Suite du mariage de Danielle
Récit érotique écrit par Tarbenero [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-09-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Suite du mariage de Danielle
Norbert vint me rejoindre.
- Eh bien ma chérie ! qu'est ce qui t’arrives ?
- Je ne veux pas que tu vendes mes dessous, mon slip est trempé, que vas penser ma famille ?
- Elle pensera que la jeune mariée est très excitée, ce qui est vrai non ?
- Oui mais j'ai honte, il y a mes oncles mes cousins, et puis tous tes amis, Ils vont voir ma chatte, que vont-ils penser ?
- Que tu es une belle salope, ce dont ils se doutent déjà.
- Vrai ou faux ?
- C'est vrai mon chéri- Alors arrête de jouer les jeunes filles effarouchées et vient. D'ailleurs si tu as peur de ta mère, je vais te raconter ce qui m'est arrivé avec elle. Tu te souviens quand je suis venu manger chez toi pour la première fois.
- Oui- Quand tu es repartie travailler, j'ai voulu te suivre, mais ta mère m'a retenu.
- Oui c'était convenu entre nous, elle voulait te sonder.
- C'est plutôt elle qui voulait se faire sonder- comment cela ?
Norbert entreprit alors de me raconter ce qui suit.
"Ta mère me conduisit au salon et alla chercher le café à la cuisine. Elle se pencha pour servir mon café. Dans le mouvement, son chemisier s'écarta et je pu voir que ses seins n'avaient nul besoin de soutien-gorge. Elle s'installa en face de moi dans l'autre fauteuil et replia ses jambes sous elle. La pose était agréable à regarder. Son chemisier dont un autre bouton avait lâché, baillait sur sa poitrine, ses jambes découvertes par la mini jupe me laissaient voir le haut de ses bas retenus par un porte-jarretelles. Elle semblait ne pas s'apercevoir de sa tenue pour le moins provocante.
- Alors Norbert, vous permettez que je vous appelle Norbert? Quelles sont vos intentions vis à vis de Danielle. Vous savez qu'elle est très timide malgré ses allures affranchies. Et elle est encore vierge.
- J'ai remarqué sa timidité. Je sais qu'elle est encore vierge, bien qu'elle ne m'ait rien dit. Je l'aime beaucoup et je n'ai que des intentions sérieuses à son égard. Cependant je ne suis pas de bois et je sens qu'avec elle je vais être obligé de me mettre la ceinture. Hors sans être un obsédé sexuel, j'aime bien baiser, et la vue d'une jolie fille, surtout si elle est provocante comme vous l'êtes en ce moment me met dans tous mes états. Regardez.
Me levant brusquement de mon fauteuil, je baissais ma fermeture éclair et sortit ma bite qui bandait dur.
Ta mère ne s'offusqua pas de ce geste, bien au contraire. Saisissant ma pine elle passa sa langue sur le gland qu'elle humecta abondamment tout en me branlant la colonne. Puis ses lèvres s'ouvrir et elle engloutit mon dard jusqu'aux couilles. Sa bouche était chaude, sa langue semblait se multiplier tant elle virevoltait avec agilité le long de ma pine, autour du gland. De temps en temps elle remontait ses lèvres jusqu'à la collerette, elle aspirait mon gland comme si elle voulait l'avaler, sa langue caressait le méat, puis elle me reprenait jusqu'au fond de la gorge, faisant aller et venir ses lèvres sur ma bite, caressant mes couilles. Au bout de quelques instants de ce régime je ne pu me retenir et je partis à longue giclée qu'elle avala jusqu'à la dernière goutte.
- Je crois que Danielle a fait une bonne affaire, ta bite est belle, ton sperme a bon goût, voyons voir si tu es capable de faire jouir une femme.
Et disant cela elle passa ses jambes par dessus les accoudoirs du fauteuil. La salope n'avait pas de culotte. J'avais sous les yeux une chatte splendide, bien ourlée, déjà ouverte. La pipe lui avait fait de l'effet car elle était toute mouillée.
- Vient me lécher, viens boire ma mouille.
Je ne me fis pas prier. M'agenouillant à ses pieds, je lui saisis les cuisses pour les écarter encore plus et je plongeais ma tête dans sa fourche. Ma langue s'enfonça dans sa chatte pour boire le jus de sa jouissance. J'adore cette liqueur de femme, ça me fait bander comme un âne. Je lui aspirais les grandes lèvres, le clitoris qui avait déjà atteint une taille très appréciable. Ma langue se faisait agile pour lui apporter cette jouissance que son corps réclamait. Je parcourais son entrecuisse, m'égarant parfois vers son anus où je m'attardais. Loin de lui déplaire cette caresse semblait la mettre dans tous ses états. Elle s'avança au bord du fauteuil pour que je puisse atteindre mieux sa rondelle. Ce que je fit lui enfonçant la langue le plus loin possible. Cet enculage lingual lui faisait pousser des cris de jouissance. Abandonnant son cul, je remontais vers sa chatte, la récurant de ma langue râpeuse, puis je remontais vers son clitoris que je mordillais, elle se mit à éjaculer comme un mec, sa mouille jaillissait de sa chatte à grands jets. Je n'avais jamais vu ça. Je collais ma bouche sur sa fente pour la boire. Quel délice.
- Prend moi maintenant je t'en prie, défonce moi.
Je me redressais, je n'attendais que cela, malgré sa pipe de tout à l'heure mes couilles étaient douloureuses. Je m'apprêtais à lui emmancher la chatte quand elle se retourna et se mit à quatre pattes sur le fauteuil.
- Je ne prend plus la pilule alors j'aime mieux que tu m'encules.
Je ne me le fis pas répéter deux fois. Je pointais mon gland sur sa rosette. Elle était tellement mouillée et avait sûrement une telle habitude que je m'enfonçais d'un coup jusqu'aux couilles. Elle poussa un hurlement.
- Je t'ai fait mal ?
- Non mais c'est trop bon ; J'adore me faire enculer. Vas- y, fait moi mal, défonce moi. Plus fort.
Puisqu'elle en voulait, je n'allais pas la contrarier. Je la travaillais à grands coups sortant presque de son cul pour me renfoncer d'un coup, mes couilles claquant sur sa moule. En même temps je lui tordais les tétons. Elle, elle se branlait le minou. A ce rythme-là elle jouit 3 fois avant que je lui lâche la purée dans les entrailles.
J'étais repu et ta mère aussi.
- Tu sais je crois que Danielle va faire une bonne affaire avec toi. Si tu sais t'y prendre tu en feras ce que tu voudras.
Je me demande encore aujourd'hui si elle avait deviné mes intentions. Ca n'avait pas l'air de l'affoler outre mesure, il est vrai qu'avec son tempérament elle devait trouver sa fille un peu trop sage.
- Comment se fait-il que Danielle te ressemble si peut? Tu a le feu au cul et elle, elle est d'une sagesse exemplaire.
- Détrompe toi. Elle aussi a du tempérament. J'ai remarqué plusieurs fois que ses slips étaient trempés. Elle est aussi un peu exhibitionniste. Elle ne demande qu'à être révélée. D'ailleurs mon autre fille me ressemble aussi. Bien qu'elle soit plus jeune, elle n'a que 14 ans, je l'ai déjà surprise en train de se branler. Tu vois elle promet.
- Danielle se branle ?
- Je ne crois pas, mais elle mouille très facilement. Ainsi l'autre jour, un ami était là pour l'apéritif, j'ai remarqué que Danielle avait ôté son slip, je me suis arrangée pour qu'elle soit assise en face de Roger. Celui-ci était assis par terre, il s'est régalé. J’ai fait faire le service à Danielle, à chaque mouvement qu'elle faisait, il pouvait voir sa chatte. Quand je l'ai enfin laissé partir, le fauteuil était trempé à l'endroit où elle était assise.
- Tu es une vraie salope, ça te plaît d'exhiber ta fille ?
- Oui, beaucoup. Parlons sérieusement. N'essaye pas de baiser Danielle tout de suite. Si tu es en manque je serais toujours là.
