Suite des vacances à 4
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-08-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Suite des vacances à 4
Bonjour,
À la suite des vacances d’ARCACHON, Valérie est restée en contact avec Laurence et Christophe.
Pendant les vacances, leur attitude envers nous, nous a attiré sur le partage des sensations et cela collait davantage avec nos attentes et celles de Valérie.
Dès notre retour, Laurence et Christophe, nous ont proposé de nous rencontrer seul.
Christophe m’avait donné beaucoup de plaisir et m’avait fait découvrir que dans le fond de moi-même, j’aimais être soumis.
Le week-end suivant, nous les recevons, ils arrivent, je vois descendre Laurence de la voiture. Elle est habillée très classe avec un imperméable en vinyle noir, suivi par Christophe qui est habillé d’un jeans vinyle et d’une chemise blanche.
On se fait la bise dès qu’ils passent la porte.
Nous les invitons à aller sur la terrasse dans le salon extérieur pour prendre un verre.
Nous commençons à parler de nos vacances et de ce que nous avons pris comme plaisirs.
Laurence fait des compliments à Valérie sur ses formes, son aspect timide, le fait qu’elle avait un beau sourire et qu’elles avaient pris beaucoup orgasme toutes les deux.
Laurence a déclaré à Valérie, qu’elle avait sue lui ouvrir l’accès à son envie de l’homosexualité réelle et non déguisée par un « faire semblant » avec une partenaire.
Elle avoue que Valérie, l’a fait frissonner plusieurs fois et qu’elle n’avait jamais connu cela.
Laurence n’arrête pas de faire des compliments et Christophe, valide chaque fois les paroles de sa femme.
Valérie lui retourne ses compliments et lui fait savoir que son physique lui plaît beaucoup.
— Tu es belle aussi, et tu me fais aussi beaucoup de l'effet.
Je suis surpris de la rapidité à laquelle ma femme déclare aussi ses envies à Laurence.
Laurence se lève et ouvre son imperméable pour laisser apparaitre ses dessous en vinyle et vient se positionner près de Valérie.
Elles se regardent toutes les deux. Valérie porte une main sur le visage de Laurence pour la caresser.
Laurence n'attend pas plus longtemps et attrape le visage de Valérie à deux mains pour l'embrasser.
Christophe et moi nous regardons.
Je me lève pour aller me mettre près de lui.
Christophe me dit que le désir de nous rencontrer, était un fantasme dès qu’ils nous ont vu à Arcachon.
Christophe : « tu sais, dès que je t’ai vu, je savais que tu étais une bonne lopette et que tu aimais ça, mais tu dois me le dire si cela te choc ».
Moi : « ne t’inquiète pas , cela reste dans le respect, je ne dis pas non au contraire ».
Il me propose de le toucher.
Je pose une main sur sa cuisse. Il me porte une main au visage et me caresse.
Comme nous l'avions convenu avec Valérie, on se regarde régulièrement pour voir le plaisir de l'autre.
Je vois Valérie complètement enlacée avec Laurence.
Je me dis qu'elle est partie sur le kif, je dois en faire autant.
Je regarde alors Christophe et je dirige mon visage vers ses lèvres.
Nous nous embrassons, je ferme les yeux, et le contact me fait sursauter.
J'ouvre timidement les lèvres et je sens que Christophe me rentre sa langue directement dans la bouche et il me force à tourner la mienne.
Du coin de l'œil, je regarde toujours Valérie.
Je vois que Laurence porte sa main sur la poitrine de Valérie, elle me fait un petit clin d'œil de satisfaction.
Je sens la main d'Christophe se porter sur mon sexe.
Je bande un peu par l'excitation.
Il fait un « Hum ! » toujours en m'embrassant.
Je lui en fais autant. Là j'ai une surprise de taille. Le paquet ne tient pas dans ma main et je pense qu'il doit avoir une excitation déjà bien importante et que son jeans lui bloque le développement complet.
Valérie nous regarde. Elle porte alors sa main sur l'entrecuisse de Laurence pour imiter mon action.
Laurence couche directement Valérie sur le canapé, elle est surprise, mais se laisse faire.
