Sujet d’expérience
Récit érotique écrit par Romaric180 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-11-2014 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Sujet d’expérience
Mon ami vint m’ouvrir comme d’habitude, avec un grand sourire, mais en arrivant dans le salon j’eus la surprise de trouver un homme, la trentaine, assis dans un fauteuil. Les présentations furent vite expédiées.
- C’est X, il aime aussi être fessé, j’ai pensé que ce serait plus marrant à deux !
Je ne doutais pas un instant que la situation serait plus marrante pour mon ami.
- Je vais donc vous fesser tous les deux, l’un à côté de l’autre comme deux garnements. Mettez-vous à genoux devant la cheminée et enlevez vos T-shirts.
Nous nous sommes exécutés, à genoux, dos bien droit, mains sur la tête, attendant la suite avec curiosité. Mon ami est passé derrière moi, a défait le pantalon et l’a baissé jusqu’aux genoux puis, comme à son habitude, a tiré d’un coup sur le slip, libérant mes fesses et ma verge. Je vis X jeter un coup d’œil pour découvrir mon anatomie mais très vite ce fut à lui de subir le même sort. Nous étions tous les deux à genoux, cul nu sans défense devant cet homme qui allait sans nul doute en profiter largement.
- Je vais commencer par me chauffer un peu, et vous aussi par la même occasion.
C’est avec le paddle qu’il commença la séance, alternativement nos derrières avaient droit de gouter la morsure de l’objet en cuir. Je ne voyais pas mais je sentais la chaleur envahir le bas de mon dos, il devait en être de même pour X. J’essayais de ne pas gémir, il faisait de même pour paraitre plus fort.
Mon ami s’accorda une petite pause, changea d’accessoire et revint vers nous : le martinet entra en action. Les coups étaient appliqués avec force et dextérité pour être bien sentis mais ne pas risquer de trop marquer. J’ai toujours été sensible à cet instrument et encore plus lorsqu’il était manié ainsi.
Lorsqu’il jugea que la couleur de nos fesses correspondait à son souhait, mon ami nous fit lever et nous retourner. Il nous ordonna d’enlever le reste de nos vêtements qui devenaient gênants, ce que nous fîmes immédiatement. Il me demanda de tourner sur moi-même afin que X puisse juger de l’effet produit puis ce fut à son tour et je constatais que l’ouvrage avait été réalisé avec soin tant la couleur était uniforme.
Mon ami appela X et, le prenant par l’épaule m’annonça : « X a envie de tester l’autre côté, j’ai pensé que tu étais tout indiqué pour servir de sujet d’expérience, tu es d’accord bien sûr ?». Voila que j’allais devenir le cobaye de ce jeune homme ! J’acceptais néanmoins car j’avais entière confiance en mon ami.
- Nous allons commencer par la fessée à la main, assieds toi sur le bord du fauteuil, écarte la jambe droite et fais le basculer sur ton genoux gauche, tu sais comment on fait ?
X m’attrapa et me mit en position.
- Bloque bien ses jambes avec ta jambe pour qu’il n’essaye pas de s’échapper. Maintenant, vas-y à ton rythme.
La première claque s’abattit, pas trop forte mais en claquant bien, puis la seconde et ainsi de suite.
- Ce n’est pas ainsi que je fais, tu devrais t’en souvenir ! Plus fort, il ne sent rien !
Les suivantes furent peut-être moins sonores mais beaucoup plus cuisantes, les coups s’abattaient en rythme sous les encouragements de mon ami.
- Ca ira pour cette fois, garde des forces mais rappelle-toi de mes conseils, sinon je te les ferai rentrer d’une autre manière.
Je me remis debout, passais les mains pour frotter mes fesses endolories et respirais un bon coup.
- On va voir autre chose tout à l’heure mais laissons le reprendre son souffle et tu ne vas pas tout apprendre en une seule fois.
Après un moment, la séance reprit.
- Nous allons passer au martinet, ce n’est pas si facile que cela de bien l’utiliser… et tu as là un sujet réceptif.
Le sujet réceptif frémit en pensant à ce qui allait arriver mais je ne me dérobais pas.
- Penche-toi en avant, mets les mains sur les genoux et écarte les jambes, me dit-il.
- Place toi de côté, dit-il à X, pas trop loin mais pas trop près non plus, tu perdrais de la force. Lève bien le bras et donne un coup sec.
Aie ! Le coup fut bien sec et arriva en plein milieu de mes fesses m’arrachant une plainte.
- Si il réagit, c’est que le coup était bon, vas-y !
X n’avait pas la technique de mon ami et certains coups arrivaient sur le bord de ma hanche ou sur les cuisses.