- OK j'attendrais le mariage. Et je compte bien profiter de ta proposition. Tu es vraiment bandante pour une vieille.
- Salaud. Je sais que je pourrais être ta mère mais ne me le fait pas trop remarquer."- Tu vois ta mère ne vas pas s'affoler de te voir à poil en public, puisqu'elle t'exhibait à ton voisin.
J'étais sidérée par ce que venais de me raconter Norbert. Ainsi il avait baisé ma mère, et celle-ci prenait un malin plaisir à m'exhiber. Quelle salope.
- Au fait ajouta Norbert, c'est Arsène qui sera le meneur de jeu. Je veux que tu lui obéisses en tout. D’accord ?
Après ce que je venais d'apprendre, je n'avais plus qu'à m'incliner.
- D'accord mon amour.
Mon retour dans la grande salle fut accueilli par un soupir de soulagement. Les salauds avaient peur que je me défile. Eh bien ils allaient voir ! Arsène pris la parole.
- Je vais vous expliquer la règle des enchères. La robe de la mariée comporte soixante boutons. A chaque fois qu'un homme portera une enchère, un bouton sera déboutonné, en partant du bas. Si c'est une dame, il sera reboutonné, et ceci jusqu'à ce que tous les boutons soient déboutonnés. Ensuite ce sera le tour des dessous, sauf le porte-jarretelles qu'elle conservera. Danielle vient sur cette table, la vente va commencer.
Après un dernier regard à Norbert, je me dirigeais vers Arsène et la table, où il me fit monter. Les enchères commencèrent. Au bout d'une demi-heure, je n'avais toujours qu'une dizaine de boutons de défaits. Les femmes se battaient avec acharnement pour que je conserve ma robe. Certaines, comme mes copines, ou ma mère jouaient avec les mâles, laissant Arsène me déboutonner jusqu'au pubis, elle lançait plusieurs sommes à la file, et Arsène reboutonnait. Car c'était lui le meneur de jeux qui faisait tout. Moi je devais rester immobile. Un objet. Au bout de deux heures enfin le dernier bouton céda, ma robe gisait à mes pieds. Un cri de victoire parti du côté des hommes. Arsène me prit par la main et me fit faire quelques pas sur la table. Je gonflais la poitrine, cambrais les reins, me déhanchais d'une manière provocante. Puis me faisant écarter les cuisses il me fit pencher en avant.
- Admiraient messieurs dames ce joli slip. Il est trempé, il sent bon la jeune pucelle excitée, (il me caressa l'entre cuisse). Voyaient comme elle jute, c'est un plaisir.
Rouge de honte je me laissais faire, comme Norbert me l'avait ordonné.
Les mâles allaient se battre maintenant pour mes dessous. Arsène changea la règle ; Nous passâmes aux enchères à l'américaine. Une bougie fut allumée. La dernière enchère au moment où elle s'éteindrait remportera d'abord le soutien-gorge, puis le slip. J'étais de plus en plus excitée, par la séance de déshabillage d'abord, puis maintenant par tous ces regards braqués sur moi, sur ma chatte qui ne pouvait dissimuler son excitation, avec ses grandes lèvres boursouflées qui débordaient de chaque côté du slip, et le clitoris qui tendait le tissus. Personne ne pouvait ignorer mon état. Les mecs placés en contre bas ne pouvaient pas ne pas voir que je mouillais de plus en plus car j'avais gardé les cuisses écartées. Mes oncles et cousins n'étaient pas les derniers à me reluquer. Les enchères allèrent beaucoup plus vite pour mes dessous. Un de mes oncles emporta mon soutien-gorge, et Arsène se battit comme un diable pour obtenir mon slip, qu'il emporta de haute lutte contre mon patron. Il m'enleva lui-même son trophée qu'il porta aussitôt à son nez pour humer mon odeur. Quand je fus nue un grand silence s'installa dans la salle. Tout le monde pouvait admirer ma chatte rasée, mon clito mes grandes lèvres, gonflés qui trahissaient mon excitation. Je voulu remettre ma robe. Arsène intervint aussitôt.
- Non tu restes comme cela.
Je regardais Norbert qui approuva de la tête. Arsène me fit descendre de la table, ce qui m'obligea à écarter les cuisses, offrant ma moule à tous les regards. La musique repris. La soirée continuait. Nue à l'exception de mon porte-jarretelles, de mes bas et de mes chaussures à hauts talons, j'étais un appel au viol. Tous les mâles présents Voulurent danser avec moi. Le premier à obtenir cette faveur fut mon oncle. Depuis toujours il s'était intéressé à moi, me prenant sur ses genoux, me caressant la poitrine sans que j'ose protester. Il ne pouvait manquer cette occasion de me serrer nue contre lui. Les musiciens avaient abandonné l'estrade, et des disques avaient remplacé l'orchestre. Bien sûr, on ne mettait plus que des slow ou tango. Les hommes voulaient profiter des danses pour se frotter à leurs partenaires. Mon oncle me serra contre lui. Je me laissais aller.
- Tu sens ma bite petite salope.
- Oui tu bandes fort.
Il me tenait par les fesses pour me plaquer contre son zob. Mon clito frottait sur sa bosse déclenchant des spasmes.
- Mais tu jouis.
- Oui mon oncle, c'est au moins la vingtième fois aujourd'hui, sent comme je mouilles.
Sa main se glissa sur ma chatte. J'écartais les cuisses pour lui faciliter la tâche. Je n'en pouvais plus. J'aurais voulu que Norbert me baise, là, tout de suite. Mon oncle branlait mon clito. Je regardais avec inquiétude du côté de ma tante, Elle dansait avec Arsène et ne songeait sûrement pas à nous. Celui-ci la tenait plaquée contre lui, les deux mains sur ses fesses, il lui murmurait je ne sais quoi à l'oreille.
Après être passé entre les bras de tous les mâles présents, mon excitation avait atteint son paroxysme. Je me précipitais vers Norbert.
- Chérie, je veux que tu me baises.
- La soirée n'est pas finie, nous ne pouvons pas abandonner nos invités.
- j'ai trop envie.
- Il y a bien une solution mais je ne suis pas sûr que tu acceptes.
- Laquelle ?
- Tu as envie de te faire baiser ?
- Oh Oui mon chéri.
- Ok, on va mettre ton pucelage aux enchères.
Après une courte hésitation, mon envie l’emporta sur ma honte.
- D'accord mon chéri.
- Tu es sur de le vouloir ?
- Oui mon chéri, j'ai trop envie.
- OK, tu vas l’annoncer toi-même.
Norbert avait compris que j’avais dépassé ma honte, ma sensualité me faisit tout accepter. Après m’être exhibée, frottée contre les danseurs, j’étais prête à tout pour atteindre la jouissance.
Sans hésitation, et malgré la honte qui s'emparait de moi, je me dirigeais vers l'estrade, et me saisissant du micro réclamais le silence.
- Mesdames, messieurs je viens vous annoncer que mon pucelage va être mis aux enchères, soyez généreux.
Me voici devenue pute, quelqu’un va payer pour me baiser. Cette idée me fit mouiller encore plus.
Les invités me regardèrent sans oser y croire.
Arsène revint remplir son rôle de maître de cérémonie.
- Messieurs vous êtes conscient que pour avoir l’honneur et le plaisir de baiser un si joli petit lot, il va falloir mettre la main au porte-monnaie. Les enchères commencent à mille francs.
Très vite les enchères s’enflammèrent. Mon oncle, mon patron, le voisin, les collègues, lançaient des sommes astronomiques.
Arsène m’ordonna de m’agenouiller, cul vers la salle, il appuya sur ma nuque. Penchée en avant, cuisses écartées, j’offrais mon cul et ma moule à la vue de tout le monde. Les femmes ne disaient plus rien.
- Branles toi.
Ma main se dirigea vers ma moule, je m'astiquais le clito, qui n'avait pas besoin de ça. Il n'avait pas débandé depuis le début de l'après-midi.
Les enchères prirent fin. C’est mon oncle qui avait gagné le droit de me dépuceler.
