Suite du reste
Récit érotique écrit par Conteur [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-10-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Couleur du fond :
Suite du reste
Le cours pas génial portait sur les donations possibles avec les impôts y afférant. J’ai mis l’enregistrement et regardé autour de moi et j’ai repéré le jeune qui m’avait parlé. Il avait quelque chose de mystérieux, visage en hauteur, cheveux noirs, frisés, bouche fine et qui remontait sur les bords, le nez assez long avec de petites lunettes de lecture. Il a du se sentir observé et a fait un tour de l’amphi, j’étais deux rangs sous lui et il m’a souri. Je l’ai vu passer la main entre ses cuisses, et se remettre au travail avec un cli d’œil. J’ai repris le cours en tapant les mots clés, Son sourire annonçait pleine de choses intéressantes.
Quand le professeur a fini, j’ai rangé l’ordi dans mon sac et suis sorti. La foule dans les couloirs ne m’a pas permis de le repérer mais contre une des colonnes de la porte il était là, appuyé négligemment. Je me suis approché mais quand il a relevé la tête il souriait comme moi.
-Salut, on s’éloigne un peu pour boire un verre ?
Bonne idée on pourra se parler plus qu’au Luxembourg. En chemisette, nos bras se frôlaient me donnant la chair de poule. On a trouvé une place juste derrière la vitre d’un bistrot déjà envahi, bruyant mais dans le bruit on pouvait parler. Je ne sais même pas ton prénom ? Moi c’est Sylvain.
-Je vais t’étonner le mien est Stephen, originaire d’Angleterre mais né à paris. Inscrit ici après des études françaises et mes parents sont repartis sur l’île me laissant la chambre de bonne, assez vaste quand même.
J’ai un peu plus de chance, mes parents sont tous deux notaires et m’ont trouvé par relation de confrères une location-vente à deux pas de la fac. Ton prénom est en effet intrigant et me rappelle certaines lectures. Au serveur qui passait on a commandé deux bières. Je cois avoir compris que tu es gai comme moi ? J’avais rosi en disant ça.
-En fait, je ne sais pas mais j’aime approfondir certains endroits serrés par des manières spéciales. Une femme comme un homme à un trou commun et des seins, qui sont l’un comme l’autre des endroits sensibles.
Il va falloir passer à un autre sujet ou je vais soulever la table.
Son sourire s’est accentué.
-Le sujet te gêne ?
Ho non mais il me touche, correspondant de très près à mes souhaits. Mais ton prénom, ajouté à tes envies me font de l’effet. Finissons nos verres, je vais payer et te faire connaître les lieux ou je vis, c’est tout proche. Serviette avec l’ordi devant moi je suis passé au comptoir payer les consos et sorti rejoindre Stephen.
-Serais tu adepte de mes pratiques ?
Puceau comme je t’ai dit mais intéressé en effet par des pratiques sexuelles que beaucoup réprouvent je crois.
Après cinq minutes de marche je l’ai fait passer dans une cour assez grande avec un arbre feuillu au centre. Je me suis arrêté un instant. Montant une bâtisse enchâssée par deux autres. Voilà mon logement de dessous jusqu’en haut.
-C’est vaste, vieillot mais coquet.
Je l’ai fait entrer dans le couloir où j’ai déposé mon sac et appuyé à la table j’ai attendu les yeux fermés. Je n’ai pas attendu longtemps ses lèvres venues se coller aux miennes, sa langue forçant mes lèvres à s’ouvrir et mon premier baiser sexuel m’a vraiment fait réaliser que j’étais fait pour l’homme.
Sa main explorant mon corps sur mes vêtements. Il a insisté sur une pointe de téton me faisant frémir et tout en gardant sa langue dans ma bouche il a défait les boutons de la chemisette, la sortant du jeans. Il l’a laissé glisser contre moi découvrant mon torse fin, imberbe.
-Après ses prémisses tu devrais me montrer le reste de la maison.
Rouge de plaisir j’ai montré une porte dans le couloir. Ici on monte aux chambres et à la salle de bain, plus loin c’est la cuisine.
-Tu me montres ta chambre ?
Euh je n’ai rien rangé depuis ce matin.
-Justement j’en saurais plus sur toi comme ça. Mais avant de monter tu devrais ôter tes tennis et ton jean non ?
Tu veux que je monte en slip ?
-Oui et su tu es gêné tant mieux.
