Sur la balançoire...

- Par l'auteur HDS Renifleur -
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Sur la balançoire... Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-06-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Sur la balançoire...
Les week-ends s’enchainent avec leurs lots de bourgeoises salopes. Alors que je m’apprête à prendre mon service quand je croise un des fils de la patronne au volant de sa luxueuse voiture. Il stoppe à ma hauteur. Il baisse la vitre. Il m’explique qu’il va avec son épouse faire des courses au supermarché. Alors qu’il s’apprête à refermer sa vitre de portière, c’est au tour de sa femme de m’interpeler.
Je me penche pour lui parler. L’épouse de son côté fait de même et là, je ne suis pas mécontent d’être témoin d’un fabuleux tableau. Sous le chemisier qu’elle porte est si fin que je vois le relief des gros seins granuleux, par transparence. La coquine sur son siège, me détaille, tout ce dont elle est friande, sexuellement s’entend. Mais c’est plus fort que moi, je provoque. Et alors que le fils s’intéresse à son portable, je profite de l’occasion pour fixer sans gêne, mon regard sur les jambes gainées de nylon gris clair sous sa jupe. Coquine comme elle est, elle ne manque pas de surprendre mon regard sur ses jambes. Par bévue ou non, j’ai eu l’impression que l’ourlet de sa jupe a glissé vers le haut et qu’elle n’était pas innocente à ça. D’ailleurs comme pour me donner raison, un sourire se dessine sur ses lèvres. Il faut que l’époux tourne sa tête dans ma direction, pour que je porte mon regard ailleurs que sur les jambes de sa femme.
La vitre se referme et la voiture s’élance. Sitôt qu’elle franchit la grille, je ne me persuade pas, de me rendre dans leur logement, que je savais vide. C’est dans la chambre que mes pas m’entrainent. Et ils ont bien fait puisque mon regard se porte sur une culotte couchée sur la table de nuit. Elle est en soie. Le fin tissu est imprégné de sécrétion féminines séchées. Des traces de mouille, de pisser et de sueur.
Je plonge mon visage dans le sous-vêtement, et m’enivre des senteurs qui sont dégagent. Mon sexe bande, tressaute dans mon pantalon. Je ferme mes yeux et fais travailler mon esprit. J’imagine dans un premier temps, la configuration de son sexe. Si il a une forte pilosité ou alors tout rasé. Ça me procure une chaleur rien que d’y penser.
Il est temps pour moi de quitter les lieux. Avec la culotte en poche, bien sûr. Collection exige !
Mais alors que je me dirige vers la grande maison, que j’entends scander mon nom. Il s’agit de Juliette, du côté de la balançoire. Je ne peux l’éviter surtout qu’elle m’invite de la main de m’approcher. Pour moi, elle n’est qu’une petite garce, une morveuse trop gâtée. Elle se donne de grands airs. Comme si au lieu de passer son bac, elle était sur le point d’entrer à l’Académie.
-Qu’est-ce que tu me veux ? Je lui demande.
- J’aimerais que tu me pousse…
-Tu te fou de moi. Tu n’es pas assez grande pour le faire toute seule !
-Allez Alain ! Pousse-moi !
Alors je m’exécute. Je passe pour cela derrière elle et je la saisis à la taille, sentant sous mes paumes la cambrure de ses reins et la naissance de ses hanches. Elle rit comme une gosse, rejetant la tête en arrière, laissant l’air soulever sa jupe de tennis noir sur ses cuisses. Elle tend le pied et le mouvement de balancier expédie sa sandale dans l’herbe.
- Merde ma chaussure ! Alain tu peux me la donner ?
- Tu la récupéreras tout à l’heure.
- Sois chou, enfile-la-moi !
Je stoppe le balancement. Elle tend dans ma direction un pied fin aux ongles vernis. Comme plus tôt avec sa tante dans la voiture, la jupe glisse révélant sa cuisse. Partagé entre mon envie de la gifler et celle de la baiser, j’ai une hésitation. Pas le temps de m’attarder la question que déjà elle reprend sa moue de petite fille. Et sans raison, elle lève une jambe, me laissant apercevoir furtivement le haut de ses cuisses.
Je ramasse la sandale et saisis la cheville. Les yeux braqués sur les siens, je presse le pied contre mes abdominaux, obligeant la jeune fille à replier la jambe. Devinant sans mal son petit jeu, je la défis du regard. Elle baisse les yeux, tout en ramenant le genou contre sa poitrine et ainsi m’expose son entrejambe.
Ma verge se tend en découvrant les chairs pâles de la chatte exposée en plein soleil. Il n’y a rien pour coiffer son sexe. Ni textile, ni poils, les babines charnues s’étalent à ma vue. Je vois tout les détails de la vulve, le clitoris grenu, les nymphes d’un rose luisant.
-Qu’est-ce que tu regardes comme ça Alain ?
-Comme si tu ne le savais pas !
-Pas du tout. Tu me connais, je suis une fille très sage… Non ? D’une voix rauque.
J’ai du mal de quitter son sexe des yeux.
- Je crois que je te préfère pieds nus. Cela t’ennui Alain de m’en débarrasser ?
Au point où j’en suis. Je pousse la sandale vers le bout du pied. Ce dernier glisse sur le cuir à la toile de mon pantalon jusqu’à ce que la plante vienne se poser sur la bosse que fait mon érection.
Honteusement, j’use du pied pour me caresser. Allant jusqu’à repousser le genou sur le côté pour entrouvrir davantage la fente. Jouissant autant de la vue que d frottement du pied sur ma queue. D’un coup, Juliette reprend son peton d’un geste vif et rabat sa jupette dans le même mouvement. Elle ponctue son geste d’un éclat de rire.
