Sur la route - histoire érotique

Ce jour là, j'ai bossé toute la matinée au magasin de mon ami.
Je viens de passer deux jours complets chez lui, j'ai hâte de retrouver ma copine, enfin.

Vers 14h30, le samedi, il vient me remplacer, mais me retient trop longtemps.

Je cours vers la gare pour essayer d'attraper mon train.
Trop tard, je le vois redémarrer, alors que je ne suis même pas sur le quai.

Je décide alors, de tenter le stop, dépité.
Au bout de 20 minutes à peine, un couple me prend en charge jusqu'au tiers de ma route.

Entre temps, la pluie s'est invitée au voyage.
Le couple qui est adorable, me dépose devant un abri bus, apparemment très peu fréquenté.

Il me reste 40 minutes en voiture, à faire pour rentrer chez moi.
Je relève mon pouce, mais ma chance a tourné, le temps passe et toujours rien.

Enfin, au bout d'une heure, un homme s'arrête bien plus loin que l'endroit ou je suis.
Il fait une longue marche arrière, jusqu'à moi et ouvre la vitre passager pour me demander:

"Bonjour, tu vas ou ?".
"Toulon !".
"C'est pas trop ma route, mais montes ! Je vais te rapprocher !".
"Merci ! c'est gentil !".

Dans la voiture, on fait les présentations d'usages.
Il s'appelle Robert, et travaille comme représentant en assurances.
Il dégage une certaine virilité et en impose par sa prestance et sa carrure.
Après quelques minutes de discussions banales, il me demande avec son accent du sud très prononcé:

"Tu fais souvent du Stop ?".
"Non, j'ai raté mon train, j'avais pas le choix ! Sinon, je devais attendre 5 heures de plus !".
"Ah, d'accord ! J'ai de la chance alors !".
"Pourquoi ?".
"Tu dois bien deviner, quand même ! T'es super mignon, et tu me plais beaucoup ! Si on s'amusait tous les deux ? Ca te dirait ? J'aime bien les jeunes comme toi !".
"C'est à dire ?".
"Fais pas l'ignorant ! Ca se voit que tu aimes les mecs ! Je te plais pas ? Ce serait bien, si tu me suçais, pour commencer !".
"Euh, je...".
"Je suis sur que t'as déjà baisé avec des mecs ! Ecoutes, je te montre ma queue et tu décides ! OK ! Tu verras ! Elle va te plaire !".

Je suis stupéfait et tétanisé par sa désinvolture.
Il ouvre sa braguette et arbore une queue magnifique, épaisse et longue, mais en semi érection.

"Elle te fait pas envie ? Si tu t'en occupes bien, elle va encore grossir ! Mais ça, tu dois le savoir !".

Il bouscule ma timidité en prenant ma main, pour la poser sur son sexe.
Je caresse son gros membre pendant qu'il conduit, mon désir de sexe l'emporte sur ma raison.
Je le masturbe en admirant sa bite, qui gonfle entre mes doigts, mais la soudaineté de la situation me fait agir comme un robot.

"Je savais que t'aimerai ça ! Continues de me branler ! Tu le fait bien !".

Très rapidement, sous l'effet de mes doigts, il bande fermement.
Mon excitation est à son comble, j'ai envie de lui, moi aussi.

"Ce serait bien, si tu me suçais, maintenant ! Prends la dans ta bouche !".
Je me penche sans dire un mot, mais avec une énorme envie de lui montrer combien j'aime sucer une belle bite.
Son gland disparait dans ma gorge humide, j'imprime un mouvement de pompe lancinant sur sa queue.

"Hummm ! T'es doué ! C'est très bon ! Ne fais pas le timide, parles moi !".
"Hummmm ! Moi aussi, j'ai de la chance de tomber sur toi ! J'adore ta queue ! Mmmmmm !".
"Ahhh, voilà ! Régales toi alors ! Tu m'a l'air d'être une belle petite salope ! Allez pompes moi la queue ! J'aime les petites pédales comme toi !".

Je suis frustré par l'impossibilité de lécher ses couilles, à cause de la position inconfortable.

"Putain, c'est trop excitant ! Tu suces bien, Pascal !".

Quelques minutes plus tard, il annonce:
"Ah enfin, ça se découvre ! Je vais pouvoir m'arrêter pour te baiser ! Qu'est-ce que t'en penses ?".
"Mmmmmmm ! Oui ! J'en ai envie, moi aussi !".

Il prend le premier chemin de terre qui se dirige vers un petit bois.
Il stoppe son véhicule.

Je lui demande d'attendre que j'ôte mon pantalon pour ne pas le salir avec la boue, au sol.
L'avantage de la pluie, c'est qu'on est sûrs, de ne pas être dérangés.

