Suite de : dépucelage d'un minet par son patron. Le cadeau d'anniversaire.
Récit érotique écrit par Laurant [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-03-2010 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Suite de : dépucelage d'un minet par son patron. Le cadeau d'anniversaire.
Cela faisait plus d'une semaine que, après plus de trente ans de fidélité à mon épouse, j'ai pour mon plus grand bonheur, redécouvert l'éclate totale et homosexuelle. J’avais perdu tout scrupule et toute retenue pour baiser mon jeune apprenti à longueur de jour et de nuit. Plus aucune pudeur ne me retenait. Je savais que Farid prenait des pieds aussi magistraux que les miens à se faire caresser, lécher, sucer, enculer et cela me ravissait. Je n’étais pas peu fier de lui avoir fait si bien découvrir la puissance d’une jouissance du cul. Une jouissance qui nait et s’amplifie au plus profond de son corps pour finir par exploser comme un feu d’artifice qui vous laisse pantelant, quasiment sans vie durant plusieurs minutes. Il ne se lassait jamais de m'offrir ses lèvres, sa bouche ou son cul. Je me régalais à le sentir contre moi, petite chose à la peau si douce et à l'odeur si sensuelle. J’aimais sa petite tige si attendrissante mais si vaillante qui se redressait fièrement dès que nos mains, nos bouches, nos queues, nos peaux entraient en contact. Nous alternions les moments de grande tendresse ou nous nous caressions langoureusement de partout durant des heures et d'autres moments plus virils où je le prenais vigoureusement. Dans ces moments là, il n'était plus qu'une poupée de chiffon entre mes mains, je le pénétrais en le secouant comme un prunier jusqu'au moment ou je finissais par me répandre au plus profond de sa jolie grotte intime. Nous avons passés cinq jours à ne faire que boire, manger, dormir et surtout baiser. Je lui ai apprie à bien me caresser, bien me lécher sur tout le corps et aussi bien me pomper la tige. Certains diront que je prenais mon rôle de maitre d'apprentissage bien à cœur. Je leurs répondrais que oui et combien j’étais fier des capacités d’apprentissage de mon élève. Je pense qu'au bout d'une semaine, pour nous amener à la jouissance suprême, il utilisait son corps, sa bouche ou son cul beaucoup mieux que beaucoup de femmes et même d'homos confirmés. Mon seul regret à ce moment là, était qu’il lui était encore impossible de me pénétrer le cul comme je lui avais demandé. Dès que je le sentais en bonne forme, je venais me positionner sur son sexe et dès que la pénétration débutait, il débandait immédiatement. Rien à faire, il était et restait, malgré tous mes efforts, exclusivement passif.
Avec mon demi siècle bien sonné, mon organisme commençait à fatiguer à suivre ce rythme d’enfer et c'est bien la seule raison qui m'empêchait de le tirer jour et nuit comme au premier jour de notre aventure. Malgré sa bonne volonté et la mise en œuvre de sa toute jeune science de la baise, les moments où il pouvait me remettre en forme et où je pouvais me présenter en bonne forme à l'entrée de son petit cul, devenaient de plus en plus espacés. Je ne pouvais plus le tringler que deux ou trois fois par jour, alors qu’il en réclamait beaucoup plus. C'est alors qu'il eut une idée diabolique. Nous avions fait le constat qu’à force de baiser à ce rythme là, le chantier n'avançait pas trop vite, que l'avance dont nous disposions avait fondue comme peau de chagrin et surtout que mes capacités de récupération s’amenuisaient de plus en plus. Nous avons rejeté l’idée de faire appel à un compagnon que je savais disponible, car évidemment nous perdrions notre liberté et ne pourrions plus nous envoyer en l'air à tout moment comme maintenant. Ce constat allait faire murir dans la tête de Farid une idée digne de machiavel.
Il ne me dit rien de ses intentions et ce n'est que la semaine suivante que je découvris le pot aux roses et compris le pourquoi de ses airs de comploteur et de plusieurs sous entendus. Le mardi de cette semaine était la date de mon anniversaire. Il me dit vouloir me faire une surprise et me demanda de prendre la matinée pour aller en ville et faire tous les achats qu'il avait marqué sur une liste et surtout ne pas revenir avant midi et demi. Après lui avoir promis, je suis parti faire les courses en me demandant bien ce qu'il pourrait trouver sur place pour me faire une surprise. A mon retour à l’heure dite, il m’attendait, comme toujours dans la caravane vêtu de son seul tee-shirt qui lui laissait la moitié du cul et une partir de son mignon petit sexe à l'air. Le petit salop savait que cette vision m'excitait toujours au plus haut point. Il se précipita sur moi pour m'arracher les sacs de courses des mains et me dit de me laisser faire. Il me fit poser mes fesses sur le rebord de la table de cuisine. C'est là que j'ai remarqué un gros carton posé au milieu de la partie chambre. Il s'attaqua de suite à tous mes vêtements qu’il retira un à un en ne pleurant pas sur les caresses et les baisers. Dés que je fus nu, Il se mit à genoux devant moi pour prendre mon sexe en bouche et commença à me pomper comme un mort de faim. Je lui demandais ce qu'il y avait dans le carton, il me répondit que je le saurais dès que je banderais convenablement. Il a tellement bien mis en œuvre mes cours particuliers, que j'ai bandé dans les secondes qui ont suives. A ce moment, sortant ma queue de sa bouche, il à crié fort: "maintenant".
Le carton s'est ouvert tout seul de l'intérieur et là, s'est dressé comme un beau diable sortant de sa boite, un mec à poil. J’ai de suite reconnu le petit copain de Farid, le fameux Mathieu dont il m'avait raconté leurs parties de branles et de suce. Ils me chantaient tous les deux "bon anniversaire, nos vœux les plus sincères, etc……" Mathieu portait un carton autour de son cou sur lequel il était écrit "bon anniversaire à mon prof d’amour" Il avait également un gros nœud de tissus qui lui enserrait la base du sexe. Inutile de vous dire que la surprise m’a laissé sans voix et sans réaction durant un bon moment. Dès que je me suis remis de mes émotions, j’ai demandé des explications à mes deux lascars.
