SUITE DE MES TRIBULATIONS EN BOÎTE DE NUIT.
Récit érotique écrit par DeeWar [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-10-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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SUITE DE MES TRIBULATIONS EN BOÎTE DE NUIT.
SUITE DE MES TRIBULATIONS EN BOÎTE DE NUIT.
Elle se tenait là, en compagnie de sa sœur et de sa cousine. Chacune avait amené son petit ami mais elle se retrouvait seule, comme à son habitude. Elle poirotait à cette table pendant que chaque couple se roulait des gamelles à s'en décrocher la mâchoire. Elle avait bien repéré ce type accoudé au bar mais il avait branché une blondasse dont le rimmel coulait sous ses yeux. Après s'être saoulés la gueule, ils étaient descendus au sous-sol.
Elle toucha son visage, par réflexe... Bon sang, pourquoi les hommes qui lui plaisaient la fuyaient-ils?
Elle était loin d'être moche, pourtant, avec ses longs cheveux noirs qui lui tombaient en boucle sur les épaules et ses yeux couleur vert émeraude. Sans oublier sa silhouette fine et chaloupée. Peut-être que ses dix-huit ans ne jouaient pas en sa faveur. Elle semblait bien plus jeune que son âge malgré tous les artifices dont elle usait pour paraître plus mature mais rien n'y faisait, la liste des prétendants qui hésitaient à la draguer s'allongeait jour après jour.
Elle décida de se bourrer à mort jusqu'au black-out et partit se trémousser sur la piste de danse. Elle dansait les bras en l'air comme possédée par le Démon et buvait tout ce qui lui tombait sous la main. Ses aller-retour du bar au dancefloor n'alarmèrent nullement ses amis. D'ailleurs, sa cousine venait juste de s'éclipser avec son copain, direction l'étage et les chambres.
Elle se déhancha au rythme endiablé de la musique, attisant le regard pervers des mâles en chaleur. En d'autres lieux, elle aurait eu honte de son comportement mais ce soir, elle voulait s'amuser, vivre sa vie à fond, quitte à se retrouver dans un état lamentable en fin de soirée. Vêtue de sa robe la plus courte, de ses talons les plus hauts et de son corsage le plus transparent, elle souhaitait briser l'image de la jeune fille modèle que son entourage connaissait.
Après avoir fait de l'œil au barman et fixé effrontément son béguin qui remontait seul des toilettes, elle revint sur la piste de danse, un verre de vodka à la main. Elle but la moité cul-sec et envoya valser le reste par terre. Grisée par l'alcool, elle ne put éviter d'écraser la chaussure d'un gars. Ce dernier crut qu'elle lui faisait du rentre dedans et vint se coller derrière son dos. Elle sentit un sexe dur frotter contre ses fesses. Elle répondit favorablement et ondula du bassin pour bien épouser l'engin qui manifestement, appréciait.
Mais l'idylle ne dura pas. Prise de vertiges, elle décida de battre en retraite et s'éloigna du groupe des danseurs d'un pas incertain. Elle bouscula une dizaine de personnes sans prendre le temps de vraiment s'excuser. Elle se retint in extremis au dossier d'une chaise pour éviter de se retrouver les quatre fers en l'air. Après plusieurs secondes d'hésitation, ses pas la guidèrent vers la sortie.
C'est là que le beau brun ténébreux du bar vint lui porter secours.
- Puis-je vous aider, mademoiselle?
Sa voix grave et envoûtante finirent par la convaincre. Elle balbutia une suite de mots incompréhensibles et lorsque ses yeux croisèrent son sourire ravageur, elle fondit comme une madeleine. Il l'entraîna dehors non sans avoir rassuré le videur, puis ils se dirigèrent vers le parking.
C'était une nuit d'été agréable avec une légère brise marine. Le changement de température apporta à la jeune fille un peu de réconfort mais très vite, les relents d'alcool remontèrent à la surface. Elle demanda à son chevalier servant de l'amener dans le local à poubelles situé en bout de terrain. Dès qu'ils furent arrivés, elle se pencha de trois-quart dans la benne à ordures et vomit une grande partie de son repas du soir.