J’ai défait le zip, soulevé mes fesses de la marche, ôtant mes tennis et me relevant le jean a glissé le long de mes cuisses. Mon slip avait du mal à contenir mon paquet et je me suis détourné, baissant la tête pour attaquer les marches. Il était si près que j’ai senti ses mains sur mes fesses, caressantes. Le couloir desservait trois portes. Une entrouverte sur une baignoire à l’ancienne et de l’autre une fermée et ma chambre ouverte sur le fouillis.
-Stop, tu vas faire toi-même ce que tu as fait sur moi, me dévêtir.
Il portait un tee-shirt que j’ai fait passer sur ses épaules, caressant son torse.
-Non pas tout de suite.
Frustré j’ai défait les boutons de la braguette, je sentais son membre chaud et j’ai du tirer pour faire glisser le jean. Assieds-toi sur le lit que je te déchausse. Ôtant chaussure après chaussure j’ai retiré le jean par le bas. A genoux devant lui je voyais la masse de son paquet et l’imaginait en moi, dans la bouche ou bien ailleurs, j’en avais mal à la queue.
-Lèche mon slip. Apprends l’odeur de cette partie de mon corps. Il s’appuyait sur les coudes guettant mes réactions. Le miroir face à ton lit c’est pour te voir nu ?
Oui quand je me branle pour voir mes fesses ouvertes.
-Alors lèche et baisse ton slip que je le vois aussi. Et ne te touche pas le sexe.
Le slip devenait humide de salive, il a soulevé les reins.
- Ote mon slip. Libère ma queue.
Vu de là ou j’étais il m’a paru énorme à la base et de grosses couilles pendaient dessous.
-Elle te plait, comme tu l’avais imaginée ?
Je n’ai pas de repère mais elle est belle et les couilles sont grosses.
Alors je vais t’apprendre. Remontre un peu et tu vas la sucer comme un sucre d’orge. Lentement car moi aussi j’ai très envie de jouir. Tu auras l’occasion de goûter mon sperme et peut être un autre plus tard. Pour le moment appliques toi, suce !
La vache ma première bite en bouche ! j’allais tout doucement, repoussant le frein des lèvres pour sentir la peau nue de membre, mon premier ! Il m’a tenu par les cheveux, imprimant un léger va et vient, accélérant parfois avec une baffe. Je caressais ses couilles lourdes et la hampe de son sexe. Il a eu un sursaut et a tenu ma tête contre son gland. Il a eu des spasmes crémeux m’envoyant son sperme dans la gorge.
-Te voilà baptisé à ma façon. Avale bien le maximum de jus.
Il a fini par ôter sa main de ma tête.
-Chez toi où chez moi tu seras Ma salope. Dehors à part certaines occasions ce ne sera que Stephen et Denis. Ceci est la première leçon.
Quand le professeur a fini, j’ai rangé l’ordi dans mon sac et suis sorti. La foule dans les couloirs ne m’a pas permis de le repérer mais contre une des colonnes de la porte il était là, appuyé négligemment. Je me suis approché mais quand il a relevé la tête il souriait comme moi.
-Salut, on s’éloigne un peu pour boire un verre ?
Bonne idée on pourra se parler plus qu’au Luxembourg. En chemisette, nos bras se frôlaient me donnant la chair de poule. On a trouvé une place juste derrière la vitre d’un bistrot déjà envahi, bruyant mais dans le bruit on pouvait parler. Je ne sais même pas ton prénom ? Moi c’est Sylvain.
-Je vais t’étonner le mien est Stephen, originaire d’Angleterre mais né à paris. Inscrit ici après des études françaises et mes parents sont repartis sur l’île me laissant la chambre de bonne, assez vaste quand même.
J’ai un peu plus de chance, mes parents sont tous deux notaires et m’ont trouvé par relation de confrères une location-vente à deux pas de la fac. Ton prénom est en effet intrigant et me rappelle certaines lectures. Au serveur qui passait on a commandé deux bières. Je cois avoir compris que tu es gai comme moi ? J’avais rosi en disant ça.
-En fait, je ne sais pas mais j’aime approfondir certains endroits serrés par des manières spéciales. Une femme comme un homme à un trou commun et des seins, qui sont l’un comme l’autre des endroits sensibles.
Il va falloir passer à un autre sujet ou je vais soulever la table.
Son sourire s’est accentué.
-Le sujet te gêne ?
Ho non mais il me touche, correspondant de très près à mes souhaits. Mais ton prénom, ajouté à tes envies me font de l’effet. Finissons nos verres, je vais payer et te faire connaître les lieux ou je vis, c’est tout proche. Serviette avec l’ordi devant moi je suis passé au comptoir payer les consos et sorti rejoindre Stephen.