Je regarde le paquet de Christophe et je vois que la braguette est bien tendue. Je lui baisse la fermeture éclair doucement.
Je bande encore plus fort. La vue du slip qui dépasse de la braguette me laisse prévoir une vue magnifique.
On s'excite mutuellement en même temps que nous regardons nos femmes.
Laurence n'a pas quitté son imperméable en vinyle et elle s'est couchée sur Valérie.
L'imperméable m'empêche de voir ce que font ses mains sur l'entrecuisse de ma femme.
Je suis excité et je me dis qu'il est temps de découvrir le sexe de mon partenaire.
Je porte ma main sur sa ceinture. Je dégrafe, retire le bouton et laisse le slip gonfler par la libération du sexe emprisonnant.
Aussitôt, Christophe se lève et baisse son pantalon sans retirer son slip.
Je suis stupéfait lorsque je vois la tension du slip, je suis mitigé entre excitation et la peur.
J'en fais autant, je retire mon pantalon.
Je me rassois alors qu'Christophe reste debout.
Il me regarde dans les yeux et il se met les mains sur les hanches, comme pour attendre.
Je regarde Valérie qui est en train de se faire caresser l'entrecuisse et j'entends des susurrements de jouissances.
Alors je me tourne à nouveau devant Christophe qui me dit :
— Tu vois, elles se donnent du plaisir et elles sont dans un sacré état, qu’est ce tu attends pour m’en donner ?
Alors je porte mes mains sur le slip et je le baisse délicatement.
Son sexe sort avec un sursaut.
Je suis surpris par son sexe qui est long, d’un bon diamètre, et avec un gland recouvert par le prépuce qui est énorme.
Je panique car je me dis que je vais être obliger de la reprendre en bouche comme en vacances.
Christophe a attrapé son sexe pour le redresser et décalotter le gland complètement.
J’essaye de croiser le regard de Valérie mais je vois celui de Laurence.
Elle me fait un grand sourire quand elle a vu que j’avais le sexe de son mari sous les yeux et elle me fait un signe de la tête comme pour me dire d’y aller et de prendre du plaisir à le sucer
Laurence à les doigts planté dans la vulve de ma femme, Valérie se tortille de bonheur.
La vue de ma femme en plein bonheur, m’excite et Laurence ouvre la bouche en grand pour me faire comprendre d’y aller.
Je saisie le sexe d’Christophe d’une main et je m’approche de plus près.
Christophe me dit de sortir la langue et de le lécher.
J’exécute et je tourne tout autour de ce champignon.
Je m’exécute à lécher mais timidement.
Christophe me prend la tête à deux mains et me la relève pour voir mes yeux.
Je suis obligé d’ouvrir la bouche.
Il place alors son gland à l’entrée de ma bouche.
Je sens que l’engin prend beaucoup de place.
Il me penche la tête légèrement en avant et il m’enfonce son dard doucement.
En quelques secondes, je me mets à baver sans le vouloir.
Christophe commence à me donner des coups de reins pour la faire rentrer de plus en plus loin.
Le gland vient taper dans le fond de ma gorge.
A chaque coup, je reste en apnée.
Christophe se rend compte que j’accepte son sexe et que j’aime.
Il me dit, « tu aimes bien salope et tu es un très bon suceur ».
Je ne peux pas voir Valérie car Christophe me bloque contre son ventre.
Il reprend ses coups de reins et il me ramone la bouche.
Il se retire enfin de ma bouche.
Je peux regarder ma femme.
Laurence est allongée par terre et Valérie est en train de lui caresser le sexe avec ses doigts.
Christophe retire complètement ses vêtements et les plis sur le bord du fauteuil.
Christophe me dit « Pouvons nous aller sur un lit ? »
J’accepte et je me relève.
Je reste figé de voir ma femme, donner du plaisir à une autre.
Elle a un grand sourire et Laurence se tortille de jouissances.
Je propose aux filles de venir avec nous dans la chambre.
Christophe me dit que nous pouvons y aller et qu’elles vont nous rejoindre.
Surpris, je m’imagine tout de suite ce qu’il m’attend et j’insiste auprès des filles pour qu’elles viennent.
