Suite de "mon beau-père" - histoire érotique

C’est la suite de l’histoire « mon beau père » parue le 23/7/16
Jean m’a piégé en m’offrant à son père, et si je ne le regrette pas, j’ai pris la décision de venger et de profiter de la situation ; en effet il avait convenu avec son père que je serais à lui toute la nuit et qu’ensuite, je serais à leur disposition.
A son retour, jean me retrouve, nue, la jute de son père s’écoulant le long de mes cuisses ; un peu furieuse d’avoir était leur jouet, mais surtout très excitée d’appartenir à son père sans sa présence, je me dirige vers la porte de mon beau père et en me retournant, je lui souhaite bonne nuit « Tu voulais que je lui appartienne, tu as réussi, mais tant pis pour toi, grâce à toi, il va pouvoir faire de moi ce qu’il veut ; je vais être à lui, mon corps est à lui et je sais qu’il va en profiter « Serge était allongé sur le lit, le sexe bandé ; il avait de toute évidence entendu mes propos, et un grand sourire éclairait son visage. Il sait que je vais lui appartenir. J’avoue que mon envie est grande d’être sa femme pendant tout son séjour. Excitation d’autant plus grande que jean est à coté et qu’il va pouvoir m’entendre jouir , et cela beaucoup plus vite qu’il ne le pense ; en effet, la porte à peine refermée, serge me tend la main et je me précipite sur lui ; par besoin de préliminaire, ma chatte a encore le souvenir de cette colonne et grimpant sur lui, je me positionne au-dessus de sa queue et je m’empale sur le membre bandé ; il est surpris, mais agrippant mes hanches, il me donne un grand coup de bassin et son vit vient percuté le fond de ma matrice ; sous l’effet de cette pénétration, mon excitation grandit et je le chevauche vigoureusement ; sur son visage, le sourire de l’homme sûr de lui et de sa victoire ; il sait que je suis tout à lui ; quittant mes hanches, il m’attrape la tête et sa bouche se pose sur la mienne , sa langue me fouille, son baiser est celui d’un amant fougueux. Ses mains se portent sur mes seins et me pincent les tétons saillants ; il a compris que j’y suis sensible et que cela me fait grimper aux rideaux ;il me faut peu de temps pour jouir et mes cris doivent s’entendre de la chambre de jean, ce qui me stimule encore plus ; serge est un redoutable baiseur, sachant se retenir, pour mieux me prendre ; me retournant, il m’allonge et écartant mes cuisses , il me pourfend pendant de longues minutes , m’encourageant dans ma jouissance , me faisant exploser plusieurs fois avant qu’à nouveau , je ne puisses retenir mes hurlements de bonheur, avant de m’écrouler, épuisée par cette chevauchée.
Alors que je reprends mes esprits allongée à plat ventre, ses doigts me caressent le dos et doucement descendent vers mes fesses et s’infiltrent dans mon sillon ; je me cabre car je n’aime pas la sodomie ce que j’ai toujours refusé à mes amants et même à jean ; fermement il me plaque à nouveau à plat ventre, et son doigts vient titiller ma corolle ; j’ai beau protester, , prenant de sa semence qui s’écoule de ma chatte, il continue et petit à petit son doigt me dilate.
« j’ai compris que tu es vierge de ton cul, mais ce soir, tu vas m’appartenir complétement ; ce que mon fils n’a pas su te faire apprecier, je vais le faire et tu vas perdre ta virginité anale avec moi ; ainsi tu seras vraiment à moi ; rassure toi et détend toi, je vais faire doucement » en effet, prenant un peu de semence , il commence à nouveau à me dilater l’anneau et aprèsun petit moment c’est deux, puis trois doigts qui me sodomisent ; si l’appréhension est toujours là, l’excitation de me faire dépuceler l’anneau par mon serge facilite mon acceptation ; mon homme m’a offert à lui et je vais lui appartenir complétement. Me faisant mettre à quatre pattes, serge accentue la dilatation et soudain, je sens son gland appuyer sur mon anneau et petit à petit il pousse, quand il arrive à l’anneau, la douleur me transperce et je le supplie d’arrêter « tu veux m’appartenir vraiment ? Faire cocu ton mari plus que ce qu’il voulait alors accepte ma queue. Tu en as envie ? » Je ne peux que hocher la tête en guise d’accord et soudain une grande claque me surprend et il en profite pour s’enfoncer profondément ; je ne peux retenir un hurlement de douleur ; il vient de m’enculer de toute la longeur de sa queue. Soudain la porte s’ouvre : c’est jean qui effrayé par mon hurlement se précipite vers le lit ;et le tableau qu’il découvre doit le laisser stupéfait car, si la douleur est importante, je tiens ma vengeance: « tu vois ton père vient de me sodomiser, c’est son cadeau pour lui seul » je ne peux en dire plus car serge a commencé à me pistonner et sa queue me perfore profondément ; son bassin vient percuter mes fesses et jean ne peut que constater la possession totale de son père ; d’autant plus que maintenant la douleur a disparu et que pour la première fois j’éprouve du plaisir anal et mes gémissements puis mes encouragements pour qu’il me prenne plus fort lui prouve que mon plaisir est total et que ce soir , son père me possède entièrement ; d’autant plus que son père lui rappelle que cette nuit , je suis à lui et que le plaisir que j’ai et que j’aurais de cette situation restera marquée dans ma tête et dans mon corps ; et il a raison, ce soir je suis à lui entièrement soumise à ses envies. Sans rien dire, jean quitte la pièce pris à son propre jeu. Jeu qui durera une bonne partie de la nuit ; j’avoue être surprise de sa résistance, car il me fera jouir à chaque fois et par trois fois, il m’engrossera, ce qui, à chaque fois m’apportera une jouissance totale.
Le lendemain matin, c’est serge qui me réveille ; « viens, nous allons rejoindre ton mari, j’ai envie de te prendre , devant lui et dans votre lit » me prenant par la main, il m’emmène dans ma chambre ,où jean ne dort pas (va-t-il beaucoup dormi) et m’allongeant sur le dos, pour la énième fois, il me possède, m’écartant les cuisses le plus possible pour que jean puise bien voir son sexe me labourant le ventre, malgré ma fatigue le plaisir vient rapidement et m’agrippant à cet amant imprévu, je lui crie mon plaisir et mon amour, et regardant jean dans les yeux ; « pendant la durée du séjour de ton père je serais à lui et s’il le veut tu pourras me prendre, mais toujours en sa présence ; tu as voulu que je lui appartienne, c’est le cas maintenant car c’est un merveilleux amant, qui toute la nuit, tu as du l’entendre, m’a fait jouir ; et pour cela je t’en remercie, tant pis pour toi . C’est alors que serge, me prenant par le cou me relève la tête et m’embrasse fougueusement alors que son sperme me remplit. à nouveau.
A suivre si vous le voulez