robe.
Isabelle gloussait.
Le black la lâcha, il me regarda.
— T’apporte de la chair fraîche.
Il me saisit dans ses bras, me décolla du sol, sa bouche s’empara de la mienne, sa langue forçat mes lèvres, une langue énorme, râpeuse, je ne pus m’empêcher de l’imaginer me fouillant la chatte, et instantanément, celle-ci s’ouvrit, je sentais la mouille humecter mes lèvres, mon clito bandait. Le black passa sa main sous ma robe, il constata mont état, ses doigts, en rapport avec sa taille, fouillèrent ma chatte quelques instants, puis il me reposa.
— Elle est chaude la salope, on va se régaler.
J’avais les jambes flageolantes. Un rideau séparait une salle de l’entrée. Une demi pénombre régnait. Une dizaine de black se déhanchaient sur de la musique latino. Nous étions les seules blanches, et les seules femmes.
Nous nous installâmes à une table, les sièges étaient profonds, ma robe s’était relevée, exposant ma nudité. J’essayais d’y remédier, mais Isabelle m’en empêchât.
— Laisse, nous sommes là pour nous faire baiser, autant qu’ils puissent admirer la marchandise.
Elle-même avait relevé sa robe, écartant les cuisses, elle s’offrait sans pudeur aux regards concupiscents des danseurs.
Un barman nous apporta deux punchs d’office.
Plusieurs blacks vinrent nous inviter. Les danses étaient lascives, les danseurs dansaient bien, ils me frôlaient, je sentais leurs bites qui me semblaient énormes, mais rien, pas une proposition, pas un geste équivoque. Je commençais à me dire que rien ne se passerait, et j’étais déçue. Je repensais à la langue râpeuse, aux bites que j’avais pu deviner à travers les pantalons. Je mouillai, je sentais ma chatte ouverte, mais pour qui ?
Un nouveau cavalier se présenta. Il était différent, plus classe, sûr de lui, les autres semblaient lui témoigner du respect.
Il me fit signe d’approcher, puis me prenant dans ses bras, il attaqua une danse. Rien à voir avec les autres, il me tenait collé contre son corps. Ma poitrine s’écrasait sur la sienne, sa jambe, infiltrée entre mes cuisses, frottait ma chatte, je commençais à partit. La danse cessa, j’étais restée sur ma faim. Isabelle avait disparue, un peu inquiète je demandais où elle était.
— Tu veux que nous allions la rejoindre ?
A ma réponse positive, mon cavalier m’entraîna derrière un autre rideau, une porte. Isabelle était là, Un lit occupait le centre de la pièce, un grand lit. Prise entre deux noirs à la bite énorme, Isabelle jouissait sans retenue, elle avait du mal à exprimer sa jouissance, car sa bouche était occupée par une troisième bite du même format.
Tous les danseurs nous avaient suivi. Ils étaient là, la bite à la main, des bites formats XXL.
Ça y est, je vais enfin me faire baiser, j’appréhende un peu au vu du format des bites, mais j’en ai trop envie.
Mon cavalier me déshabille, devant ma guêpière, il siffle.
— Isabelle a le chic pour bien présenter la marchandise.
Hé oui, je n’étais que cela, de la marchandise, une petite pute blanche offerte à toutes ces queues.
Mon cavalier s’allongea sur le lit.
— Suce-moi.
Je me mis à genoux entre ses cuisses, à sa demande j’écartais les miennes consciente de la vue que j’offrais aux spectateurs. Je me saisis de sa bite, un truc hors norme, au moins 30cm, ma main ne pouvais en faire le tour, et le gland comme une balle de tennis. J’ai une grande bouche, une bouche de suceuse disaient les garçons du cours de coiffure, mais là c’était au-dessus de mes capacités, du moins je le croyais. Je commençais par lécher le gland, ma langue en prenait possession, en faisait le tour, je lui titillais le méat, léchais la tige sur toute sa longueur. Puis je tentais de l’emboucher, et, miracle, j’y réussis. Je faisais coulisser cette bite énorme entre mes lèvres, fière d’y réussir. Dans ces moments de turpitudes, quand je m’abandonnais à ma soif de sexe, je ne pouvais m’empêcher de penser au chemin parcouru depuis mon mariage tout récent, et surtout à Norbert qui ne se doutait de rien, qui me croyait toujours sa petite épouse fidèle et un peu coincée.
