Summer of Love 15
Récit érotique écrit par Mysterious1991 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-10-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Summer of Love 15
- Bérénice...
- Oui, Théo ?
- Chevauche-moi... Encore... J'aime quand tu t'assois sur moi...
- Moi aussi j'aime...
- Chevauche-moi... Mais... Tourne-moi le dos, bébé...
- J'imagine ton sexe de nouveau en moi...
- Bérénice...
- J'imagine mon corps qui se balance pendant que tu me baises...
- Chérie...
- J'imagine tes mains qui se posent sur mon corps et qui me caressent...
- Toi... Tu as des envies...
- Des envies... de toi, mon amour...
- Puissent-elles être comblées, alors, ma jolie coccinelle...
- Je n'attends que ça, joli oiseau...
Nous nous remettons à nous embrasser.
Nous consommons notre amour.
Nous consommons notre désir.
Nous consommons nos envies.
Et nous nous en délectons...
- Et tu sais comment tu les comblerais, mes envies, mon chat...?
- Mmmh... Dis-moi...
- Eh bien... Je vais m'asseoir sur toi, et je vais m'empaler sur ton sexe, Théo... Comme tout à l'heure... Sauf que là, je te tournerai le dos...
- Hmmm... C'est... intéressant...
- Et je te chevaucherai...
- Mmmh...
- Toi, tu poseras tes mains sur mes seins lourds... Sur le bas de mes reins... Et tu m'enculeras en allant et en venant en moi...
- Bérénice...
Sur ces derniers mots, Bérénice se met à transformer en actes ce qu'elle vient de me dire.
Elle me tourne le dos. Son dos est beau, tout en sueur. Je pose les mains sur elle.
Je l'aide pour qu'elle puisse s'empaler sur moi.
Mon érection bien en main, elle l'approche de son anus.
Puis, elle l'introduit en elle. Et elle se remet à me chevaucher...
- Ton sexe est gros... Tu me remplis... J'aime...
- Et toi... Ton cul est si accueillant... J'aime te prendre comme ça... Bérénice...
- Mon amour... Abandonne-toi... Prends-moi...
- Chérie... Toi... aussi... Abandonne-toi...
- Ton sexe dans mon petit cul... Tu ne pouvais pas mieux me combler...
J'étreinds Bérénice en posant mes mains sur le bas de ses reins.
Et comme ça, je la fais aller et venir sur mon pénis.
Mon membre va et vient, avec aisance à présent, à l'intérieur de son anus.
Elle, elle a posé ses mains de chaque côté de mon corps.
Elle se laisse aller.
Elle se laisse sodomiser.
Elle s'abandonne.
- Mon a...mour ! J'aime que tu m'encules...
- Bérénice... J'ai encore tant à découvrir sur toi...
- Toute la vie...
- On a toute la vie devant nous...
- Mmmh... Ma femme...
- Théo... Mon homme... Rien qu'à moi...
- J'adore te faire l'amour...
- J'adore te laisser me prendre par le cul...
Sitôt qu'elle prononce ces mots, je renforce l'étreinte de mes mains sur elle, l'emprise que j'ai sur elle.
Mes mains sont toujours posées sur le bas de ses reins. Et malgré la moiteur de son corps due à la chaleur et à l'intensité de nos ébats, elles sont toujours aussi bien sur Bérénice. Elles la caressent.
Bérénice ne gémit plus. Non... Elle n'en finit plus de crier... de hurler de plaisir.
Bérénice va et vient.
Va et vient.
Elle s'abandonne au contact de mes mains posées sur son corps... de mon sexe qui coulisse à merveille au plus profond d'elle.
À l'aide de mes mains, je fais Bérénice aller et venir sur mon sexe.
Mon sexe, il coulisse à merveille dans son anus parce qu'il est à présent très dilaté.
Bérénice n'a pas l'air de ressentir de douleur, et ce même si c'est notre première sodomie, pour elle comme pour moi.