Farid m’a expliqué qu’il avait eu l’idée de faire appel à Mathieu afin qu’il nous donne un coup de main au chantier et que, au cours de leurs discutions téléphonique, il lui à avoué, avec tous les détails possibles, toutes nos turpitudes sexuelles. Mathieu, qui était toujours puceau du cul, a, à ce moment là, eu l’idée que ce soit moi qui lui ouvre le premier la pastille. Farid lui a expliqué au téléphone tous les détails de notre relations amoureuses depuis son dépucelage jusqu'à maintenant. C’est à ce moment là qu’il a décidé de se joindre à nous, de nous aider pour le chantier et si possible participer à notre débauche sexuelle. Farid, mû par une petite pointe de jalousie de devoir nous partager, n’a pas accepté immédiatement. Il n’a dit oui qu’après avoir bien pesé le pour et le contre. Mathieu avait donc voyagé en train la nuit d’avant et s’était fait conduire en taxi jusqu'à la caravane vers onze heures, le temps de préparer « le cadeau ». Farid, pour calmer ma colère qu’il sentait monter, a argué, ce qui n’était pas faux, que je lui parlais souvent de Mathieu lors de nos baises. Je lui disais souvent, pour le taquiner, que ce dernier était vraiment très mignon sur les photos qu’il avait posées sur le bord du lit et qu’ils ne devaient pas s’ennuyer entre eux. Je le taquinais également en lui disant que je le baiserai avec plaisir si l’occasion se présentait. Évidemment, ce n’était que des mots et un phantasme. Je ne me serais jamais douté que cette occasion se présenterait un jour et surtout si vite. Voila que maintenant je l’avais sous les yeux et sous la main, nu comme un ver, disponible et ouvert pour assouvir mes moindres envies et désirs.
Dès que j’ai eu repris un peu mes esprits, j’ai vraiment senti monter une violente colère en moi. Je n’appréciais pas d’être mis devant le fait accompli et J’ai pensé les mettre dehors tous les deux par la peau du cul. Sauf que je me suis rappelé que je n’étais pas chez moi, mais dans la caravane des parents de Farid. De plus, je dois avouer que les efforts qu’ils avaient déployés pour réaliser la surprise me flattaient beaucoup et je prenais cela comme une preuve d’amour. Je me suis rapidement calmé et lorsque Farid me demanda sa j’acceptais son cadeau, je lui ai répondu qu’un cadeau ne se refusait jamais. Mes deux vicieux petits PD ont profités de cet instant pour venir se câliner à moi. Farid à repris sa fellation là où il l’avait laissé quelques minutes plus tôt. Je me suis vite remis à bander et j’ai alors commencé à profiter et apprécier la douceur de peau de Mathieu en le caressant sous toutes les coutures. Mon cerveau était comme anesthésié et ma décision d’accepter la présence du nouvel arrivant s’était imposée inconsciemment à moi. Mes deux tourtereaux étaient fous de joie en constatant ma démission. Comment vous décrire le nouvel arrivant ? Autant Farid était brun, la peau mate, les yeux marrons et imberbe sur la totalité du corps, autant lui était roux, une peau laiteuse avec plein de taches de rousseur, des yeux verts et une petite forêt de poils, couleur carottes sur le pubis, et entre ses fesses. Ses jambes étaient recouvertes d’un fin duvet blond-roux, très doux au touché, qui brillait au soleil de derrière les vitres. Il était vraiment magnifique et aux antipodes de la beauté de son petit copain. Ils étaient vraiment très beaux tous les deux et je me dis que j’avais vraiment beaucoup de chance de pouvoir disposer de deux si beaux spécimens de petits mâles à me mettre aussi facilement sous la dent (et ailleurs aussi).
J’ai interrogé Mathieu pour être sûr des ses désirs :
Moi : Mathieu, es tu sûr de vouloir que ce soit moi qui te dépucelle?
Mathieu : Oui, me dépuceler et surtout m’apprendre à connaitre « la jouissance de l’intérieur » comme me l’a décrite Farid. Il m’a longuement expliqué comment ça s’était passé pour lui et le plaisir qu’il en à retiré. J’espère vraiment que je vais vous plaire suffisamment pour que vous vous occupiez bien de moi et me fassiez découvrir les mêmes plaisirs que pour lui.
Moi : Si tu es bien sûr de cela et sûr que ne regrettera pas notre future aventure, je suis partant. Je voulais juste avoir la certitude qu’il ne s’agissait pas là d’une idée de mon petit vicieux de Farid à laquelle tu te serais joins de plus ou moins bonne grâce pour lui faire plaisir. Et de plus tu me dis être encore puceau du cul. Comment te croire ? Lors de vos parties de baise vous n’avez jamais eu l’envie ou l’idée de vous rentrer une queue dans le cul ?
Farid : Hélas, nous en avons eu l’envie bien souvent, mais chaque fois ça a fait comme avec toi, j’ai débandé à tous les coups avant de la lui rentrer et pour Mathieu ça a été pareil. Tu vas certainement te moquer de deux couilles molles comme nous.
Moi : Ce n’est pas du tout mon intention de me moquer de vous, mais je constate que j’ai encore du travail à vous enseigner tous les fondements de la baise et de la jouissance entre hommes. Vue l’état d’énervement dans lequel vous êtes maintenant, Je propose d’ailleurs de s’y mette de suite.
Mon acceptation et surement la joie des retrouvailles, rendait les deux copains excités comme des puces. Ils riaient, chantaient, se bousculaient, se plotaient sans aucune retenue. Ils étaient pressés que je m’occupe dès maintenant du petit cul de Mathieu et, je devais bien me l’avouer, moi aussi maintenant. Mais avant de le mériter, j’avais un gage, je devais ôter le ruban qui était noué à la racine de sa queue, mes mains dans le dos et seulement à l’aide de ma bouche et de mes dents. J’ai accepté, après avoir d’abord pris une coupe de champagne, et à la condition que, après le dénouement du ruban, ce soit Farid lui-même qui s’occupe de préparer l’anus de son copain pendant que je me chaufferais la queue dans son propre cul. J’étais sûr que Farid serait fier que son copain l’admire entrain de se faire enculer par la grosse bite de son patron pendant qu’il lui préparer la pastille, à l’aide de sa bouche et de ses doigts et que ça devrait bien l’exciter.
Je me suis attaqué au ruban dans les conditions prévues. Cela à été long et plus érotique que je ne l’avais prévu. J’ai du tourner avec ma bouche et mon visage tout autour du sexe tendu de Mathieu. De temps en temps quelques poils, qui se trouvaient coincés entre mes dents et le tissu, étaient arrachés. Mathieu poussait alors de petits cris et son sexe perdait régulièrement de sa rigidité. J’enfournais régulièrement toute sa tige et la pompais jusqu'à ce qu’elle retrouve toute sa vigueur. Cette mission de dénouage a bien duré pas mal de temps. Farid avait commencé à nous regarder faire en se masturbant. Pour partager les plaisirs communs, j’ai demandé à Mathieu de prendre le sexe de Farid en bouche et de le sucer gentiment pendant que ce dernier le caresserait.
Après avoir réussi à dénouer le ruban, J’ai enfilé une capote et ai de suite enculé Farid. Il s’est alors mis à l’ouvre sur le petit trou de son copain, afin de le préparer pour sa toute première saillie. Tout en le limant, j’ai pue admirer comment il commençait à bien le travailler et me suis rendu compte que mes leçons avaient portées. Il s’appliquait à l’ouvrir en douceur et avec doigté. Sa langue et sa bouche faisaient un tellement bon boulot que j’ai été obligé d’intervenir pour les calmer un peu, car je craignais que mon futur amant ne tarde à lâcher prise, avant que je ne puisse m’introduire dans son fondement encore tout neuf.