Mon cavalier appela un des mecs présents.
— Viens me la préparer.
Une langue s’empara de ma chatte, m’écarta les lèvres, elle était dure, râpeuse, longue. Elle forçait ma chatte comme une bite, s’enfonçant au maximum. Un doigt remplaça la langue, il s’introduisit dans mon con, un deuxième suivit, puis un troisième, il m’élargissait la chatte, la préparant à la pénétration de cette bite XXL. La langue ne restait pas inactive, elle s’était attaqué à ma rosette, la pénétrant elle aussi, je n’étais pas insensible à ce traitement, mon cul allait au-devant de ces pénétrations, je n’en pouvais plus il me fallait de la bite.
Soudain, la bite que je suçais avec application, se cabra, le foutre envahit ma bouche, j’avalais avec délice cette liqueur que j’avais appris à apprécier.
Mon cavalier se retira.
Il n’avait pas débandé. J’étais à genoux. Il m’appuya sur le dos me forçant à me courber, le cul offert.
Sa bite se présenta à l’orée de mon con, le gland s’enfonça, m’ouvrant la chatte, au fur à mesure de la progression de son braquemart, j’avais l’impression d’être ouverte en deux, je sentais ce monstre envahir ma petite chatte, il me faisait mal, mais en même temps c’était tellement bon. Je n’avais jamais ressenti cela.
Ça y est, il est tout en moi. Envahie par cette bite monstrueuse, je sens l’orgasme arriver, alors que mon baiseur ne bouge même pas. Sa seule présence suffit. Il se met quand même à remuer, doucement d’abord, puis de plus en plus vite. Sa bite sort de ma chatte et y revient avec puissance. Je ne suis plus moi-même, je hurle ma jouissance. Isabelle s’est approchée de nous, elle me murmure à l’oreille :
— C’est bon cette grosse bite n’est-ce pas ? Tu vas voire quand il va t’enculer tu vas aimer, et surtout après, ils vont tous te baiser, tu vas passer le meilleur après-midi de ta jeune vie.
Je n’écoutais pas, tout à mon plaisir, je me concentrais sur mes sensations, ma jouissance.
La bite sembla encore grossir, et un jet de foutre m’envahit la chatte, déclenchant un nouvel orgasme.
J’étais là, pantelante, dans la même position, le cul offert. Le gland s’attaqua à mon cul. Le salaud bandait toujours. J’étais tellement excitée que je ne protestais même pas, au contraire je tendis mon cul pour aller au-devant de cette bite qui m’avait apportée tant de bonheur.
Mon petit cul, encore presque vierge, allait devoir s’adapter à ce calibre. Le gland franchi l’obstacle de mon sphincter, le reste suivi sans problèmes. Cette foi, il put aller jusqu’au bout, je sentis ses couilles battre sur ma chatte. J’étais enculée à fond. Mon baiseur avait déjà éjaculé deux fois, aussi, cette fois il prit son temps, sa bite me ramonait les intestins avec ardeur, j’étais au-delà de la jouissance je gémissais en permanence, je demandais à être défoncée, et c’est ce qu’il faisait. Il appréciait mon cul étroit, et il me le disait avec des mots crus. Puis il finit par jouir, m’emplissant les entrailles de foutre.
Je n’eus pas le temps de bouger, mon baiseur eut juste le temps de se retirer, ce fut la ruée. Les bites envahirent tous mes trous, le sperme giclait de par tout, j’en buvais, j’en recevais dans ma chatte, dans mon cul, sur moi. Cela dura longtemps, puis on me laissa. Couchée sur le lit, les cuisses écartées, je sentais mes orifices bailler, j’étais ouverte, le sperme coulait. Isabelle s’approcha, elle me lécha comme un petit chat, me nettoyant partout, buvant le sperme qui s’écoulait de mes orifices, sur mon corps.
Nous nous sommes habillée. Au moment de partir, le patron me remis un collier.
— Avec ce collier, tu pourras te promener sans problèmes dans ce quartier et revenir nous voir.
