Sur la route des vacances
Récit érotique écrit par Sucette [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-01-2025 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Sur la route des vacances
Sur la route des vacances.
Mon copain Maxime et moi, faisons du stop sur la nationale en direction du sud.
Une copine nous invite à la rejoindre sur la côte en l'absence de ses parents. Nous avons juste à entretenir la piscine et les communs.
Nous sommes plantés depuis deux heures à ce relais routiers en pleine chaleur. Pas un chauffeur n'est décidé à nous prendre. Il faut dire qu'il font leur pause. La plupart sont roumains, bulgares ou polonais et ne parviennent pas à nous comprendre ou se méfient.
Peut-être ont-ils des ordres de leurs supérieurs….
Nous avons tous les deux , vingt ans, minces, en short et débardeurs, casquette et tongs. Max est plutôt blond bouclé , yeux verts, moi mat, frisé.
Nous sommes copains depuis le lycée et jouons dans la même équipe de foot.
Un camion démarre et nous fait des appels de phares. C'est un français qui va charger à Cavaillon ce soir.
Nous prenons l'autoroute du soleil, les poids lourds sont à la queue leu leu, tous réglés à la même vitesse. La conduite est monotone, seul le rétrogradage pour une côté prononcée ou le doublement d'un trainard, rompt la torpeur qui nous envahit.
Le chauffeur tape la discutte, il s'enquit de notre destination, notre façon d'y parvenir. On parle foot, puis de notre vie d'étudiants.
On vient à parler des filles, il veut savoir si nous avons une petite amie.
Ce n'est pas vraiment le cas.
Il nous dit qu'il faut profiter de notre jeunesse et faire le plus de rencontres.
Ce faisant, il se frottait régulièrement le devant de son jeans. Placé près de la portière, je m'assoupis avec le ronronnement du moteur.
Quand je sors de ma léthargie, je m'aperçois que Maxime qui est au milieu, a sa main posée sur la bosse du chauffeur.
Max ne bouge apparemment pas, sa main caresse, il a défait son pantalon et il le caresse par-dessus son slip.
C'est vrai que je ne l’ai jamais vu au bras d'une fille. C'est vrai aussi qu'il est charmant avec ses cheveux bouclés et ses lèvres charnues. Je sais qu'il a un beau cul et une belle queue qu'il aime exhiber quand il sort de le douche.
Le chauffeur s'est aperçu que je ne dors plus. Il met ses doigts sur ses lèvres pour me faire signe de me taire.
Il dégage sa verge complètement érigée et Max se couche. Sa bouche est plaquée sur son entrejambe et ses lèvres sur sa verge.
De là où je suis, je ne vois rien, je pense qu'il la lèche sur toute sa longueur ou qu'il embrasse le gland.
Je bande et suis à l'étroit dans mon froc. Je gesticule et le routier rigole. Il commente : « Ton pote, il aime bien la queue. Quand, je vous ai vu, je me suis dit ‘’ tiens un couple de petits pédé….’’ Je ne me suis pas trompé ».
« Mets toi à l'aise, vire ton froc, on va le dépuceler ton pote »
A ces mots, Max prends sa verge en bouche et je vois sa tête monter et descendre. J'entends un bruit de succion et une odeur de sexe envahit l'habitacle.
Max est allongé à plat ventre sur la banquette. Le chauffeur me dit de lui enlever le short.
Il a maintenant les fesses en l'air, les jambes repliées. Son anus étoilé brille dans l'habitacle. Le routier me dit de prendre le gel dans la boite à gants devant moi et de lui enduire le fion.
Je m'exécute, je le badigeonne, glisse un premier doigt puis un second. Je m'astique la verge, prêt à l'enculer. C'est une première. Je suis dans un état second. La vue de mon copain d'adolescence qui pompe un inconnu sur l'autoroute à Cent à l'heure avec un trente tonnes….Du délire, on verra après.
Je prends mon pote par les hanches et mon sexe tendu s'enfonce jusqu'à la garde. Je lime, et le féconde peu après.
Le camion glisse au fond de l'aire de repos. Mon camarade est pris par le chauffeur dans la même position, son ventre claque, son sexe est bien plus imposant que le mien.
Mon copain coule sur la banquette quand le routier éjacule à son tour.
Il le tourne vers lui et lui remet sa verge dans la bouche puis il lui tend un rouleau d'essuie tout. Après une toilette sommaire, Il sort des bières de sa glacière que nous savourons dehors à l'ombre des pins. Nous un peu interdits. Lui, pas complexé, content de lui et de sa performance.
Nous reprenons sagement la route comme s’ il ne s'était rien passé.
Quelques jours après, Max m'avouera son homosexualité latente, que sans cette expérience, il n'aurait peut-être pas franchi le pas avant plusieurs années.
Il m'avoua aussi qu’il me désirait, qu'il était amoureux de moi depuis toujours. Je n'étais pas offusqué mais plutôt fier. Je lui ai répondu que j'étais son ami, que rien n'avait vraiment changé et que cette expérience était notre secret.
