Sur le chemin de la plage
Récit érotique écrit par Alexine [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-11-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Sur le chemin de la plage
L'histoire qui va suivre est le résultat du fantasme de 2 collègues, racontée par les 2 protagonistes.
Elle:Nous sommes au bureau, pendant les vacances d'été, il fait chaud, et la plupart des employés sont partis déjeuner en terrasse, on est peu nombreux dans le bâtiment, il fait tellement chaud qu'on arrive à peine à travailler, on transpire, on souffle, c'est lourd, on n'en peut plus. Alors, comme notre boss nous a encouragé à le faire, toi et moi décidons de partir à la plage, sur un coup de tête. Tu as ton pantalon en toile et moi ma robe saumon, légère, qui arrive au dessus du genoux, le simple fait de monter en voiture et de rouler fenêtre ouverte nous soulage un peu. Il n'y a personne sur la route, normal à 13h, en direction de la plage. On écoute du bon son, bien chill, on parle de tout et de rien, mais rapidement une tension se crée. Elle est difficile à déterminer, mais l'air qui semblait être devenu moins pesant s'alourdit d'un coup, on a de nouveau très chaud. Tu conduis, je te parle, et je sens que tu ne m'écoutes plus, tu fais mine d'être tout à coup très absorbé par la route. Je tourne la tête et découvre que ton mutisme est du au fait que tu commences à avoir une belle érection difficile à masquer, tu te dandines un peu espérant me la cacher. Mais mission impossible, maintenant que je l'ai vue je ne peux pas m’empêcher de la regarder. Je salive rien que de l'imaginer dans ma bouche, seulement je ne sais pas comment m'y prendre pour y toucher sans en avoir l'air. Je ramasse la bouteille d'eau qui est posée à mes pieds et je t'en propose d'abord, je la débouche et te la tends, mais au moment où tu l'attrapes, faisant semblant d'être maladroite je t'arrose un peu. Tu ris, un peu gêné, car maintenant tu ne peux vraiment plus rien me cacher. Je reprends la bouteille et pour alléger un peu l'atmosphère je m'arrose un peu la gorge, l'eau coule sur mes seins, ma robe fine me colle et tu constates que je n'ai pas de soutien gorge, tu es pourtant persuadé que j'en avais un plus tôt dans la journée, tu te demandes à quel moment j'ai bien pu l'enlever, puis mes tétons qui pointent, grâce à l'air frais de la clim, occupent toutes tes pensées. Tu as du mal à regarder la route, de toute façon nous n'allons pas tarder à arriver. J'en profite pour poser ma main brûlante sur ton pantalon trempé, juste sur ton gland, je la pose, sans caresse, sans exercer de pression, juste pour que tu sentes ma chaleur. Je sens aussi la tienne par la même occasion. Tu inspires un grand coup, tu te gares, entre les pins, on est à l'ombre, on entend les cigales, il fait chaud ici aussi mais on a plus d'air. Je descends de la voiture et j’enlève tout de suite ma robe, je suis donc en culotte et je t'attends en cachant mes seins avec mes 2 mains et en te souriant. Tu descends à ton tour, tout habillé, avec une trique d'un autre monde, ton pantalon en plus d’être toujours mouillé est déformé. Tu enlèves ton t shirt et me rejoins de l'autre coté de la voiture. Tu t'approches et viens coller ton torse contre le mien, je lâche mes seins et cette sensation est un pur bonheur. Je sens ta bite contre ma culotte toute trempée, je mouille depuis un moment mais là c'est l’inondation. Je t'en informe et tu décides de le vérifier par toi même, tout en restant contre moi, tu glisses ta main d'abord le long de ma culotte, c'est bouillant, alors tu passes un doigt sur le coté, tu n'es même pas arrivé dans ma fente que c'est déjà tout mouillé. Je m'attends à un peu de préliminaire, bien qu'inutiles, mais au lieu de ça, le fait de découvrir cette chatte trempée de désir te rend fou, tu me fais faire volte-face, je me retrouve plaquée en avant sur le capot de ta voiture beaucoup trop chaude, je crie, tu sors alors ta queue qui n'en peut plus de ton pantalon, tu ne prends même pas le temps de baisser ma culotte, tu l'écartes sur le coté et tu me baises comme tu en as envie depuis si longtemps. Donc, tu me baises enfin, violemment, alors que tu avais promis de faire passer mon plaisir avant le tien, oui mais voilà, tu n'en peux plus, il faut que tu défonces cette petite chatte qui te nargue depuis des semaines voir des mois. T'es comme un dingue en la découvrant, mais c'est tellement trempé que tu décides d'en profiter pour jouer un peu avec mon cul, qui est tendu là, juste sous ton nez, tout lisse, tu sors ta queue, glisse ton pouce à la place, tu le lubrifies, remets ta queue dans ma chatte et commence à jouer avec mon petit trou, je crie de plaisir, de douleur, j'en peux plus, tu n'en peux plus, tu hésites, dans le cul, pas dans le cul, pour te laisser le temps d'y réfléchir tu me tires par les hanches, et me pousses au sol, je me retrouve sur les genoux, dos à toi, tu me contournes, tu t'appuies à ton tour contre le capot et tu me fais sucer ta bite luisante de ma mouille.