Nous sortîmes. J’avais du mal à marcher. Mon cul et ma chatte étaient encore dilatés. Les homme que nous croisions avaient un petit sourire entendu, ils savaient d’où nous venions, et pourquoi nous y étions.
Mais personne ne fit de réflexion.
Le soir, Norbert m’appela, comme d’habitude, je ne lui racontais pas ma journée, j’avais toujours la chatte et le cul ouverts, mais cela, il ne pouvait pas le voir.
Isabelle m’a préparée pour la sortie. Elle m’a déshabillée, c’était vite fait, car comme d’habitude, je n’avais que ma robe, pas de dessous inutiles. Tout d’abord, un lavement, il faut toujours être prête à tout. Elle a vérifié l’épilation de ma chatte, quelques poils sont apparus qu’elle s’est empressée d’éliminer. Allongée sur le lit, cuisses largement ouvertes, je lui offrais mon intimité. Elle a sorti de son armoire une guêpière qu’elle m’a enfilée. C’était la première fois que je mettais ce genre d’accessoire. Celle-ci se laçait dans le dos. Elle dégageait largement la chatte et le cul, le laçage très serré m’obligeait à me cambrer, faisant ressortir mon cul. Les seins n’était pas couverts, mais présentés comme sur un plateau. Malgré la chaleur J’enfilais des bas que je fixais au porte-jarretelles. Isabelle m’a maquillée, y compris mes tétons.
Isabelle m’a emmenée devant le miroir. L’effet était saisissant. Elle a accentué l’épaisseur de mes lèvres, mes yeux étaient soulignés de khôl, mes tétons bandaient, fardés de rouge, la guêpière accentuait la finesse de ma taille et mettait mes seins en valeur. Isabelle a complété ma tenue par un plug anal de bonne taille. Pour me préparer, m’a-t-elle dit.
J’ai enfilé une robe très courte et boutonnée devant. Isabelle a boutonné ma robe en laissant deux boutons détachés en haut et en bas. À chaque pas on pouvait voir la lisière de mes bas – quant au haut, mes seins étaient presque visibles. Il ne fallait pas que je me penche.
Nous voilà partie. Je croyais y aller en voiture, mais Isabelle avait décidé de prendre le métro. J’avais un peu honte de ma tenue, une vraie pute. Les hommes me regardaient avec du désir dans les yeux, les femmes avec de la réprobation… à part une ou deux. Comme à chaque fois que nous étions en public, Isabelle montrait que je lui appartenais. Elle me serrait contre elle, m’embrassant, sa main posée sur mes fesses. Parfois, pour provoquer, elle me plaquait contre un homme, celui-ci ne savait que faire, mais quand je saisissais sa bite à travers son pantalon, il comprenait, sa main filait sous ma robe, il constatait alors avec surprise que j’étais cul nu.
Nous sommes descendues dans un quartier que je ne connaissais pas. Des graffitis partout, les rues étaient sales. Des groupe d’hommes, black où maghrébins stationnaient devant des bars sordides. J’avais un peu peur, Isabelle semblait à son aise. Sur notre passage, les hommes lançaient des réflexions dans leur langue, on ne comprenait pas, mais leurs gestes équivoques (ils se touchaient la bite à travers le pantalon), n’avaient pas besoin de traduction.
Je commençais à me demander où Isabelle m’entraînait. Je lui posais la question. Sa réponse fut évasive, me promettant seulement une expérience inoubliable.
Nous arrivâmes devant une porte. Isabelle toqua apparemment selon un code convenu.
Un judas s’ouvrit, puis la porte. Un grand black, gigantesque, saisit Isabelle dans ses bras, sa bouche s’empara de celle de mon amie, sa main fila sous sa robe.
Isabelle gloussait.
Le black la lâcha, il me regarda.
— T’apporte de la chair fraîche.
Il me saisit dans ses bras, me décolla du sol, sa bouche s’empara de la mienne, sa langue forçat mes lèvres, une langue énorme, râpeuse, je ne pus m’empêcher de l’imaginer me fouillant la chatte, et instantanément, celle-ci s’ouvrit, je sentais la mouille humecter mes lèvres, mon clito bandait. Le black passa sa main sous ma robe, il constata mont état, ses doigts, en rapport avec sa taille, fouillèrent ma chatte quelques instants, puis il me reposa.