-Tu manques vraiment mon pauvre Alain d’inspiration ? Peut-être que je dois te raconter une histoire de cul pour que cela te réveille.
-Je n’ai pas le temps il faut que j’aille travailler.
-Cela attendra ! D’ailleurs tu travailles là, tu me tiens compagnie… Je ne t’apprends rien en te disant que je préfère les hommes mûrs aux mecs de mon âge. Que si je cherche avoir du plaisir, je n’ai qu’à me masturber en pensant à toi. Donc hier je suis de retour chez moi, pour cela j’ai pris le train. Je suis seule dans le compartiment jusqu’à ce que deux hommes pénètrent le lieu. Ils me saluent et je réponds à leur sourire. Très vite mon côté coquine me dicte de décroiser mes jambes et de tirer pudiquement sur ma jupe, qui tu devines est très courte. L’homme assit en face de moi s’arrête de faire la discussion avec son pote pour suivre ma mobilité.
Nos yeux se rivent alors. J’écarte au gré des secousses du train mes genoux. J’ai une envie folle de m’exhiber. J’ai la poitrine gonflés à bloc tant je suis excité. Autant que la queue du mec. Je profite que le copain du mec en face de moi somnole pour que très vite une sale excitation s’installe chez moi. L’idée de pouvoir baiser avec un homme mûr. Cela déclenche une coulée de mouille dans ma culotte.
J’écarte mes cuisses lentement et je vois l’homme écarquiller les yeux. Un frisson délicieux m’incite à resserrer mes cuisses pour comprimer ma chatte. J’ai une envie irrésistible de me caresser. Le plaisir est là, très proche. Le trouble du mec en fasse de moi se lie sur son visage. Le voilà qui déserte sa place pour se poser près de moi. Une sueur froide coule de mes aisselles. Je me laisse embrasser. Je sens la bosse de son érection contre mon ventre. Il soulève ma jupe et fourre ses doigts dans ma culotte. Je ferme les yeux. L’homme se baisse et m’écarte les jambes. Il me lèche la vulve en écartant mes lèvres à petits coups de langue.
Un sentiment de honte s’empare de moi. Il me suce le bouton. Après m’avoir fait jouir, il dégrafe son pantalon. Fait descendre son slip. Il capuchonne sa grosse queue d’une capote. Son sexe tout raide pénètre lentement mon vagin. Je ne peux m’empêcher de pousser un petit cri. Malaxant mes fesses à pleine mains, l’homme les écarte. Je pousse des petits cris étouffés à chacun de ses va-et-vient. Je glisse ma main entre mes cuisses et frotte mon bouton. Il se retire de ma chatte pour mieux replonger l’instant d’après. Il me malmène. Fait claquer ses couilles contre ma chatte. Oh putain que c’était bon ! Je l’entends alors grogner. Je devine qu’il jouit.
Il se retire. J’aperçois le réservoir de la capote empli de jus laiteux. J’ai la gorge serrée. Je fourre ma culotte dans mon sac et je m’intéresse au paysage qui défile devant mes yeux, et cela jusqu’à la fin du voyage.
-Et l’homme dans tout ça ?
-Je pense qu’une fois l’excitation envolée il avait un peu honte de lui. D’ailleurs il évitait mon regard.
Sur ce, elle trousse sa jupette. Heureusement pour nous personne ne peut nous voir. Elle s’incline, en posant son buste sur la planchette de la balançoire. Sa raie des fesses, très évasée, est lui aussi orphelin de poils. L’anus fait une tache jaune sale au milieu. Elle se dandine, remuant le cul dans tous les sens.
- Alors ça vient ?
J’empaume tout le con, malaxe les chairs gorgées de mouille, pince les grandes lèvres. Juliette se met à dandiner de la croupe en laissant échapper des gémissements sourds. Je prends un peu de mouille de la chatte et en enduit l’anneau de l’anus. Ce dernier devient encore plus doux, presque un peu mou. J’enfonce mon pouce entier dans le rectum. La Jeune fille pousse un cri outragé, ses fesses se crispent pour rejeter l’intrus, puis se relâchent pour m’accueillir. Je crois que je vais éjaculer dans mon pantalon, tant la situation m’excite. Je me recule un peu pour profiter du tableau.
Puis je suis dans l’incapacité de résister de faire plonger mon visage dans la chatte bien ouverte. Je me mets à laper à grands coups de langue, à mordre la chair des grandes lèvres, à aspirer les petites lèvres roses avec un bruit obscène. Juliette n’en peut plus. Elle se déhanche. Elle a deux orgasmes qu’elle accompagne d’un grognement sourd. Juliette ne peut s’empêcher de haleter. Elle attend la suite. Entre ses cuisses écartées les muqueuses bâillent. Je se décide. Je sors ma queue, l’enfonce jusqu’à la racine. Je la pistonne brutalement. Elle émet un soupir veule. Ma queue voyage dans ses entrailles. C’est délicieusement brûlant. Je donne des coups de bassin vers le haut pour que ma bite la pénètre plus brutalement, car elle semble adorer ça. Elle s’agite de plus en plus. Mes couilles tapent ses fesses à chaque coup de boutoir.
- Oh Juliette, je ne vais jouir, lui dis-je.
- Attend, attend encore un peu, si tu peux !
Elle continue à danser sur ma queue. Je sens l'orgasme monter. Je ne peux me retenir de tout lui donner.
Avant de se séparer elle me fait part de la venue de deux de ses bonnes copines.
-Tu vas voir, me fait-elle, des vraies salopes !
Cela promet…

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
diabolique cette gamine et superbement garce



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