Valérie me répond « allez s’y, préparez vous, nous arrivons »
Je ne vous cache pas que je suis très inquiet.
Faire une pipe, pour moi c’était déjà bien, mais aller plus loin me semblait trop pour aujourd’hui.
Je tourne les talons pour aller vers notre chambre mais avec le regard fixé sur Valérie et Laurence.
Christophe m’emboite le pas et nous arrivons dans la chambre.
Il me fait des compliments sur le lit qui est de grande taille et la décoration.
Notre lit fait 1,80x2,00 mètres, c’est Valérie qui avait choisi avec une ossature en fer forgé qui fait vieux château.
Christophe me propose de m’allonger afin qu’il me retourne la pipe que je lui ai donné.
Je suis un peu rassuré, en pensant que cela va compenser le temps pour que les filles nous rejoignent.
Je m’allonge. Christophe monte sur le lit à quatre pattes et je peux voir son sexe énorme qui fait ballotter ses testicules.
La vue de cet engin, m’excite à nouveau.
La bouche de Christophe arrive sur mon gland. Il me prend en bouche jusqu’en fond de gorge directement, cela m’a fait frissonner.
Il s’est mis à me pomper, à mordiller, lécher, et me griffer le membre doucement avec ses ongles.
Il m’a donné beaucoup de plaisir. Je n’en revenais pas qu’il suce comme cela.
Valérie m’a déjà fait une fellation mais à chaque fois c’était pour humidifier mon sexe en préliminaire de la pénétration.
Christophe me demande de parler pendant nos ébats car il aime cela.
Je commence par lui dire que j’aime ce qu’il me fait et qu’il devrait aller plus doucement.
Il me rétorque « non, parle-moi, comme tu le ferai en baisant ta femme, moi aussi j’aime être soumis »
Eh bien, « je te donne du plaisir mon chéri ? »
Christophe « vas-y plus vulgaire ! »
Alors je change de ton « suce moi bien, encore coquin, je vais gicler tellement tu m’excite ».
Il se retire à ce moment-là.
Il me dit « tu viens déjà ? »
Moi « non c’est seulement que j’ai dit vulgairement que j’allais venir ! »
Christophe « Ok, désolé, mais si tu viens vraiment, préviens-moi ! »
Moi « Ne t’inquiète pas »
Il a repris sa pipe magistrale. Que du bonheur.
Je ne pensais même plus à ma femme jusqu’à ce que j’entende des cris de jouissances des deux filles.
Christophe change de position et vient en « 69 » et me présente à nouveau son sexe devant les lèvres.
J’ai l’impression qu’il a encore pris du volume.
Le gland est beaucoup plus gros que la tige du sexe.
La couleur est passée au rouge comme une fraise.
J’ouvre la bouche pour accueillir le gland mais j’ai l’impression que ça ne va plus rentrer.
Christophe prend son sexe d’une main et le mien de l’autre.
J’ai l’impression que je ne pourrai pas ouvrir plus mes maxillaires pour laisser rentrer ce machin.
Je sens que Christophe prend mon gland entre ses dents ; la sensation est sympa.
Christophe me dit « ouvre plus grand la bouche »
Sans pouvoir lui répondre, il me mord le gland, ce qui me fait crier alors il lâche son sexe de sa main, et de tout son poids il me fait rentrer son sexe en bouche.
Christophe « cela rentre mieux comme ça ».
Ses jambes me bloquaient les bras je me résignais à sucer.
Les filles sont arrivées dans la chambre.
Laurence dit à Christophe « Alors, François est un bon partenaire ? car Valérie est extraordinaire, je l’aime aussi ! »
Christophe se relève et dit « Il assure très bien. Viens goutter à sa bitte. »
Laurence viens me prendre en bouche, mais je ne vois pas où est Valérie.
Valérie est passée derrière moi pour voir comment je me débrouille.
Elle dit « Alors tu aimes ? Toi qui me réclames souvent une pipe, à ton tour de la prendre. »
Valérie regarde alors les hanches de Christophe qui donnent des coups de reins pour rentrer son sexe à fond.
Christophe se retire pour laisser apparaitre son gland.
