Suite de l'épisode 2 de ma jeunesse: Après l'internat, le FJT.

- Par l'auteur HDS Portdebrest -
Auteur homme.
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Récit libertin : Suite de l'épisode 2 de ma jeunesse: Après l'internat, le FJT. Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-01-2022 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(9.0 / 10)

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Suite de l'épisode 2 de ma jeunesse: Après l'internat, le FJT.
Ma jeunesse ; suite de l’épisode 2, après l’internat, le FJT…J’ai raconté ma tendre jeunesse dans deux épisodes « mes premiers émois » puis « Frères de sperme », période durant laquelle j’étais pensionnaire en Lycée technique. J’ai abandonné cette histoire alors que je venais d’être dépucelé par mes amis Joël puis Gildas dans la chambre de ce dernier en ville. Alors qu’avec Joël nous rentrions, en retard, à l’internat, celui-ci a passé sa main dans ma braguette ! Comme je retiens sa main il me déclare : « Je sais que tu as aimé, et tu as encore beaucoup à apprendre, laisse-moi faire et je continuerais à t’initier ! ». (Note du rédacteur : le texte ‘frères de sperme’ a été publié le 18/05/2021 sur HDS).
Malheureusement, en raison de notre retard nous avons été punis. Surtout moi car étant le plus jeune j’ai dû retourner en dortoir. Nous avons dû nous contenter de baisers volés, de caresses dans les toilettes et personnellement de branlettes en solitaire en rêvant de connaître à nouveau le plaisir d’être possédé. A la fin de l’année scolaire Joël et moi sommes recalés au BAC pro de dessin industriel.
En septembre, je trouve du travail dans l’industrie comme contrôleur de fabrication et je retrouve Joël au Foyer des Jeunes Travailleurs. Les chambres sont pour deux mais nous ne sommes pas dans la même. Il travaille comme contractuel au service du cadastre. Comme j’ai l’intention de repasser le BAC en candidat libre, Joël me dit que nous pourrions nous aider car il est bon en dessin industriel et moi en matières générales. C’est d’accord ! Il m’entraîne aussitôt au bureau du Directeur du FJT pour demander si nous pourrions être dans la même chambre afin de faciliter notre travail en commun. Le Directeur indique qu’il fera le maximum pour cela. Nous sortons et, dans l’escalier qui monte aux étages, Joël me regarde et se passe amoureusement la langue sur les lèvres… Avant de franchir la porte qui mène au couloir, il me plaque au mur, m’embrasse sur la bouche, force mes lèvres avec sa langue et frotte sa main sur mon paquet. C’est clair, nous ne ferons pas que préparer le BAC. Un bruit de porte en bas des marches, nous nous séparons, ce n’est pas le moment de révéler nos vraies intentions au risque de ne jamais être dans la même chambre. Le week-end, je rentre chez mes parents et je sais que Joël dans sa commune natale a des aventures.
Nous allons devoir nous contenter de tendres bises et de caresses discrètes car nos horaires de travail nous permettent seulement d’être au FJT à l’heure des repas et le soir, alors que nos colocataires sont présents. Joël a déjà testé le sien, pas intéressé ni pour changer de chambre ni pour le laisser disposer de la chambre. Pour bien montrer notre intention de travailler ensemble, nous nous installons régulièrement dans la salle commune avec nos cartons et planches à dessin, ce qui dérange les autres… et rappelle notre souhait ! Heureusement le mois de septembre est riche en mouvements au FJT et dès le 1er octobre nous obtenons une chambre commune. Nous emménageons en fin d’après-midi. Deux lits de 80 cm de large, tables de chevet, armoires, une table de travail avec deux chaises et attenant une salle d’eau avec WC. Le tout dans dix-huit m².