Quand j’ai estimé qu’il ne fallait plus trop attendre, après avoir déculé sèchement de Farid, je l’ai repoussé pour prendre sa place entre les jambes de mon futur dépucelé. Il était tellement bien préparé que J’avais à peine posé mon gland sur son anneau qu’il commençait déjà à gémir comme une gonzesse. Cela m’a tellement excité que j’ai poussé toute la longueur de ma bite dans son cul, doucement mais régulièrement, sans même marquer un temps d’arrêt pour l’accoutumance. Heureusement qu’il avait été royalement préparé et lubrifié, il a juste poussé un petit cri de douleur ou de surprise au moment ou mon gland à forcé son anneau. Quel plaisir pour moi de sentir les chairs de ce boyau tellement serrées, se distendre sous la poussée de mon mandrin et ainsi lui permettre de progresser toujours plus profondément. Quand toute résistance à cessée, que j’ai été complètement emmanché et que mes couilles ont enfin frappées ses fesses, je me suis arrêté de bouger quelques secondes pour qu’il puisse s’habituer à la longueur et surtout la largeur de mon calibre.
Puis j’ai commencé à le limer lentement au début. Il ronronnait comme un chat dès mes premiers vas et viens. Pendant ce temps, Farid s’occupait à caresser d’une main la bite de son copain et de l’autre nos deux paires de couilles. Au bout d’un moment, son pouce s’est aventuré dans le sillon de mes fesses, s’est promené sur mon œillet et s’est même permis de s’y s’introduire. J’ai bien apprécié cette initiative et j’ai immédiatement ralenti le rythme de ma saillie pour mieux jouir de cette nouvelle caresse. Après plusieurs aller retour, subitement il a retiré son doigt et je n’ais pas eu le temps de le lui reprocher car Il s’est positionné derrière moi et m’a rentré direct sa bite dans le cul. Moi qui n’étais pas préparé, heureusement que son manche était de petite taille, je n’ai ressentie qu’une toute petite douleur au moment de la pénétration, qui s’est vite transformé en onde de plaisir. Depuis le temps que j’attendais ce moment, je n’allais pas me plaindre de sa bestialité ni de son non port de capote (à éviter quand même). Il m’a procuré une telle jouissance, que ma queue qui était déjà à l’étroit dans le petit boyau vierge de Mathieu, à repris du volume et j’avais maintenant du mal à le limer. Heureusement, les coups de boutoirs que m’administrait mon jeune enculeur déchainé, suffisaient largement à me faire bouger le bassin et ainsi Mathieu pouvait ressentir tous les coups de queue que son copain m’infligeait violemment. Pendant ce temps, ce dernier avait complètement lâché prise. Il était sur le dos, la tête renversée en arrière et les yeux fermés. Il gémissait et à chaque expiration faisait des Haaaaaaaaaaaa………..Haaaaaaaaaaa……………. qui auraient fait appeler les secours à quiconque serait passé près de chez nous, croyant entendre un mourant rendre son dernier souffle.
Farid a continué à accélérer ses mouvements dans mon cul et n’a pas tardé à sentir sa jouissance monter. Il s’est rapidement retiré et à mon grand étonnement et ravissement, il a pris l’initiative de venir se finir dans la bouche et sur le visage de son copain. Il lui à fait prendre sa bite en bouche jusqu'à ce qu’il lui ait tout déchargé dedans et qu’elle soit redevenue complètement propre, bien nettoyée de mes sécessions intimes comme des siennes. Ce nettoyage à dû super exciter Mathieu car il à lâché toute sa semence d’homme aussitôt après sur son ventre. Farid était comme fou de bonheur et de joie. Il sautillait et tournait en rond en criant et chantant haut et fort : « J’ai réussi, je l’ai enculé, youpi, c’est bon, super bon, j’y suis arrivé, etc… ».
Pendant ce temps, tout en restant emmanché, j’ai fait se retourner Mathieu. Une fois à quatre pates en levrette, je me suis mis à le limer plus vigoureusement. En passant ma main sous son ventre, j’ai constaté qu’après sa jouissance il n’avait presque pas débandé et avait immédiatement retrouvé sa vigueur initiale. Après encore un bon moment de violentes enculades, alternées de périodes plus calme, sentant que le point de non retour approchait dangereusement, je suis sorti du doux fourreau qui enserrait si bien et depuis si longtemps ma bite. J’ai viré ma capote et me suis positionné en 69 sur Mathieu. Après lui avoir fourré ma queue dans le gosier, j’ai pris la sienne en bouche, jusqu'à ce qu’il crache toute sa semence de jeune homme. En attendant, Farid qui commençait à s’ennuyer n’a rien trouvé de mieux que de m’administrer une feuille de rose pendant que son copain me pompait maladroitement, comme il pouvait. Grace à cette double caresse, je n’ai pas tardé à tout lâcher à mon tour dans sa bouche. J’ai avalé une bonne partie de la semence que j’avais en bouche pour la déguster et me suis retourné pour mélanger le reste de mon sperme à celui de Mathieu, dans sa bouche. C’est par nos trois bouches que la divine mixture fut dégustée.
Cette période mouvementée nous avait laissé un peu groggy et nous sommes restés un long moment à nous reposer, nos corps, nos bras et nos jambes entremêlés. Après un bon moment de calme et de caresses mutuelles, nous avons plaisantés en constatant que le trou du cul de Mathieu n’était toujours pas complètement refermé. Nous lui avons conseillé de ne pas bailler afin d’éviter les courants d’air. La plaisanterie ne l’a que moyennement amusé. Par contre, la conversation et la vue du petit cul encore ouvert de Mathieu avait de nouveau excité Farid. Il a retourné son copain et après lui avoir oint le cul de lubrifiant et enfilé une capote cette fois ci, il l’a enculé sans coup férir. J’aurais bien profité de la situation pour lui rendre sa politesse de tout à l’heure en lui mettant à mon tour ma bite au cul pendant qu’il limait son petit copain. Mais après tous les efforts de l’après midi, mon organisme avait déclaré forfait. J’ai dû me contenter de lui glisser un, puis deux, puis trois, puis quatre doigts dans le fion et j’ai ainsi également participé au rythme de cette nouvelle partie de baise. Farid à tenu un bon moment avant que, pour la deuxième fois de l’après midi (et également de toute sa courte vie) il se répandre dans un boyau, celui du copain qu’il n’avait encore jamais réussi à enculer.