Même si cela la soulagea, elle resta encore de longues minutes dans les vapes, basculée contre le conteneur, les fesses à l'air. C'est alors qu'une main caressa une de ses cuisses, à la limite de sa jupe. Cet attouchement la surpris autant qu'elle lui donna des frissons. Elle tenta de résister mollement avant de s'abandonner bien vite, submergée par le désir.
Bientôt, les doigts remontèrent plus haut, soulevant le fin tissus de cuir. Ils se retrouvèrent alors sur la forme arrondie de sa fesses droite. N'importe quelle personne sensée aurait repoussé le malotrus mais elle s'en fichait complètement. Elle tourna la tête quelques instants pour dévisager son bel inconnu puis revint à sa position initiale, concentrant toute son attention sur cette pogne d'adulte qui à présent glissait petit à petit vers l'avant de son entrejambe.
Elle sentit tout de suite son ventre se crisper de plaisir alors que la main se faufilait sous le string pour caresser sa fente déjà mouillée. Un gémissement s'échappa de sa bouche, attirant l'attention de deux curieux non loin de là. Elle se retourna une nouvelle fois et perçut une lueur perverse dans les yeux de son tourmenteur. Il la saisit par la nuque et l'obligea à se pencher plus avant dans le vide-ordures.
Quelque chose de dur se pressa contre sa raie alors que des doigts fureteurs écartèrent son minou avant que l'un d'entre eux ne glisse à l'intérieur. Elle remua son fessier, frottant celui-ci contre ce qui semblait être l'érection du mec, emprisonnée dans son jeans.
Elle entendit un grognement animal avant de sentir son string disparaître d'un coup. Le beau brun venait de le lui déchirer. Dans un geste volontaire, il lui agrippa les cheveux et la retourna de force face à lui.
La jeune fille aurait dû baisser sa jupe qui était remontée assez haut sur ses hanches pour dévoiler sa chatte luisante de plaisir. Mais elle n'en fit rien. Le séduisant trentenaire la souleva et la coucha sur une pile de vieux cartons à même le sol. L'homme écarta ses jambes pour se placer entre elles et la fille referma celles-ci autour de sa taille, pressant son bas-ventre contre la bosse qui déformait la toile du pantalon. Son bassin bougea de lui-même pour accentuer la pression de l'énorme érection sur son clitoris. Elle rejeta la tête en arrière, mêlant ses gémissements aux notes de musiques qui jouaient dans le lointain.
Bientôt, elle sentit son amant déboutonner son chemisier et dévoiler son soutient-gorge. L'inconnu sortit un canif de sa poche et sectionna chaque bretelle pour le rendre inutilisable. Elle connut un instant de panique, pas tant à cause de l'arme mais à l'idée qu'il lui faudrait retourner dans la boîte sans rien dessous son léger vêtement.
Il admira ses seins à travers les rayons de la lune. Chacun des mamelons pointait dans sa direction, durci par le plaisir. Une bouche chaude se referma alors sur l'un d'eux pendant que cinq doigts s'occupaient de l'autre. Des fêtards se rapprochèrent, téléphone en main prêts à immortaliser la scène. D'autres s'enhardirent et vinrent frôler la jeune femme. Elle aurait dû les rejeter et partir en courant mais son corps était trop excité pour se rebeller. Son cerveau ne commandait plus rien.
Puis les choses s'accélérèrent. Le bellâtre au sourire de tombeur la poussa à s'allonger entièrement à même le sol et lui écarta les cuisses bien grand à l'aide de ses mains, dévoilant son sexe à son regard et à la dizaine de voyeurs qui s'étaient agglutinés autour d'eux. La plupart prenaient des photos ou filmaient mais certains laissaient courir leurs doigts sur sa peau satinée. Une bouche se posa sur sa fente et commença à lécher celle-ci avec application, la faisant fondre de plaisir. La langue la fouillait minutieusement. Elle la sentait titiller son clitoris durant quelques minutes avant que les lèvres masculines ne se referment sur celui-ci pour l'aspirer goulûment. Elle sentit l'orgasme l'envahir peu à peu jusqu'au point de rupture.