— Elle est chaude la salope, on va se régaler.
J’avais les jambes flageolantes. Un rideau séparait une salle de l’entrée. Une demi pénombre régnait. Une dizaine de black se déhanchaient sur de la musique latino. Nous étions les seules blanches, et les seules femmes.
Nous nous installâmes à une table, les sièges étaient profonds, ma robe s’était relevée, exposant ma nudité. J’essayais d’y remédier, mais Isabelle m’en empêchât.
— Laisse, nous sommes là pour nous faire baiser, autant qu’ils puissent admirer la marchandise.
Elle-même avait relevé sa robe, écartant les cuisses, elle s’offrait sans pudeur aux regards concupiscents des danseurs.
Un barman nous apporta deux punchs d’office.
Plusieurs blacks vinrent nous inviter. Les danses étaient lascives, les danseurs dansaient bien, ils me frôlaient, je sentais leurs bites qui me semblaient énormes, mais rien, pas une proposition, pas un geste équivoque. Je commençais à me dire que rien ne se passerait, et j’étais déçue. Je repensais à la langue râpeuse, aux bites que j’avais pu deviner à travers les pantalons. Je mouillai, je sentais ma chatte ouverte, mais pour qui ?
Un nouveau cavalier se présenta. Il était différent, plus classe, sûr de lui, les autres semblaient lui témoigner du respect.
Il me fit signe d’approcher, puis me prenant dans ses bras, il attaqua une danse. Rien à voir avec les autres, il me tenait collé contre son corps. Ma poitrine s’écrasait sur la sienne, sa jambe, infiltrée entre mes cuisses, frottait ma chatte, je commençais à partit. La danse cessa, j’étais restée sur ma faim. Isabelle avait disparue, un peu inquiète je demandais où elle était.
— Tu veux que nous allions la rejoindre ?
A ma réponse positive, mon cavalier m’entraîna derrière un autre rideau, une porte. Isabelle était là, Un lit occupait le centre de la pièce, un grand lit. Prise entre deux noirs à la bite énorme, Isabelle jouissait sans retenue, elle avait du mal à exprimer sa jouissance, car sa bouche était occupée par une troisième bite du même format.
Tous les danseurs nous avaient suivi. Ils étaient là, la bite à la main, des bites formats XXL.
Ça y est, je vais enfin me faire baiser, j’appréhende un peu au vu du format des bites, mais j’en ai trop envie.
Mon cavalier me déshabille, devant ma guêpière, il siffle.
— Isabelle a le chic pour bien présenter la marchandise.
Hé oui, je n’étais que cela, de la marchandise, une petite pute blanche offerte à toutes ces queues.
Mon cavalier s’allongea sur le lit.
— Suce-moi.
Je me mis à genoux entre ses cuisses, à sa demande j’écartais les miennes consciente de la vue que j’offrais aux spectateurs. Je me saisis de sa bite, un truc hors norme, au moins 30cm, ma main ne pouvais en faire le tour, et le gland comme une balle de tennis. J’ai une grande bouche, une bouche de suceuse disaient les garçons du cours de coiffure, mais là c’était au-dessus de mes capacités, du moins je le croyais. Je commençais par lécher le gland, ma langue en prenait possession, en faisait le tour, je lui titillais le méat, léchais la tige sur toute sa longueur. Puis je tentais de l’emboucher, et, miracle, j’y réussis. Je faisais coulisser cette bite énorme entre mes lèvres, fière d’y réussir. Dans ces moments de turpitudes, quand je m’abandonnais à ma soif de sexe, je ne pouvais m’empêcher de penser au chemin parcouru depuis mon mariage tout récent, et surtout à Norbert qui ne se doutait de rien, qui me croyait toujours sa petite épouse fidèle et un peu coincée.
Mon cavalier appela un des mecs présents.
— Viens me la préparer.