-Serais tu adepte de mes pratiques ?
Puceau comme je t’ai dit mais intéressé en effet par des pratiques sexuelles que beaucoup réprouvent je crois.
Après cinq minutes de marche je l’ai fait passer dans une cour assez grande avec un arbre feuillu au centre. Je me suis arrêté un instant. Montant une bâtisse enchâssée par deux autres. Voilà mon logement de dessous jusqu’en haut.
-C’est vaste, vieillot mais coquet.
Je l’ai fait entrer dans le couloir où j’ai déposé mon sac et appuyé à la table j’ai attendu les yeux fermés. Je n’ai pas attendu longtemps ses lèvres venues se coller aux miennes, sa langue forçant mes lèvres à s’ouvrir et mon premier baiser sexuel m’a vraiment fait réaliser que j’étais fait pour l’homme.
Sa main explorant mon corps sur mes vêtements. Il a insisté sur une pointe de téton me faisant frémir et tout en gardant sa langue dans ma bouche il a défait les boutons de la chemisette, la sortant du jeans. Il l’a laissé glisser contre moi découvrant mon torse fin, imberbe.
-Après ses prémisses tu devrais me montrer le reste de la maison.
Rouge de plaisir j’ai montré une porte dans le couloir. Ici on monte aux chambres et à la salle de bain, plus loin c’est la cuisine.
-Tu me montres ta chambre ?
Euh je n’ai rien rangé depuis ce matin.
-Justement j’en saurais plus sur toi comme ça. Mais avant de monter tu devrais ôter tes tennis et ton jean non ?
Tu veux que je monte en slip ?
-Oui et su tu es gêné tant mieux.
J’ai défait le zip, soulevé mes fesses de la marche, ôtant mes tennis et me relevant le jean a glissé le long de mes cuisses. Mon slip avait du mal à contenir mon paquet et je me suis détourné, baissant la tête pour attaquer les marches. Il était si près que j’ai senti ses mains sur mes fesses, caressantes. Le couloir desservait trois portes. Une entrouverte sur une baignoire à l’ancienne et de l’autre une fermée et ma chambre ouverte sur le fouillis.
-Stop, tu vas faire toi-même ce que tu as fait sur moi, me dévêtir.
Il portait un tee-shirt que j’ai fait passer sur ses épaules, caressant son torse.
-Non pas tout de suite.
Frustré j’ai défait les boutons de la braguette, je sentais son membre chaud et j’ai du tirer pour faire glisser le jean. Assieds-toi sur le lit que je te déchausse. Ôtant chaussure après chaussure j’ai retiré le jean par le bas. A genoux devant lui je voyais la masse de son paquet et l’imaginait en moi, dans la bouche ou bien ailleurs, j’en avais mal à la queue.
-Lèche mon slip. Apprends l’odeur de cette partie de mon corps. Il s’appuyait sur les coudes guettant mes réactions. Le miroir face à ton lit c’est pour te voir nu ?
Oui quand je me branle pour voir mes fesses ouvertes.
-Alors lèche et baisse ton slip que je le vois aussi. Et ne te touche pas le sexe.
Le slip devenait humide de salive, il a soulevé les reins.
- Ote mon slip. Libère ma queue.
Vu de là ou j’étais il m’a paru énorme à la base et de grosses couilles pendaient dessous.
-Elle te plait, comme tu l’avais imaginée ?
Je n’ai pas de repère mais elle est belle et les couilles sont grosses.
Alors je vais t’apprendre. Remontre un peu et tu vas la sucer comme un sucre d’orge. Lentement car moi aussi j’ai très envie de jouir. Tu auras l’occasion de goûter mon sperme et peut être un autre plus tard. Pour le moment appliques toi, suce !
La vache ma première bite en bouche ! j’allais tout doucement, repoussant le frein des lèvres pour sentir la peau nue de membre, mon premier ! Il m’a tenu par les cheveux, imprimant un léger va et vient, accélérant parfois avec une baffe. Je caressais ses couilles lourdes et la hampe de son sexe. Il a eu un sursaut et a tenu ma tête contre son gland. Il a eu des spasmes crémeux m’envoyant son sperme dans la gorge.
-Te voilà baptisé à ma façon. Avale bien le maximum de jus.
Il a fini par ôter sa main de ma tête.
-Chez toi où chez moi tu seras Ma salope. Dehors à part certaines occasions ce ne sera que Stephen et Denis. Ceci est la première leçon.
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