- Essaye à la limite des fesses et des cuisses !
Cette fois X avait bien visé et je sursautais, mettant ma main d’instinct pour me protéger.
- Enlève ça où je prends la canne !
Je m’exécutais aussitôt car je redoutais par-dessus tout cet instrument que nous avions banni de nos séances.
- Pas mal pour un début, tu es doué mais il te faudra pratiquer encore, pas vrai, dit-il en s’adressant à moi ? Une petite pause et j’ai bien gagné une récompense.
Nous fîmes une pause, X et mon ami assis dans un fauteuil et moi debout, pour des raisons que je n’ai pas besoin de vous expliquer.
Mon ami baissa son pantalon et sortit sa verge.
- Viens, me dit-il
Je m’approchais, me mis à genoux devant lui, assis sur mes talons et j’approchais ma bouche de son gland. Je l’embrassais doucement du bout des lèvres, puis en jouant avec ma langue avant de le prendre en bouche, lentement.
- Hum, c’est bon. Tu sais ce qu’on a dit, dit-il à X ? Vas prendre un gant.
X se leva, ouvrit la boite et en tira le gant en latex qu’il enfila. Il se plaça derrière moi et se mit à genoux.
- Soulève un peu son bassin, ce sera plus pratique.
Il mit les mains sur mes hanches et me souleva légèrement de manière à ce que mes fesses décollent de mes talons mais que je puisse continuer mon travail buccal. J’avais compris, c’est mon anus qui allait déguster maintenant.
Il écarta les globes, promena un doigt sur ma rosette et pénétra d’un coup, me faisant sursauter.
- A sec ! Tu commences fort ! Ne l’abime pas trop tout de même, dit mon ami en riant.
Mon anus n’était pas lubrifié et même s’il sait parfois être accueillant, il réclamait un peu de préparation. Son doigt me faisait mal et je criais comme je pus, la bouche toujours occupée par le baillon constitué de ce membre qui grossissait à la fois par la caresse mais aussi par la situation.
- Doucement, appuie doucement et fais des petits mouvements pour enfoncer tes doigts. Ecarte bien ses fesses, ça aide le sphincter à s’ouvrir. Décontracte-toi, me dit mon ami.
Facile à dire avec une queue dans la bouche et un doigt qui pénètre dans mon cul sans préparation !
Il recommença la pénétration plus doucement et mon ami le félicita : « Bien, maintenant ressors et vas prendre du gel pour la suite ».
X déposa une noisette de gel sur ma rosette et poussa avec son doigt : la pénétration se fit sans problème.
- Maintenant mets un deuxième et un troisième doigt, tu sais bien comment je fais.
X tenta de rentrer les trois doigts en même temps, mais le passage ne s’ouvrit pas.
- Pas si vite, tu es pressé !
Je crois plutôt que X s’amusait de mes cris étouffés et qu’il faisait tout pour que je continue. Il fit donc pénétrer doucement, doigt par doigt, et entreprit de me fouiller, essayant de distendre au maximum le sphincter. Cette sensation d’être fouillé et cette queue qui gonflait de plus en plus dans ma bouche me faisaient tourner la tête et je ne savais plus où j’en étais.
- Il doit être prêt maintenant, vas t’équiper.
X se releva, me claqua négligemment les fesses et se dirigea vers la table où se trouvait la boite de préservatifs. Je l’entendis en enfiler un et se positionner derrière moi, à genoux entre mes jambes qu’il écarta un peu plus. Il ajusta la hauteur de mon bassin, présenta sa queue et me pénétra en poussant un petit grognement. Son âge lui donnait de la vigueur et sa queue était toute turgescente après cette mise en train. Ses mouvements étaient amples et rapides, j’avais du mal à garder la queue de mon ami en bouche et je gémissais sous les assauts. Excité comme il était, il ne lui fallut pas très longtemps pour exploser en moi en poussant un long grognement. Il restait ainsi, sa queue fiché dans mon ventre, appuyé sur mon dos pour reprendre son souffle.
- Bien, à mon tour, laisse-moi la place maintenant.
X se retira, mon ami me fit me lever, je ne sentais plus mes fesses ni mon anus martyrisé. Il me coucha sur le dos sur le canapé, mit mes jambes sur ses épaules et souleva mon bassin avant de me pénétrer sans difficulté, le passage étant largement préparé. C’est avec douceur qu’il me besogna, de mouvements amples m’arrachant des gémissements. Il jouit en râlant.
Une fois ma toilette faite et m’être rhabillé, mon ami me dit : « Il a de l’avenir, tu ne trouves pas ? ».