Je l'entends haleter.
Gémir.
Soupirer.
Crier.
Et de plus en plus... hurler.
Mais tout ça... tous ces bruits, c'est le plaisir qui fait qu'elle les émet..
Et là, alors que je continue de l'enculer, je n'entends plus qu'elle.
C'est le plaisir qui fait qu'elle est comme ça.
C'est le plaisir qui a pris possession d'elle, crescendo.
C'est le plaisir qui l'a métamorphosée en femme perdue, vaincue et qui lui fait perdre pied.
- Bérénice... Ça... va?
- Chut...
- Mais je...
- Concentre-toi et baise-moi, mon amour... Ton beau sexe dans mon anus... Il y est si bien... Et moi, je le sens en moi, tu sais ? Oh oui! Je le sens qui va et qui vient dans mon petit cul... Continue de me faire l'amour, chéri...
- Si tels sont tes désirs, mon cœur... Ce n'est que pur délice de te faire l'amour, pupuce...
- Thé...o!
- Qu'est-ce qu'il y a, Bérénice ?
- Tes mains sur mon ventre... Sur mes seins... Je veux les sentir !
- Une main qui se pose sur ton pubis, aussi ? Sur ton clito ? Et je te caresse pendant que je continue de te baiser? C'est ça que tu veux ?
- Théo... Tu sais tout ce que je veux... Mon Théo... Oui... S'il te plaît...
- Bien...
C'est ainsi que Bérénice me fait aller et venir en elle. Elle me chevauche.
C'est elle qui me baise.
Et moi... ma main se pose sur son intimité et le bout de mes doigts se remet à caresser sa petite bombe sexuelle.
De doux mouvements circulaires.
Bérénice en gémit bruyamment, longuement. Elle n'est plus que plaisir et sensations.
-- Mon ange... Ma jolie coccinelle...
- Mon a...mour!
- Je t'aime.
- Thé...o!
- Et j'aime te faire l'amour. Non... J'adore.
- Moi aussi. Et j'aime l'idée que tu aies toujours envie de moi.
- Je suis profondément amoureux de toi, Bérénice.
- Théo.
Sa voix se fait douce, tremblante. Bérénice est émue. Je la comprends.
C'est touchant, poignant, émouvant, ce que nous sommes en train de vivre, en ce petit matin.
Ce n'est pas que faire l'amour, au bout du compte.
Non.
C'est bien plus que ça.
- Mon cœur... Théo...
Elle halète de plus en plus rapidement. Sa respiration est saccadée.
- Bérénice...
Moi aussi, je suis un homme perdu, tout compte fait...
Je ne reconnais d'ailleurs pas ma voix alors que je m'entends lui parler. Ma voix est rendue rauque, éraillée par le désir, par le plaisir.
L'homme est faible... parce que la femme lui plaît, le séduit et lui fait perdre la raison.
L'homme est faible... parce que la femme lui tend la pomme du désir, use et abuse de ses charmes et lui fait perdre le contrôle.
- Théo...
- Pupuce...
- Tu es à moi...
- Tout à toi...
- Ton beau sexe en moi... Tout dur... Gonflé par le désir et par le plaisir... Gorgé de ton sperme...
Ses mots me font gémir. Ils me font chavirer. Pour toute réponse, je redouble d'ardeur et je m'enfonce plus profondément dans son cul. Ah quand la femme rend l'homme faible.
Il n'y a plus rien à faire.
Les dégâts sont perpétrés.
Ce n'est plus le plaisir qui prend possession de moi, désormais...
C'est la jouissance...
Bérénice me mène et m'emmène sur la voie délicieuse et inexorable de la jouissance.
- Oh oui! C'est trop... bon! Thé...o ! Continue de me prendre comme ça ! Prends-moi! T'arrêtes pas... Surtout pas...
- Ça, il n'en est pas question...