Il s’approcha de moi, toujours à quatre pattes et me présenta son zob.
- Suce-moiJe m’exécutais, plus rien ne m’arrêtai, je ne voulais qu’une chose, une bite dans ma chatte, mon cul, ma bouche. La présence de spectateur ne faisait qu’accentuer ma jouissance.
- La salope, elle suce comme une reine. Elle me caresse le gland avec sa langue, elle l'aspire, elle m'avale tout entier. Je sentis quelqu'un se glisser sous moi. Une bouche s'empara de mon clito, l'aspira, le lécha, je m'écartais davantage pour lui faciliter la tâche.
Mon oncle me fit allonger sur le dos, Il s'installa sur moi, son gland se plaça à l'orée de mon minou. Il appuya. J'étais tellement trempé que sa queue s'enfonça comme dans du beurre. Une légère douleur et ça y est. Je ne suis plus vierge. Sa bite m'emplissait la chatte, il commença à limer doucement, mais j'étais trop excitée pour me contenter de ce rythme, je lançais ma chatte à la rencontre de son zob.
- Oh tonton ! C'est bon, plus fort plus vite, défonce moiMais mon oncle conservait la cadence qu'il avait adoptée. Il me mordillait en même temps les tétons. Soudain il m'abandonna.
- Oh non ! Continue chéri.
Il se coucha sur le dos et me fit m'empaler sur lui. Dans cette position, tout le monde pouvait voir sa bite défoncer mon minou. Soudain je sentis deux mains se poser sur mes fesses. Un gland se présenta à l'orée de ma rosette. Je voulu protester mais mon oncle m'en empêcha. Il écarta me fesses, le gland força mon anneau, mon cul ayant été assoupli depuis de longs mois, mes sphincters s'ouvrirent et la queue me pénétra jusqu'au couilles. Elle était énorme, j'eus l'impression d'être ouverte en deux J'étais prise en sandwich. Une bite dans la chatte une dans le cul, j'étais comblée. Malgré ma honte, ou à cause d'elle ma jouissance atteignait un paroxysme. Mes deux baiseurs accordant leur cadence me limaient les deux trous. Je jouissais sans arrêt. Soudain mon oncle cria- Alors les mecs il lui reste un trou à combler, n'y as-t-il pas de volontaire ?
Ahmed se précipita la bite à la main et se présenta devant ma bouche.
- Suce salope, suce la bonne bite d'AhmedAu point où j'en étais je l'engloutis. J'étais prise par tous les trous. Vous parlez d'un dépucelage. Des mains s'emparèrent de mes seins, tirèrent sur les tétons, les pinçant, Je jouissais comme une folle. Ma chatte était une fontaine. Après de multiples orgasmes, je n'en pouvais plus. Soudain je sentis mon enculeur se contracter, d'un coup il me lâcha son foutre au fond des intestins en longues giclées chaudes. Cela déclencha un orgasme supplémentaire. Mon oncle suivit de près et m'inonda la chatte, puis ce fut le tour d'Ahmed que j'avalais jusqu'à la dernière goutte. Mes trois baiseurs se dégagèrent. Je pus enfin voire celui qui m'avait comblé le cul. C'était Arsène Quand je vis sa bite qui, bien qu'au repos avait une taille impressionnante, je me demandais comment il avait pu m'enculer. Allongée sur le dos, la chatte ouverte je récupérais. Norbert s'adressa aux femmes- Il faudrait faire la toilette de la mariée.
Les femmes se précipitèrent et entreprirent de me lécher la chatte et le cul, avalant le sperme qui coulait, et déclenchant de nouvelles jouissances.
La soirée se termina après que tous les mecs présents m’eurent baisée. Quelle nuit de noce.
***Norbert ne me touche plus depuis un mois. A toutes mes questions, il répond évasivement qu'il est fatigué. Qu'il a l'esprit occupé par son travail. Je n'en peux plus, j'ai la chatte en feu, après avoir révélé ma vrai nature, sensuelle, me laisser comme cela sans consentir à me toucher, c'est du sadisme. J'ai beau me branler, je ne suis pas satisfaite. Avec l’argent des différentes enchères de mon mariage, j'ai acheté un salon de coiffure et embauché un coiffeur. Celui-ci n'est pas insensible à mes tenues provocantes. Il a essayé plusieurs fois de me convaincre de faire l'amour avec lui. J'ai refusé à chaque fois. Un lundi matin (je ne travaille pas le lundi), j'étais encore au lit. Une fois de plus, Norbert m'avait délaissée. Allongée sur le dos, les cuisses écartées, la chatte béante, je suis en train de me branler avec un gode de belle taille. Je me titille le clito tout en me ramonant la moule. La sonnette de la porte d'entrée retentit. Croyant que Norbert revenait, je me précipitais, nue, pour ouvrir. Surprise, c'était Albert. Je retournais en courant vers ma chambre, Albert m'y suivit. Il aperçût le gode sur le lit.
- Pourquoi utiliser une bite artificielle alors que j'en ai une à votre disposition.
Il sortit un zob qui bien qu'en semi érection était d'une taille impressionnante. Mon gode à coté paraissait ridicule. Albert était monté comme un âne. Sa bite faisait au moins trente centimètres, elle était aussi épaisse que mon poignet, le gland avait la taille de mon poing. En manque depuis un mois, je salivais devant ce braquemart, bien plus gros que celui de Norbert. Mes tétons se mirent à bander, ma chatte me démangeait. Cependant, malgré l'envie de me faire baiser qui me tenaillait, je ne voulais pas tromper Norbert. Je le dis à Albert. Il s'approcha de moi, glissa sa main sur ma chatte- Arrête ton cirque, qui te parle de tromper ton mec, il ne s'agit que de se faire du bien. Cela fait des mois que tu m'excites, que je me branle le soir en pensant à ta chatte, d'ailleurs toi aussi tu en meures d'envie, ta chatte est trempée, ton clito bande pour ma bite. Suce-moiJe n'eus qu'un instant d'hésitation. J'en avais trop envie. Et puisque Norbert ne voulait plus me baiser tant pis pour lui. Je me laissais tomber à genoux, m'emparais de sa pine. Je lui léchais le gland. Il était énorme, je l'imaginais me forçant la moule ou le cul, j'en jouissais d'avance. J'engloutis la bite d'Albert. Mes mâchoires distendues me faisaient mal, mais je m'appliquais à bien le sucer. Mes lèvres coulissaient sur sa colonne, ma langue le caressait, je lui léchais les couilles. J'essayais de l'avaler le plus loin possible, mais sa taille impressionnante m'empêchait d'aller jusqu'au bout. Sa queue glissait sur ma langue, jusqu'à la luette, puis la faisant ressortir, je lui aspirais le gland tout en le branlant. Albert ne put se retenir longtemps à se régime, il se mit à jouir brusquement, me lâchant de longues giclées de foutre que j'avalais avec délice, il semblait ne plus pouvoir s'arrêter. Ce sperme qui m'emplissait la bouche, glissait le long de ma gorge déclencha un premier orgasme. Albert n'était pas calmé, sa queue était restée raide.
- Met toi à quatre patte je vais te défoncer la chatte- Oui mon chéri, vient me prendre avec ta grosse pine, baise moi à fond j'en ai trop envie.
Il ne demandait que cela. Il s'installa derrière moi. Son gland appuya sur mon minou. Je sentis son mufle forcer l'entrée de ma chatte, mes lèvres s'écartaient sous sa poussée. Bien que très excitée et malgré la mouille qui lubrifiait ma conasse, il avait du mal à me pénétrer. Il procédait par petit coup de rein, écartant à chaque fois un peu plus les parois de mon vagin. Enfin il fut tout en moi. Je sentais ses couilles sur mes grandes lèvres. Il arrêta un instant ses mouvements pour m'habituer à sa taille. Ma chatte épousait étroitement les contours de sa bite. J'étais comblée. Son zob m'emplissait toute, Je n'étais plus qu'une chatte autour d'une pine. Albert commença à limer doucement, se retirant complètement avant de me renfiler à fond. A chaque coup de bite je ne pouvais retenir un hurlement de jouissance. Je coulais en permanence, je jouissais sans arrêt.
