Sur le thème de Ia défonce
Récit érotique écrit par AmantDesSens [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-01-2015 dans la catégorie A dormir debout
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Sur le thème de Ia défonce
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Elodie n'avait jamais imaginé un jour accepter cette proposition. Ses frasques sexuelles n'avaient rien d'innocentes. Elle vivait une belle histoire avec Laurent depuis maintenant plusieurs mois. Elle s'était assagie, fidélisée, même si au fond d'elle, demeurait ce désir, ces envies. Elle trouvait avec lui suffisamment de complicité pour leur répondre.
Mais ce soir de la semaine dernière, Laurent lui fit une proposition qui l'étonna. Lui non plus n'avait rien d'un ange. Il savait jouer de ses attributs comme de ceux d'Elodie pour les guider sur les chemins du plaisir.
Tous deux partageaient un même hobby : ils aimaient se retrouver ensemble et se défier à aux jeux vidéos ! Le jeu pouvait être puéril, mais la récompense était souvent un prétexte. Après des joutes virtuelles par écran interposé, où chacun apostrophait l'autre, riait,... le vainqueur pouvait souvent disposer du vaincu, à sa guise... Ou était-ce le vaincu qui se soumettait à l'autre ? Le virtuel cédait la place au réel, les doigts effleuraient d'autres formes de boutons, la dureté de la manette faisait place à une rigidité bien plus prometteuse et sensuelle.
Alors qu'ils étaient dans le salon, en plein milieu d'une partie, Laurent se tourna vers elle :
- Ma chérie, que ne saurais-tu faire pour venir me rejoindre ?
Elodie ne comprenait pas la question.
- Par quelles épreuves accepterais-tu de passer si tu savais qu'au bout du "chemin", je t'attendais, rien que pour toi ? Penses-tu que je puisse être un trophée qui mérite que tu te surpasse pour l'atteindre ?
La question n'en était pas moins mystérieuse. Elle l'incitait à développer sa pensée.
- J'ai envie d'un jeu avec toi... enfin, un jeu aussi pour toi. Une sorte de jeu de piste, semé d'embuches sensuelles. Un jeu où tu serais l'héroïne... Mais cette fois, bien réel.
Elodie connaissait Laurent et même si elle n'avait pas tout compris des règles, elle se doutait que l'intrigue tournerait autour du plaisir. Elle le laissa continuer.
- En faisant ma tournée, j'ai vu un ancien hôtel dans le sud de la ville, près de la zone industrielle. Il est sur le point d'être démoli. Un vrai chantier ! Les fenêtres sont béantes, les murs sont tagués, les détritus sont entassés ça et là. Cela pourrait être le "terrain" parfait.
- Continue... où veux-tu en venir ?
- La règle est assez simple. Quelque part, dans ce lieu, je t'attendrai. Il faudra que tu me trouves. Mais voila, je ne serai pas seul. Tes charmes font des envieux, et il faudra que tu surmontes les obstacles que tu rencontreras sur ta route pour atteindre ton objectif : moi.
Elodie voyait défiler dans sa tête les images de leurs jeux vidéos au fur et à mesure de ces explications. Mais elle voyait mal comment transposer ces scénarios dans le réel, et à quoi Laurent pensait vraiment.
- Tu veux y mettre des zombies ? répondit-elle, amusée
- Non, rien de gore ! Quelques imprévus sensuels.... Tu n'as rien contre la pluralité ?
A ce mot, Elodie comprit un peu plus, même si les détails lui échappaient... Puis, vint le questionnement, qui valait implicitement acceptation.
- Mais avec qui ? Tu sais qui ? Et ...
Laurent l'interrompit.
- Rassure toi, je vais tout organiser. Je sais déjà qui et tu n'auras rien à craindre... sauf perdre...
Elodie resta un instant perplexe, mais très vite l'inconnu et l'excitation prirent le relais.
La "partie" était prévu pour la semaine suivante, tant que le bâtiment était encore debout ! Elodie tenta d'en reparler, d'en connaitre les détails. Mais Laurent reste évasif, toujours souriant et rassurant.
Nous étions donc mercredi. Au matin, comme à son habitude, Laurent était parti le premier. Dans la cuisine, adossé au bol qu'il lui avait préparé, un mot :
Ma chérie,
Voila le jour J. Dans l'entrée, tu trouveras un sac dans lequel j'ai pris soin de te mettre tes vêtements pour ce soir. Après ton travail, rejoins moi à l'endroit. Tu pourras te changer sur le parking derrière le bâtiment.
