Summer of Love 2
Récit érotique écrit par Mysterious1991 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-12-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Summer of Love 2
Quand elle dort, que Bérénice est belle. Une belle endormie. Irrésistible. Ses cheveux longs sont lâchés, comme elle en a, en général, l’habitude. La nuit, elle ne dort pas avec ses lunettes. Quand elle m’embrasse, ses beaux yeux couleur chocolat sont fermés, ou mi-clos. Et quand elle les ouvre de nouveau, ils sont pétillants. De jolis yeux d’une femme amoureuse. Heureuse. Je veille à ce qu’elle le soit. Dans n’importe quelle circonstance. Et quand elle ouvre ses magnifiques prunelles, au petit matin, je me dis que je suis l’homme le plus chanceux de la Terre. Le plus verni. Un homme béni des dieux, mais aussi un homme à la mer… parce que je ne peux pas résister à Bérénice. Et elle le sait, cette petite coquine, elle le sait ! Non seulement elle me plaît, de jour comme de nuit, mais elle me donne carrément envie, dès notre premier regard de la journée, alors que le jour ne s’est pas encore levé, et que nos rideaux sont encore fermés. Bérénice, ELLE, et ELLE SEULE, fait que le jour se lève encore. J’aime Bérénice...
Le tout premier baiser de la journée, c’est sacré. Il a quelque chose, un je-ne-sais-quoi. Ses yeux s’ouvrent lentement et se dilatent, pétillent du fait que je suis l’objet de son premier regard. Que Bérénice est belle. Craquante. Irrésistible. Et quand elle sourit… Rhoo ! Ses lèvres sont roses. Pleines. Que c’est un délice d’y poser les miennes. Rhoo ! Bien qu’elle n’ait pas encore mis son fameux baume à la vanille (elle ne le fait qu’au moment de se faire belle, après avoir pris sa petite douche et s’être habillée, maquillée), ses putains de lèvres sont délicieuses. Sans aucun doute, je suis l’homme le plus chanceux de la Terre. Bérénice se fait belle pour moi. Dès le premier petit baiser de la journée, je sais déjà que la journée commence bien, et ça me fait comprendre que le jour se lève encore. Qu’en est-il de Bérénice, par contre… ?
Avant que l’on se couche et l’on s’endorme, et ce, même si elle semblait se faire du mouron pour je-ne-sais-quoi, elle s’était dévêtue et avait affirmé qu’elle avait l’intention de dormir nue cette nuit, tout contre moi. Il faisait plutôt bien dans la chambre, mais Bérénice savait qu’elle aurait chaud en se prélassant, en se «dorlotant» contre mon corps. Dans l’intimité, ma «pupuce» avait pour habitude de me dire que mon corps est chaud, tendre, et que le contact de nos corps est synonyme de promesses et de… frissons forts. Dans la nuit, dans l’intimité de notre chambre, notre lit est chaud parce que nos deux corps s’y prélassent. Bérénice est allongée, tranquillement, lascivement, dans nos draps, face à moi. Je suis allongé, les yeux béats, dans nos draps, et je la regarde avec les yeux de l’amour. La voir nue, dans notre lit… Rhoo ! Elle me donne envie… Oh oui… !
Bérénice me donne envie de l’embrasser. Rhoo ! Encore et encore et encore. Elle a dormi, nue, cette nuit, et j’imagine que là où son corps s’est étendu et s’est reposé, ce n’est plus que chaleur. Chaleur et… moiteur. Quand elle a décrété vouloir dormir dans le plus simple appareil, en tenue d’Eve, je savais qu’il n’était pas question de la défier ou de la contredire. Je savais que Bérénice n’en faisait qu’à sa tête… et ça me plaisait. Bien sûr que ses soucis de la journée étaient bien présents, dans un coin de sa tête… Mais, en n’en faisant qu’à sa tête (justement!), elle n’avait pas attendu que je lui donne une réponse, que ni une ni deux, elle s’était déshabillée : elle avait ôté sa nuisette, ainsi que sa petite culotte. Nue, entière : elle n’en était que belle. Et… elle m’excitait. Oh oui… ! Et ma première pensée du matin, au moment où elle ouvrit ses ravissantes prunelles couleur chocolat, c’était d’embrasser ses putains de lèvres. Même si elles n’avaient pas ce goût vanillé qu’a Bérénice dans la journée, ce n’était pas grave. Je ne pouvais pas résister à Bérénice, je ne voulais pas lui résister. Plus jamais. Ni une, ni deux, je rapprochais mon visage du sien, et lui donnais un baiser. Mes lèvres moulées au siennes. Un petit «smack». Le tout premier baiser de la journée. Nous, nus, tous les deux. Au lit. Un premier… riche en promesses, quelles qu’elles soient...