En amant expérimenté, l'homme accéléra le rythme. Sa langue entra dans son vagin la faisant beugler comme la dernière des catins.
Elle jouit en criant son bonheur alors qu'il mimait un va-et-vient. Elle voulut rester allongée pour récupérer mais il devait rechercher autre chose car il la tira jusqu'à la pile de cartons avant d'appuyer sur ses épaules pour la mettre à genoux. Elle entendit le zip d'une braguette puis sentit une main lui agripper la nuque. Ses lèvres entrèrent en contact avec un sexe surdimensionné.
Elle ouvrit la bouche et commença à le sucer sous les applaudissements de l'auditoire. Elle enfonçait cette bite de cheval au plus profond de sa gorge avant de la faire ressortir. Ses aller-retour rapides, arrachèrent une plainte de satisfaction à son amant d'un soir. Elle voulait lui faire plaisir et montrer aux autres de quoi elle était capable à seulement dix-huit ans. Sa langue s'enroulait autour du gland puis léchait le vit sur toute la longueur. Une traînée de salive coulant jusqu'aux couilles attestait de son application à faire reluire ce manche de pioche hors du commun.
Elle entendait crépiter les flashs sans vraiment prendre conscience des gens qui l'entouraient. Ce qui était sûr, c'est qu'elle était devenue la reine d'un soir et qu'elle n'allait pas laisser passer une telle occasion. Aussi, elle se saisit des boules de son partenaire qu'elle malaxa délicatement. Après plusieurs secondes, et une fellation digne des meilleures turlutes de Boulogne, elle entendit son bel éphèbe grogner de plaisir. Elle eut juste le temps de recracher le morceau avant que ce dernier ne lui crème le visage d'une substance blanche et visqueuse. Elle ouvrit la bouche en grand pour récupérer un maximum de ce breuvage digne des meilleurs millésimes.
L'homme finit par relever son vide-couilles et la tourna vers une petite marée humaine qui s'était formée autour d'eux. Avec son doigt, il récupéra un peu de son jus dans sa chevelure shampouinée qu'il présenta à l'entrée de ses lèvres. Sans qu'on ne lui dise quoi que ce soit, la fille ouvrit la bouche et suça les trois phalanges avec délectation. Le cercle autour d'eux se resserra encore davantage si bien qu'elle pouvait sentir à présent leur haleine chaude dans son cou et leurs mains baladeuses sur tout son corps.
Loin de la protéger, son baiseur la retourna et la mit à quatre pattes. Il plaça son gland à l'entrée de son petit trou et commença à pousser. Il sentit rapidement une résistance et prit un temps d'arrêt. Puis il s'enfonça d'un coup, volant sans doute au passage sa virginité de ce côté là. Il la bourra énergiquement, son œillet étroit et humide s'ouvrant un peu plus à chaque passage. La fille poussait des gémissements où semblaient se mêler douleur et plaisir. Une des mains de l'homme partit jouer avec un des seins de sa soumise. Ils étaient chauds et durs sous ses doigts et il les malaxait sans douceur tout en continuant à la tringler à la dure. Bon sang, cette jeunette était promise à un bel avenir de salope. Tout juste majeure et déjà accros à la bite. Pour sûr, elle allait en voir défiler des kilomètres de queues par tous ses trous et pas plus tard que ce soir.
Cette perspective le fit cracher à nouveau. Il inonda les entrailles de sa femelle. Encore sonnée, cette dernière ne réagit pas lorsque son prince charmant (oui, j'ai omis de préciser que nous avions affaire une grande romantique) se redressa puis se tourna vers la trentaine de types surexcités en train de se pignoler la nouille comme des collégiens. Il les dévisagea, radieux, avec dans le regard la satisfaction du devoir accompli. Il se rhabilla tranquillement avant de leur lancer:
- Messieurs, elle est à vous.