Elodie s'empressa d'examiner le sac pour se donner une idée de ce qu'il lui préparait. Un T-shirt, un short, des chaussettes mi-longue, une lampe torche, des chaussures de marche, un string, un soutien gorge noir... Elodie ne put s'empêcher de rire et de penser à voix haute :
- Mais, il me prend pour Lara Croft ma parole !
Cela l'amusait visiblement. Elle partit sous la douche puis prit son petit déjeuner préparé par son chéri tout en relisant ses mots. Que peut-il bien se cacher là-dessous ? Cette question allait hanter son esprit toute la journée.
Elle partit travailler, son sac à dos rangé avec malice dans le coffre de la voiture. Elle la voyait depuis son bureau, et toute la journée, elle ne put s'empêcher d'y jeter un coup d'oeil. Les heures étaient interminables et faisaient croitre son impatience à chacune d'elles.
La débauche sonna, Elodie ne se fit pas prier pour prendre congé de ses collègues. Un quart d'heure après, sa voiture franchissait la clôture du chantier. Personne, pas une voiture. Le crépuscule tombait, mais il y avait assez de lumière pour qu'elle puisse se changer.
Equipée, elle fit fasse à la battisse. Sur ce qui semblait être une ancienne porte de service, un tag à la peinture blanche attira son attention : "Par ici. L+E". C'était un signe évident, le point de départ de cette aventure.
Elle se faufila entre les gravats, les fils électriques et quelques matelas jetés depuis le 1er étage. Elle entrouvrit la porte branlante. La pièce était plongée dans l'obscurité. Pas de fenêtre. Peut-être le local à poubelles ou une réserve. Elle alluma sa torche et balaya rapidement de son faisceau le lieu. Des cartons, d'anciens linéaires... Rien de fantastique. Sur le mur face à elle, un autre message "Le jeu commence ici".
Son cœur battait fort, à la fois de peur et d'excitation. Que lui avait-il préparé ? Pour le savoir, il fallait avancer.
Crispée sur sa torche, elle épiait le moindre bruit, le moindre recoin. Ses pas étaient feutrés, mais les gravats qui jonchaient le sol la trahissaient.
Elle passa la première porte et déboucha sur ce qui étaient jadis les cuisines. Les plans de travail en inox luisaient sous la lumière. La pièce regorgeait de cachettes potentielles. Elle avança avec prudence, persuadée d'être espionnée. Elle contourna le piano central lorsqu'un bruit la surprit. Elle sursauta et éclaira frénétiquement le lieu d'où il semblait venir. La tension tomba un peu lorsqu'elle vit passer un chaton.
Mais soudain, une main se posa sur son épaule et l'attira inexorablement en arrière. Elle poussa un cri de terreur, mais la peur lui fit perdre ses moyens. Elle tenta de s'échapper de cette emprise, mais très vite un bras vint entourer ses hanches. La lampe lui échappa tandis que cette main se posa sur sa bouche pour étouffer ses cris. Elle était dans le noir. L'étreinte était trop forte. Ses tentatives pour s'échapper s'enchainaient frénétiquement, contrées par ces bras virils. Elle avait l'impression qu'il avait des bras partout.
Elle sentait son souffle chaud, haletant dans son cou. Elle s'avoua vaincu, pensant qu'il tomberait sa garde. Il n'en fut rien. L'homme avança, sa proie entre ses bras, jusqu'à une table. La course s'arrêta lorsque Elodie la heurta de son ventre. Fermement, une main plaquée dans son dos, il l'obligea à se pencher dessus. Coincée entre la table et l'homme, elle ne pouvait ni bouger ni se retourner. Elle le sentit glisser et ses mains s'accrochèrent à la ceinture de son short. Sans ménagement, il le descendit pour le bloquer à mi cuisse. Son short était devenu désormais son piège. Son string ne fit pas le poids fasse à sa détermination.