Sans nul doute et j’aurais surement à participer encore à son apprentissage.
- C’est X, il aime aussi être fessé, j’ai pensé que ce serait plus marrant à deux !
Je ne doutais pas un instant que la situation serait plus marrante pour mon ami.
- Je vais donc vous fesser tous les deux, l’un à côté de l’autre comme deux garnements. Mettez-vous à genoux devant la cheminée et enlevez vos T-shirts.
Nous nous sommes exécutés, à genoux, dos bien droit, mains sur la tête, attendant la suite avec curiosité. Mon ami est passé derrière moi, a défait le pantalon et l’a baissé jusqu’aux genoux puis, comme à son habitude, a tiré d’un coup sur le slip, libérant mes fesses et ma verge. Je vis X jeter un coup d’œil pour découvrir mon anatomie mais très vite ce fut à lui de subir le même sort. Nous étions tous les deux à genoux, cul nu sans défense devant cet homme qui allait sans nul doute en profiter largement.
- Je vais commencer par me chauffer un peu, et vous aussi par la même occasion.
C’est avec le paddle qu’il commença la séance, alternativement nos derrières avaient droit de gouter la morsure de l’objet en cuir. Je ne voyais pas mais je sentais la chaleur envahir le bas de mon dos, il devait en être de même pour X. J’essayais de ne pas gémir, il faisait de même pour paraitre plus fort.
Mon ami s’accorda une petite pause, changea d’accessoire et revint vers nous : le martinet entra en action. Les coups étaient appliqués avec force et dextérité pour être bien sentis mais ne pas risquer de trop marquer. J’ai toujours été sensible à cet instrument et encore plus lorsqu’il était manié ainsi.
Lorsqu’il jugea que la couleur de nos fesses correspondait à son souhait, mon ami nous fit lever et nous retourner. Il nous ordonna d’enlever le reste de nos vêtements qui devenaient gênants, ce que nous fîmes immédiatement. Il me demanda de tourner sur moi-même afin que X puisse juger de l’effet produit puis ce fut à son tour et je constatais que l’ouvrage avait été réalisé avec soin tant la couleur était uniforme.
Mon ami appela X et, le prenant par l’épaule m’annonça : « X a envie de tester l’autre côté, j’ai pensé que tu étais tout indiqué pour servir de sujet d’expérience, tu es d’accord bien sûr ?». Voila que j’allais devenir le cobaye de ce jeune homme ! J’acceptais néanmoins car j’avais entière confiance en mon ami.
- Nous allons commencer par la fessée à la main, assieds toi sur le bord du fauteuil, écarte la jambe droite et fais le basculer sur ton genoux gauche, tu sais comment on fait ?
X m’attrapa et me mit en position.
- Bloque bien ses jambes avec ta jambe pour qu’il n’essaye pas de s’échapper. Maintenant, vas-y à ton rythme.
La première claque s’abattit, pas trop forte mais en claquant bien, puis la seconde et ainsi de suite.
- Ce n’est pas ainsi que je fais, tu devrais t’en souvenir ! Plus fort, il ne sent rien !
Les suivantes furent peut-être moins sonores mais beaucoup plus cuisantes, les coups s’abattaient en rythme sous les encouragements de mon ami.
- Ca ira pour cette fois, garde des forces mais rappelle-toi de mes conseils, sinon je te les ferai rentrer d’une autre manière.
Je me remis debout, passais les mains pour frotter mes fesses endolories et respirais un bon coup.
- On va voir autre chose tout à l’heure mais laissons le reprendre son souffle et tu ne vas pas tout apprendre en une seule fois.
Après un moment, la séance reprit.
- Nous allons passer au martinet, ce n’est pas si facile que cela de bien l’utiliser… et tu as là un sujet réceptif.
Le sujet réceptif frémit en pensant à ce qui allait arriver mais je ne me dérobais pas.
- Penche-toi en avant, mets les mains sur les genoux et écarte les jambes, me dit-il.
- Place toi de côté, dit-il à X, pas trop loin mais pas trop près non plus, tu perdrais de la force. Lève bien le bras et donne un coup sec.
Aie ! Le coup fut bien sec et arriva en plein milieu de mes fesses m’arrachant une plainte.
- Si il réagit, c’est que le coup était bon, vas-y !
X n’avait pas la technique de mon ami et certains coups arrivaient sur le bord de ma hanche ou sur les cuisses.
- Essaye à la limite des fesses et des cuisses !
Cette fois X avait bien visé et je sursautais, mettant ma main d’instinct pour me protéger.
- Enlève ça où je prends la canne !