Valérie pousse un cris « Wahaa..Il est énorme. Mon chéri tu vas bien ? »
Je la rassure et lui dit que je prends mon pied à le sucer.
Valérie « Tu m’étonne que l’on n’entendît plus ta voie. Le gland te calait la bouche ! »
Elle a tendu sa petite main pour saisir le gland d’Christophe.
Elle se mis à rire nerveusement.
Valérie dit à Laurence « elle rentre facilement dans ta vulve ? »
Elle lui répond « bien sûr, le gland s’adapte et les lèvres de mon sexe aussi ! Tu veux essayer ?».
Laurence ordonne à Christophe de changer de position.
Elle propose que Christophe et moi soyons sur le dos et qu’elles nous chevauchent.
Une fois que Christophe est allongé, Valérie va directement saisir son sexe.
J’ai les yeux complètement écarquillés de la voir dans cet état.
Laurence vient près de moi et me caresse le sexe.
Elle me complimente car le mien n’est pas gros mais plus long que celui d’Christophe.
Valérie approche ses lèvres du gland. Elle n’a pas une bouche aussi grande que la mienne alors je me pose des questions sur la suite.
Christophe dit à Valérie « Alors il te plait ? Essaye de le sucer comme une glace ! »
Valérie s’active autour comme moi.
Sans qu’Christophe ai besoin de faire qui que ce soit, Valérie gobe du premier coup le gland.
Laurence me chevauche au même moment et s’empale sur moi sans préparation. Elle porte toujours son imper en vinyle.
C’est quand elle arrive à la garde de mon sexe que je comprends qu’elle est toute humide à l’intérieur.
Valérie ne s’attarde pas avec sa bouche, elle remonte sur Christophe.
Je ne loupe pas une seconde et je vois Valérie se mettre accroupie sur le sexe et la pénétration se fait comme sans efforts.
Valérie pousse un hurlement de jouissance extrême.
Elle se met à insulter sa bitte de « Salope, qu’elle est bonne ta bitte, elle me défonce bien ! »
Il n’en fallait pas plus pour que Christophe et moi nous déchargions notre sperme dans le vagin de la femme de l’autre.
À la suite des vacances d’ARCACHON, Valérie est restée en contact avec Laurence et Christophe.
Pendant les vacances, leur attitude envers nous, nous a attiré sur le partage des sensations et cela collait davantage avec nos attentes et celles de Valérie.
Dès notre retour, Laurence et Christophe, nous ont proposé de nous rencontrer seul.
Christophe m’avait donné beaucoup de plaisir et m’avait fait découvrir que dans le fond de moi-même, j’aimais être soumis.
Le week-end suivant, nous les recevons, ils arrivent, je vois descendre Laurence de la voiture. Elle est habillée très classe avec un imperméable en vinyle noir, suivi par Christophe qui est habillé d’un jeans vinyle et d’une chemise blanche.
On se fait la bise dès qu’ils passent la porte.
Nous les invitons à aller sur la terrasse dans le salon extérieur pour prendre un verre.
Nous commençons à parler de nos vacances et de ce que nous avons pris comme plaisirs.
Laurence fait des compliments à Valérie sur ses formes, son aspect timide, le fait qu’elle avait un beau sourire et qu’elles avaient pris beaucoup orgasme toutes les deux.
Laurence a déclaré à Valérie, qu’elle avait sue lui ouvrir l’accès à son envie de l’homosexualité réelle et non déguisée par un « faire semblant » avec une partenaire.
Elle avoue que Valérie, l’a fait frissonner plusieurs fois et qu’elle n’avait jamais connu cela.
Laurence n’arrête pas de faire des compliments et Christophe, valide chaque fois les paroles de sa femme.
Valérie lui retourne ses compliments et lui fait savoir que son physique lui plaît beaucoup.
— Tu es belle aussi, et tu me fais aussi beaucoup de l'effet.
Je suis surpris de la rapidité à laquelle ma femme déclare aussi ses envies à Laurence.
Laurence se lève et ouvre son imperméable pour laisser apparaitre ses dessous en vinyle et vient se positionner près de Valérie.
Elles se regardent toutes les deux. Valérie porte une main sur le visage de Laurence pour la caresser.