L'homme posa les mains sur les fesses rebondis d'Elodie. Il les pétrit un instant. Il s'écarta un peu, et Elodie comprit pourquoi lorsqu'elle sentit son membre dur se présenter à l'entrée de ses fesses. Elle tendit le bras derrière elle pour l'en dissuader, mais elle n'eut pas le temps. Sa verge eut vite fait de trouver ses lèvres et s'introduisit sans ménagement dans son intimité. L'homme s'immobilisa un instant, seule attention de sa part jusqu'à présent. Puis, il commença son va-et-vient. Etait-ce l'excitation ? En tout cas Elodie fut surprise de se rendre compte qu'elle mouillait très vite... Son homme la regardait-elle ? Comment le pourrait-il dans le noir ? L'inconnu œuvrait en elle et le bruit de ses cuisses contre les fesses d'Elodie raisonnait dans la pièce... La prise qu'il avait sur elle ne finit qu'avec sa jouissance, bruyante, presque bestiale. Il eut juste la décence de se retirer avant d'expulser par jets successifs sa semence sur ses fesses.
Le calme s'installa. Elodie ne bougea pas. L'homme posa la main sur la table, avec un bruit métallique.
- Cela te servira, grogna-t-il
Comme il était venu, il partit. Elodie se retourna, remonta son short. Elle se dirigea vers sa torche et balaya à nouveau la pièce. Aucune trace de l'inconnu. Elle repensa à ses mots et regarda la table : une clef.
Elle ajusta ses vêtements puis continua son exploration par la porte où elle pensait qu'il s'était éclipsé.
A droite une porte fermée. La clef n'en vint pas à bout. A gauche, un petit couloir. Elle n'avait pas vraiment le choix. A peine remise de ses émotions, elle s'avança.
Il la mena vers l'accueil. Là aussi, le désordre était roi. Cette fois, elle avait plus d'espace pour évoluer et croiser au large des bureaux, placards et autres mobilier derrière lesquels elle se serait attendu à trouver quelques surprises.
Elle commençait à comprendre les règles. Il fallait qu'elle retrouve Laurent, pour échapper à tous ces pièges, vite. Une rapide inspection s'imposait. D'un côté, l'entrée de l’hôtel. Face à elle, deux grandes portes coupe-feu. Elle s'approcha, prudente et jeta un coup d’œil par les hublots : rien. Enfin, rien de visible en tout cas. Un long couloir, orné de portes de chaque côté. C'était les chambres de l'aile Sud.
Doucement, elle ouvrit un battant. Mais son grincement la surprit. Vite, elle s'engouffra dans le couloir. Un dernier coup d’œil par le hublot dans la pièce précédente : rien.
Il ne lui restait donc plus qu'à avancer... Elle n'avait pas fait 2m qu'un bruit lourd retentit derrière elle, au niveau de la porte. Spontanément, elle se précipita pour comprendre. Elle poussa la porte, mais elle résistait. Derrière le hublot, un homme au sourire diabolique. Leur deux visages s'approchèrent, puis l'homme insista du regard sur le couloir tout en le montrant de l'index. Elodie comprit. Elle se retourna aussitôt en manipulant maladroitement sa lampe.
Un autre homme avait surgi, certainement d'une des chambres. Plaquée contre la porte, ils s'observaient. Elodie glissa doucement le long du mur. Bientôt, ils se firent face, épiant le moindre geste de l'autre. La seule issue, le couloir; la seule solution, la fuite. Elodie esquiva un bref mouvement vers la porte, et tandis que l'homme s'empressa à lui barrer le chemin, elle fit volte face et s'enfuit à l'opposé. A l'autre bout, une autre porte battante. Elodie courra aussi vite qu'elle put. Mais arrivée à son niveau, quelle ne fut pas sa surprise en découvrant que son ouverture était entravée par une longue chaine. Derrière elle, le long couloir des chambres et au fond, l'homme. Il n'avait pas vraiment tenté de la poursuivre. Il devait savoir qu'elle était prise au piège.
Elodie se jeta sur la première chambre : fermée ! La clef ! En vain, elle était trop petite. Elle passa à la porte suivante : pareil... Sa quette d'une issue la rapprochait inexorablement de cet homme qui remontait sûrement le corridor.
A mi chemin, ils n'était qu'à quelques mètres. L'homme accéléra le pas. Elodie recula et trébucha. L'homme en profita pour se précipiter sur elle. Il l'a saisit par le poignet et la redressa. Face à face, il prit son visage d'une main et l'embrassa goulument. Sa main plongea entre les cuisses d'Elodie. Il se mit à la caresser, fermement, mais non sans douceur. Le plaisir s'offrait à elle, mais elle n'oubliait pas que le but du jeu était de retrouver Laurent. Il est clair que si elle "cédait" à chaque fois, elle perdrait.