Elle est nue, entière, et elle m’appelle. Son corps m’appelle, de par sa chaleur. Elle sait que je la regarde. Elle sait que je ne peux pas détacher mes yeux d’elle. Ce n’est juste… pas possible. Elle a ouvert ses beaux yeux chocolat. Même à peine ouverts parce qu’elle émergeait tout juste de son sommeil, Bérénice me faisait craquer, de bon matin. Je ne sais pas si où sont passés tes soucis d’hier. Je ne sais même pas s’ils se sont évaporés, quelque part, mais toujours est-il que ma «petite» étudiante sérieuse s’était vêtue de son sourire d’un jour optimal, et dans l’intimité de notre chambre. C’étaient de tout petits yeux, de petits yeux du matin, mais des yeux brillants, pétillants. Des yeux amoureux. Les yeux d’une femme amoureuse. Je l’ai regardée, profondément, intensément, et j’ai porté ma bouche à la sienne. J’avais envie de l’embrasser, je n’ai pu ni m’en empêcher… ni résister. Comment est-il possible de résister à Bérénice, ne serait-ce que de l’envisager ? IMPOSSIBLE ! Tout comme il m’est impossible de résister à l’idée de passer ma main sur son corps dénudé, sensuel, magnifique. Un appel aux plaisirs sensuels et charnels… Et ça lui plaît, à cette petite coquine, d’après ce que j’entends. Elle émet des petits bruits de plaisir. Et moi… c’est un appel à te découvrir, comme si c’était la première fois...
Bérénice sait que j’aime laisser ma main me balader sur son corps soyeux. Parmi les soins qu’elle se prodigue quand elle se «dorlote», dans la salle de bains, Bérénice aime tout particulièrement enduire sa peau d’un lait spécifique. Un lait à la vanille, il me semble. Je l’imagine, dans la salle de bains… Face au miroir… Ses mains qui se baladent partout sur son corps. Ses mains, telle une plume, la caressent. Un contact doux. Parfois des petits cercles pour masser… titiller… Je ne suis pas dans la salle de bains dans ces moments-là, mais j’aimerais y être. Je respecte l’intimité de ma «pupuce», mais, et même si sa nudité me plaît beaucoup, j’aimerais la voir… nue, entière, alors qu’elle prend soin d’elle, avec sensualité. C’est à cela que je pense alors que je laisse mes mains parcourir son corps. Son cou… La naissance de ses seins… Ses seins d’une taille plutôt belle et excitante… Ses aréoles qui virent entre le rose et le rouge… Ses tétons dressés… Son ventre plat… Son mignon «petit» nombril… Je laisse mes mains aller… jusqu’à son pubis. Oh… J’aime ses «petits» poils pubiens. Elle veut les garder, et moi… aussi. Sa main continue… encore et encore… vers le sud, jusqu’au sexe de Bérénice. Ce sexe, beau, délicieux. Le sexe de Bérénice… que j’aime avoir l’habitude de lécher. J’aime son goût intime, salé. J’aime que le liquide salé de Bérénice coule entre ses cuisses, et l’inonde. Et… quand je passe ma main, à cet instant précis, sur son minou, je découvre… que Bérénice est déjà trempée...
Le tout premier baiser de la journée, c’est sacré. Il a quelque chose, un je-ne-sais-quoi. Ses yeux s’ouvrent lentement et se dilatent, pétillent du fait que je suis l’objet de son premier regard. Que Bérénice est belle. Craquante. Irrésistible. Et quand elle sourit… Rhoo ! Ses lèvres sont roses. Pleines. Que c’est un délice d’y poser les miennes. Rhoo ! Bien qu’elle n’ait pas encore mis son fameux baume à la vanille (elle ne le fait qu’au moment de se faire belle, après avoir pris sa petite douche et s’être habillée, maquillée), ses putains de lèvres sont délicieuses. Sans aucun doute, je suis l’homme le plus chanceux de la Terre. Bérénice se fait belle pour moi. Dès le premier petit baiser de la journée, je sais déjà que la journée commence bien, et ça me fait comprendre que le jour se lève encore. Qu’en est-il de Bérénice, par contre… ?
Avant que l’on se couche et l’on s’endorme, et ce, même si elle semblait se faire du mouron pour je-ne-sais-quoi, elle s’était dévêtue et avait affirmé qu’elle avait l’intention de dormir nue cette nuit, tout contre moi. Il faisait plutôt bien dans la chambre, mais Bérénice savait qu’elle aurait chaud en se prélassant, en se «dorlotant» contre mon corps. Dans l’intimité, ma «pupuce» avait pour habitude de me dire que mon corps est chaud, tendre, et que le contact de nos corps est synonyme de promesses et de… frissons forts. Dans la nuit, dans l’intimité de notre chambre, notre lit est chaud parce que nos deux corps s’y prélassent. Bérénice est allongée, tranquillement, lascivement, dans nos draps, face à moi. Je suis allongé, les yeux béats, dans nos draps, et je la regarde avec les yeux de l’amour. La voir nue, dans notre lit… Rhoo ! Elle me donne envie… Oh oui… !