- Oh oui mon amour ! Défonce-moi avec ta grosse bite. Jamais je n'ai été remplie comme cela. Baise-moi fort, fait moi malAlbert accéléra le mouvement. A chaque coup de bite, il me heurtait la matrice. En même temps, il me tordait les tétons. La douleur ajoutée à ses coups de boutoirs me faisait hurler ma jouissance comme une chienne. Albert se retira. Je ressenti un grand vide.
- Oh non ! Encore, baise moi, fourre-moi ta grosse bite.
- Je vais t'enculer salope. Te défoncer le cul.
- Non tu es trop gros tu vas me faire mal.
Albert n'écoutait pas mes protestations. Il me saisit les fesses et m'écartant le cul, il appuya son gland sur ma rosette. Malgré mes protestations et mon inquiétude, au fond de moi je voulais qu'il me défonce, je me cambrais d'avantage et tendis mon cul en l'écartant pour lui faciliter la tâche. Albert appuya de tout son poids, malgré la souplesse de mon anneau, il avait du mal. Je sentais ma rosette se dilater sous la poussée, elle s'écartait lentement, mais ne cédait pas. Soudain le gland passa l'obstacle. J'eus l'impression d'être fendue en deux Je poussais un cri de douleur, mais Albert continua, forçant mes intestins qui s'écartaient au passage du monstre. Il ne s'arrêta que lorsque ses couilles battirent ma moule. Il m'avait mis ses trente centimètres dans le fondement. J'étais pleine de sa grosse bite, il commença à limer. Au bout de quelques aller-retour, mon cul s'était fait à son diamètre, sa bite me ramonait si bien que la jouissance commença à surgir. Le salaud sortait presque complètement la queue, puis me l'enfonçait d'un coup. Je jouissais sans arrêt. Pour la première fois un autre mec que mon époux me baisait avec mon accord. Pleinement consciente, je jouissais comme une folle. Je ne pensais à Norbert, que pour comparer sa bite à celle d'Albert. Il ne gagnait pas au change. Albert se redressa la bite toujours au fond de moi, et se mit face au miroir.
- Regardes toi salope, regarde ton cul comme il est ouvert, ta moule qui baille.
Il est vrai que la vision était excitante. Elle déclencha notre jouissance. Albert me lâcha son foutre qui m'emplit le cul. Il éjaculait à longs jets, déclenchant des cris de jouissances. Il décula enfin, je restais ouverte, cuisses écartées, la chatte béante. Son foutre se répandait sur le lit.
***Cela fais 3 mois qu'Albert m'a baisée. J’ai honte de ce que j’ai fait, je ne veux plus recommencer. J'essaye depuis d'éviter d'être seule avec lui. Au salon, malgré ses allusions ; je reste de marbre.
Il essaye bien de me coincer dans les coins, mais je réussis à l'éviter. Le saint sylvestre arrive.
Malgré mes réticences, Albert a décidé Norbert à sortir avec sa bande de cousins. Tout le monde sera là y compris Marie-France la copine d'Albert, ce qui me rassure un peu.
Je suis dans la salle de bain. J'ai pris une douche, maintenant au-dessus du lavabo, je me lave les cheveux.
Je sens une présence derrière moi. Nue, penchée en avant, le cul cambré, cela a dû exciter Norbert. La tête toujours penchée en avant, j’écarte les jambes et j'accentue ma cambrure pour l'exciter un peu plus. Il se rapproche, me saisit aux hanches, son gland se présente à l'entrée de ma chatte, il me pénètre.
Et la….. Ce n'est pas Norbert, il est beaucoup plus gros. Je tente de me dégager, mais je suis coincée contre le lavabo, j'appelle.
- Ne te fatigue pas salope, ton mari est parti faire une course, il nous rejoindra au restaurant.
- C'est Albert. Comment est-il là ? Pourquoi Norbert m'a-t-il laissée seule avec lui ?
Albert est bien calé au fond de ma chatte, il s'empare de mes seins, titille mes tétons. Il commence à me limer lentement. Ma chatte coule, je ne résiste plus, c'est trop bon.
Je me rends compte que, malgré mes bonnes résolutions, cette belle queue me manquait.
- Tu aimes ça, petite pute, tu faisais ta mijaurée, mais en réalité tu n'attendais qu'une chose, que je te baise.
- Oui mon chéri, j'aime sentir ta queue me défoncer. Baise-moi, encule moi, fais-moi ce que tu veux.
Oublié mes bonnes résolutions, je ne pense qu'à cette belle queue qui me fais jouir.
Albert m'entraîna vers la chambre, sur le lit conjugal. C'est plus confortable et plus excitant.
Il me fit mettre à quatre pattes, il replonge dans ma chatte qu'il lime quelques instants. Je me cambre autant que je peux, m'offrant complètement, soumise à son bon vouloir.
Il quitte ma chatte, je proteste, mais vite son gland mafflu s'appuie sur ma rosette, il force l'entrée de la porte étroite, sa bite m'envahit complètement. Il se retire puis s'enfonce à nouveau, la jouissance monte, je hurle mon plaisir.
Soudain Albert décule.
- Il ne faut pas que tes trous soient pleins de foutre, tu vas couler partout, je vais jouir dans ta bouche.
Docile je saisi son mandrin et entreprend une fellation qui l'amène vite à la jouissance.
Ensuite Albert fit ce pourquoi il était venu, un peu plus peut-être.
Après avoir épilé ma chatte où les poils avaient un peu repoussé, il m’imposa un lavement afin me dit-il d’être propre partout, et prête à tout. Ensuite il me coiffa, me maquilla. Il s'attarda particulièrement sur mes tétons, mes lèvres (toutes mes lèvres.) avec une pâte rouge vif, à ma demande sur la nature de cette pâte, il resta mystérieux, disant seulement que j'allais certainement beaucoup apprécier.
Norbert, à son habitude, avait préparé la tenue que je devais mettre. Une robe composée devant de deux bandes qui me couvraient les seins, la jupe, courte, partait d'un peu plus haut que la taille pour s'achever au raz des fesses, Il l'appelait ma robe rock and roll car les passes de rocks permettaient de m'admirer sous toutes les coutures. Des cuissardes et un porte jarretelle pour les maintenir, et c'était tout pas de dessous comme à l'accoutumer.
Albert me regarda m'habiller : - Vous allez avoir un succès fou. Je pense que ça va être votre fête.
- Norbert va être là, ça sera regarder sans toucher.
- Vous croyez que c'est juste pour que l'on vous admire qu'il vous habille comme cela ?
- Et pourquoi d'autre demandais-je, naïvement.
Albert se contenta de sourire.
Dans la voiture qui nous conduisait au restaurant, je commençais à ressentir les effets du maquillage spécial, et je compris très vite. Il s'agissait de la même pâte que celle utilisée par mes copines le jour de mes noces, une pâte excitante qui faisait gonfler mes lèvres, mes tétons, mon clito. Ma chatte humide appelait la bite.
Mon entrée dans la salle du restaurant fut très remarquée, et quand j'ôtais mon manteau, ce fut un concert de sifflement admiratif, même les filles présentes applaudirent.
Albert se conduisait comme mon maître, il me fit faire un tour sur moi-même, ma jupe se souleva, dévoilant ma nudité.
Je ne voyais pas Marie-France, la nana d'Albert. A ma demande, il me répondit qu'elle était souffrante, et n'avait pas voulue venir.
Je voulus m'installer à côté de Norbert, mais la place était prise, il était entouré de deux splendides brunes très typées, aussi décolletées que moi.
Albert suivi mon regard.
- Les couples sont séparés, vous êtes entre mon cousin David et moi.
Bien que m'ayant craché son foutre dans la bouche, Albert me vouvoyait toujours.
Nous prîmes place. Nous étions à l’autre bout de la table, loin de mon époux.
