Sur la plage. Juin 96
Récit érotique écrit par Sucette [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-06-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Sur la plage. Juin 96
Sur la plage Juin 96.
Les examens terminés, en attente des résultats, pour évacuer le stress, je m'accordais quelques jours de repos au camping de … où mes parents avait leur caravane pour l'été.
J'y étais seule pour la semaine, mes parents ne l'occupant que le week-end.
Je marchais seule sur la plage déserte depuis un bon moment quand j'y choisis d'y déposer ma serviette.
Je m'y allongeais et fermais le yeux.
Quand je les rouvris au bout d'un certain temps, je n'étais plus seule. Un magnifique garçon était assis à côté de moi, nu, son sexe bien développé reposait sur sa cuisse, les bras tendu sur le sol en arrière.
Il était mat de peau, les cheveux noirs frisés, mince et musclé. J'étais légèrement tourné vers lui quand je m'apperçu qu’un second était à quelques centimètres de mon dos.
Lui portait un simple slip de bain. Aucun des deux ne semblait agressif et ils me souriaient de toutes leurs dents.
Je regardais ce gros boudin foncé, il était au repos mais ne demandait qu'à se réveiller.
Je décidais de me rallonger comme si de rien n'était quand ils se présentèrent.
Ils ajoutèrent que la plage était habituellement naturiste et que je pouvais enlever le bas si je le voulais . J'avais déjà enlever le haut. Ma peau était encore bien blanche, ce n'était pas en cours ou à l'hôpital que je pouvais bronzer.
Ils me dirent aussi que je devrais mettre une protection solaire si je ne voulais pas attraper un coup de soleil. Cela faisait longtemps qu'ils m'avaient aperçu et je m'étais assoupie un bon moment.
Celui qui me faisait face et qui me faisait la meilleure impression se saisit du flacon qui était dans mon panier et entreprit de me passer la crème sur mes épaules, mon torse et mes jambes.
Son collègue me releva et s'assit derrière moi, les jambes écartées. Il prit la crème à son tour et continua en me pelotant sans vergogne.
« Qui ne dit mot, consent » comme on dit, j'acceptais la caresse par timidité et envie.
Deux beaux garçons rien que pour moi . Ne fréquentant que des filles depuis plusieurs semaines, je n'allais pas passer l'aubaine, j'avais inconsciemment envie de me faire baiser tout simplement.
Mutine, je me retournais brutalement pour qu'on s'occupe du côté pile. Son ami reprit le flacon et m'enduisit copieusement les fesses. Il étala la crème sur mon cul et mes cuisses. Ma tête reposant sur le bassin de son camarade assis en tailleur qui avait toujours son maillot de bain. Il était tendu. Il défit le lacet en nylon et un gros gland émergea sous mon nez. Devant mon absence de réaction, il souleva son bassin pour faire glisser son slip et ma bouche était sur sa verge.
Son ami accentuait ses caresses qui devenaient de plus en plus précises, ses doigts pénétraient mon vagin, frottaient et agaçaient mon clitoris , tournaient autour de mon anus.
C'est alors que je me suis cambré pour avaler son chibre. Lui toujours assis en tailleur, moi à genoux, les coudes au sol. Ma tête faisait de grands allers-retours et on entendait les bruits de succion quand je sentis une langue autour de ma corolle, j'appréciais cette caresse douce, sensuelle et inattendue.
Je m'activais encore plus sur ma fellation quand je sentis une verge frotter sur mes grandes lèvres et chercher son chemin dans mon vagin. puis c'est une pénétration large et continue qui me remplit d'aise. Je savourais le fait d'être prise en sandwich, deux beaux mâles rien que pour moi, le ciel, la mer, les oiseaux.
J'avais une verge dans la bouche, vivante et une autre dans le vagin active, débordante d'énergie. Nous sommes restés comme ça un temps infini comme suspendue.
Il entreprit un coït doux puis de plus en plus brutal. J'étais au bord de l'orgasme et je tentais de l'encourager la bouche pleine. Son camarade me baisait littéralement la bouche. J'haletais quand il se retira pour éjaculer sur le sable. J'étais secouée de convulsions orgasmiques quand je sentis de longs jets se répandre sur mes fesses et mon dos.
Allongés sur le sable, nous avons mis plusieurs minutes pour reprendre notre souffle.
On s'est relevé et nous nous sommes nettoyés dans la mer.
Ensuite, on s'est mutuellement frotté, bouchonné, énergiquement. Puis nous nous sommes séparés.