Une langue s’empara de ma chatte, m’écarta les lèvres, elle était dure, râpeuse, longue. Elle forçait ma chatte comme une bite, s’enfonçant au maximum. Un doigt remplaça la langue, il s’introduisit dans mon con, un deuxième suivit, puis un troisième, il m’élargissait la chatte, la préparant à la pénétration de cette bite XXL. La langue ne restait pas inactive, elle s’était attaqué à ma rosette, la pénétrant elle aussi, je n’étais pas insensible à ce traitement, mon cul allait au-devant de ces pénétrations, je n’en pouvais plus il me fallait de la bite.
Soudain, la bite que je suçais avec application, se cabra, le foutre envahit ma bouche, j’avalais avec délice cette liqueur que j’avais appris à apprécier.
Mon cavalier se retira.
Il n’avait pas débandé. J’étais à genoux. Il m’appuya sur le dos me forçant à me courber, le cul offert.
Sa bite se présenta à l’orée de mon con, le gland s’enfonça, m’ouvrant la chatte, au fur à mesure de la progression de son braquemart, j’avais l’impression d’être ouverte en deux, je sentais ce monstre envahir ma petite chatte, il me faisait mal, mais en même temps c’était tellement bon. Je n’avais jamais ressenti cela.
Ça y est, il est tout en moi. Envahie par cette bite monstrueuse, je sens l’orgasme arriver, alors que mon baiseur ne bouge même pas. Sa seule présence suffit. Il se met quand même à remuer, doucement d’abord, puis de plus en plus vite. Sa bite sort de ma chatte et y revient avec puissance. Je ne suis plus moi-même, je hurle ma jouissance. Isabelle s’est approchée de nous, elle me murmure à l’oreille :
— C’est bon cette grosse bite n’est-ce pas ? Tu vas voire quand il va t’enculer tu vas aimer, et surtout après, ils vont tous te baiser, tu vas passer le meilleur après-midi de ta jeune vie.
Je n’écoutais pas, tout à mon plaisir, je me concentrais sur mes sensations, ma jouissance.
La bite sembla encore grossir, et un jet de foutre m’envahit la chatte, déclenchant un nouvel orgasme.
J’étais là, pantelante, dans la même position, le cul offert. Le gland s’attaqua à mon cul. Le salaud bandait toujours. J’étais tellement excitée que je ne protestais même pas, au contraire je tendis mon cul pour aller au-devant de cette bite qui m’avait apportée tant de bonheur.
Mon petit cul, encore presque vierge, allait devoir s’adapter à ce calibre. Le gland franchi l’obstacle de mon sphincter, le reste suivi sans problèmes. Cette foi, il put aller jusqu’au bout, je sentis ses couilles battre sur ma chatte. J’étais enculée à fond. Mon baiseur avait déjà éjaculé deux fois, aussi, cette fois il prit son temps, sa bite me ramonait les intestins avec ardeur, j’étais au-delà de la jouissance je gémissais en permanence, je demandais à être défoncée, et c’est ce qu’il faisait. Il appréciait mon cul étroit, et il me le disait avec des mots crus. Puis il finit par jouir, m’emplissant les entrailles de foutre.
Je n’eus pas le temps de bouger, mon baiseur eut juste le temps de se retirer, ce fut la ruée. Les bites envahirent tous mes trous, le sperme giclait de par tout, j’en buvais, j’en recevais dans ma chatte, dans mon cul, sur moi. Cela dura longtemps, puis on me laissa. Couchée sur le lit, les cuisses écartées, je sentais mes orifices bailler, j’étais ouverte, le sperme coulait. Isabelle s’approcha, elle me lécha comme un petit chat, me nettoyant partout, buvant le sperme qui s’écoulait de mes orifices, sur mon corps.
Nous nous sommes habillée. Au moment de partir, le patron me remis un collier.
— Avec ce collier, tu pourras te promener sans problèmes dans ce quartier et revenir nous voir.
Nous sortîmes. J’avais du mal à marcher. Mon cul et ma chatte étaient encore dilatés. Les homme que nous croisions avaient un petit sourire entendu, ils savaient d’où nous venions, et pourquoi nous y étions.
Mais personne ne fit de réflexion.
Le soir, Norbert m’appela, comme d’habitude, je ne lui racontais pas ma journée, j’avais toujours la chatte et le cul ouverts, mais cela, il ne pouvait pas le voir.
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