Après mes remerciements chaleureux à tous les deux, pour la super réussite de cette fête d’anniversaire, nous sommes allés nous laver, puis nous restaurer afin de reprendre quelques forces. J’ai demandé à Mathieu de nous expliquer ce qu’il avait ressenti lors de son dépucelage et surtout s’il avait déjà trouvé la jouissance que Farid lui avait décrite et qu’il était venu chercher. Il a commencé à nous abreuver de paroles, comme l’eau d’un robinet resté ouvert. Ce qu’il venait de vivre avait été tellement puissant et tellement supérieur comme sensation par rapport au summum de tout ce qu’il pouvait imaginer, qu’il a fallu que nous lui disions de se calmer avant qu’il puisse enfin faire des phrases cohérentes. Alors, il nous à expliqué qu’il n’avait pas souffert et qu’il avait senti sa jouissance monter graduellement jusqu’au moment où il à perdu toute sensation de son propre corps. Son corps n’existait plus, il était sur un nuage et il n’était plus qu’un immense trou du cul qui se faisait ramoner et toutes ses terminaisons nerveuses aboutissaient à cet endroit. Il nous dit que si on lui avait coupé un bras à ce moment là, il se demande s’il l’aurait senti. Un moment il pense avoir été au bord de l’évanouissement et il s’est demandé si son cœur allait tenir. Je n’étais pas peu fier, sans le dire, d’avoir réussi mon dépucelage de cette façon, bien au delà de mes espérances. Une telle jouissance atteinte lors de sa première baise, cela doit être vraiment rare.
Après l’orgie sexuelle que nous venions de vivre et les agapes qui suivirent, j’ai dû faire preuve de toute mon autorité pour faire redescendre sur terre mes compagnons. J’ai réussi à leur faire accepter d’établir un planning qui alterne dorénavant des périodes de baise et des périodes de travail sérieux sur le chantier. Nous nous sommes finalement mis d’accord pour travailler une journée et demi et consacrer l’après midi et la nuit suivante à la baise. Le calendrier n’a été que partiellement respecté, car dès que j’avais le dos tourné, je retrouvais mes tourtereaux, qui la main dans la culotte du copain, qui la bite dans la bouche de l’autre, voir quelques fois Farid entrain d’enculer Mathieu. Il faut dire que depuis que Farid avait découvert la sodomie active, Il ne se sentait plus. Il nous aurait baisé jour et nuit. Cela ne nous aurait d’ailleurs pas dérangé, Mathieu comme moi de se faire mettre plus souvent, bien au contraire, mais il fallait faire un très gros effort de lucidité et s’obliger à respecter un minimum notre planning. Malgré tout, et tant bien que mal, le chantier s’est terminé avec deux jours d’avances sur les prévisions. Deux jours que nous avons bien sur mis à profit pour nous consacrer exclusivement à la baise.
Nous savions tous qu’il allait falloir se séparer, se dire au revoir et renter chacun chez soi pour reprendre la vie courante. Cette perspective avait coupé un peu l’entrain et la bonne humeur du groupe. J’ai rappelé à mes acolytes que, dorénavant, il allait falloir qu’ils se satisfassent mutuellement, qu’ils m’oublient et me rayent de leurs souvenirs sexuels. Je savais qu’ils avaient fait beaucoup de progrès et étaient capables, maintenant, de se donner beaucoup de plaisirs l’un à l’autre. Mon seul regret est que Mathieu n’ait toujours pas réussi à sodomiser l’un de nous, malgré ses multiples tentatives. J’aurais bien aimé me prendre son calibre dans le cul, car il était heureusement bien mieux monté que son copain. J’ai demandé à Farid de l’aider et que s’il faisait preuve de gentillesse et de patience, il devrait arriver à ses fins et pouvoir bientôt se faire enculer par lui. Il m’a promis de faire tout son possible pour y arriver et de discrètement m’en informer ce jour là.
Après notre retour, pour moi la vie à repris avec tout son train train habituelle. Farid travaillait toujours pour moi et ne manquait jamais, à l’occasion d’un isolement, de me mettre la main au paquet et me dire de prendre sa bouche ou son cul. Heureusement, j’ai toujours résisté à l’envie et sue dire non, malgré la forte envie que j’avais de me le faire de nouveau. Je savais, avec des détails qui souvent m’émoustillaient, que la romance entre mes deux zigotos continuait de plus belle et j’en étais ravi. Mathieu à réussi enfin à sodomiser Farid, une seule fois, un mois plus tard. Cela ne lui à pas beaucoup plus et depuis il se limite au rôle de passif. Son copain lui se contente de celui d’actif mais se prendre une queue dans le cul de temps en temps commençait à lui manquer grave, d’où ses tentatives de débauche sur moi. J’espère que leur couple tiendra malgré tout, mais j’en doute. De toute façon, ils sont si jeunes qu’ils ont tout le temps pour se construire de nouvelles vies et vivre de nombreuses et belles aventures.
Dans mon couple, ma femme s’est étonnée que je ne lui réclame pas de rapports sexuels durant au moins deux mois. Par la suite, je lui ai demandé de nouveau le droit de la sodomiser, ce que j’avais abandonné de faire depuis au moins dix ans. Avant d’enfin accepter, elle m’a dit me soupçonner de l’avoir trompée, durant le chantier, avec une nana qui aurait apprécié cela. Je lui ai répondu, sur le ton de la plaisanterie, que la nana en question n’était ni plus ni moins que Farid depuis qu’il couchait avec moi. Vous serez surement surpris si je vous dis qu’elle n’a jamais voulu me croire. Le principal c’est que je me suis remis à professer mon savoir faire sur la sodomie, mais cette foie ci à ma femme. J’ai dû ne pas mal m’y prendre, car elle m’a avouée, qu’a son grand étonnement, elle découvrait de nouvelles sensations, inconnues d’elle à ce jour, et qui lui plaisaient super bien. Quelques temps après, elle m’a même avouée son regret de ne pas m’avoir céder, quand plus jeune je la harcelais sans fin afin de pouvoir m’offrir son cul. J’étais ravie pour elle et de sa découverte de la jouissance annale. Moi ça ne me satisfaisait pas complètement, j’ai compris qu’un cul de meuf, même bien disponible et disposé à vous donner du plaisir et à prendre le sien, ne vaudra jamais celui d’un mec. La femme garde toujours une certaine réserve ou retenue, qui l’empêche de se lâcher complètement. Cette retenue n’existe pas avec les mecs qui, à partir du moment où ils décident de se donner, se donnent rapidement à fond. Il me fallait dorénavant des queues et plein de queues bien dures autour de moi, prêtes et disponibles à satisfaire tous mes besoins et mes désirs homo. C’est donc à cette époque que j’ai pris l’habitude de fréquenter les saunas de la capitale. Dès que j’en ai la possibilité, au moins une fois par mois, je m’y rends toute une après midi. En général j’essaie, lorsque je trouve chaussure à mon pied, de sauter trois ou quatre mecs au début de ma séance récréative et de finir en me faisant, à mon tour, démonter le fion deux ou trois fois de suite. Entre ma femme et les saunas, j’ai trouvé un bon équilibre qui me satisfait.
