Sur l'aire d'autoroute
Récit érotique écrit par Zebre233 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-05-2009 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Sur l'aire d'autoroute
Chaque vendredi, je rentrais chez moi à Marseille en venant de Toulon. Il m'arrivait de faire le trajet très tard dans la nuit. Chaque fois je m'arrêtais à la même aire d'autoroute pour faire un petit pipi. Il y en a qui écrivent des cochoneries sur les murs ou les portes des toilettes ou bien font des dessins de sexe d'hommes ou de femme. J'avoue que ça m'excite de regarder tout ça. Une fois, ça m'a bien fait bander et comme il était très tard et qu'il n'y avait personne, je suis allé dans les wc réservés aux femmes pour voir. Et là, j'ai trouvé un tas d'inscriptions de femmes très cochonnes. Certaines avouaient s'être masturbée dans les toilettes, d'autres disaient leur envie d'une grosse bite dans la bouche, dans la chatte ou même dans le cul. Et puis dans un coin, écrit au crayon, un simple prénom: Mireille suivi d'un numéro de portable. Je l'ai relevé et suis reparti chez moi.
Tout en conduisant, j'imaginais une Mireille bien coquine et je fantasmais. Le lendemain, samedi, vers 11 heures, j'ai téléphoné. Qu'est-ce que je risquais? Au début, beaucoup d'hésitation et les choses ont changé quand j'ai parlé de l'aire d'autoroute. J'ai senti une femme interessée par une aventure. On a convenu d'un rendez-vous sur la dite aire d'autoroute pour le vendredi suivant à une heure du matin. Elle me dit avoir 44 ans et être brune. Je lui fait une rapide description de moi-même et lui donne la marque de ma voiture.
Le vendredi, j'étais sur l'autoroute et tout en conduisant, plus je me disais qu'il n'y aurait personne. Mais, allez savoir pourquoi, je bandais quand même.
J'arrive. Pas un chat. Je me dirige vers les toilettes. et au moment d'ouvrir la porte, j'entends une voiture arriver. Une femme en descend. Petite, un peu rondelette. Elle s'approche de ma voiture, tourne autour, regarde à l'intérieur. Son attitude prouve que c'est bien elle. Elle se dirige vers le bâtiment et, au lieu d'aller chez les femmes, vient aux toilettes hommes. Nous sommes face à face. Sans un mot, j' l'enlace. Elle met ses bras autour de mon cou tandis que je pose mes mains sur ses fesses et la plaque contre mon bas-ventre. Nous échangeons un baiser fougueux tout en soufflant fort par les narines tant nous sommes excités et impatients. Sans un mot, nous entrons dans des toilettes et fébrilement on se déshabille complètement. Elle est à croquer! Quelques kilos de trop, certes, mais des nichons splendides. Quand au cul, c'est une pure merveille! Des hanches larges, bien rondes, des fesses volumineuses, des reins très cambrés......
Nous nous sommes régalés tous les deux pendant une heure environ. Elle m'a sucé, sucé, sucé. Moi, je l'ai lêchée avec volupté, surtout la raie du cul(j'adore taquiner le trou du cul avec la pointe de ma langue). Puis je l'ai baisée. Comme on était debout, les possibilités étaient plutôt réduites. Je l'ai fait pencher en avant en se tenant sur le tuyau de la chasse. Ses deux pieds posés sur les emplacement prévus à cet effet sur les chiots à la turque. De cette façon son cul était en bonne position. Je lui ai longuement ramoné la chatte, sans me presser, lentement, pour bien jouir. Quand ça devenait trop bon, je me retirais pour reprendre le contrôle. Puis je rentrais de nouveau ma bite et recommençais lentement mes va e viens. Elle aussi appréciait. Elle mouillait tellement que ça dégoulinait le long de ses cuisses. Je lui ai passé la main pour bien prendre son jus et j'ai lubrifié sa raie. Elle continuait à jouir. Je lui ai rentré un doigt dans le cul et elle jouissait toujours autant. Alors, pas d'hésitation, j'ai pris ma bite de la main droite, collé le gland contre le petit trou. Sans lâcher ma queue pour la garder toujours dans la bonne position, j'ai lentement poussé. Elle a laissé échappé un râle de plaisir quand le gland a franchi la barrière du sphincter. J'ai lâche ma bite et par petite mouvements d'avant en arrière, je suis allé plus profond dans ce beau cul. Son anus s'était bien dilaté et adapté à ma bite. J'allais et venais très facilement et je lui rentrais bien une douzaine de centimètres. Qu'est-ce que c'est bon d'enculer!! Moi, ce que j'aime, c'est ce muscle qui ferme l'anus. Même si on le force, il reste serré et étroit et quand on fait de lents vas et viens, on sent cet anneau qui coulisse autour de la bite en la serrant.