Bérénice me donne envie de l’embrasser. Rhoo ! Encore et encore et encore. Elle a dormi, nue, cette nuit, et j’imagine que là où son corps s’est étendu et s’est reposé, ce n’est plus que chaleur. Chaleur et… moiteur. Quand elle a décrété vouloir dormir dans le plus simple appareil, en tenue d’Eve, je savais qu’il n’était pas question de la défier ou de la contredire. Je savais que Bérénice n’en faisait qu’à sa tête… et ça me plaisait. Bien sûr que ses soucis de la journée étaient bien présents, dans un coin de sa tête… Mais, en n’en faisant qu’à sa tête (justement!), elle n’avait pas attendu que je lui donne une réponse, que ni une ni deux, elle s’était déshabillée : elle avait ôté sa nuisette, ainsi que sa petite culotte. Nue, entière : elle n’en était que belle. Et… elle m’excitait. Oh oui… ! Et ma première pensée du matin, au moment où elle ouvrit ses ravissantes prunelles couleur chocolat, c’était d’embrasser ses putains de lèvres. Même si elles n’avaient pas ce goût vanillé qu’a Bérénice dans la journée, ce n’était pas grave. Je ne pouvais pas résister à Bérénice, je ne voulais pas lui résister. Plus jamais. Ni une, ni deux, je rapprochais mon visage du sien, et lui donnais un baiser. Mes lèvres moulées au siennes. Un petit «smack». Le tout premier baiser de la journée. Nous, nus, tous les deux. Au lit. Un premier… riche en promesses, quelles qu’elles soient...
Elle est nue, entière, et elle m’appelle. Son corps m’appelle, de par sa chaleur. Elle sait que je la regarde. Elle sait que je ne peux pas détacher mes yeux d’elle. Ce n’est juste… pas possible. Elle a ouvert ses beaux yeux chocolat. Même à peine ouverts parce qu’elle émergeait tout juste de son sommeil, Bérénice me faisait craquer, de bon matin. Je ne sais pas si où sont passés tes soucis d’hier. Je ne sais même pas s’ils se sont évaporés, quelque part, mais toujours est-il que ma «petite» étudiante sérieuse s’était vêtue de son sourire d’un jour optimal, et dans l’intimité de notre chambre. C’étaient de tout petits yeux, de petits yeux du matin, mais des yeux brillants, pétillants. Des yeux amoureux. Les yeux d’une femme amoureuse. Je l’ai regardée, profondément, intensément, et j’ai porté ma bouche à la sienne. J’avais envie de l’embrasser, je n’ai pu ni m’en empêcher… ni résister. Comment est-il possible de résister à Bérénice, ne serait-ce que de l’envisager ? IMPOSSIBLE ! Tout comme il m’est impossible de résister à l’idée de passer ma main sur son corps dénudé, sensuel, magnifique. Un appel aux plaisirs sensuels et charnels… Et ça lui plaît, à cette petite coquine, d’après ce que j’entends. Elle émet des petits bruits de plaisir. Et moi… c’est un appel à te découvrir, comme si c’était la première fois...
Bérénice sait que j’aime laisser ma main me balader sur son corps soyeux. Parmi les soins qu’elle se prodigue quand elle se «dorlote», dans la salle de bains, Bérénice aime tout particulièrement enduire sa peau d’un lait spécifique. Un lait à la vanille, il me semble. Je l’imagine, dans la salle de bains… Face au miroir… Ses mains qui se baladent partout sur son corps. Ses mains, telle une plume, la caressent. Un contact doux. Parfois des petits cercles pour masser… titiller… Je ne suis pas dans la salle de bains dans ces moments-là, mais j’aimerais y être. Je respecte l’intimité de ma «pupuce», mais, et même si sa nudité me plaît beaucoup, j’aimerais la voir… nue, entière, alors qu’elle prend soin d’elle, avec sensualité. C’est à cela que je pense alors que je laisse mes mains parcourir son corps. Son cou… La naissance de ses seins… Ses seins d’une taille plutôt belle et excitante… Ses aréoles qui virent entre le rose et le rouge… Ses tétons dressés… Son ventre plat… Son mignon «petit» nombril… Je laisse mes mains aller… jusqu’à son pubis. Oh… J’aime ses «petits» poils pubiens. Elle veut les garder, et moi… aussi. Sa main continue… encore et encore… vers le sud, jusqu’au sexe de Bérénice. Ce sexe, beau, délicieux. Le sexe de Bérénice… que j’aime avoir l’habitude de lécher. J’aime son goût intime, salé. J’aime que le liquide salé de Bérénice coule entre ses cuisses, et l’inonde. Et… quand je passe ma main, à cet instant précis, sur son minou, je découvre… que Bérénice est déjà trempée...
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