Mon apprenti, de son coté, à réussi brillement ses examens et pour le récompenser et le remercier de tout, avant qu’il ne parte exercer son métier à l’étranger, je lui ai promis une dernière baise d’adieu et de remerciement. Je l’ai invité dans le sauna où j’avais pris mes habitudes. J’ai particulièrement apprécié cette baise d’adieu, car elle à eue lieue toute une après midi et en public. Nous avons baisés sans retenue dans toutes les positions et dans toutes les salles, télé, Hamann, bain à bulle, sauna, etc. Les habitués présents, que je commençais à connaitre pour les avoir déjà baisés ou m’être fait baisé par eux, ne cachaient pas leur jalousie de me voir jouir avec un mec si canon et si jeune pour moi. Nous avons assuré, avec grand plaisir, le spectacle du sauna tout l’après midi. Nous nous sommes quittés en fin de soirée complètement épuisés.
Voila toute mon histoire et ou j’en suis aujourd’hui. Si j’ai légèrement romancé pour enjoliver mon récit, je certifie que la structure et les grandes lignes sont réelles et que je vous ai raconté ce que j’ai la chance d’avoir vécu. Pour savoir ce que vous en avez pensé, n’hésitez pas à m’envoyer un petit mot d’encouragement (ou pas) sur ma boite. Merci et des milliers de bises à tous les lecteurs.
Avec mon demi siècle bien sonné, mon organisme commençait à fatiguer à suivre ce rythme d’enfer et c'est bien la seule raison qui m'empêchait de le tirer jour et nuit comme au premier jour de notre aventure. Malgré sa bonne volonté et la mise en œuvre de sa toute jeune science de la baise, les moments où il pouvait me remettre en forme et où je pouvais me présenter en bonne forme à l'entrée de son petit cul, devenaient de plus en plus espacés. Je ne pouvais plus le tringler que deux ou trois fois par jour, alors qu’il en réclamait beaucoup plus. C'est alors qu'il eut une idée diabolique. Nous avions fait le constat qu’à force de baiser à ce rythme là, le chantier n'avançait pas trop vite, que l'avance dont nous disposions avait fondue comme peau de chagrin et surtout que mes capacités de récupération s’amenuisaient de plus en plus. Nous avons rejeté l’idée de faire appel à un compagnon que je savais disponible, car évidemment nous perdrions notre liberté et ne pourrions plus nous envoyer en l'air à tout moment comme maintenant. Ce constat allait faire murir dans la tête de Farid une idée digne de machiavel.
Il ne me dit rien de ses intentions et ce n'est que la semaine suivante que je découvris le pot aux roses et compris le pourquoi de ses airs de comploteur et de plusieurs sous entendus. Le mardi de cette semaine était la date de mon anniversaire. Il me dit vouloir me faire une surprise et me demanda de prendre la matinée pour aller en ville et faire tous les achats qu'il avait marqué sur une liste et surtout ne pas revenir avant midi et demi. Après lui avoir promis, je suis parti faire les courses en me demandant bien ce qu'il pourrait trouver sur place pour me faire une surprise. A mon retour à l’heure dite, il m’attendait, comme toujours dans la caravane vêtu de son seul tee-shirt qui lui laissait la moitié du cul et une partir de son mignon petit sexe à l'air. Le petit salop savait que cette vision m'excitait toujours au plus haut point. Il se précipita sur moi pour m'arracher les sacs de courses des mains et me dit de me laisser faire. Il me fit poser mes fesses sur le rebord de la table de cuisine. C'est là que j'ai remarqué un gros carton posé au milieu de la partie chambre. Il s'attaqua de suite à tous mes vêtements qu’il retira un à un en ne pleurant pas sur les caresses et les baisers. Dés que je fus nu, Il se mit à genoux devant moi pour prendre mon sexe en bouche et commença à me pomper comme un mort de faim. Je lui demandais ce qu'il y avait dans le carton, il me répondit que je le saurais dès que je banderais convenablement. Il a tellement bien mis en œuvre mes cours particuliers, que j'ai bandé dans les secondes qui ont suives. A ce moment, sortant ma queue de sa bouche, il à crié fort: "maintenant".
Le carton s'est ouvert tout seul de l'intérieur et là, s'est dressé comme un beau diable sortant de sa boite, un mec à poil. J’ai de suite reconnu le petit copain de Farid, le fameux Mathieu dont il m'avait raconté leurs parties de branles et de suce. Ils me chantaient tous les deux "bon anniversaire, nos vœux les plus sincères, etc……" Mathieu portait un carton autour de son cou sur lequel il était écrit "bon anniversaire à mon prof d’amour" Il avait également un gros nœud de tissus qui lui enserrait la base du sexe. Inutile de vous dire que la surprise m’a laissé sans voix et sans réaction durant un bon moment. Dès que je me suis remis de mes émotions, j’ai demandé des explications à mes deux lascars.
Farid m’a expliqué qu’il avait eu l’idée de faire appel à Mathieu afin qu’il nous donne un coup de main au chantier et que, au cours de leurs discutions téléphonique, il lui à avoué, avec tous les détails possibles, toutes nos turpitudes sexuelles. Mathieu, qui était toujours puceau du cul, a, à ce moment là, eu l’idée que ce soit moi qui lui ouvre le premier la pastille. Farid lui a expliqué au téléphone tous les détails de notre relations amoureuses depuis son dépucelage jusqu'à maintenant. C’est à ce moment là qu’il a décidé de se joindre à nous, de nous aider pour le chantier et si possible participer à notre débauche sexuelle. Farid, mû par une petite pointe de jalousie de devoir nous partager, n’a pas accepté immédiatement. Il n’a dit oui qu’après avoir bien pesé le pour et le contre. Mathieu avait donc voyagé en train la nuit d’avant et s’était fait conduire en taxi jusqu'à la caravane vers onze heures, le temps de préparer « le cadeau ». Farid, pour calmer ma colère qu’il sentait monter, a argué, ce qui n’était pas faux, que je lui parlais souvent de Mathieu lors de nos baises. Je lui disais souvent, pour le taquiner, que ce dernier était vraiment très mignon sur les photos qu’il avait posées sur le bord du lit et qu’ils ne devaient pas s’ennuyer entre eux. Je le taquinais également en lui disant que je le baiserai avec plaisir si l’occasion se présentait. Évidemment, ce n’était que des mots et un phantasme. Je ne me serais jamais douté que cette occasion se présenterait un jour et surtout si vite. Voila que maintenant je l’avais sous les yeux et sous la main, nu comme un ver, disponible et ouvert pour assouvir mes moindres envies et désirs.