Lui:Je te tiens la tête avec mes deux mains, plus pour accompagner ton mouvement que pour te donner le rythme. Tu sembles déjà bien savoir ce que je veux vu mon degré d'excitation. Tu poses tes mains sur mes cuisses et tu me suces à grand coup de tête. Tu arrêtes de temps à autre pour la regarder droite et dure, pleine de ta salive et j'en profite pour respirer un peu. Je suis toujours à la limite alors tu joues avec ça. Tu te retournes et je guide ma bite dans ta chatte par derrière. Là encore une fois tu imposes ton rythme, toujours plus rapide et violent. J'en arrive à te freiner en te forçant à rester sur moi en te bloquant par les hanches. Bien collée à moi, tu fais des mouvements circulaires pour sentir ma bite bien au fond de ta chatte et j'en profite pour passer ma main par devant entre tes jambes. Je sens ton clito tout humide et je commence à le caresser et tu regardes au ciel. J'ai envie de revenir à ce que je n'ai pas goûté au début, alors je me retire pour qu'à ton tour tu te poses sur la voiture. Tu te mets sur la pointe des pieds et écartes tes jambes. Avec 2 doigts tu écartes tes lèvres et je me mets à genoux pour te lécher. Je sens ton odeur mélangée à la mienne, on a chaud et le souffle court, mais rien ne nous arrête. Je glisse 2 doigts dans ta chatte en te léchant et c'est plus fort que toi, tu te caresses seule le clito. Je lèche aussi bien ta chatte que tes doigts et je sens couler ta mouille sur mes doigts qui te pénètrent.
Elle:Alors que je suis en train de crier de plaisir, je ne peux plus rien contrôler je me rends compte en tournant la tête qu'un type nous matte, je crois même qu'il se branle, je ne sais pas si tu l'as vu, mais j'en ai juste rien à foutre, ça m'encourage même à me donner encore plus en spectacle, tu me lèches et je t'inonde, je suis à 2 doigts de jouir, et tu le sens, tu sens les contractions dans ma chatte, tu sens que je vais venir, je glisse petit à petit, mes jambes ne me portent plus, tu t'en aperçois et tu me laisses m'allonger par terre, tu te prépares à me pénétrer encore, et cette fois c'est la bonne, tu es à peine entré que jouis sur ta queue, je suis secouée de spasmes, en quelques aller et retour tu viens également, tu remplis mon minou copieusement et tu t'écroules sur moi, je t'entoure de mes jambes, je jette un coup d’œil par dessus ton épaule, le type a disparu.
Elle:Nous sommes au bureau, pendant les vacances d'été, il fait chaud, et la plupart des employés sont partis déjeuner en terrasse, on est peu nombreux dans le bâtiment, il fait tellement chaud qu'on arrive à peine à travailler, on transpire, on souffle, c'est lourd, on n'en peut plus. Alors, comme notre boss nous a encouragé à le faire, toi et moi décidons de partir à la plage, sur un coup de tête. Tu as ton pantalon en toile et moi ma robe saumon, légère, qui arrive au dessus du genoux, le simple fait de monter en voiture et de rouler fenêtre ouverte nous soulage un peu. Il n'y a personne sur la route, normal à 13h, en direction de la plage. On écoute du bon son, bien chill, on parle de tout et de rien, mais rapidement une tension se crée. Elle est difficile à déterminer, mais l'air qui semblait être devenu moins pesant s'alourdit d'un coup, on a de nouveau très chaud. Tu conduis, je te parle, et je sens que tu ne m'écoutes plus, tu fais mine d'être tout à coup très absorbé par la route. Je tourne la tête et découvre que ton mutisme est du au fait que tu commences à avoir une belle érection difficile à masquer, tu te dandines un peu espérant me la cacher. Mais mission impossible, maintenant que je l'ai vue je ne peux pas m’empêcher de la regarder. Je salive rien que de l'imaginer dans ma bouche, seulement je ne sais pas comment m'y prendre pour y toucher sans en avoir l'air. Je ramasse la bouteille d'eau qui est posée à mes pieds et je t'en propose d'abord, je la débouche et te la tends, mais au moment où tu l'attrapes, faisant semblant d'être maladroite je t'arrose un peu. Tu ris, un peu gêné, car maintenant tu ne peux vraiment plus rien me cacher. Je reprends la bouteille et pour alléger un peu l'atmosphère je m'arrose un peu la gorge, l'eau coule sur mes seins, ma robe fine me colle et tu constates que je n'ai pas de soutien gorge, tu es pourtant persuadé que j'en avais un plus tôt dans la journée, tu te demandes à quel moment j'ai bien pu l'enlever, puis mes tétons qui pointent, grâce à l'air frais de la clim, occupent toutes tes pensées. Tu as du mal à regarder la route, de toute façon nous n'allons pas tarder à arriver. J'en profite pour poser ma main brûlante sur ton pantalon trempé, juste sur ton gland, je la pose, sans caresse, sans exercer de pression, juste pour que tu sentes ma chaleur. Je sens aussi la tienne par la même occasion. Tu