Elle réussit à s'échapper. Elle tente encore une autre porte. Mais l'homme la saisit à nouveau. Plaquée au mur, il assure sa prise. Sa main recommence à caresser Elodie. Tandis que sa bouche suce le lobe de son oreille. il plonge la main dans le short. Très vite, il écarte le string. Ses doigts s'enduisent de la cyprine de son dernier ébat. Il masse délicatement son petit bouton à travers ses lèvres. Il glisse le majeur entre elles et s'engouffre dans son vagin. Elodie sursaute. L'espace n'est pas grand. Aussi, il ne tarde pas en déboutonner maladroitement son short. Il s'agenouille devant elle et approche sa bouche de son sexe. Sa langue s'introduit en elle. Il la dévore littéralement.
Elodie se surprend à prendre du plaisir. Elle en oublierait presque que le but du jeu est tout de même d'y échapper. Pas trés difficile de cette prise, même si elle est délicieuse.
Mais l'homme ne l'entend pas ainsi. Sentant sa proie s'esquiver, il se redresse et la replaque au mur. Mais cette fois, ses intentions sont toutes autres. Elodie ne sait comment il s'est débrouillé, mais au contact de sa peau, elle comprend qu'il a réussi à descendre son pantalon. Son sexe, visiblement de bonne taille, est plaqué sur son bas ventre.
Immobilisée, l'homme la saisit par les fesses. Son membre glisse entre les jambes d'Elodie. D'un coup de rein, il s'introduit en elle tout en la laissant redescendre. L'homme ondule des reins sans lâcher sa prise. Il l'embrasse dans le cou tout en malaxant son sein droit de sa main virile. Elle le sent en elle, déterminé à s'enfoncer au plus profond de son intimité.
Elodie se prend au jeu et passe les bras autour du coup de son agresseur. Bientôt, elle sent son membre durcir de plus belle... et un long flot chaud l'inonde. Impossible de se retirer dans cette position. Alors, elle en profite et enserra l'homme de ses jambes...
L'homme s'adosse au mur, éreinté par le rythme et la position. Elodie n'a pas de mal à se retirer.
- Tu as essayé le cadena, murmure-t-il
Le cadenas ? Quel cadenas... la chaine ! A peine rhabillée, Elodie ne demande pas son reste. Elle en oublie même sa lampe et se précipite vers le fond du couloir. A tâtons, elle égraine les maillons pour trouver le sésame. Avec empressement, elle arrache la chaine et laisse derrière elle cet autre inconnu.
Elle fait une pause, pour se remettre de ses émotions. Mais la quête doit continuer.
Elle se remet à marcher, mais cette fois, en aveugle.Un murmure l'interpelle.
- Elodie, ici ....
Sous ses doigts, une grande porte. La voix semblait venir de derrière. Elle s'ouvre. Il faut bien s'y hasarder... Qui sait, c'est peut-être enfin la fin de son périple et Laurent l'y attend.
Les mains tendues en avant, elle essaie de repérer les obstacles. A mi-cuisse, elle heurte ce qui semble être une table. Ses mains explorent ses courbes. Cela ressemble à une grande table telle qu'on en voit dans les salles de réunion. Elle contourne la table, le doigt sur le bord. Elle n'a d'ailleurs pas trop le choix, car des objets ont été entassés autour. Cela l'intrigue un peu, car le bâtiment devrait être quasiment vide.
Soudain elle sent une main effleurer puis saisir sa cheville. Elle crie. Elle tente de s'en extirper, mais la main la tient fermement à tel point qu'elle manque de tomber. Elle se retient à la table. Mais très vite elle se rend compte que plusieurs hommes sont dans la pièce. Les mains courent sur son corps, tirent sur ces vêtements. Bientôt, son T-shirt cède. Elle les repousse, mais c'est en vain. Elle finit par crier :
- Mais que voulez-vous ?!
Sans pour autant lâcher Elodie, les mains s'immobilisent. Du fond de la pièce, une voix étouffée lui répond :
- Tu veux sortir, rejoindre ton amant ? Alors, convainc nous !