Le Directeur et l’animateur passent voir si nous sommes bien installés… Nos dessins sont sur la table et les livres scolaires rangés sur les étagères. Ils sont satisfaits de nous voir assidus et organisés. Nous aussi ! Sitôt qu’ils sont repartis, Joël me roule une pelle avant de fermer la porte à clé. Il revient alors vers moi et tout en m’embrassant déboutonne ma chemise. Il mâchouille mes tétons, l’un après l’autre, déboutonne mon pantalon qu’il baisse afin de mieux accéder à mon boxer qu’il tâte avec vigueur. Il m’embrasse à nouveau et me dit :- « Bienvenue dans la chambre des plaisirs…- « Merci, j’étais impatient et j’avais peur que tu t’attaches à quelqu’un d’autre !
- « Mais non, imbécile, Je n’ai pas oublié la douceur de ton petit cul… Va prendre une douche.
Je finis de me déshabiller et entre dans la salle de bain. Je me lave les dents puis me glisse sous la douche. Je finis de me savonner le torse lorsque Joël entre. Il est nu, il a un peu bronzé cet été. Même si sa peau prend peu de couleurs, la marque blanche de son maillot, petit maillot, se voit bien. Sans hésiter, il se colle à mon dos pour me savonner. Le dos, les épaules, les bras puis il descend vers les jambes avant de remonter vers les cuisses. A ce moment, il se retourne et me commande de lui rendre la pareille. Ce que je fais en détaillant chaque cm2 de son verso. Puis je me colle à lui, ma queue est entre ses fesses. Enfin, comme je suis un peu plus grand c’est le haut de son sillon qui reçoit l’hommage. Il se retourne alors et je comprends que je dois laver sa face avant. Je le savonne partout en prenant un soin particulier aux aisselles, aux tétons, à l’entre-jambe et à son sexe qui bande. Les bourses, la tige que je décalotte afin de bien nettoyer le gland et la corolle… Puis je le rince.
Nous restons un peu sous l’eau chaude jusqu’à ce qu’il appuie sur mes épaules pour me courber. Bien sûr, il veut que je le suce… A peine ai-je commencé à passer ma langue sur sa hampe qu’il passe derrière moi, m’écarte les fesses pour savonner le fond du sillon.
- J’aime quand c’est nickel, tu commences à avoir du poil… Je vais y remédier avec de la crème dépilatoire.
C’est alors qu’il coupe l’eau, me sèche la fente puis m’enduit les fesses en insistant sur le sillon et le fond de celui-ci, d’une pâte blanche. Il va se laver les mains dans le lavabo revient dans la douche et me donne son membre pour l’honorer. Je reprends mes attentions là où j’avais arrêté, je lèche la hampe, lui suce les couilles, une à une. J’ai l’impression que son sexe est plus long, plus volumineux qu’il y a quelques mois. Ses poils aussi se sont développés mais il ne s’est pas badigeonné de crème ! Je remonte le sexe dressé pour lécher le gland. Je l’entoure de mes lèvres pour l’embrasser et caresse sont bout de ma langue tandis que mes lèvres se resserrent sur la tête de ce champignon.
- « C’est bien Rémi, tu n’as pas oublié l’essentiel, mais il faut aller plus loin.
- « Oui, Joël, comme tu veux…Enfin c’est ce que je voulais dire car il a déjà mis ses mains sur ma tête et, la bouche pleine, j’ai du mal à m’exprimer clairement. Progressivement, poussant son bassin vers moi et tirant ma tête vers lui, son chibre progresse dans ma bouche. Régulièrement il se retire et j’ai à peine le temps de respirer qu’il s’enfonce un peu plus vers ma gorge. Lorsqu’il arrive au fond de celle-ci je suis pris d’une quinte de toux. Il se retire et se baisse pour m’embrasser tendrement sans oublier de me malaxer les parties génitales. Puis il se relève et me donne son gland à sucer. J’aime la douceur de cette chair fraîche, lisse et brillante. Joël en veut plus et il reprend ses mouvements de plus en plus amples. Je m’habitue progressivement à le gober plus à fond.
- « Rémi… Quand tu je me retires, tu dois serrer les lèvres et aspirer comme quand tu manges une sucette… Oui, comme ça, tu obéis bien.