Mon copain Maxime et moi, faisons du stop sur la nationale en direction du sud.
Une copine nous invite à la rejoindre sur la côte en l'absence de ses parents. Nous avons juste à entretenir la piscine et les communs.
Nous sommes plantés depuis deux heures à ce relais routiers en pleine chaleur. Pas un chauffeur n'est décidé à nous prendre. Il faut dire qu'il font leur pause. La plupart sont roumains, bulgares ou polonais et ne parviennent pas à nous comprendre ou se méfient.
Peut-être ont-ils des ordres de leurs supérieurs….
Nous avons tous les deux , vingt ans, minces, en short et débardeurs, casquette et tongs. Max est plutôt blond bouclé , yeux verts, moi mat, frisé.
Nous sommes copains depuis le lycée et jouons dans la même équipe de foot.
Un camion démarre et nous fait des appels de phares. C'est un français qui va charger à Cavaillon ce soir.
Nous prenons l'autoroute du soleil, les poids lourds sont à la queue leu leu, tous réglés à la même vitesse. La conduite est monotone, seul le rétrogradage pour une côté prononcée ou le doublement d'un trainard, rompt la torpeur qui nous envahit.
Le chauffeur tape la discutte, il s'enquit de notre destination, notre façon d'y parvenir. On parle foot, puis de notre vie d'étudiants.
On vient à parler des filles, il veut savoir si nous avons une petite amie.
Ce n'est pas vraiment le cas.
Il nous dit qu'il faut profiter de notre jeunesse et faire le plus de rencontres.
Ce faisant, il se frottait régulièrement le devant de son jeans. Placé près de la portière, je m'assoupis avec le ronronnement du moteur.
Quand je sors de ma léthargie, je m'aperçois que Maxime qui est au milieu, a sa main posée sur la bosse du chauffeur.
Max ne bouge apparemment pas, sa main caresse, il a défait son pantalon et il le caresse par-dessus son slip.
C'est vrai que je ne l’ai jamais vu au bras d'une fille. C'est vrai aussi qu'il est charmant avec ses cheveux bouclés et ses lèvres charnues. Je sais qu'il a un beau cul et une belle queue qu'il aime exhiber quand il sort de le douche.
Le chauffeur s'est aperçu que je ne dors plus. Il met ses doigts sur ses lèvres pour me faire signe de me taire.
Il dégage sa verge complètement érigée et Max se couche. Sa bouche est plaquée sur son entrejambe et ses lèvres sur sa verge.
De là où je suis, je ne vois rien, je pense qu'il la lèche sur toute sa longueur ou qu'il embrasse le gland.
Je bande et suis à l'étroit dans mon froc. Je gesticule et le routier rigole. Il commente : « Ton pote, il aime bien la queue. Quand, je vous ai vu, je me suis dit ‘’ tiens un couple de petits pédé….’’ Je ne me suis pas trompé ».
« Mets toi à l'aise, vire ton froc, on va le dépuceler ton pote »
A ces mots, Max prends sa verge en bouche et je vois sa tête monter et descendre. J'entends un bruit de succion et une odeur de sexe envahit l'habitacle.
Max est allongé à plat ventre sur la banquette. Le chauffeur me dit de lui enlever le short.
Il a maintenant les fesses en l'air, les jambes repliées. Son anus étoilé brille dans l'habitacle. Le routier me dit de prendre le gel dans la boite à gants devant moi et de lui enduire le fion.
Je m'exécute, je le badigeonne, glisse un premier doigt puis un second. Je m'astique la verge, prêt à l'enculer. C'est une première. Je suis dans un état second. La vue de mon copain d'adolescence qui pompe un inconnu sur l'autoroute à Cent à l'heure avec un trente tonnes….Du délire, on verra après.
Je prends mon pote par les hanches et mon sexe tendu s'enfonce jusqu'à la garde. Je lime, et le féconde peu après.
Le camion glisse au fond de l'aire de repos. Mon camarade est pris par le chauffeur dans la même position, son ventre claque, son sexe est bien plus imposant que le mien.
Mon copain coule sur la banquette quand le routier éjacule à son tour.
Il le tourne vers lui et lui remet sa verge dans la bouche puis il lui tend un rouleau d'essuie tout. Après une toilette sommaire, Il sort des bières de sa glacière que nous savourons dehors à l'ombre des pins. Nous un peu interdits. Lui, pas complexé, content de lui et de sa performance.
Nous reprenons sagement la route comme s’ il ne s'était rien passé.
Quelques jours après, Max m'avouera son homosexualité latente, que sans cette expérience, il n'aurait peut-être pas franchi le pas avant plusieurs années.
Il m'avoua aussi qu’il me désirait, qu'il était amoureux de moi depuis toujours. Je n'étais pas offusqué mais plutôt fier. Je lui ai répondu que j'étais son ami, que rien n'avait vraiment changé et que cette expérience était notre secret.
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