Albert avait bien choisi nos places, un énorme bouquet nous cachait à la vue de Norbert.
- Eh bien ma chérie ! qu'est ce qui t’arrives ?
- Je ne veux pas que tu vendes mes dessous, mon slip est trempé, que vas penser ma famille ?
- Elle pensera que la jeune mariée est très excitée, ce qui est vrai non ?
- Oui mais j'ai honte, il y a mes oncles mes cousins, et puis tous tes amis, Ils vont voir ma chatte, que vont-ils penser ?
- Que tu es une belle salope, ce dont ils se doutent déjà.
- Vrai ou faux ?
- C'est vrai mon chéri- Alors arrête de jouer les jeunes filles effarouchées et vient. D'ailleurs si tu as peur de ta mère, je vais te raconter ce qui m'est arrivé avec elle. Tu te souviens quand je suis venu manger chez toi pour la première fois.
- Oui- Quand tu es repartie travailler, j'ai voulu te suivre, mais ta mère m'a retenu.
- Oui c'était convenu entre nous, elle voulait te sonder.
- C'est plutôt elle qui voulait se faire sonder- comment cela ?
Norbert entreprit alors de me raconter ce qui suit.
"Ta mère me conduisit au salon et alla chercher le café à la cuisine. Elle se pencha pour servir mon café. Dans le mouvement, son chemisier s'écarta et je pu voir que ses seins n'avaient nul besoin de soutien-gorge. Elle s'installa en face de moi dans l'autre fauteuil et replia ses jambes sous elle. La pose était agréable à regarder. Son chemisier dont un autre bouton avait lâché, baillait sur sa poitrine, ses jambes découvertes par la mini jupe me laissaient voir le haut de ses bas retenus par un porte-jarretelles. Elle semblait ne pas s'apercevoir de sa tenue pour le moins provocante.
- Alors Norbert, vous permettez que je vous appelle Norbert? Quelles sont vos intentions vis à vis de Danielle. Vous savez qu'elle est très timide malgré ses allures affranchies. Et elle est encore vierge.
- J'ai remarqué sa timidité. Je sais qu'elle est encore vierge, bien qu'elle ne m'ait rien dit. Je l'aime beaucoup et je n'ai que des intentions sérieuses à son égard. Cependant je ne suis pas de bois et je sens qu'avec elle je vais être obligé de me mettre la ceinture. Hors sans être un obsédé sexuel, j'aime bien baiser, et la vue d'une jolie fille, surtout si elle est provocante comme vous l'êtes en ce moment me met dans tous mes états. Regardez.
Me levant brusquement de mon fauteuil, je baissais ma fermeture éclair et sortit ma bite qui bandait dur.
Ta mère ne s'offusqua pas de ce geste, bien au contraire. Saisissant ma pine elle passa sa langue sur le gland qu'elle humecta abondamment tout en me branlant la colonne. Puis ses lèvres s'ouvrir et elle engloutit mon dard jusqu'aux couilles. Sa bouche était chaude, sa langue semblait se multiplier tant elle virevoltait avec agilité le long de ma pine, autour du gland. De temps en temps elle remontait ses lèvres jusqu'à la collerette, elle aspirait mon gland comme si elle voulait l'avaler, sa langue caressait le méat, puis elle me reprenait jusqu'au fond de la gorge, faisant aller et venir ses lèvres sur ma bite, caressant mes couilles. Au bout de quelques instants de ce régime je ne pu me retenir et je partis à longue giclée qu'elle avala jusqu'à la dernière goutte.
- Je crois que Danielle a fait une bonne affaire, ta bite est belle, ton sperme a bon goût, voyons voir si tu es capable de faire jouir une femme.
Et disant cela elle passa ses jambes par dessus les accoudoirs du fauteuil. La salope n'avait pas de culotte. J'avais sous les yeux une chatte splendide, bien ourlée, déjà ouverte. La pipe lui avait fait de l'effet car elle était toute mouillée.
- Vient me lécher, viens boire ma mouille.
Je ne me fis pas prier. M'agenouillant à ses pieds, je lui saisis les cuisses pour les écarter encore plus et je plongeais ma tête dans sa fourche. Ma langue s'enfonça dans sa chatte pour boire le jus de sa jouissance. J'adore cette liqueur de femme, ça me fait bander comme un âne. Je lui aspirais les grandes lèvres, le clitoris qui avait déjà atteint une taille très appréciable. Ma langue se faisait agile pour lui apporter cette jouissance que son corps réclamait. Je parcourais son entrecuisse, m'égarant parfois vers son anus où je m'attardais. Loin de lui déplaire cette caresse semblait la mettre dans tous ses états. Elle s'avança au bord du fauteuil pour que je puisse atteindre mieux sa rondelle. Ce que je fit lui enfonçant la langue le plus loin possible. Cet enculage lingual lui faisait pousser des cris de jouissance. Abandonnant son cul, je remontais vers sa chatte, la récurant de ma langue râpeuse, puis je remontais vers son clitoris que je mordillais, elle se mit à éjaculer comme un mec, sa mouille jaillissait de sa chatte à grands jets. Je n'avais jamais vu ça. Je collais ma bouche sur sa fente pour la boire. Quel délice.
- Prend moi maintenant je t'en prie, défonce moi.
Je me redressais, je n'attendais que cela, malgré sa pipe de tout à l'heure mes couilles étaient douloureuses. Je m'apprêtais à lui emmancher la chatte quand elle se retourna et se mit à quatre pattes sur le fauteuil.
- Je ne prend plus la pilule alors j'aime mieux que tu m'encules.
Je ne me le fis pas répéter deux fois. Je pointais mon gland sur sa rosette. Elle était tellement mouillée et avait sûrement une telle habitude que je m'enfonçais d'un coup jusqu'aux couilles. Elle poussa un hurlement.
- Je t'ai fait mal ?
- Non mais c'est trop bon ; J'adore me faire enculer. Vas- y, fait moi mal, défonce moi. Plus fort.
Puisqu'elle en voulait, je n'allais pas la contrarier. Je la travaillais à grands coups sortant presque de son cul pour me renfoncer d'un coup, mes couilles claquant sur sa moule. En même temps je lui tordais les tétons. Elle, elle se branlait le minou. A ce rythme-là elle jouit 3 fois avant que je lui lâche la purée dans les entrailles.
J'étais repu et ta mère aussi.
- Tu sais je crois que Danielle va faire une bonne affaire avec toi. Si tu sais t'y prendre tu en feras ce que tu voudras.
Je me demande encore aujourd'hui si elle avait deviné mes intentions. Ca n'avait pas l'air de l'affoler outre mesure, il est vrai qu'avec son tempérament elle devait trouver sa fille un peu trop sage.
- Comment se fait-il que Danielle te ressemble si peut? Tu a le feu au cul et elle, elle est d'une sagesse exemplaire.
- Détrompe toi. Elle aussi a du tempérament. J'ai remarqué plusieurs fois que ses slips étaient trempés. Elle est aussi un peu exhibitionniste. Elle ne demande qu'à être révélée. D'ailleurs mon autre fille me ressemble aussi. Bien qu'elle soit plus jeune, elle n'a que 14 ans, je l'ai déjà surprise en train de se branler. Tu vois elle promet.
- Danielle se branle ?
- Je ne crois pas, mais elle mouille très facilement. Ainsi l'autre jour, un ami était là pour l'apéritif, j'ai remarqué que Danielle avait ôté son slip, je me suis arrangée pour qu'elle soit assise en face de Roger. Celui-ci était assis par terre, il s'est régalé. J’ai fait faire le service à Danielle, à chaque mouvement qu'elle faisait, il pouvait voir sa chatte. Quand je l'ai enfin laissé partir, le fauteuil était trempé à l'endroit où elle était assise.
- Tu es une vraie salope, ça te plaît d'exhiber ta fille ?
- Oui, beaucoup. Parlons sérieusement. N'essaye pas de baiser Danielle tout de suite. Si tu es en manque je serais toujours là.