Plusieurs minutes se sont passées lorsque Joël remet l’eau. Elle est fraîche ! Il me rince les fesses pour retirer la crème et les poils tout en insistant avec le jet sur la raie du cul. L’eau devient chaude. Joël frotte mon bouton et pas seulement pour le nettoyer. C’est bon !
- « Maintenant, tu es lisse et doux comme un bébé. Je sens que tu es serré, détends toi… - « Oui, continues !
- « Dis-moi, ton trou est resté vierge depuis quand ?
- « Je n’ai connu que toi et Gildas… Depuis, personne !
- « Et avec une fille ?
- « Non, rien… Et je ne sais pas…Je ne sais pas comment lui dire que pour moi le souvenir de nos ébats passés dépasse l’aspect sexuel. Je crois qu’il s’est passé avec lui quelque chose de plus profond et je ne suis pas attiré par les filles. Pourtant j’aime leur compagnie pour discuter et aussi faire du shopping. J’en viens à me demander… Joël m’interrompt dans mes réflexions :- « Tu te branles tout seul ?
- « Oui…Un petit oui, à peine audible est sorti de mes lèvres. Il reprend :- « On va y remédier ! Mais j’ai l’impression que tu es seulement Homo !
Il a exprimé le mot que je me refusais de dire et même d’accepter dans ma tête. J’en suis tout chamboulé. Nos jeux au lycée étaient pour moi la découverte du plaisir sexuel et c’était bien. Ni Joël et encore moins Gildas ne sont gay… Et moi ? Joël ne me laisse pas le temps de réfléchir. Il coupe l’eau, me tend une serviette pour que je m’essuie, il fait de même avant de me prendre par la main pour me mener sur mon lit où il m’allonge à plat ventre. Aussitôt, il s’allonge à côté de moi. Nous sommes serrés forcément vu la largeur du lit. Il m’embrasse dans le cou. C’est doux. Il me caresse les fesses, c’est chaud. Il passe sa main dans mon sillon, c’est tentant. Son doigt approche mon œillet, c’est crispant.
- « Détends toi Rémi, Comme ta chatte n’a pas été prise depuis plusieurs mois, je dois l’assouplir, lui donner envie, la préparer à m’accueillir.
- « C’est comme tu veux… Joël.
- « Je vais te faire l’amour lorsque tu seras prêt et quand tu en aura envie tu pourras me prendre, toi aussi.
Il me fait alors m’agenouiller les jambes écartées et poser ma tête sur l’oreiller.
Après m’avoir écarté les lobes fessiers, il crache sur mon cul puis sa langue se promène autour de ma chatte. C’est dingue comme j’apprécie cette caresse ! Je sens également son souffle réchauffer mes burnes qu’il empoigne pour les remuer dans leur sac. Il insiste un bon moment et peu à peu, je sens le bout de sa langue ouvrir le muscle et tenter de se faufiler vers l’intérieur.
Maintenant ma queue est tendue, raide comme le flacon d’encre du Chine dont je me sers pour dessiner. C’est une autre fiole qu’il appuie à présent sur mon orifice qu’il fait gicler pour que le gel pénètre à l’intérieur et entre mes lobes. Je sursaute, c’est froid. Il en profite pour me pénétrer d’un doigt qu’il tourne afin de faciliter la pénétration. J’aime et des souvenirs plaisants me reviennent à l’esprit. Ici, nous ne devrions pas être dérangés et nous pourrons prendre le temps de faire monter l’envie. Un deuxième doigt a rejoint le premier et Joël me mange littéralement les fesses. Il les lèche, les suce, le mord même… Je me tortille et ses doigts s’enfoncent en moi.
Sans prévenir, il quitte mon cul pour venir m’embrasser :- « Dis-moi, au lycée, je t’ai presque toujours pris par derrière, il me semble ?
- « Oui, et j’aime comme ça… J’aime quand tu t’allonges sur mos dos, que tu t’agites derrière moi, agrippé à mes épaules ou bien en me griffant le dos.