Elodie ne répond pas. Mais elle est décidée. "Vous voulez voir ce que je suis capable de faire ?" pense-t-elle. "Vous allez être servi".
Elle se retourne alors et, à son tour, saisit une des mains. Elle remonte jusqu'à l'homme. Cette fois, c'est elle qui les surprend.
Sans hésiter, elle défait son pantalon puis caresse rapidement son boxer. Juste assez pour en trouver le contour. D'un coup sec, elle le baisse et saisit tout aussi rapidement son membre déjà bien dur. Il ne lui en faut pas plus pour le prendre en bouche, goulument. L'homme se laisse faire. Les autres mains se sont retirés, mais leur propriétaires sont sortis de leur caches. Elodie les sent à côté. Elle abandonne le premier homme. Elle balaie de la main autour d'elle et touche une hanche. Le manège recommence et en moins de temps qu'il ne faut pour le dire, elle déguste son sexe. Le premier s'est rapproché et caresse son dos. Elodie ne veut leur laisser aucun répit. Tandis qu'elle continue à sucer avec délectation, elle balade énergiquement sa main sur la queue tendue à souhait du premier. Déjà, un autre corps d'approche. Difficile à gérer peut-être.
Quasiment nue, Elodie se tourne vers le premier et lui offre ses fesses. Il comprend vite lorsque son sexe vient les heurter. Elodie ne s'en préoccupe pas plus : il passe ses mains sur sa croupe, puis l'attire vers lui. Sa verge toujours aussi dure que lorsqu'elle l'avait laissée, commence à caresser ses lèvres. Puis, d'un coup il la pénètre. Elodie s’affaire toujours sur les deux autres queues. Tantôt en main, tantôt en bouche... Cette revanche qu'elle avait décide de prendre commence finalement à lui plaire et à lui procurer du plaisir. L'homme derrière elle s'enfonce en elle avec délice. Elle a du mal d'ailleurs par moment à se concentrer. Mais bientôt, elle le sent se tendre. Alors, par un habile mouvement du bassin, elle lui fait comprendre de se retirer. Il s'exécute juste avant de jouir sur elle.
Elodie ne compte pas en rester là. Elle arrive à intervertir un des hommes dont elle savourait le membre avec celui qui vient de jouir. Elle goutte alors ce sexe qui, il y a encore quelques instants, lui donnait autant de tressaillements dans son bas ventre. Il est encore bien en forme. Elle compte bien en user jusqu'à ce qu'il n'en puisse plus !
Derrière elle, l'autre homme s'est déjà engouffré. Il n'est pas en reste mais grâce ou à cause des attentions précédentes d'Elodie, il ne tarde pas non plus à attendre son plaisir. Trop tard pour qu'Elodie ait le temps de l'inviter à la couvrir de sa semence.
Le dernier ne se fait pas prier. Elodie se délecte de ses sexes qui se succèdent en elle pour l'honorer et de ses capacités à les satisfaire. Elle saisit l'avant dernier pour l'amener à hauteur de son visage. A nouveau, elle alterne, mais bientôt l'un d'eux se retire. Elodie voit son plan se concrétiser. Elle redouble de vigueur sur la seule verge encore à portée de bouche et le sent convulser. Une fois en main, quelques caresses précises suffisent à la faire venir, presque au même moment où son dernier prétendant tapisse une dernière fois son vagin.
- Alors, qui est le prochain ? interrogea-t-elle, un brin taquine.
Point de réponse.
- Très bien, alors, guidez moi vers la sortie ! ordonna-t-elle.
Une main, cette fois plus sage, lui prit l'avant bras. Une porte grinça. Elle fut introduite et abandonnée dans une pièce attenante. Au fond, à la flamme d'une bougie vacillante, elle discerne une silhouette familière. S'en approchant, elle l'interpelle :
- J'espère que tu n'as rien raté !
- Je n'ai rien vu. Mais si tu es là maintenant, je me doute par où tu es passée, répondit Laurent
- Par où je suis passée ? Dis plus plutôt par qui est passée par moi !
- L'essentiel, c'est que tu sois là et que tu aies gagné, non ?
- Gagné ? Oui, c'est ça. Et maintenant...
- Oui...
- Je viens récupérer ma récompense. Maintenant, à ton tour de passer par moi... pour m'avoir !