Laurence n'attend pas plus longtemps et attrape le visage de Valérie à deux mains pour l'embrasser.
Christophe et moi nous regardons.
Je me lève pour aller me mettre près de lui.
Christophe me dit que le désir de nous rencontrer, était un fantasme dès qu’ils nous ont vu à Arcachon.
Christophe : « tu sais, dès que je t’ai vu, je savais que tu étais une bonne lopette et que tu aimais ça, mais tu dois me le dire si cela te choc ».
Moi : « ne t’inquiète pas , cela reste dans le respect, je ne dis pas non au contraire ».
Il me propose de le toucher.
Je pose une main sur sa cuisse. Il me porte une main au visage et me caresse.
Comme nous l'avions convenu avec Valérie, on se regarde régulièrement pour voir le plaisir de l'autre.
Je vois Valérie complètement enlacée avec Laurence.
Je me dis qu'elle est partie sur le kif, je dois en faire autant.
Je regarde alors Christophe et je dirige mon visage vers ses lèvres.
Nous nous embrassons, je ferme les yeux, et le contact me fait sursauter.
J'ouvre timidement les lèvres et je sens que Christophe me rentre sa langue directement dans la bouche et il me force à tourner la mienne.
Du coin de l'œil, je regarde toujours Valérie.
Je vois que Laurence porte sa main sur la poitrine de Valérie, elle me fait un petit clin d'œil de satisfaction.
Je sens la main d'Christophe se porter sur mon sexe.
Je bande un peu par l'excitation.
Il fait un « Hum ! » toujours en m'embrassant.
Je lui en fais autant. Là j'ai une surprise de taille. Le paquet ne tient pas dans ma main et je pense qu'il doit avoir une excitation déjà bien importante et que son jeans lui bloque le développement complet.
Valérie nous regarde. Elle porte alors sa main sur l'entrecuisse de Laurence pour imiter mon action.
Laurence couche directement Valérie sur le canapé, elle est surprise, mais se laisse faire.
Je regarde le paquet de Christophe et je vois que la braguette est bien tendue. Je lui baisse la fermeture éclair doucement.
Je bande encore plus fort. La vue du slip qui dépasse de la braguette me laisse prévoir une vue magnifique.
On s'excite mutuellement en même temps que nous regardons nos femmes.
Laurence n'a pas quitté son imperméable en vinyle et elle s'est couchée sur Valérie.
L'imperméable m'empêche de voir ce que font ses mains sur l'entrecuisse de ma femme.
Je suis excité et je me dis qu'il est temps de découvrir le sexe de mon partenaire.
Je porte ma main sur sa ceinture. Je dégrafe, retire le bouton et laisse le slip gonfler par la libération du sexe emprisonnant.
Aussitôt, Christophe se lève et baisse son pantalon sans retirer son slip.
Je suis stupéfait lorsque je vois la tension du slip, je suis mitigé entre excitation et la peur.
J'en fais autant, je retire mon pantalon.
Je me rassois alors qu'Christophe reste debout.
Il me regarde dans les yeux et il se met les mains sur les hanches, comme pour attendre.
Je regarde Valérie qui est en train de se faire caresser l'entrecuisse et j'entends des susurrements de jouissances.
Alors je me tourne à nouveau devant Christophe qui me dit :
— Tu vois, elles se donnent du plaisir et elles sont dans un sacré état, qu’est ce tu attends pour m’en donner ?
Alors je porte mes mains sur le slip et je le baisse délicatement.
Son sexe sort avec un sursaut.
Je suis surpris par son sexe qui est long, d’un bon diamètre, et avec un gland recouvert par le prépuce qui est énorme.
Je panique car je me dis que je vais être obliger de la reprendre en bouche comme en vacances.
Christophe a attrapé son sexe pour le redresser et décalotter le gland complètement.
J’essaye de croiser le regard de Valérie mais je vois celui de Laurence.
Elle me fait un grand sourire quand elle a vu que j’avais le sexe de son mari sous les yeux et elle me fait un signe de la tête comme pour me dire d’y aller et de prendre du plaisir à le sucer
Laurence à les doigts planté dans la vulve de ma femme, Valérie se tortille de bonheur.