- Pu...tain ! C'est trop... bon!
C'est certain désormais pour moi : Bérénice est déchaînée, et elle aime la sodomie.
Je ne la reconnais plus, mais à vrai dire... ça me plaît et j'aime ça.
Là, c'est sûr... Elle oublie la journée pas terrible qu'elle a peut-être passé hier.
Elle s'abandonne complètement et elle fait abstraction de tout... sauf de nous deux.
Sauf de son corps qui me chevauche et qui se balance au-dessus de moi.
Sauf de mon pénis gonflé de mon amour et de mon désir pour elle, gorgé de mon sperme, et qui va et vient en elle, profondément.
Plus le temps avance, plus je pénètre Bérénice, et plus ma respiration est rapide. J'ai le souffle court. Je prends beaucoup... beaucoup de plaisir avec ma "petite" femme, de quelque manière que ce soit.
Plus le temps avance, plus je pénètre Bérénice, et plus je soupire et gémis. C'est parce que le plaisir devient intense. Délicieux. Si l'on continue de faire l'amour ainsi, la jouissance sera inéluctable... pour elle comme pour moi.
- Théo...
- Oui, mon cœur ?
- À compter d'aujourd'hui... tu m'enculeras... une fois par semaine... au minimum...
- Oh...oui, jolie coccinelle... J'y compte bien...
- Toi qui dis que je suis bonne à marier...
- Dites donc, mademoiselle Blondeau ! Vous vous faites salace, maintenant ?
- Oui... Et j'aime ça...
- Tu es définitivement bonne à marier...
- Et... définitivement... bonne... à baiser?
- Tu es le seul et unique meilleur bon coup de ma vie, Bérénice.
- Et toi... tu es l'homme dont je rêvais. L'homme auquel je pensais quand je me caressais dans mon lit quand j'étais adolescente... Et tu seras mon mari un jour... Je ferai tout pour te rendre heureux, ché...ri. Je te le promets.
- Je ferai tout pour te rendre heureuse, princesse. Je te le promets.
- Oui, Théo ?
- Chevauche-moi... Encore... J'aime quand tu t'assois sur moi...
- Moi aussi j'aime...
- Chevauche-moi... Mais... Tourne-moi le dos, bébé...
- J'imagine ton sexe de nouveau en moi...
- Bérénice...
- J'imagine mon corps qui se balance pendant que tu me baises...
- Chérie...
- J'imagine tes mains qui se posent sur mon corps et qui me caressent...
- Toi... Tu as des envies...
- Des envies... de toi, mon amour...
- Puissent-elles être comblées, alors, ma jolie coccinelle...
- Je n'attends que ça, joli oiseau...
Nous nous remettons à nous embrasser.
Nous consommons notre amour.
Nous consommons notre désir.
Nous consommons nos envies.
Et nous nous en délectons...
- Et tu sais comment tu les comblerais, mes envies, mon chat...?
- Mmmh... Dis-moi...
- Eh bien... Je vais m'asseoir sur toi, et je vais m'empaler sur ton sexe, Théo... Comme tout à l'heure... Sauf que là, je te tournerai le dos...
- Hmmm... C'est... intéressant...
- Et je te chevaucherai...
- Mmmh...
- Toi, tu poseras tes mains sur mes seins lourds... Sur le bas de mes reins... Et tu m'enculeras en allant et en venant en moi...
- Bérénice...
Sur ces derniers mots, Bérénice se met à transformer en actes ce qu'elle vient de me dire.
Elle me tourne le dos. Son dos est beau, tout en sueur. Je pose les mains sur elle.
Je l'aide pour qu'elle puisse s'empaler sur moi.
Mon érection bien en main, elle l'approche de son anus.
Puis, elle l'introduit en elle. Et elle se remet à me chevaucher...
- Ton sexe est gros... Tu me remplis... J'aime...
- Et toi... Ton cul est si accueillant... J'aime te prendre comme ça... Bérénice...