Il me penche en avant, mes mains sont mouillés par le capot avant de la voiture, moins chaud sur les bords.
Il crache sur sa main et m'enduit l'anus de salive.
Il recommence pour enduire sa bite, également.

"Putain, je vais me régaler ! Ce cul que tu as ! Je vais bien te le défoncer ! Mon petit ! Tu vas voir !".

Son gros gland écartèle ma collerette anale très lentement, puis mon anus cède sous sa pression et il me remplit d'une traite jusqu'à toucher mes fesses avec ses couilles.

Je constate avec excitation, qu'il m'encule au dessus d'une flaque d'eau de pluie.
Je vois clairement sa grosse bite qui coulisse dans mon cul.
Ses couilles qui frappent contre mes fesses me rendent dingue d'un plaisir cérébral.

"Arhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhh ! Robert ! C'est bon, tu me défonces bien ! Encore ! Arhhhhhhhhh !".
"Ca te plais comme je te casses le cul, petite salope ? Elle est bonne ma bite ?".
"Arhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhh ! Oui, elle est trop bonne ! Arhhhhhhhhh !".
"Putain ! Qu'est-ce que j'aime défoncer des jeunes pédales comme toi ! Je me régale !".

Il me gratifie de plusieurs orgasmes, qui gagnent en intensité au fur et à mesure de sa défonce.
Il constate que je lubrifie abondamment sa longue verge.
Il glisse dans mon cul sans difficulté, ses testicules et les miens commencent à laisser couler mon jus anal sur le sol.

"Oh con ! Ce que tu mouilles du cul, j'adore ça ! Tu couines bien aussi, ça me plait !".

Ses coups de queues sont profonds et deviennent violents, aidés par ma lubrification anale.

"Arhhhhhhhhh ! Je joui encore ! Robert ! Arhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhh !".
"Oh putain, non, c'est trop tôt ! Arhhhhhhhhh ! Je joui moi aussi ! Arhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh ! Oh, tu m'as eu, salope ! Argggggggggggghhhhhhhh !".

Il me secoue le bassin autant de fois qu'il éjecte son foutre chaud dans mon anus.
Je me régale de contempler sa bite enfoncée en moi pendant qu'il se déverse longuement.
Puis j'admire sa longue bite, sortir de mon anus.

Il écarte mes fesses avec vice, puis utilise une main pour souiller mon anus du reste de son sperme encore dans son canal urinaire.
Il s'essuie la queue sur mon cul plusieurs fois.

"C'était super bon, jeune ! J'ai adoré t'enculer ! Ca t'as plu ?".
"Oui, moi aussi, j'ai adoré ! C'était excitant !".

Il écartèle mes lobes fessiers, puis enfonce son pouce dans mon cul.
Il ressort, et laisse couler son foutre de mon anus, je pousse plusieurs fois pour maculer la flaque, sous mes pieds, de tout son jus.

"Hummm ! Ca m'excite de voir mon foutre sortir de ton cul !".

Il va dans l'habitacle et me donne des mouchoirs pour que j'efface les traces de sa défonce anale.

"Eh ben, c'était bien bon ! Allez, je te ramènes ! Mon petit Pascal !".

Sur la route, il se plaint qu'il a éjaculé trop vite, malgré les vingt minutes de sodomie qu'il m'a offert et me dit:

"Tu veux pas rester avec moi, ce soir ? Comme ça, je te baise encore, et plus longtemps surtout !".
"Mais tu habites ou ? Je dois être à Toulon pour 14 h, demain !".
"Je suis a Signes ! Je te ramènerai après, ne t'inquiètes pas !".
"Bon, OK ! C'est vrai que c'était bien ! J'aimerai bien recommencer !".

La suite est classique, dès que nous avons passé la porte de sa maison, il m'a demandé de me déshabiller.
Il s'est mis à l'aise lui aussi, afin de se faire longuement lécher la bite.

Il a laissé parler son coté dominateur en m'enculant ensuite comme une vulgaire salope dans des endroits insolites, comme sa cuisine, ses toilettes et après une première éjaculation, il a recommencé sous la douche, une heure plus tard, pour finir dans son lit en me faisant éjaculer en m'enculant, sans me toucher.

Au petit matin, il m'a imposé de le sucer jusqu'à son éjaculation matinale.
J'ai enfin pu découvrir le gout de son sperme, avec délice.

Il m'a ramené vers 11h30, en m'accompagnant dans mon appartement.
Je lui ai cuisiné un petit encas, puis il m'a encore enculé avant de partir.

"Allez Pascal ! Je te laisse, c'est pour de bon, cette fois ! Je suis content de t'avoir baisé ! Je pense pas que l'on se reverra ! Bonne continuation ! C'était super !".
"Merci, c'était super pour moi aussi !".