La vue de ma femme en plein bonheur, m’excite et Laurence ouvre la bouche en grand pour me faire comprendre d’y aller.
Je saisie le sexe d’Christophe d’une main et je m’approche de plus près.
Christophe me dit de sortir la langue et de le lécher.
J’exécute et je tourne tout autour de ce champignon.
Je m’exécute à lécher mais timidement.
Christophe me prend la tête à deux mains et me la relève pour voir mes yeux.
Je suis obligé d’ouvrir la bouche.
Il place alors son gland à l’entrée de ma bouche.
Je sens que l’engin prend beaucoup de place.
Il me penche la tête légèrement en avant et il m’enfonce son dard doucement.
En quelques secondes, je me mets à baver sans le vouloir.
Christophe commence à me donner des coups de reins pour la faire rentrer de plus en plus loin.
Le gland vient taper dans le fond de ma gorge.
A chaque coup, je reste en apnée.
Christophe se rend compte que j’accepte son sexe et que j’aime.
Il me dit, « tu aimes bien salope et tu es un très bon suceur ».
Je ne peux pas voir Valérie car Christophe me bloque contre son ventre.
Il reprend ses coups de reins et il me ramone la bouche.
Il se retire enfin de ma bouche.
Je peux regarder ma femme.
Laurence est allongée par terre et Valérie est en train de lui caresser le sexe avec ses doigts.
Christophe retire complètement ses vêtements et les plis sur le bord du fauteuil.
Christophe me dit « Pouvons nous aller sur un lit ? »
J’accepte et je me relève.
Je reste figé de voir ma femme, donner du plaisir à une autre.
Elle a un grand sourire et Laurence se tortille de jouissances.
Je propose aux filles de venir avec nous dans la chambre.
Christophe me dit que nous pouvons y aller et qu’elles vont nous rejoindre.
Surpris, je m’imagine tout de suite ce qu’il m’attend et j’insiste auprès des filles pour qu’elles viennent.
Valérie me répond « allez s’y, préparez vous, nous arrivons »
Je ne vous cache pas que je suis très inquiet.
Faire une pipe, pour moi c’était déjà bien, mais aller plus loin me semblait trop pour aujourd’hui.
Je tourne les talons pour aller vers notre chambre mais avec le regard fixé sur Valérie et Laurence.
Christophe m’emboite le pas et nous arrivons dans la chambre.
Il me fait des compliments sur le lit qui est de grande taille et la décoration.
Notre lit fait 1,80x2,00 mètres, c’est Valérie qui avait choisi avec une ossature en fer forgé qui fait vieux château.
Christophe me propose de m’allonger afin qu’il me retourne la pipe que je lui ai donné.
Je suis un peu rassuré, en pensant que cela va compenser le temps pour que les filles nous rejoignent.
Je m’allonge. Christophe monte sur le lit à quatre pattes et je peux voir son sexe énorme qui fait ballotter ses testicules.
La vue de cet engin, m’excite à nouveau.
La bouche de Christophe arrive sur mon gland. Il me prend en bouche jusqu’en fond de gorge directement, cela m’a fait frissonner.
Il s’est mis à me pomper, à mordiller, lécher, et me griffer le membre doucement avec ses ongles.
Il m’a donné beaucoup de plaisir. Je n’en revenais pas qu’il suce comme cela.
Valérie m’a déjà fait une fellation mais à chaque fois c’était pour humidifier mon sexe en préliminaire de la pénétration.
Christophe me demande de parler pendant nos ébats car il aime cela.
Je commence par lui dire que j’aime ce qu’il me fait et qu’il devrait aller plus doucement.
Il me rétorque « non, parle-moi, comme tu le ferai en baisant ta femme, moi aussi j’aime être soumis »
Eh bien, « je te donne du plaisir mon chéri ? »
Christophe « vas-y plus vulgaire ! »
Alors je change de ton « suce moi bien, encore coquin, je vais gicler tellement tu m’excite ».
Il se retire à ce moment-là.