- OK j'attendrais le mariage. Et je compte bien profiter de ta proposition. Tu es vraiment bandante pour une vieille.
- Salaud. Je sais que je pourrais être ta mère mais ne me le fait pas trop remarquer."- Tu vois ta mère ne vas pas s'affoler de te voir à poil en public, puisqu'elle t'exhibait à ton voisin.
J'étais sidérée par ce que venais de me raconter Norbert. Ainsi il avait baisé ma mère, et celle-ci prenait un malin plaisir à m'exhiber. Quelle salope.
- Au fait ajouta Norbert, c'est Arsène qui sera le meneur de jeu. Je veux que tu lui obéisses en tout. D’accord ?
Après ce que je venais d'apprendre, je n'avais plus qu'à m'incliner.
- D'accord mon amour.
Mon retour dans la grande salle fut accueilli par un soupir de soulagement. Les salauds avaient peur que je me défile. Eh bien ils allaient voir ! Arsène pris la parole.
- Je vais vous expliquer la règle des enchères. La robe de la mariée comporte soixante boutons. A chaque fois qu'un homme portera une enchère, un bouton sera déboutonné, en partant du bas. Si c'est une dame, il sera reboutonné, et ceci jusqu'à ce que tous les boutons soient déboutonnés. Ensuite ce sera le tour des dessous, sauf le porte-jarretelles qu'elle conservera. Danielle vient sur cette table, la vente va commencer.
Après un dernier regard à Norbert, je me dirigeais vers Arsène et la table, où il me fit monter. Les enchères commencèrent. Au bout d'une demi-heure, je n'avais toujours qu'une dizaine de boutons de défaits. Les femmes se battaient avec acharnement pour que je conserve ma robe. Certaines, comme mes copines, ou ma mère jouaient avec les mâles, laissant Arsène me déboutonner jusqu'au pubis, elle lançait plusieurs sommes à la file, et Arsène reboutonnait. Car c'était lui le meneur de jeux qui faisait tout. Moi je devais rester immobile. Un objet. Au bout de deux heures enfin le dernier bouton céda, ma robe gisait à mes pieds. Un cri de victoire parti du côté des hommes. Arsène me prit par la main et me fit faire quelques pas sur la table. Je gonflais la poitrine, cambrais les reins, me déhanchais d'une manière provocante. Puis me faisant écarter les cuisses il me fit pencher en avant.
- Admiraient messieurs dames ce joli slip. Il est trempé, il sent bon la jeune pucelle excitée, (il me caressa l'entre cuisse). Voyaient comme elle jute, c'est un plaisir.
Rouge de honte je me laissais faire, comme Norbert me l'avait ordonné.
Les mâles allaient se battre maintenant pour mes dessous. Arsène changea la règle ; Nous passâmes aux enchères à l'américaine. Une bougie fut allumée. La dernière enchère au moment où elle s'éteindrait remportera d'abord le soutien-gorge, puis le slip. J'étais de plus en plus excitée, par la séance de déshabillage d'abord, puis maintenant par tous ces regards braqués sur moi, sur ma chatte qui ne pouvait dissimuler son excitation, avec ses grandes lèvres boursouflées qui débordaient de chaque côté du slip, et le clitoris qui tendait le tissus. Personne ne pouvait ignorer mon état. Les mecs placés en contre bas ne pouvaient pas ne pas voir que je mouillais de plus en plus car j'avais gardé les cuisses écartées. Mes oncles et cousins n'étaient pas les derniers à me reluquer. Les enchères allèrent beaucoup plus vite pour mes dessous. Un de mes oncles emporta mon soutien-gorge, et Arsène se battit comme un diable pour obtenir mon slip, qu'il emporta de haute lutte contre mon patron. Il m'enleva lui-même son trophée qu'il porta aussitôt à son nez pour humer mon odeur. Quand je fus nue un grand silence s'installa dans la salle. Tout le monde pouvait admirer ma chatte rasée, mon clito mes grandes lèvres, gonflés qui trahissaient mon excitation. Je voulu remettre ma robe. Arsène intervint aussitôt.
- Non tu restes comme cela.
Je regardais Norbert qui approuva de la tête. Arsène me fit descendre de la table, ce qui m'obligea à écarter les cuisses, offrant ma moule à tous les regards. La musique repris. La soirée continuait. Nue à l'exception de mon porte-jarretelles, de mes bas et de mes chaussures à hauts talons, j'étais un appel au viol. Tous les mâles présents Voulurent danser avec moi. Le premier à obtenir cette faveur fut mon oncle. Depuis toujours il s'était intéressé à moi, me prenant sur ses genoux, me caressant la poitrine sans que j'ose protester. Il ne pouvait manquer cette occasion de me serrer nue contre lui. Les musiciens avaient abandonné l'estrade, et des disques avaient remplacé l'orchestre. Bien sûr, on ne mettait plus que des slow ou tango. Les hommes voulaient profiter des danses pour se frotter à leurs partenaires. Mon oncle me serra contre lui. Je me laissais aller.
- Tu sens ma bite petite salope.
- Oui tu bandes fort.
Il me tenait par les fesses pour me plaquer contre son zob. Mon clito frottait sur sa bosse déclenchant des spasmes.
- Mais tu jouis.
- Oui mon oncle, c'est au moins la vingtième fois aujourd'hui, sent comme je mouilles.
Sa main se glissa sur ma chatte. J'écartais les cuisses pour lui faciliter la tâche. Je n'en pouvais plus. J'aurais voulu que Norbert me baise, là, tout de suite. Mon oncle branlait mon clito. Je regardais avec inquiétude du côté de ma tante, Elle dansait avec Arsène et ne songeait sûrement pas à nous. Celui-ci la tenait plaquée contre lui, les deux mains sur ses fesses, il lui murmurait je ne sais quoi à l'oreille.
Après être passé entre les bras de tous les mâles présents, mon excitation avait atteint son paroxysme. Je me précipitais vers Norbert.
- Chérie, je veux que tu me baises.
- La soirée n'est pas finie, nous ne pouvons pas abandonner nos invités.
- j'ai trop envie.
- Il y a bien une solution mais je ne suis pas sûr que tu acceptes.
- Laquelle ?
- Tu as envie de te faire baiser ?
- Oh Oui mon chéri.
- Ok, on va mettre ton pucelage aux enchères.
Après une courte hésitation, mon envie l’emporta sur ma honte.
- D'accord mon chéri.
- Tu es sur de le vouloir ?
- Oui mon chéri, j'ai trop envie.
- OK, tu vas l’annoncer toi-même.
Norbert avait compris que j’avais dépassé ma honte, ma sensualité me faisit tout accepter. Après m’être exhibée, frottée contre les danseurs, j’étais prête à tout pour atteindre la jouissance.
Sans hésitation, et malgré la honte qui s'emparait de moi, je me dirigeais vers l'estrade, et me saisissant du micro réclamais le silence.
- Mesdames, messieurs je viens vous annoncer que mon pucelage va être mis aux enchères, soyez généreux.
Me voici devenue pute, quelqu’un va payer pour me baiser. Cette idée me fit mouiller encore plus.
Les invités me regardèrent sans oser y croire.
Arsène revint remplir son rôle de maître de cérémonie.
- Messieurs vous êtes conscient que pour avoir l’honneur et le plaisir de baiser un si joli petit lot, il va falloir mettre la main au porte-monnaie. Les enchères commencent à mille francs.
Très vite les enchères s’enflammèrent. Mon oncle, mon patron, le voisin, les collègues, lançaient des sommes astronomiques.
Arsène m’ordonna de m’agenouiller, cul vers la salle, il appuya sur ma nuque. Penchée en avant, cuisses écartées, j’offrais mon cul et ma moule à la vue de tout le monde. Les femmes ne disaient plus rien.
- Branles toi.
Ma main se dirigea vers ma moule, je m'astiquais le clito, qui n'avait pas besoin de ça. Il n'avait pas débandé depuis le début de l'après-midi.
Les enchères prirent fin. C’est mon oncle qui avait gagné le droit de me dépuceler.