Je m’exécutais aussitôt car je redoutais par-dessus tout cet instrument que nous avions banni de nos séances.
- Pas mal pour un début, tu es doué mais il te faudra pratiquer encore, pas vrai, dit-il en s’adressant à moi ? Une petite pause et j’ai bien gagné une récompense.
Nous fîmes une pause, X et mon ami assis dans un fauteuil et moi debout, pour des raisons que je n’ai pas besoin de vous expliquer.
Mon ami baissa son pantalon et sortit sa verge.
- Viens, me dit-il
Je m’approchais, me mis à genoux devant lui, assis sur mes talons et j’approchais ma bouche de son gland. Je l’embrassais doucement du bout des lèvres, puis en jouant avec ma langue avant de le prendre en bouche, lentement.
- Hum, c’est bon. Tu sais ce qu’on a dit, dit-il à X ? Vas prendre un gant.
X se leva, ouvrit la boite et en tira le gant en latex qu’il enfila. Il se plaça derrière moi et se mit à genoux.
- Soulève un peu son bassin, ce sera plus pratique.
Il mit les mains sur mes hanches et me souleva légèrement de manière à ce que mes fesses décollent de mes talons mais que je puisse continuer mon travail buccal. J’avais compris, c’est mon anus qui allait déguster maintenant.
Il écarta les globes, promena un doigt sur ma rosette et pénétra d’un coup, me faisant sursauter.
- A sec ! Tu commences fort ! Ne l’abime pas trop tout de même, dit mon ami en riant.
Mon anus n’était pas lubrifié et même s’il sait parfois être accueillant, il réclamait un peu de préparation. Son doigt me faisait mal et je criais comme je pus, la bouche toujours occupée par le baillon constitué de ce membre qui grossissait à la fois par la caresse mais aussi par la situation.
- Doucement, appuie doucement et fais des petits mouvements pour enfoncer tes doigts. Ecarte bien ses fesses, ça aide le sphincter à s’ouvrir. Décontracte-toi, me dit mon ami.
Facile à dire avec une queue dans la bouche et un doigt qui pénètre dans mon cul sans préparation !
Il recommença la pénétration plus doucement et mon ami le félicita : « Bien, maintenant ressors et vas prendre du gel pour la suite ».
X déposa une noisette de gel sur ma rosette et poussa avec son doigt : la pénétration se fit sans problème.
- Maintenant mets un deuxième et un troisième doigt, tu sais bien comment je fais.
X tenta de rentrer les trois doigts en même temps, mais le passage ne s’ouvrit pas.
- Pas si vite, tu es pressé !
Je crois plutôt que X s’amusait de mes cris étouffés et qu’il faisait tout pour que je continue. Il fit donc pénétrer doucement, doigt par doigt, et entreprit de me fouiller, essayant de distendre au maximum le sphincter. Cette sensation d’être fouillé et cette queue qui gonflait de plus en plus dans ma bouche me faisaient tourner la tête et je ne savais plus où j’en étais.
- Il doit être prêt maintenant, vas t’équiper.
X se releva, me claqua négligemment les fesses et se dirigea vers la table où se trouvait la boite de préservatifs. Je l’entendis en enfiler un et se positionner derrière moi, à genoux entre mes jambes qu’il écarta un peu plus. Il ajusta la hauteur de mon bassin, présenta sa queue et me pénétra en poussant un petit grognement. Son âge lui donnait de la vigueur et sa queue était toute turgescente après cette mise en train. Ses mouvements étaient amples et rapides, j’avais du mal à garder la queue de mon ami en bouche et je gémissais sous les assauts. Excité comme il était, il ne lui fallut pas très longtemps pour exploser en moi en poussant un long grognement. Il restait ainsi, sa queue fiché dans mon ventre, appuyé sur mon dos pour reprendre son souffle.
- Bien, à mon tour, laisse-moi la place maintenant.
X se retira, mon ami me fit me lever, je ne sentais plus mes fesses ni mon anus martyrisé. Il me coucha sur le dos sur le canapé, mit mes jambes sur ses épaules et souleva mon bassin avant de me pénétrer sans difficulté, le passage étant largement préparé. C’est avec douceur qu’il me besogna, de mouvements amples m’arrachant des gémissements. Il jouit en râlant.
Une fois ma toilette faite et m’être rhabillé, mon ami me dit : « Il a de l’avenir, tu ne trouves pas ? ».
Sans nul doute et j’aurais surement à participer encore à son apprentissage.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Très belle aventure très bien écrite de plus. Sympa ton ami.
J'ai vécu une histoire similaire et c'est la surprise qui fait le plus d'effet et de palisir
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