Inutile de vous dire que je n'ai pas pu résister bien longtemps. Je lui ai envoyé la sauce à grand jets et je me suis vidé complètement.
Je ne connais que son prénom: Mireille. Je ne sais pas ou elle habite. Simplement quand on a envie de baiser, on se téléphone et on s'envoie en l'air
Tout en conduisant, j'imaginais une Mireille bien coquine et je fantasmais. Le lendemain, samedi, vers 11 heures, j'ai téléphoné. Qu'est-ce que je risquais? Au début, beaucoup d'hésitation et les choses ont changé quand j'ai parlé de l'aire d'autoroute. J'ai senti une femme interessée par une aventure. On a convenu d'un rendez-vous sur la dite aire d'autoroute pour le vendredi suivant à une heure du matin. Elle me dit avoir 44 ans et être brune. Je lui fait une rapide description de moi-même et lui donne la marque de ma voiture.
Le vendredi, j'étais sur l'autoroute et tout en conduisant, plus je me disais qu'il n'y aurait personne. Mais, allez savoir pourquoi, je bandais quand même.
J'arrive. Pas un chat. Je me dirige vers les toilettes. et au moment d'ouvrir la porte, j'entends une voiture arriver. Une femme en descend. Petite, un peu rondelette. Elle s'approche de ma voiture, tourne autour, regarde à l'intérieur. Son attitude prouve que c'est bien elle. Elle se dirige vers le bâtiment et, au lieu d'aller chez les femmes, vient aux toilettes hommes. Nous sommes face à face. Sans un mot, j' l'enlace. Elle met ses bras autour de mon cou tandis que je pose mes mains sur ses fesses et la plaque contre mon bas-ventre. Nous échangeons un baiser fougueux tout en soufflant fort par les narines tant nous sommes excités et impatients. Sans un mot, nous entrons dans des toilettes et fébrilement on se déshabille complètement. Elle est à croquer! Quelques kilos de trop, certes, mais des nichons splendides. Quand au cul, c'est une pure merveille! Des hanches larges, bien rondes, des fesses volumineuses, des reins très cambrés......
Nous nous sommes régalés tous les deux pendant une heure environ. Elle m'a sucé, sucé, sucé. Moi, je l'ai lêchée avec volupté, surtout la raie du cul(j'adore taquiner le trou du cul avec la pointe de ma langue). Puis je l'ai baisée. Comme on était debout, les possibilités étaient plutôt réduites. Je l'ai fait pencher en avant en se tenant sur le tuyau de la chasse. Ses deux pieds posés sur les emplacement prévus à cet effet sur les chiots à la turque. De cette façon son cul était en bonne position. Je lui ai longuement ramoné la chatte, sans me presser, lentement, pour bien jouir. Quand ça devenait trop bon, je me retirais pour reprendre le contrôle. Puis je rentrais de nouveau ma bite et recommençais lentement mes va e viens. Elle aussi appréciait. Elle mouillait tellement que ça dégoulinait le long de ses cuisses. Je lui ai passé la main pour bien prendre son jus et j'ai lubrifié sa raie. Elle continuait à jouir. Je lui ai rentré un doigt dans le cul et elle jouissait toujours autant. Alors, pas d'hésitation, j'ai pris ma bite de la main droite, collé le gland contre le petit trou. Sans lâcher ma queue pour la garder toujours dans la bonne position, j'ai lentement poussé. Elle a laissé échappé un râle de plaisir quand le gland a franchi la barrière du sphincter. J'ai lâche ma bite et par petite mouvements d'avant en arrière, je suis allé plus profond dans ce beau cul. Son anus s'était bien dilaté et adapté à ma bite. J'allais et venais très facilement et je lui rentrais bien une douzaine de centimètres. Qu'est-ce que c'est bon d'enculer!! Moi, ce que j'aime, c'est ce muscle qui ferme l'anus. Même si on le force, il reste serré et étroit et quand on fait de lents vas et viens, on sent cet anneau qui coulisse autour de la bite en la serrant.
Inutile de vous dire que je n'ai pas pu résister bien longtemps. Je lui ai envoyé la sauce à grand jets et je me suis vidé complètement.
Je ne connais que son prénom: Mireille. Je ne sais pas ou elle habite. Simplement quand on a envie de baiser, on se téléphone et on s'envoie en l'air
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