Dès que j’ai eu repris un peu mes esprits, j’ai vraiment senti monter une violente colère en moi. Je n’appréciais pas d’être mis devant le fait accompli et J’ai pensé les mettre dehors tous les deux par la peau du cul. Sauf que je me suis rappelé que je n’étais pas chez moi, mais dans la caravane des parents de Farid. De plus, je dois avouer que les efforts qu’ils avaient déployés pour réaliser la surprise me flattaient beaucoup et je prenais cela comme une preuve d’amour. Je me suis rapidement calmé et lorsque Farid me demanda sa j’acceptais son cadeau, je lui ai répondu qu’un cadeau ne se refusait jamais. Mes deux vicieux petits PD ont profités de cet instant pour venir se câliner à moi. Farid à repris sa fellation là où il l’avait laissé quelques minutes plus tôt. Je me suis vite remis à bander et j’ai alors commencé à profiter et apprécier la douceur de peau de Mathieu en le caressant sous toutes les coutures. Mon cerveau était comme anesthésié et ma décision d’accepter la présence du nouvel arrivant s’était imposée inconsciemment à moi. Mes deux tourtereaux étaient fous de joie en constatant ma démission. Comment vous décrire le nouvel arrivant ? Autant Farid était brun, la peau mate, les yeux marrons et imberbe sur la totalité du corps, autant lui était roux, une peau laiteuse avec plein de taches de rousseur, des yeux verts et une petite forêt de poils, couleur carottes sur le pubis, et entre ses fesses. Ses jambes étaient recouvertes d’un fin duvet blond-roux, très doux au touché, qui brillait au soleil de derrière les vitres. Il était vraiment magnifique et aux antipodes de la beauté de son petit copain. Ils étaient vraiment très beaux tous les deux et je me dis que j’avais vraiment beaucoup de chance de pouvoir disposer de deux si beaux spécimens de petits mâles à me mettre aussi facilement sous la dent (et ailleurs aussi).
J’ai interrogé Mathieu pour être sûr des ses désirs :
Moi : Mathieu, es tu sûr de vouloir que ce soit moi qui te dépucelle?
Mathieu : Oui, me dépuceler et surtout m’apprendre à connaitre « la jouissance de l’intérieur » comme me l’a décrite Farid. Il m’a longuement expliqué comment ça s’était passé pour lui et le plaisir qu’il en à retiré. J’espère vraiment que je vais vous plaire suffisamment pour que vous vous occupiez bien de moi et me fassiez découvrir les mêmes plaisirs que pour lui.
Moi : Si tu es bien sûr de cela et sûr que ne regrettera pas notre future aventure, je suis partant. Je voulais juste avoir la certitude qu’il ne s’agissait pas là d’une idée de mon petit vicieux de Farid à laquelle tu te serais joins de plus ou moins bonne grâce pour lui faire plaisir. Et de plus tu me dis être encore puceau du cul. Comment te croire ? Lors de vos parties de baise vous n’avez jamais eu l’envie ou l’idée de vous rentrer une queue dans le cul ?
Farid : Hélas, nous en avons eu l’envie bien souvent, mais chaque fois ça a fait comme avec toi, j’ai débandé à tous les coups avant de la lui rentrer et pour Mathieu ça a été pareil. Tu vas certainement te moquer de deux couilles molles comme nous.
Moi : Ce n’est pas du tout mon intention de me moquer de vous, mais je constate que j’ai encore du travail à vous enseigner tous les fondements de la baise et de la jouissance entre hommes. Vue l’état d’énervement dans lequel vous êtes maintenant, Je propose d’ailleurs de s’y mette de suite.
Mon acceptation et surement la joie des retrouvailles, rendait les deux copains excités comme des puces. Ils riaient, chantaient, se bousculaient, se plotaient sans aucune retenue. Ils étaient pressés que je m’occupe dès maintenant du petit cul de Mathieu et, je devais bien me l’avouer, moi aussi maintenant. Mais avant de le mériter, j’avais un gage, je devais ôter le ruban qui était noué à la racine de sa queue, mes mains dans le dos et seulement à l’aide de ma bouche et de mes dents. J’ai accepté, après avoir d’abord pris une coupe de champagne, et à la condition que, après le dénouement du ruban, ce soit Farid lui-même qui s’occupe de préparer l’anus de son copain pendant que je me chaufferais la queue dans son propre cul. J’étais sûr que Farid serait fier que son copain l’admire entrain de se faire enculer par la grosse bite de son patron pendant qu’il lui préparer la pastille, à l’aide de sa bouche et de ses doigts et que ça devrait bien l’exciter.
Je me suis attaqué au ruban dans les conditions prévues. Cela à été long et plus érotique que je ne l’avais prévu. J’ai du tourner avec ma bouche et mon visage tout autour du sexe tendu de Mathieu. De temps en temps quelques poils, qui se trouvaient coincés entre mes dents et le tissu, étaient arrachés. Mathieu poussait alors de petits cris et son sexe perdait régulièrement de sa rigidité. J’enfournais régulièrement toute sa tige et la pompais jusqu'à ce qu’elle retrouve toute sa vigueur. Cette mission de dénouage a bien duré pas mal de temps. Farid avait commencé à nous regarder faire en se masturbant. Pour partager les plaisirs communs, j’ai demandé à Mathieu de prendre le sexe de Farid en bouche et de le sucer gentiment pendant que ce dernier le caresserait.
Après avoir réussi à dénouer le ruban, J’ai enfilé une capote et ai de suite enculé Farid. Il s’est alors mis à l’ouvre sur le petit trou de son copain, afin de le préparer pour sa toute première saillie. Tout en le limant, j’ai pue admirer comment il commençait à bien le travailler et me suis rendu compte que mes leçons avaient portées. Il s’appliquait à l’ouvrir en douceur et avec doigté. Sa langue et sa bouche faisaient un tellement bon boulot que j’ai été obligé d’intervenir pour les calmer un peu, car je craignais que mon futur amant ne tarde à lâcher prise, avant que je ne puisse m’introduire dans son fondement encore tout neuf.
Quand j’ai estimé qu’il ne fallait plus trop attendre, après avoir déculé sèchement de Farid, je l’ai repoussé pour prendre sa place entre les jambes de mon futur dépucelé. Il était tellement bien préparé que J’avais à peine posé mon gland sur son anneau qu’il commençait déjà à gémir comme une gonzesse. Cela m’a tellement excité que j’ai poussé toute la longueur de ma bite dans son cul, doucement mais régulièrement, sans même marquer un temps d’arrêt pour l’accoutumance. Heureusement qu’il avait été royalement préparé et lubrifié, il a juste poussé un petit cri de douleur ou de surprise au moment ou mon gland à forcé son anneau. Quel plaisir pour moi de sentir les chairs de ce boyau tellement serrées, se distendre sous la poussée de mon mandrin et ainsi lui permettre de progresser toujours plus profondément. Quand toute résistance à cessée, que j’ai été complètement emmanché et que mes couilles ont enfin frappées ses fesses, je me suis arrêté de bouger quelques secondes pour qu’il puisse s’habituer à la longueur et surtout la largeur de mon calibre.