- Mon amour... Abandonne-toi... Prends-moi...
- Chérie... Toi... aussi... Abandonne-toi...
- Ton sexe dans mon petit cul... Tu ne pouvais pas mieux me combler...
J'étreinds Bérénice en posant mes mains sur le bas de ses reins.
Et comme ça, je la fais aller et venir sur mon pénis.
Mon membre va et vient, avec aisance à présent, à l'intérieur de son anus.
Elle, elle a posé ses mains de chaque côté de mon corps.
Elle se laisse aller.
Elle se laisse sodomiser.
Elle s'abandonne.
- Mon a...mour ! J'aime que tu m'encules...
- Bérénice... J'ai encore tant à découvrir sur toi...
- Toute la vie...
- On a toute la vie devant nous...
- Mmmh... Ma femme...
- Théo... Mon homme... Rien qu'à moi...
- J'adore te faire l'amour...
- J'adore te laisser me prendre par le cul...
Sitôt qu'elle prononce ces mots, je renforce l'étreinte de mes mains sur elle, l'emprise que j'ai sur elle.
Mes mains sont toujours posées sur le bas de ses reins. Et malgré la moiteur de son corps due à la chaleur et à l'intensité de nos ébats, elles sont toujours aussi bien sur Bérénice. Elles la caressent.
Bérénice ne gémit plus. Non... Elle n'en finit plus de crier... de hurler de plaisir.
Bérénice va et vient.
Va et vient.
Elle s'abandonne au contact de mes mains posées sur son corps... de mon sexe qui coulisse à merveille au plus profond d'elle.
À l'aide de mes mains, je fais Bérénice aller et venir sur mon sexe.
Mon sexe, il coulisse à merveille dans son anus parce qu'il est à présent très dilaté.
Bérénice n'a pas l'air de ressentir de douleur, et ce même si c'est notre première sodomie, pour elle comme pour moi.
Je l'entends haleter.
Gémir.
Soupirer.
Crier.
Et de plus en plus... hurler.
Mais tout ça... tous ces bruits, c'est le plaisir qui fait qu'elle les émet..
Et là, alors que je continue de l'enculer, je n'entends plus qu'elle.
C'est le plaisir qui fait qu'elle est comme ça.
C'est le plaisir qui a pris possession d'elle, crescendo.
C'est le plaisir qui l'a métamorphosée en femme perdue, vaincue et qui lui fait perdre pied.
- Bérénice... Ça... va?
- Chut...
- Mais je...
- Concentre-toi et baise-moi, mon amour... Ton beau sexe dans mon anus... Il y est si bien... Et moi, je le sens en moi, tu sais ? Oh oui! Je le sens qui va et qui vient dans mon petit cul... Continue de me faire l'amour, chéri...
- Si tels sont tes désirs, mon cœur... Ce n'est que pur délice de te faire l'amour, pupuce...
- Thé...o!
- Qu'est-ce qu'il y a, Bérénice ?
- Tes mains sur mon ventre... Sur mes seins... Je veux les sentir !
- Une main qui se pose sur ton pubis, aussi ? Sur ton clito ? Et je te caresse pendant que je continue de te baiser? C'est ça que tu veux ?
- Théo... Tu sais tout ce que je veux... Mon Théo... Oui... S'il te plaît...
- Bien...
C'est ainsi que Bérénice me fait aller et venir en elle. Elle me chevauche.
C'est elle qui me baise.
Et moi... ma main se pose sur son intimité et le bout de mes doigts se remet à caresser sa petite bombe sexuelle.
De doux mouvements circulaires.
Bérénice en gémit bruyamment, longuement. Elle n'est plus que plaisir et sensations.
-- Mon ange... Ma jolie coccinelle...
- Mon a...mour!
- Je t'aime.
- Thé...o!
- Et j'aime te faire l'amour. Non... J'adore.