Elodie n'avait jamais imaginé un jour accepter cette proposition. Ses frasques sexuelles n'avaient rien d'innocentes. Elle vivait une belle histoire avec Laurent depuis maintenant plusieurs mois. Elle s'était assagie, fidélisée, même si au fond d'elle, demeurait ce désir, ces envies. Elle trouvait avec lui suffisamment de complicité pour leur répondre.
Mais ce soir de la semaine dernière, Laurent lui fit une proposition qui l'étonna. Lui non plus n'avait rien d'un ange. Il savait jouer de ses attributs comme de ceux d'Elodie pour les guider sur les chemins du plaisir.
Tous deux partageaient un même hobby : ils aimaient se retrouver ensemble et se défier à aux jeux vidéos ! Le jeu pouvait être puéril, mais la récompense était souvent un prétexte. Après des joutes virtuelles par écran interposé, où chacun apostrophait l'autre, riait,... le vainqueur pouvait souvent disposer du vaincu, à sa guise... Ou était-ce le vaincu qui se soumettait à l'autre ? Le virtuel cédait la place au réel, les doigts effleuraient d'autres formes de boutons, la dureté de la manette faisait place à une rigidité bien plus prometteuse et sensuelle.
Alors qu'ils étaient dans le salon, en plein milieu d'une partie, Laurent se tourna vers elle :
- Ma chérie, que ne saurais-tu faire pour venir me rejoindre ?
Elodie ne comprenait pas la question.
- Par quelles épreuves accepterais-tu de passer si tu savais qu'au bout du "chemin", je t'attendais, rien que pour toi ? Penses-tu que je puisse être un trophée qui mérite que tu te surpasse pour l'atteindre ?
La question n'en était pas moins mystérieuse. Elle l'incitait à développer sa pensée.
- J'ai envie d'un jeu avec toi... enfin, un jeu aussi pour toi. Une sorte de jeu de piste, semé d'embuches sensuelles. Un jeu où tu serais l'héroïne... Mais cette fois, bien réel.
Elodie connaissait Laurent et même si elle n'avait pas tout compris des règles, elle se doutait que l'intrigue tournerait autour du plaisir. Elle le laissa continuer.
- En faisant ma tournée, j'ai vu un ancien hôtel dans le sud de la ville, près de la zone industrielle. Il est sur le point d'être démoli. Un vrai chantier ! Les fenêtres sont béantes, les murs sont tagués, les détritus sont entassés ça et là. Cela pourrait être le "terrain" parfait.
- Continue... où veux-tu en venir ?
- La règle est assez simple. Quelque part, dans ce lieu, je t'attendrai. Il faudra que tu me trouves. Mais voila, je ne serai pas seul. Tes charmes font des envieux, et il faudra que tu surmontes les obstacles que tu rencontreras sur ta route pour atteindre ton objectif : moi.
Elodie voyait défiler dans sa tête les images de leurs jeux vidéos au fur et à mesure de ces explications. Mais elle voyait mal comment transposer ces scénarios dans le réel, et à quoi Laurent pensait vraiment.
- Tu veux y mettre des zombies ? répondit-elle, amusée
- Non, rien de gore ! Quelques imprévus sensuels.... Tu n'as rien contre la pluralité ?
A ce mot, Elodie comprit un peu plus, même si les détails lui échappaient... Puis, vint le questionnement, qui valait implicitement acceptation.
- Mais avec qui ? Tu sais qui ? Et ...
Laurent l'interrompit.
- Rassure toi, je vais tout organiser. Je sais déjà qui et tu n'auras rien à craindre... sauf perdre...
Elodie resta un instant perplexe, mais très vite l'inconnu et l'excitation prirent le relais.
La "partie" était prévu pour la semaine suivante, tant que le bâtiment était encore debout ! Elodie tenta d'en reparler, d'en connaitre les détails. Mais Laurent reste évasif, toujours souriant et rassurant.
Nous étions donc mercredi. Au matin, comme à son habitude, Laurent était parti le premier. Dans la cuisine, adossé au bol qu'il lui avait préparé, un mot :
Ma chérie,
Voila le jour J. Dans l'entrée, tu trouveras un sac dans lequel j'ai pris soin de te mettre tes vêtements pour ce soir. Après ton travail, rejoins moi à l'endroit. Tu pourras te changer sur le parking derrière le bâtiment.