- « Aujourd’hui, j’ai envie de te prendre en te regardant en face, je veux sentir tes tétons et je veux te voir quand tu jouiras !
- « C’est comme tu veux, tu sais mieux que moi ce qui est bon.
Joël me retourne sur le dos et s’allonge contre moi pour m’embrasser. Sa langue fouille ma bouche, ses lèvres sucent les miennes, sa bavarde s’enroule autour de la mienne. Le Baiser dure. Il quitte ma bouche pour multiplier les petits bisous sur mon front, mes joues, mes paupières. Il lèche mes oreilles, mon nez, mon cou. Il descend vers mes seins, suce le gauche et titille le droit. J’adore. Visiblement Joël a de l’expérience et a développé de nouvelles compétences en matière amoureuse. Pendant ce temps qui dure, il m’a saisi les couilles qu’il serre avec ferveur. Je ne reste pas totalement inactif et lui caresse le dos d’une main te de l’autre je serre son membre viril tendu et décalotté.
Il descend encore pour lécher mon gland. Promenant sa langue sur sa corolle, ses doigts légèrement serrés entourent mon mandrin dans un mouvement régulier. Ma respiration s’est accélérée. Je crois que je vais prendre mon pied sans plus attendre. Joël s’en est aperçu et stoppe net ses attouchements. Il se relève et vient m’embrasser. Calmement, la tension baisse un peu.
- « Rémi, je vais te prendre maintenant… Seulement par le cul. Je vais te pénétrer, labourer ton rectum. C’est mon chibre qui va te remplir, te caresser à l’intérieur.
- « Oui, fait le… - « Je veux voir sur ta figure le plaisir qui monte. Tu vas me regarder te limer de plus en plus vite et tu verras quand je serais prêt à tout donner. Tu te souviens quand nous avions décidé d’être des frères de sperme ?
- « Bien sûr Joël, c’était au lycée…- « Aujourd’hui sera un autre jour. Je ne vais pas te prendre en levrette mais pour commencer je vais te baiser dans la position du missionnaire. Reste sur le dos, écarte les jambes. Nous étions frères de sperme, je vais te féconder et tu seras ma chérie remplie de ma semence !
On dit que c’est dans les vieux pots qu’on fait les meilleures soupes. La comparaison n’est pas la plus délicate de l’histoire des comparaisons, mais tout cela pour dire que de temps en temps, un peu de simplicité et un bon missionnaire ça ne fait pas de mal. Bref, les anciennes postures en fait, ça fait même beaucoup de bien. Joël badigeonne son membre turgescent avec du gel lubrifiant et le présente devant mon œillet. Légère poussée le gland entre légèrement. Pause… Il ressort ; entre à nouveau.
- « Ça va Rémi ?
- « Oui, continue, doucement.
Lentement, un puis deux centimètres entrent, il fait une pause, se recule juste un peu… Pousse à nouveau ; un peu plus loin, n’insiste pas, attend puis poursuit son intromission avec parfois de légers retraits. Joël prend son temps et mon conduit s’habitue à la dilatation produite par la présence de sa belle tige. Il ne me touche pas autrement. Heureusement d’ailleurs car j’aurais déjà explosé s’il l’avait fait. Il est désormais au fond. Son pubis touche mes burnes. Il attend encore avant de me dire :- « Mets tes pieds sur mes épaules. C’est la position du Tigre. Je vais passer mes bras sous tes genoux pour t’aider à maintenir tes jambes en l’air et je tiendrais tes cuisses. De cette manière j’irais plus profondément jusqu’à ce que ta prostate soit caressée.
Dans cette position je suis comme au chômage technique. En effet, à part lui caresser les fesses je ne peux pas faire grand-chose. Je me sens encore plus offert à lui. Pourtant la position n’est pas reposante car je reçois de plein fouet les ardeurs de mon cher et tendre. Il donne le tempo, cogne à fond en serrant ses mains sur mes cuisses. Il redouble la cadence tel un marteau piqueur qui chercherait à creuser son sillon. Comme une gazelle que son félin veut combler je suis une victime très consentante de son appétit de lion.