Il s’approcha de moi, toujours à quatre pattes et me présenta son zob.
- Suce-moiJe m’exécutais, plus rien ne m’arrêtai, je ne voulais qu’une chose, une bite dans ma chatte, mon cul, ma bouche. La présence de spectateur ne faisait qu’accentuer ma jouissance.
- La salope, elle suce comme une reine. Elle me caresse le gland avec sa langue, elle l'aspire, elle m'avale tout entier. Je sentis quelqu'un se glisser sous moi. Une bouche s'empara de mon clito, l'aspira, le lécha, je m'écartais davantage pour lui faciliter la tâche.
Mon oncle me fit allonger sur le dos, Il s'installa sur moi, son gland se plaça à l'orée de mon minou. Il appuya. J'étais tellement trempé que sa queue s'enfonça comme dans du beurre. Une légère douleur et ça y est. Je ne suis plus vierge. Sa bite m'emplissait la chatte, il commença à limer doucement, mais j'étais trop excitée pour me contenter de ce rythme, je lançais ma chatte à la rencontre de son zob.
- Oh tonton ! C'est bon, plus fort plus vite, défonce moiMais mon oncle conservait la cadence qu'il avait adoptée. Il me mordillait en même temps les tétons. Soudain il m'abandonna.
- Oh non ! Continue chéri.
Il se coucha sur le dos et me fit m'empaler sur lui. Dans cette position, tout le monde pouvait voir sa bite défoncer mon minou. Soudain je sentis deux mains se poser sur mes fesses. Un gland se présenta à l'orée de ma rosette. Je voulu protester mais mon oncle m'en empêcha. Il écarta me fesses, le gland força mon anneau, mon cul ayant été assoupli depuis de longs mois, mes sphincters s'ouvrirent et la queue me pénétra jusqu'au couilles. Elle était énorme, j'eus l'impression d'être ouverte en deux J'étais prise en sandwich. Une bite dans la chatte une dans le cul, j'étais comblée. Malgré ma honte, ou à cause d'elle ma jouissance atteignait un paroxysme. Mes deux baiseurs accordant leur cadence me limaient les deux trous. Je jouissais sans arrêt. Soudain mon oncle cria- Alors les mecs il lui reste un trou à combler, n'y as-t-il pas de volontaire ?
Ahmed se précipita la bite à la main et se présenta devant ma bouche.
- Suce salope, suce la bonne bite d'AhmedAu point où j'en étais je l'engloutis. J'étais prise par tous les trous. Vous parlez d'un dépucelage. Des mains s'emparèrent de mes seins, tirèrent sur les tétons, les pinçant, Je jouissais comme une folle. Ma chatte était une fontaine. Après de multiples orgasmes, je n'en pouvais plus. Soudain je sentis mon enculeur se contracter, d'un coup il me lâcha son foutre au fond des intestins en longues giclées chaudes. Cela déclencha un orgasme supplémentaire. Mon oncle suivit de près et m'inonda la chatte, puis ce fut le tour d'Ahmed que j'avalais jusqu'à la dernière goutte. Mes trois baiseurs se dégagèrent. Je pus enfin voire celui qui m'avait comblé le cul. C'était Arsène Quand je vis sa bite qui, bien qu'au repos avait une taille impressionnante, je me demandais comment il avait pu m'enculer. Allongée sur le dos, la chatte ouverte je récupérais. Norbert s'adressa aux femmes- Il faudrait faire la toilette de la mariée.
Les femmes se précipitèrent et entreprirent de me lécher la chatte et le cul, avalant le sperme qui coulait, et déclenchant de nouvelles jouissances.
La soirée se termina après que tous les mecs présents m’eurent baisée. Quelle nuit de noce.
***Norbert ne me touche plus depuis un mois. A toutes mes questions, il répond évasivement qu'il est fatigué. Qu'il a l'esprit occupé par son travail. Je n'en peux plus, j'ai la chatte en feu, après avoir révélé ma vrai nature, sensuelle, me laisser comme cela sans consentir à me toucher, c'est du sadisme. J'ai beau me branler, je ne suis pas satisfaite. Avec l’argent des différentes enchères de mon mariage, j'ai acheté un salon de coiffure et embauché un coiffeur. Celui-ci n'est pas insensible à mes tenues provocantes. Il a essayé plusieurs fois de me convaincre de faire l'amour avec lui. J'ai refusé à chaque fois. Un lundi matin (je ne travaille pas le lundi), j'étais encore au lit. Une fois de plus, Norbert m'avait délaissée. Allongée sur le dos, les cuisses écartées, la chatte béante, je suis en train de me branler avec un gode de belle taille. Je me titille le clito tout en me ramonant la moule. La sonnette de la porte d'entrée retentit. Croyant que Norbert revenait, je me précipitais, nue, pour ouvrir. Surprise, c'était Albert. Je retournais en courant vers ma chambre, Albert m'y suivit. Il aperçût le gode sur le lit.
- Pourquoi utiliser une bite artificielle alors que j'en ai une à votre disposition.
Il sortit un zob qui bien qu'en semi érection était d'une taille impressionnante. Mon gode à coté paraissait ridicule. Albert était monté comme un âne. Sa bite faisait au moins trente centimètres, elle était aussi épaisse que mon poignet, le gland avait la taille de mon poing. En manque depuis un mois, je salivais devant ce braquemart, bien plus gros que celui de Norbert. Mes tétons se mirent à bander, ma chatte me démangeait. Cependant, malgré l'envie de me faire baiser qui me tenaillait, je ne voulais pas tromper Norbert. Je le dis à Albert. Il s'approcha de moi, glissa sa main sur ma chatte- Arrête ton cirque, qui te parle de tromper ton mec, il ne s'agit que de se faire du bien. Cela fait des mois que tu m'excites, que je me branle le soir en pensant à ta chatte, d'ailleurs toi aussi tu en meures d'envie, ta chatte est trempée, ton clito bande pour ma bite. Suce-moiJe n'eus qu'un instant d'hésitation. J'en avais trop envie. Et puisque Norbert ne voulait plus me baiser tant pis pour lui. Je me laissais tomber à genoux, m'emparais de sa pine. Je lui léchais le gland. Il était énorme, je l'imaginais me forçant la moule ou le cul, j'en jouissais d'avance. J'engloutis la bite d'Albert. Mes mâchoires distendues me faisaient mal, mais je m'appliquais à bien le sucer. Mes lèvres coulissaient sur sa colonne, ma langue le caressait, je lui léchais les couilles. J'essayais de l'avaler le plus loin possible, mais sa taille impressionnante m'empêchait d'aller jusqu'au bout. Sa queue glissait sur ma langue, jusqu'à la luette, puis la faisant ressortir, je lui aspirais le gland tout en le branlant. Albert ne put se retenir longtemps à se régime, il se mit à jouir brusquement, me lâchant de longues giclées de foutre que j'avalais avec délice, il semblait ne plus pouvoir s'arrêter. Ce sperme qui m'emplissait la bouche, glissait le long de ma gorge déclencha un premier orgasme. Albert n'était pas calmé, sa queue était restée raide.
- Met toi à quatre patte je vais te défoncer la chatte- Oui mon chéri, vient me prendre avec ta grosse pine, baise moi à fond j'en ai trop envie.
Il ne demandait que cela. Il s'installa derrière moi. Son gland appuya sur mon minou. Je sentis son mufle forcer l'entrée de ma chatte, mes lèvres s'écartaient sous sa poussée. Bien que très excitée et malgré la mouille qui lubrifiait ma conasse, il avait du mal à me pénétrer. Il procédait par petit coup de rein, écartant à chaque fois un peu plus les parois de mon vagin. Enfin il fut tout en moi. Je sentais ses couilles sur mes grandes lèvres. Il arrêta un instant ses mouvements pour m'habituer à sa taille. Ma chatte épousait étroitement les contours de sa bite. J'étais comblée. Son zob m'emplissait toute, Je n'étais plus qu'une chatte autour d'une pine. Albert commença à limer doucement, se retirant complètement avant de me renfiler à fond. A chaque coup de bite je ne pouvais retenir un hurlement de jouissance. Je coulais en permanence, je jouissais sans arrêt.