inspires un grand coup, tu te gares, entre les pins, on est à l'ombre, on entend les cigales, il fait chaud ici aussi mais on a plus d'air. Je descends de la voiture et j’enlève tout de suite ma robe, je suis donc en culotte et je t'attends en cachant mes seins avec mes 2 mains et en te souriant. Tu descends à ton tour, tout habillé, avec une trique d'un autre monde, ton pantalon en plus d’être toujours mouillé est déformé. Tu enlèves ton t shirt et me rejoins de l'autre coté de la voiture. Tu t'approches et viens coller ton torse contre le mien, je lâche mes seins et cette sensation est un pur bonheur. Je sens ta bite contre ma culotte toute trempée, je mouille depuis un moment mais là c'est l’inondation. Je t'en informe et tu décides de le vérifier par toi même, tout en restant contre moi, tu glisses ta main d'abord le long de ma culotte, c'est bouillant, alors tu passes un doigt sur le coté, tu n'es même pas arrivé dans ma fente que c'est déjà tout mouillé. Je m'attends à un peu de préliminaire, bien qu'inutiles, mais au lieu de ça, le fait de découvrir cette chatte trempée de désir te rend fou, tu me fais faire volte-face, je me retrouve plaquée en avant sur le capot de ta voiture beaucoup trop chaude, je crie, tu sors alors ta queue qui n'en peut plus de ton pantalon, tu ne prends même pas le temps de baisser ma culotte, tu l'écartes sur le coté et tu me baises comme tu en as envie depuis si longtemps. Donc, tu me baises enfin, violemment, alors que tu avais promis de faire passer mon plaisir avant le tien, oui mais voilà, tu n'en peux plus, il faut que tu défonces cette petite chatte qui te nargue depuis des semaines voir des mois. T'es comme un dingue en la découvrant, mais c'est tellement trempé que tu décides d'en profiter pour jouer un peu avec mon cul, qui est tendu là, juste sous ton nez, tout lisse, tu sors ta queue, glisse ton pouce à la place, tu le lubrifies, remets ta queue dans ma chatte et commence à jouer avec mon petit trou, je crie de plaisir, de douleur, j'en peux plus, tu n'en peux plus, tu hésites, dans le cul, pas dans le cul, pour te laisser le temps d'y réfléchir tu me tires par les hanches, et me pousses au sol, je me retrouve sur les genoux, dos à toi, tu me contournes, tu t'appuies à ton tour contre le capot et tu me fais sucer ta bite luisante de ma mouille.
Lui:Je te tiens la tête avec mes deux mains, plus pour accompagner ton mouvement que pour te donner le rythme. Tu sembles déjà bien savoir ce que je veux vu mon degré d'excitation. Tu poses tes mains sur mes cuisses et tu me suces à grand coup de tête. Tu arrêtes de temps à autre pour la regarder droite et dure, pleine de ta salive et j'en profite pour respirer un peu. Je suis toujours à la limite alors tu joues avec ça. Tu te retournes et je guide ma bite dans ta chatte par derrière. Là encore une fois tu imposes ton rythme, toujours plus rapide et violent. J'en arrive à te freiner en te forçant à rester sur moi en te bloquant par les hanches. Bien collée à moi, tu fais des mouvements circulaires pour sentir ma bite bien au fond de ta chatte et j'en profite pour passer ma main par devant entre tes jambes. Je sens ton clito tout humide et je commence à le caresser et tu regardes au ciel. J'ai envie de revenir à ce que je n'ai pas goûté au début, alors je me retire pour qu'à ton tour tu te poses sur la voiture. Tu te mets sur la pointe des pieds et écartes tes jambes. Avec 2 doigts tu écartes tes lèvres et je me mets à genoux pour te lécher. Je sens ton odeur mélangée à la mienne, on a chaud et le souffle court, mais rien ne nous arrête. Je glisse 2 doigts dans ta chatte en te léchant et c'est plus fort que toi, tu te caresses seule le clito. Je lèche aussi bien ta chatte que tes doigts et je sens couler ta mouille sur mes doigts qui te pénètrent.
Elle:Alors que je suis en train de crier de plaisir, je ne peux plus rien contrôler je me rends compte en tournant la tête qu'un type nous matte, je crois même qu'il se branle, je ne sais pas si tu l'as vu, mais j'en ai juste rien à foutre, ça m'encourage même à me donner encore plus en spectacle, tu me lèches et je t'inonde, je suis à 2 doigts de jouir, et tu le sens, tu sens les contractions dans ma chatte, tu sens que je vais venir, je glisse petit à petit, mes jambes ne me portent plus, tu t'en aperçois et tu me laisses m'allonger par terre, tu te prépares à me pénétrer encore, et cette fois c'est la bonne, tu es à peine entré que jouis sur ta queue, je suis secouée de spasmes, en quelques aller et retour tu viens également, tu remplis mon minou copieusement et tu t'écroules sur moi, je t'entoure de mes jambes, je jette un coup d’œil par dessus ton épaule, le type a disparu.
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