Elle se tenait là, en compagnie de sa sœur et de sa cousine. Chacune avait amené son petit ami mais elle se retrouvait seule, comme à son habitude. Elle poirotait à cette table pendant que chaque couple se roulait des gamelles à s'en décrocher la mâchoire. Elle avait bien repéré ce type accoudé au bar mais il avait branché une blondasse dont le rimmel coulait sous ses yeux. Après s'être saoulés la gueule, ils étaient descendus au sous-sol.
Elle toucha son visage, par réflexe... Bon sang, pourquoi les hommes qui lui plaisaient la fuyaient-ils?
Elle était loin d'être moche, pourtant, avec ses longs cheveux noirs qui lui tombaient en boucle sur les épaules et ses yeux couleur vert émeraude. Sans oublier sa silhouette fine et chaloupée. Peut-être que ses dix-huit ans ne jouaient pas en sa faveur. Elle semblait bien plus jeune que son âge malgré tous les artifices dont elle usait pour paraître plus mature mais rien n'y faisait, la liste des prétendants qui hésitaient à la draguer s'allongeait jour après jour.
Elle décida de se bourrer à mort jusqu'au black-out et partit se trémousser sur la piste de danse. Elle dansait les bras en l'air comme possédée par le Démon et buvait tout ce qui lui tombait sous la main. Ses aller-retour du bar au dancefloor n'alarmèrent nullement ses amis. D'ailleurs, sa cousine venait juste de s'éclipser avec son copain, direction l'étage et les chambres.
Elle se déhancha au rythme endiablé de la musique, attisant le regard pervers des mâles en chaleur. En d'autres lieux, elle aurait eu honte de son comportement mais ce soir, elle voulait s'amuser, vivre sa vie à fond, quitte à se retrouver dans un état lamentable en fin de soirée. Vêtue de sa robe la plus courte, de ses talons les plus hauts et de son corsage le plus transparent, elle souhaitait briser l'image de la jeune fille modèle que son entourage connaissait.
Après avoir fait de l'œil au barman et fixé effrontément son béguin qui remontait seul des toilettes, elle revint sur la piste de danse, un verre de vodka à la main. Elle but la moité cul-sec et envoya valser le reste par terre. Grisée par l'alcool, elle ne put éviter d'écraser la chaussure d'un gars. Ce dernier crut qu'elle lui faisait du rentre dedans et vint se coller derrière son dos. Elle sentit un sexe dur frotter contre ses fesses. Elle répondit favorablement et ondula du bassin pour bien épouser l'engin qui manifestement, appréciait.
Mais l'idylle ne dura pas. Prise de vertiges, elle décida de battre en retraite et s'éloigna du groupe des danseurs d'un pas incertain. Elle bouscula une dizaine de personnes sans prendre le temps de vraiment s'excuser. Elle se retint in extremis au dossier d'une chaise pour éviter de se retrouver les quatre fers en l'air. Après plusieurs secondes d'hésitation, ses pas la guidèrent vers la sortie.
C'est là que le beau brun ténébreux du bar vint lui porter secours.
- Puis-je vous aider, mademoiselle?
Sa voix grave et envoûtante finirent par la convaincre. Elle balbutia une suite de mots incompréhensibles et lorsque ses yeux croisèrent son sourire ravageur, elle fondit comme une madeleine. Il l'entraîna dehors non sans avoir rassuré le videur, puis ils se dirigèrent vers le parking.
C'était une nuit d'été agréable avec une légère brise marine. Le changement de température apporta à la jeune fille un peu de réconfort mais très vite, les relents d'alcool remontèrent à la surface. Elle demanda à son chevalier servant de l'amener dans le local à poubelles situé en bout de terrain. Dès qu'ils furent arrivés, elle se pencha de trois-quart dans la benne à ordures et vomit une grande partie de son repas du soir.