Bon, je lui caresse donc les fesses ou plutôt je les agrippe et les serre pour accompagner ses coups de boutoir. Il me regarde, je le vois. Nous sommes heureux, tous les deux. Son membre coulisse dans mon canal, je vois qu’il aime cette manière de branler son organe viril. Je le sens aller et venir en moi, son bout va loin pour m’agiter le colon et la prostate puis son gland frotte mon con à rebours lorsqu’il recule. De nouveau il se projette en avant, ses olives viennent caresser mes brioches tandis que son pubis frappe mes noisettes.
- « Han, Rémi, je t’encule… Han, profond… Han, tu es la femelle… que je veux posséder ;- « Oui… prend moi, OUI ! je suis à toi… Oui, mon homme… Joël, continues !
- « Han, sacrée salope… t’as un bon cul … à baiser…Je m’agrippe à ses belles fesses tandis qu’il accélère encore. Je le vois en sueur, son corps brille sous la lumière de la chambre. Il respire fort et souffle à chaque tamponnage… Le plaisir se voit sur son visage ! De le voir me dominer de son corps et de sa volonté ; de le sentir s’agiter en moi me chauffe tout le corps. Je sens mes noisettes compressées à chaque fois qu’il se projette en avant. Ma tige s’est tendue comme jamais au fur et à mesure de son ramonage. J’ai l’impression que toute ma tension se concentre dans ma queue et mon ventre. C’est chaud… C’est doux ! J’ai envie de me laisser aller pour à nouveau connaître le plaisir immense d’être aimé… Et, à la fois, j’espère que Joël va faire durer le plus possible… - « Ha ! Oui ! Joël c’est bon ! Je…- « Prend encore ça Rémi ! Han, Han…Il me laboure et là c’est une explosion de sens qui se propage en moi. Mon corps se raidit et comme en transe :- « Je Joui !!!! Ha, c’est bon, Continue - « Tu la sens bien ma bite Rémi, Je vais te remplir, tiens !
Il poursuit son pistonnage encore quelque temps et alors que je me décontracte après l’extase je vois Joël qui se crispe, un rictus sur sa belle figure :- « Ah ! C’est bon Rémi, ton cul est génial- « Oui, Joël, lâche toi…A ce moment, je sens un jet pénétrer ma chatte de mec puis, par saccades d’autres viennent remplir mon popotin. Joël vient s’allonger sur moi. Il a lâché mes jambes et je les allonge pour enserrer les siennes. Il souffle, je l’embrasse et le serre contre moi. Nous restons là, sans bouger, heureux, repus et, pour ma part, comblé après plusieurs mois de frustrations et de plaisirs solitaires. C’est Joël qui s’exprime le premier :- « J’ai aimé… Avec toi, sans capote, j’ai pu te donner ma semence, te féconder comme la femelle que tu mériterais d’être… Reste tranquille pour tout garder au fond de toi…- Mais ?
- Ne t’inquiète pas, Avec ma régulière on se protège car elle ne prend pas la pilule ! Tu sais, le sexe avec toi c’est encore meilleur.
Je suis à la fois rassuré et un peu triste qu’il me parle de sa copine alors qu’après avoir baisés tous les deux nous sommes encore nus et enlacés. Il débande lentement en moi et je sens de l’humidité couler sur le drap. Il m’embrasse à nouveau.
- « Rémi, Maintenant c’est à toi de me prendre…J’hésite, puis je regarde l’heure. Il est temps de descendre pour le dîner. Ce n’est pas le moment de nous faire remarquer puisque nous nous sommes inscrits pour ce soir. Nous nous rhabillons. Joël me passe un gant de toilette pour mettre dans mon caleçon afin de ne pas risquer de mouiller le fond de mon pantalon !
- « Tu sais Rémi, il existe des protèges slip, ma copine en mets, tu pourrais en acheter.
Encore sa copine. Zut alors. Vexé, je ne relance pas la conversation et nous descendons dîner.

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