Je leur ai donné rendez-vous pour le soir au camping. A suivre.
Les examens terminés, en attente des résultats, pour évacuer le stress, je m'accordais quelques jours de repos au camping de … où mes parents avait leur caravane pour l'été.
J'y étais seule pour la semaine, mes parents ne l'occupant que le week-end.
Je marchais seule sur la plage déserte depuis un bon moment quand j'y choisis d'y déposer ma serviette.
Je m'y allongeais et fermais le yeux.
Quand je les rouvris au bout d'un certain temps, je n'étais plus seule. Un magnifique garçon était assis à côté de moi, nu, son sexe bien développé reposait sur sa cuisse, les bras tendu sur le sol en arrière.
Il était mat de peau, les cheveux noirs frisés, mince et musclé. J'étais légèrement tourné vers lui quand je m'apperçu qu’un second était à quelques centimètres de mon dos.
Lui portait un simple slip de bain. Aucun des deux ne semblait agressif et ils me souriaient de toutes leurs dents.
Je regardais ce gros boudin foncé, il était au repos mais ne demandait qu'à se réveiller.
Je décidais de me rallonger comme si de rien n'était quand ils se présentèrent.
Ils ajoutèrent que la plage était habituellement naturiste et que je pouvais enlever le bas si je le voulais . J'avais déjà enlever le haut. Ma peau était encore bien blanche, ce n'était pas en cours ou à l'hôpital que je pouvais bronzer.
Ils me dirent aussi que je devrais mettre une protection solaire si je ne voulais pas attraper un coup de soleil. Cela faisait longtemps qu'ils m'avaient aperçu et je m'étais assoupie un bon moment.
Celui qui me faisait face et qui me faisait la meilleure impression se saisit du flacon qui était dans mon panier et entreprit de me passer la crème sur mes épaules, mon torse et mes jambes.
Son collègue me releva et s'assit derrière moi, les jambes écartées. Il prit la crème à son tour et continua en me pelotant sans vergogne.
« Qui ne dit mot, consent » comme on dit, j'acceptais la caresse par timidité et envie.
Deux beaux garçons rien que pour moi . Ne fréquentant que des filles depuis plusieurs semaines, je n'allais pas passer l'aubaine, j'avais inconsciemment envie de me faire baiser tout simplement.
Mutine, je me retournais brutalement pour qu'on s'occupe du côté pile. Son ami reprit le flacon et m'enduisit copieusement les fesses. Il étala la crème sur mon cul et mes cuisses. Ma tête reposant sur le bassin de son camarade assis en tailleur qui avait toujours son maillot de bain. Il était tendu. Il défit le lacet en nylon et un gros gland émergea sous mon nez. Devant mon absence de réaction, il souleva son bassin pour faire glisser son slip et ma bouche était sur sa verge.
Son ami accentuait ses caresses qui devenaient de plus en plus précises, ses doigts pénétraient mon vagin, frottaient et agaçaient mon clitoris , tournaient autour de mon anus.
C'est alors que je me suis cambré pour avaler son chibre. Lui toujours assis en tailleur, moi à genoux, les coudes au sol. Ma tête faisait de grands allers-retours et on entendait les bruits de succion quand je sentis une langue autour de ma corolle, j'appréciais cette caresse douce, sensuelle et inattendue.
Je m'activais encore plus sur ma fellation quand je sentis une verge frotter sur mes grandes lèvres et chercher son chemin dans mon vagin. puis c'est une pénétration large et continue qui me remplit d'aise. Je savourais le fait d'être prise en sandwich, deux beaux mâles rien que pour moi, le ciel, la mer, les oiseaux.
J'avais une verge dans la bouche, vivante et une autre dans le vagin active, débordante d'énergie. Nous sommes restés comme ça un temps infini comme suspendue.
Il entreprit un coït doux puis de plus en plus brutal. J'étais au bord de l'orgasme et je tentais de l'encourager la bouche pleine. Son camarade me baisait littéralement la bouche. J'haletais quand il se retira pour éjaculer sur le sable. J'étais secouée de convulsions orgasmiques quand je sentis de longs jets se répandre sur mes fesses et mon dos.
Allongés sur le sable, nous avons mis plusieurs minutes pour reprendre notre souffle.
On s'est relevé et nous nous sommes nettoyés dans la mer.
Ensuite, on s'est mutuellement frotté, bouchonné, énergiquement. Puis nous nous sommes séparés.
Je leur ai donné rendez-vous pour le soir au camping. A suivre.
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