Même si cela la soulagea, elle resta encore de longues minutes dans les vapes, basculée contre le conteneur, les fesses à l'air. C'est alors qu'une main caressa une de ses cuisses, à la limite de sa jupe. Cet attouchement la surpris autant qu'elle lui donna des frissons. Elle tenta de résister mollement avant de s'abandonner bien vite, submergée par le désir.
Bientôt, les doigts remontèrent plus haut, soulevant le fin tissus de cuir. Ils se retrouvèrent alors sur la forme arrondie de sa fesses droite. N'importe quelle personne sensée aurait repoussé le malotrus mais elle s'en fichait complètement. Elle tourna la tête quelques instants pour dévisager son bel inconnu puis revint à sa position initiale, concentrant toute son attention sur cette pogne d'adulte qui à présent glissait petit à petit vers l'avant de son entrejambe.
Elle sentit tout de suite son ventre se crisper de plaisir alors que la main se faufilait sous le string pour caresser sa fente déjà mouillée. Un gémissement s'échappa de sa bouche, attirant l'attention de deux curieux non loin de là. Elle se retourna une nouvelle fois et perçut une lueur perverse dans les yeux de son tourmenteur. Il la saisit par la nuque et l'obligea à se pencher plus avant dans le vide-ordures.
Quelque chose de dur se pressa contre sa raie alors que des doigts fureteurs écartèrent son minou avant que l'un d'entre eux ne glisse à l'intérieur. Elle remua son fessier, frottant celui-ci contre ce qui semblait être l'érection du mec, emprisonnée dans son jeans.
Elle entendit un grognement animal avant de sentir son string disparaître d'un coup. Le beau brun venait de le lui déchirer. Dans un geste volontaire, il lui agrippa les cheveux et la retourna de force face à lui.
La jeune fille aurait dû baisser sa jupe qui était remontée assez haut sur ses hanches pour dévoiler sa chatte luisante de plaisir. Mais elle n'en fit rien. Le séduisant trentenaire la souleva et la coucha sur une pile de vieux cartons à même le sol. L'homme écarta ses jambes pour se placer entre elles et la fille referma celles-ci autour de sa taille, pressant son bas-ventre contre la bosse qui déformait la toile du pantalon. Son bassin bougea de lui-même pour accentuer la pression de l'énorme érection sur son clitoris. Elle rejeta la tête en arrière, mêlant ses gémissements aux notes de musiques qui jouaient dans le lointain.
Bientôt, elle sentit son amant déboutonner son chemisier et dévoiler son soutient-gorge. L'inconnu sortit un canif de sa poche et sectionna chaque bretelle pour le rendre inutilisable. Elle connut un instant de panique, pas tant à cause de l'arme mais à l'idée qu'il lui faudrait retourner dans la boîte sans rien dessous son léger vêtement.
Il admira ses seins à travers les rayons de la lune. Chacun des mamelons pointait dans sa direction, durci par le plaisir. Une bouche chaude se referma alors sur l'un d'eux pendant que cinq doigts s'occupaient de l'autre. Des fêtards se rapprochèrent, téléphone en main prêts à immortaliser la scène. D'autres s'enhardirent et vinrent frôler la jeune femme. Elle aurait dû les rejeter et partir en courant mais son corps était trop excité pour se rebeller. Son cerveau ne commandait plus rien.
Puis les choses s'accélérèrent. Le bellâtre au sourire de tombeur la poussa à s'allonger entièrement à même le sol et lui écarta les cuisses bien grand à l'aide de ses mains, dévoilant son sexe à son regard et à la dizaine de voyeurs qui s'étaient agglutinés autour d'eux. La plupart prenaient des photos ou filmaient mais certains laissaient courir leurs doigts sur sa peau satinée. Une bouche se posa sur sa fente et commença à lécher celle-ci avec application, la faisant fondre de plaisir. La langue la fouillait minutieusement. Elle la sentait titiller son clitoris durant quelques minutes avant que les lèvres masculines ne se referment sur celui-ci pour l'aspirer goulûment. Elle sentit l'orgasme l'envahir peu à peu jusqu'au point de rupture.