Il me dit « tu viens déjà ? »
Moi « non c’est seulement que j’ai dit vulgairement que j’allais venir ! »
Christophe « Ok, désolé, mais si tu viens vraiment, préviens-moi ! »
Moi « Ne t’inquiète pas »
Il a repris sa pipe magistrale. Que du bonheur.
Je ne pensais même plus à ma femme jusqu’à ce que j’entende des cris de jouissances des deux filles.
Christophe change de position et vient en « 69 » et me présente à nouveau son sexe devant les lèvres.
J’ai l’impression qu’il a encore pris du volume.
Le gland est beaucoup plus gros que la tige du sexe.
La couleur est passée au rouge comme une fraise.
J’ouvre la bouche pour accueillir le gland mais j’ai l’impression que ça ne va plus rentrer.
Christophe prend son sexe d’une main et le mien de l’autre.
J’ai l’impression que je ne pourrai pas ouvrir plus mes maxillaires pour laisser rentrer ce machin.
Je sens que Christophe prend mon gland entre ses dents ; la sensation est sympa.
Christophe me dit « ouvre plus grand la bouche »
Sans pouvoir lui répondre, il me mord le gland, ce qui me fait crier alors il lâche son sexe de sa main, et de tout son poids il me fait rentrer son sexe en bouche.
Christophe « cela rentre mieux comme ça ».
Ses jambes me bloquaient les bras je me résignais à sucer.
Les filles sont arrivées dans la chambre.
Laurence dit à Christophe « Alors, François est un bon partenaire ? car Valérie est extraordinaire, je l’aime aussi ! »
Christophe se relève et dit « Il assure très bien. Viens goutter à sa bitte. »
Laurence viens me prendre en bouche, mais je ne vois pas où est Valérie.
Valérie est passée derrière moi pour voir comment je me débrouille.
Elle dit « Alors tu aimes ? Toi qui me réclames souvent une pipe, à ton tour de la prendre. »
Valérie regarde alors les hanches de Christophe qui donnent des coups de reins pour rentrer son sexe à fond.
Christophe se retire pour laisser apparaitre son gland.
Valérie pousse un cris « Wahaa..Il est énorme. Mon chéri tu vas bien ? »
Je la rassure et lui dit que je prends mon pied à le sucer.
Valérie « Tu m’étonne que l’on n’entendît plus ta voie. Le gland te calait la bouche ! »
Elle a tendu sa petite main pour saisir le gland d’Christophe.
Elle se mis à rire nerveusement.
Valérie dit à Laurence « elle rentre facilement dans ta vulve ? »
Elle lui répond « bien sûr, le gland s’adapte et les lèvres de mon sexe aussi ! Tu veux essayer ?».
Laurence ordonne à Christophe de changer de position.
Elle propose que Christophe et moi soyons sur le dos et qu’elles nous chevauchent.
Une fois que Christophe est allongé, Valérie va directement saisir son sexe.
J’ai les yeux complètement écarquillés de la voir dans cet état.
Laurence vient près de moi et me caresse le sexe.
Elle me complimente car le mien n’est pas gros mais plus long que celui d’Christophe.
Valérie approche ses lèvres du gland. Elle n’a pas une bouche aussi grande que la mienne alors je me pose des questions sur la suite.
Christophe dit à Valérie « Alors il te plait ? Essaye de le sucer comme une glace ! »
Valérie s’active autour comme moi.
Sans qu’Christophe ai besoin de faire qui que ce soit, Valérie gobe du premier coup le gland.
Laurence me chevauche au même moment et s’empale sur moi sans préparation. Elle porte toujours son imper en vinyle.
C’est quand elle arrive à la garde de mon sexe que je comprends qu’elle est toute humide à l’intérieur.
Valérie ne s’attarde pas avec sa bouche, elle remonte sur Christophe.
Je ne loupe pas une seconde et je vois Valérie se mettre accroupie sur le sexe et la pénétration se fait comme sans efforts.
Valérie pousse un hurlement de jouissance extrême.
Elle se met à insulter sa bitte de « Salope, qu’elle est bonne ta bitte, elle me défonce bien ! »
Il n’en fallait pas plus pour que Christophe et moi nous déchargions notre sperme dans le vagin de la femme de l’autre.
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