- Oh oui mon amour ! Défonce-moi avec ta grosse bite. Jamais je n'ai été remplie comme cela. Baise-moi fort, fait moi malAlbert accéléra le mouvement. A chaque coup de bite, il me heurtait la matrice. En même temps, il me tordait les tétons. La douleur ajoutée à ses coups de boutoirs me faisait hurler ma jouissance comme une chienne. Albert se retira. Je ressenti un grand vide.
- Oh non ! Encore, baise moi, fourre-moi ta grosse bite.
- Je vais t'enculer salope. Te défoncer le cul.
- Non tu es trop gros tu vas me faire mal.
Albert n'écoutait pas mes protestations. Il me saisit les fesses et m'écartant le cul, il appuya son gland sur ma rosette. Malgré mes protestations et mon inquiétude, au fond de moi je voulais qu'il me défonce, je me cambrais d'avantage et tendis mon cul en l'écartant pour lui faciliter la tâche. Albert appuya de tout son poids, malgré la souplesse de mon anneau, il avait du mal. Je sentais ma rosette se dilater sous la poussée, elle s'écartait lentement, mais ne cédait pas. Soudain le gland passa l'obstacle. J'eus l'impression d'être fendue en deux Je poussais un cri de douleur, mais Albert continua, forçant mes intestins qui s'écartaient au passage du monstre. Il ne s'arrêta que lorsque ses couilles battirent ma moule. Il m'avait mis ses trente centimètres dans le fondement. J'étais pleine de sa grosse bite, il commença à limer. Au bout de quelques aller-retour, mon cul s'était fait à son diamètre, sa bite me ramonait si bien que la jouissance commença à surgir. Le salaud sortait presque complètement la queue, puis me l'enfonçait d'un coup. Je jouissais sans arrêt. Pour la première fois un autre mec que mon époux me baisait avec mon accord. Pleinement consciente, je jouissais comme une folle. Je ne pensais à Norbert, que pour comparer sa bite à celle d'Albert. Il ne gagnait pas au change. Albert se redressa la bite toujours au fond de moi, et se mit face au miroir.
- Regardes toi salope, regarde ton cul comme il est ouvert, ta moule qui baille.
Il est vrai que la vision était excitante. Elle déclencha notre jouissance. Albert me lâcha son foutre qui m'emplit le cul. Il éjaculait à longs jets, déclenchant des cris de jouissances. Il décula enfin, je restais ouverte, cuisses écartées, la chatte béante. Son foutre se répandait sur le lit.
***Cela fais 3 mois qu'Albert m'a baisée. J’ai honte de ce que j’ai fait, je ne veux plus recommencer. J'essaye depuis d'éviter d'être seule avec lui. Au salon, malgré ses allusions ; je reste de marbre.
Il essaye bien de me coincer dans les coins, mais je réussis à l'éviter. Le saint sylvestre arrive.
Malgré mes réticences, Albert a décidé Norbert à sortir avec sa bande de cousins. Tout le monde sera là y compris Marie-France la copine d'Albert, ce qui me rassure un peu.
Je suis dans la salle de bain. J'ai pris une douche, maintenant au-dessus du lavabo, je me lave les cheveux.
Je sens une présence derrière moi. Nue, penchée en avant, le cul cambré, cela a dû exciter Norbert. La tête toujours penchée en avant, j’écarte les jambes et j'accentue ma cambrure pour l'exciter un peu plus. Il se rapproche, me saisit aux hanches, son gland se présente à l'entrée de ma chatte, il me pénètre.
Et la….. Ce n'est pas Norbert, il est beaucoup plus gros. Je tente de me dégager, mais je suis coincée contre le lavabo, j'appelle.
- Ne te fatigue pas salope, ton mari est parti faire une course, il nous rejoindra au restaurant.
- C'est Albert. Comment est-il là ? Pourquoi Norbert m'a-t-il laissée seule avec lui ?
Albert est bien calé au fond de ma chatte, il s'empare de mes seins, titille mes tétons. Il commence à me limer lentement. Ma chatte coule, je ne résiste plus, c'est trop bon.
Je me rends compte que, malgré mes bonnes résolutions, cette belle queue me manquait.
- Tu aimes ça, petite pute, tu faisais ta mijaurée, mais en réalité tu n'attendais qu'une chose, que je te baise.
- Oui mon chéri, j'aime sentir ta queue me défoncer. Baise-moi, encule moi, fais-moi ce que tu veux.
Oublié mes bonnes résolutions, je ne pense qu'à cette belle queue qui me fais jouir.
Albert m'entraîna vers la chambre, sur le lit conjugal. C'est plus confortable et plus excitant.
Il me fit mettre à quatre pattes, il replonge dans ma chatte qu'il lime quelques instants. Je me cambre autant que je peux, m'offrant complètement, soumise à son bon vouloir.
Il quitte ma chatte, je proteste, mais vite son gland mafflu s'appuie sur ma rosette, il force l'entrée de la porte étroite, sa bite m'envahit complètement. Il se retire puis s'enfonce à nouveau, la jouissance monte, je hurle mon plaisir.
Soudain Albert décule.
- Il ne faut pas que tes trous soient pleins de foutre, tu vas couler partout, je vais jouir dans ta bouche.
Docile je saisi son mandrin et entreprend une fellation qui l'amène vite à la jouissance.
Ensuite Albert fit ce pourquoi il était venu, un peu plus peut-être.
Après avoir épilé ma chatte où les poils avaient un peu repoussé, il m’imposa un lavement afin me dit-il d’être propre partout, et prête à tout. Ensuite il me coiffa, me maquilla. Il s'attarda particulièrement sur mes tétons, mes lèvres (toutes mes lèvres.) avec une pâte rouge vif, à ma demande sur la nature de cette pâte, il resta mystérieux, disant seulement que j'allais certainement beaucoup apprécier.
Norbert, à son habitude, avait préparé la tenue que je devais mettre. Une robe composée devant de deux bandes qui me couvraient les seins, la jupe, courte, partait d'un peu plus haut que la taille pour s'achever au raz des fesses, Il l'appelait ma robe rock and roll car les passes de rocks permettaient de m'admirer sous toutes les coutures. Des cuissardes et un porte jarretelle pour les maintenir, et c'était tout pas de dessous comme à l'accoutumer.
Albert me regarda m'habiller : - Vous allez avoir un succès fou. Je pense que ça va être votre fête.
- Norbert va être là, ça sera regarder sans toucher.
- Vous croyez que c'est juste pour que l'on vous admire qu'il vous habille comme cela ?
- Et pourquoi d'autre demandais-je, naïvement.
Albert se contenta de sourire.
Dans la voiture qui nous conduisait au restaurant, je commençais à ressentir les effets du maquillage spécial, et je compris très vite. Il s'agissait de la même pâte que celle utilisée par mes copines le jour de mes noces, une pâte excitante qui faisait gonfler mes lèvres, mes tétons, mon clito. Ma chatte humide appelait la bite.
Mon entrée dans la salle du restaurant fut très remarquée, et quand j'ôtais mon manteau, ce fut un concert de sifflement admiratif, même les filles présentes applaudirent.
Albert se conduisait comme mon maître, il me fit faire un tour sur moi-même, ma jupe se souleva, dévoilant ma nudité.
Je ne voyais pas Marie-France, la nana d'Albert. A ma demande, il me répondit qu'elle était souffrante, et n'avait pas voulue venir.
Je voulus m'installer à côté de Norbert, mais la place était prise, il était entouré de deux splendides brunes très typées, aussi décolletées que moi.
Albert suivi mon regard.
- Les couples sont séparés, vous êtes entre mon cousin David et moi.
Bien que m'ayant craché son foutre dans la bouche, Albert me vouvoyait toujours.
Nous prîmes place. Nous étions à l’autre bout de la table, loin de mon époux.
Albert avait bien choisi nos places, un énorme bouquet nous cachait à la vue de Norbert.
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