En amant expérimenté, l'homme accéléra le rythme. Sa langue entra dans son vagin la faisant beugler comme la dernière des catins.
Elle jouit en criant son bonheur alors qu'il mimait un va-et-vient. Elle voulut rester allongée pour récupérer mais il devait rechercher autre chose car il la tira jusqu'à la pile de cartons avant d'appuyer sur ses épaules pour la mettre à genoux. Elle entendit le zip d'une braguette puis sentit une main lui agripper la nuque. Ses lèvres entrèrent en contact avec un sexe surdimensionné.
Elle ouvrit la bouche et commença à le sucer sous les applaudissements de l'auditoire. Elle enfonçait cette bite de cheval au plus profond de sa gorge avant de la faire ressortir. Ses aller-retour rapides, arrachèrent une plainte de satisfaction à son amant d'un soir. Elle voulait lui faire plaisir et montrer aux autres de quoi elle était capable à seulement dix-huit ans. Sa langue s'enroulait autour du gland puis léchait le vit sur toute la longueur. Une traînée de salive coulant jusqu'aux couilles attestait de son application à faire reluire ce manche de pioche hors du commun.
Elle entendait crépiter les flashs sans vraiment prendre conscience des gens qui l'entouraient. Ce qui était sûr, c'est qu'elle était devenue la reine d'un soir et qu'elle n'allait pas laisser passer une telle occasion. Aussi, elle se saisit des boules de son partenaire qu'elle malaxa délicatement. Après plusieurs secondes, et une fellation digne des meilleures turlutes de Boulogne, elle entendit son bel éphèbe grogner de plaisir. Elle eut juste le temps de recracher le morceau avant que ce dernier ne lui crème le visage d'une substance blanche et visqueuse. Elle ouvrit la bouche en grand pour récupérer un maximum de ce breuvage digne des meilleurs millésimes.
L'homme finit par relever son vide-couilles et la tourna vers une petite marée humaine qui s'était formée autour d'eux. Avec son doigt, il récupéra un peu de son jus dans sa chevelure shampouinée qu'il présenta à l'entrée de ses lèvres. Sans qu'on ne lui dise quoi que ce soit, la fille ouvrit la bouche et suça les trois phalanges avec délectation. Le cercle autour d'eux se resserra encore davantage si bien qu'elle pouvait sentir à présent leur haleine chaude dans son cou et leurs mains baladeuses sur tout son corps.
Loin de la protéger, son baiseur la retourna et la mit à quatre pattes. Il plaça son gland à l'entrée de son petit trou et commença à pousser. Il sentit rapidement une résistance et prit un temps d'arrêt. Puis il s'enfonça d'un coup, volant sans doute au passage sa virginité de ce côté là. Il la bourra énergiquement, son œillet étroit et humide s'ouvrant un peu plus à chaque passage. La fille poussait des gémissements où semblaient se mêler douleur et plaisir. Une des mains de l'homme partit jouer avec un des seins de sa soumise. Ils étaient chauds et durs sous ses doigts et il les malaxait sans douceur tout en continuant à la tringler à la dure. Bon sang, cette jeunette était promise à un bel avenir de salope. Tout juste majeure et déjà accros à la bite. Pour sûr, elle allait en voir défiler des kilomètres de queues par tous ses trous et pas plus tard que ce soir.
Cette perspective le fit cracher à nouveau. Il inonda les entrailles de sa femelle. Encore sonnée, cette dernière ne réagit pas lorsque son prince charmant (oui, j'ai omis de préciser que nous avions affaire une grande romantique) se redressa puis se tourna vers la trentaine de types surexcités en train de se pignoler la nouille comme des collégiens. Il les dévisagea, radieux, avec dans le regard la satisfaction du devoir accompli. Il se rhabilla tranquillement avant de leur lancer:
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