- Moi aussi. Et j'aime l'idée que tu aies toujours envie de moi.
- Je suis profondément amoureux de toi, Bérénice.
- Théo.
Sa voix se fait douce, tremblante. Bérénice est émue. Je la comprends.
C'est touchant, poignant, émouvant, ce que nous sommes en train de vivre, en ce petit matin.
Ce n'est pas que faire l'amour, au bout du compte.
Non.
C'est bien plus que ça.
- Mon cœur... Théo...
Elle halète de plus en plus rapidement. Sa respiration est saccadée.
- Bérénice...
Moi aussi, je suis un homme perdu, tout compte fait...
Je ne reconnais d'ailleurs pas ma voix alors que je m'entends lui parler. Ma voix est rendue rauque, éraillée par le désir, par le plaisir.
L'homme est faible... parce que la femme lui plaît, le séduit et lui fait perdre la raison.
L'homme est faible... parce que la femme lui tend la pomme du désir, use et abuse de ses charmes et lui fait perdre le contrôle.
- Théo...
- Pupuce...
- Tu es à moi...
- Tout à toi...
- Ton beau sexe en moi... Tout dur... Gonflé par le désir et par le plaisir... Gorgé de ton sperme...
Ses mots me font gémir. Ils me font chavirer. Pour toute réponse, je redouble d'ardeur et je m'enfonce plus profondément dans son cul. Ah quand la femme rend l'homme faible.
Il n'y a plus rien à faire.
Les dégâts sont perpétrés.
Ce n'est plus le plaisir qui prend possession de moi, désormais...
C'est la jouissance...
Bérénice me mène et m'emmène sur la voie délicieuse et inexorable de la jouissance.
- Oh oui! C'est trop... bon! Thé...o ! Continue de me prendre comme ça ! Prends-moi! T'arrêtes pas... Surtout pas...
- Ça, il n'en est pas question...
- Pu...tain ! C'est trop... bon!
C'est certain désormais pour moi : Bérénice est déchaînée, et elle aime la sodomie.
Je ne la reconnais plus, mais à vrai dire... ça me plaît et j'aime ça.
Là, c'est sûr... Elle oublie la journée pas terrible qu'elle a peut-être passé hier.
Elle s'abandonne complètement et elle fait abstraction de tout... sauf de nous deux.
Sauf de son corps qui me chevauche et qui se balance au-dessus de moi.
Sauf de mon pénis gonflé de mon amour et de mon désir pour elle, gorgé de mon sperme, et qui va et vient en elle, profondément.
Plus le temps avance, plus je pénètre Bérénice, et plus ma respiration est rapide. J'ai le souffle court. Je prends beaucoup... beaucoup de plaisir avec ma "petite" femme, de quelque manière que ce soit.
Plus le temps avance, plus je pénètre Bérénice, et plus je soupire et gémis. C'est parce que le plaisir devient intense. Délicieux. Si l'on continue de faire l'amour ainsi, la jouissance sera inéluctable... pour elle comme pour moi.
- Théo...
- Oui, mon cœur ?
- À compter d'aujourd'hui... tu m'enculeras... une fois par semaine... au minimum...
- Oh...oui, jolie coccinelle... J'y compte bien...
- Toi qui dis que je suis bonne à marier...
- Dites donc, mademoiselle Blondeau ! Vous vous faites salace, maintenant ?
- Oui... Et j'aime ça...
- Tu es définitivement bonne à marier...
- Et... définitivement... bonne... à baiser?
- Tu es le seul et unique meilleur bon coup de ma vie, Bérénice.
- Et toi... tu es l'homme dont je rêvais. L'homme auquel je pensais quand je me caressais dans mon lit quand j'étais adolescente... Et tu seras mon mari un jour... Je ferai tout pour te rendre heureux, ché...ri. Je te le promets.
- Je ferai tout pour te rendre heureuse, princesse. Je te le promets.
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