Puis j’ai commencé à le limer lentement au début. Il ronronnait comme un chat dès mes premiers vas et viens. Pendant ce temps, Farid s’occupait à caresser d’une main la bite de son copain et de l’autre nos deux paires de couilles. Au bout d’un moment, son pouce s’est aventuré dans le sillon de mes fesses, s’est promené sur mon œillet et s’est même permis de s’y s’introduire. J’ai bien apprécié cette initiative et j’ai immédiatement ralenti le rythme de ma saillie pour mieux jouir de cette nouvelle caresse. Après plusieurs aller retour, subitement il a retiré son doigt et je n’ais pas eu le temps de le lui reprocher car Il s’est positionné derrière moi et m’a rentré direct sa bite dans le cul. Moi qui n’étais pas préparé, heureusement que son manche était de petite taille, je n’ai ressentie qu’une toute petite douleur au moment de la pénétration, qui s’est vite transformé en onde de plaisir. Depuis le temps que j’attendais ce moment, je n’allais pas me plaindre de sa bestialité ni de son non port de capote (à éviter quand même). Il m’a procuré une telle jouissance, que ma queue qui était déjà à l’étroit dans le petit boyau vierge de Mathieu, à repris du volume et j’avais maintenant du mal à le limer. Heureusement, les coups de boutoirs que m’administrait mon jeune enculeur déchainé, suffisaient largement à me faire bouger le bassin et ainsi Mathieu pouvait ressentir tous les coups de queue que son copain m’infligeait violemment. Pendant ce temps, ce dernier avait complètement lâché prise. Il était sur le dos, la tête renversée en arrière et les yeux fermés. Il gémissait et à chaque expiration faisait des Haaaaaaaaaaaa………..Haaaaaaaaaaa……………. qui auraient fait appeler les secours à quiconque serait passé près de chez nous, croyant entendre un mourant rendre son dernier souffle.
Farid a continué à accélérer ses mouvements dans mon cul et n’a pas tardé à sentir sa jouissance monter. Il s’est rapidement retiré et à mon grand étonnement et ravissement, il a pris l’initiative de venir se finir dans la bouche et sur le visage de son copain. Il lui à fait prendre sa bite en bouche jusqu'à ce qu’il lui ait tout déchargé dedans et qu’elle soit redevenue complètement propre, bien nettoyée de mes sécessions intimes comme des siennes. Ce nettoyage à dû super exciter Mathieu car il à lâché toute sa semence d’homme aussitôt après sur son ventre. Farid était comme fou de bonheur et de joie. Il sautillait et tournait en rond en criant et chantant haut et fort : « J’ai réussi, je l’ai enculé, youpi, c’est bon, super bon, j’y suis arrivé, etc… ».
Pendant ce temps, tout en restant emmanché, j’ai fait se retourner Mathieu. Une fois à quatre pates en levrette, je me suis mis à le limer plus vigoureusement. En passant ma main sous son ventre, j’ai constaté qu’après sa jouissance il n’avait presque pas débandé et avait immédiatement retrouvé sa vigueur initiale. Après encore un bon moment de violentes enculades, alternées de périodes plus calme, sentant que le point de non retour approchait dangereusement, je suis sorti du doux fourreau qui enserrait si bien et depuis si longtemps ma bite. J’ai viré ma capote et me suis positionné en 69 sur Mathieu. Après lui avoir fourré ma queue dans le gosier, j’ai pris la sienne en bouche, jusqu'à ce qu’il crache toute sa semence de jeune homme. En attendant, Farid qui commençait à s’ennuyer n’a rien trouvé de mieux que de m’administrer une feuille de rose pendant que son copain me pompait maladroitement, comme il pouvait. Grace à cette double caresse, je n’ai pas tardé à tout lâcher à mon tour dans sa bouche. J’ai avalé une bonne partie de la semence que j’avais en bouche pour la déguster et me suis retourné pour mélanger le reste de mon sperme à celui de Mathieu, dans sa bouche. C’est par nos trois bouches que la divine mixture fut dégustée.
Cette période mouvementée nous avait laissé un peu groggy et nous sommes restés un long moment à nous reposer, nos corps, nos bras et nos jambes entremêlés. Après un bon moment de calme et de caresses mutuelles, nous avons plaisantés en constatant que le trou du cul de Mathieu n’était toujours pas complètement refermé. Nous lui avons conseillé de ne pas bailler afin d’éviter les courants d’air. La plaisanterie ne l’a que moyennement amusé. Par contre, la conversation et la vue du petit cul encore ouvert de Mathieu avait de nouveau excité Farid. Il a retourné son copain et après lui avoir oint le cul de lubrifiant et enfilé une capote cette fois ci, il l’a enculé sans coup férir. J’aurais bien profité de la situation pour lui rendre sa politesse de tout à l’heure en lui mettant à mon tour ma bite au cul pendant qu’il limait son petit copain. Mais après tous les efforts de l’après midi, mon organisme avait déclaré forfait. J’ai dû me contenter de lui glisser un, puis deux, puis trois, puis quatre doigts dans le fion et j’ai ainsi également participé au rythme de cette nouvelle partie de baise. Farid à tenu un bon moment avant que, pour la deuxième fois de l’après midi (et également de toute sa courte vie) il se répandre dans un boyau, celui du copain qu’il n’avait encore jamais réussi à enculer.
Après mes remerciements chaleureux à tous les deux, pour la super réussite de cette fête d’anniversaire, nous sommes allés nous laver, puis nous restaurer afin de reprendre quelques forces. J’ai demandé à Mathieu de nous expliquer ce qu’il avait ressenti lors de son dépucelage et surtout s’il avait déjà trouvé la jouissance que Farid lui avait décrite et qu’il était venu chercher. Il a commencé à nous abreuver de paroles, comme l’eau d’un robinet resté ouvert. Ce qu’il venait de vivre avait été tellement puissant et tellement supérieur comme sensation par rapport au summum de tout ce qu’il pouvait imaginer, qu’il a fallu que nous lui disions de se calmer avant qu’il puisse enfin faire des phrases cohérentes. Alors, il nous à expliqué qu’il n’avait pas souffert et qu’il avait senti sa jouissance monter graduellement jusqu’au moment où il à perdu toute sensation de son propre corps. Son corps n’existait plus, il était sur un nuage et il n’était plus qu’un immense trou du cul qui se faisait ramoner et toutes ses terminaisons nerveuses aboutissaient à cet endroit. Il nous dit que si on lui avait coupé un bras à ce moment là, il se demande s’il l’aurait senti. Un moment il pense avoir été au bord de l’évanouissement et il s’est demandé si son cœur allait tenir. Je n’étais pas peu fier, sans le dire, d’avoir réussi mon dépucelage de cette façon, bien au delà de mes espérances. Une telle jouissance atteinte lors de sa première baise, cela doit être vraiment rare.
Après l’orgie sexuelle que nous venions de vivre et les agapes qui suivirent, j’ai dû faire preuve de toute mon autorité pour faire redescendre sur terre mes compagnons. J’ai réussi à leur faire accepter d’établir un planning qui alterne dorénavant des périodes de baise et des périodes de travail sérieux sur le chantier. Nous nous sommes finalement mis d’accord pour travailler une journée et demi et consacrer l’après midi et la nuit suivante à la baise. Le calendrier n’a été que partiellement respecté, car dès que j’avais le dos tourné, je retrouvais mes tourtereaux, qui la main dans la culotte du copain, qui la bite dans la bouche de l’autre, voir quelques fois Farid entrain d’enculer Mathieu. Il faut dire que depuis que Farid avait découvert la sodomie active, Il ne se sentait plus. Il nous aurait baisé jour et nuit. Cela ne nous aurait d’ailleurs pas dérangé, Mathieu comme moi de se faire mettre plus souvent, bien au contraire, mais il fallait faire un très gros effort de lucidité et s’obliger à respecter un minimum notre planning. Malgré tout, et tant bien que mal, le chantier s’est terminé avec deux jours d’avances sur les prévisions. Deux jours que nous avons bien sur mis à profit pour nous consacrer exclusivement à la baise.
Nous savions tous qu’il allait falloir se séparer, se dire au revoir et renter chacun chez soi pour reprendre la vie courante. Cette perspective avait coupé un peu l’entrain et la bonne humeur du groupe. J’ai rappelé à mes acolytes que, dorénavant, il allait falloir qu’ils se satisfassent mutuellement, qu’ils m’oublient et me rayent de leurs souvenirs sexuels. Je savais qu’ils avaient fait beaucoup de progrès et étaient capables, maintenant, de se donner beaucoup de plaisirs l’un à l’autre. Mon seul regret est que Mathieu n’ait toujours pas réussi à sodomiser l’un de nous, malgré ses multiples tentatives. J’aurais bien aimé me prendre son calibre dans le cul, car il était heureusement bien mieux monté que son copain. J’ai demandé à Farid de l’aider et que s’il faisait preuve de gentillesse et de patience, il devrait arriver à ses fins et pouvoir bientôt se faire enculer par lui. Il m’a promis de faire tout son possible pour y arriver et de discrètement m’en informer ce jour là.
Après notre retour, pour moi la vie à repris avec tout son train train habituelle. Farid travaillait toujours pour moi et ne manquait jamais, à l’occasion d’un isolement, de me mettre la main au paquet et me dire de prendre sa bouche ou son cul. Heureusement, j’ai toujours résisté à l’envie et sue dire non, malgré la forte envie que j’avais de me le faire de nouveau. Je savais, avec des détails qui souvent m’émoustillaient, que la romance entre mes deux zigotos continuait de plus belle et j’en étais ravi. Mathieu à réussi enfin à sodomiser Farid, une seule fois, un mois plus tard. Cela ne lui à pas beaucoup plus et depuis il se limite au rôle de passif. Son copain lui se contente de celui d’actif mais se prendre une queue dans le cul de temps en temps commençait à lui manquer grave, d’où ses tentatives de débauche sur moi. J’espère que leur couple tiendra malgré tout, mais j’en doute. De toute façon, ils sont si jeunes qu’ils ont tout le temps pour se construire de nouvelles vies et vivre de nombreuses et belles aventures.
Dans mon couple, ma femme s’est étonnée que je ne lui réclame pas de rapports sexuels durant au moins deux mois. Par la suite, je lui ai demandé de nouveau le droit de la sodomiser, ce que j’avais abandonné de faire depuis au moins dix ans. Avant d’enfin accepter, elle m’a dit me soupçonner de l’avoir trompée, durant le chantier, avec une nana qui aurait apprécié cela. Je lui ai répondu, sur le ton de la plaisanterie, que la nana en question n’était ni plus ni moins que Farid depuis qu’il couchait avec moi. Vous serez surement surpris si je vous dis qu’elle n’a jamais voulu me croire. Le principal c’est que je me suis remis à professer mon savoir faire sur la sodomie, mais cette foie ci à ma femme. J’ai dû ne pas mal m’y prendre, car elle m’a avouée, qu’a son grand étonnement, elle découvrait de nouvelles sensations, inconnues d’elle à ce jour, et qui lui plaisaient super bien. Quelques temps après, elle m’a même avouée son regret de ne pas m’avoir céder, quand plus jeune je la harcelais sans fin afin de pouvoir m’offrir son cul. J’étais ravie pour elle et de sa découverte de la jouissance annale. Moi ça ne me satisfaisait pas complètement, j’ai compris qu’un cul de meuf, même bien disponible et disposé à vous donner du plaisir et à prendre le sien, ne vaudra jamais celui d’un mec. La femme garde toujours une certaine réserve ou retenue, qui l’empêche de se lâcher complètement. Cette retenue n’existe pas avec les mecs qui, à partir du moment où ils décident de se donner, se donnent rapidement à fond. Il me fallait dorénavant des queues et plein de queues bien dures autour de moi, prêtes et disponibles à satisfaire tous mes besoins et mes désirs homo. C’est donc à cette époque que j’ai pris l’habitude de fréquenter les saunas de la capitale. Dès que j’en ai la possibilité, au moins une fois par mois, je m’y rends toute une après midi. En général j’essaie, lorsque je trouve chaussure à mon pied, de sauter trois ou quatre mecs au début de ma séance récréative et de finir en me faisant, à mon tour, démonter le fion deux ou trois fois de suite. Entre ma femme et les saunas, j’ai trouvé un bon équilibre qui me satisfait.
Mon apprenti, de son coté, à réussi brillement ses examens et pour le récompenser et le remercier de tout, avant qu’il ne parte exercer son métier à l’étranger, je lui ai promis une dernière baise d’adieu et de remerciement. Je l’ai invité dans le sauna où j’avais pris mes habitudes. J’ai particulièrement apprécié cette baise d’adieu, car elle à eue lieue toute une après midi et en public. Nous avons baisés sans retenue dans toutes les positions et dans toutes les salles, télé, Hamann, bain à bulle, sauna, etc. Les habitués présents, que je commençais à connaitre pour les avoir déjà baisés ou m’être fait baisé par eux, ne cachaient pas leur jalousie de me voir jouir avec un mec si canon et si jeune pour moi. Nous avons assuré, avec grand plaisir, le spectacle du sauna tout l’après midi. Nous nous sommes quittés en fin de soirée complètement épuisés.
Voila toute mon histoire et ou j’en suis aujourd’hui. Si j’ai légèrement romancé pour enjoliver mon récit, je certifie que la structure et les grandes lignes sont réelles et que je vous ai raconté ce que j’ai la chance d’avoir vécu. Pour savoir ce que vous en avez pensé, n’hésitez pas à m’envoyer un petit mot d’encouragement (ou pas) sur ma boite. Merci et des milliers de bises à tous les lecteurs.
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