Elodie s'empressa d'examiner le sac pour se donner une idée de ce qu'il lui préparait. Un T-shirt, un short, des chaussettes mi-longue, une lampe torche, des chaussures de marche, un string, un soutien gorge noir... Elodie ne put s'empêcher de rire et de penser à voix haute :
- Mais, il me prend pour Lara Croft ma parole !
Cela l'amusait visiblement. Elle partit sous la douche puis prit son petit déjeuner préparé par son chéri tout en relisant ses mots. Que peut-il bien se cacher là-dessous ? Cette question allait hanter son esprit toute la journée.
Elle partit travailler, son sac à dos rangé avec malice dans le coffre de la voiture. Elle la voyait depuis son bureau, et toute la journée, elle ne put s'empêcher d'y jeter un coup d'oeil. Les heures étaient interminables et faisaient croitre son impatience à chacune d'elles.
La débauche sonna, Elodie ne se fit pas prier pour prendre congé de ses collègues. Un quart d'heure après, sa voiture franchissait la clôture du chantier. Personne, pas une voiture. Le crépuscule tombait, mais il y avait assez de lumière pour qu'elle puisse se changer.
Equipée, elle fit fasse à la battisse. Sur ce qui semblait être une ancienne porte de service, un tag à la peinture blanche attira son attention : "Par ici. L+E". C'était un signe évident, le point de départ de cette aventure.
Elle se faufila entre les gravats, les fils électriques et quelques matelas jetés depuis le 1er étage. Elle entrouvrit la porte branlante. La pièce était plongée dans l'obscurité. Pas de fenêtre. Peut-être le local à poubelles ou une réserve. Elle alluma sa torche et balaya rapidement de son faisceau le lieu. Des cartons, d'anciens linéaires... Rien de fantastique. Sur le mur face à elle, un autre message "Le jeu commence ici".
Son cœur battait fort, à la fois de peur et d'excitation. Que lui avait-il préparé ? Pour le savoir, il fallait avancer.
Crispée sur sa torche, elle épiait le moindre bruit, le moindre recoin. Ses pas étaient feutrés, mais les gravats qui jonchaient le sol la trahissaient.
Elle passa la première porte et déboucha sur ce qui étaient jadis les cuisines. Les plans de travail en inox luisaient sous la lumière. La pièce regorgeait de cachettes potentielles. Elle avança avec prudence, persuadée d'être espionnée. Elle contourna le piano central lorsqu'un bruit la surprit. Elle sursauta et éclaira frénétiquement le lieu d'où il semblait venir. La tension tomba un peu lorsqu'elle vit passer un chaton.
Mais soudain, une main se posa sur son épaule et l'attira inexorablement en arrière. Elle poussa un cri de terreur, mais la peur lui fit perdre ses moyens. Elle tenta de s'échapper de cette emprise, mais très vite un bras vint entourer ses hanches. La lampe lui échappa tandis que cette main se posa sur sa bouche pour étouffer ses cris. Elle était dans le noir. L'étreinte était trop forte. Ses tentatives pour s'échapper s'enchainaient frénétiquement, contrées par ces bras virils. Elle avait l'impression qu'il avait des bras partout.
Elle sentait son souffle chaud, haletant dans son cou. Elle s'avoua vaincu, pensant qu'il tomberait sa garde. Il n'en fut rien. L'homme avança, sa proie entre ses bras, jusqu'à une table. La course s'arrêta lorsque Elodie la heurta de son ventre. Fermement, une main plaquée dans son dos, il l'obligea à se pencher dessus. Coincée entre la table et l'homme, elle ne pouvait ni bouger ni se retourner. Elle le sentit glisser et ses mains s'accrochèrent à la ceinture de son short. Sans ménagement, il le descendit pour le bloquer à mi cuisse. Son short était devenu désormais son piège. Son string ne fit pas le poids fasse à sa détermination.
L'homme posa les mains sur les fesses rebondis d'Elodie. Il les pétrit un instant. Il s'écarta un peu, et Elodie comprit pourquoi lorsqu'elle sentit son membre dur se présenter à l'entrée de ses fesses. Elle tendit le bras derrière elle pour l'en dissuader, mais elle n'eut pas le temps. Sa verge eut vite fait de trouver ses lèvres et s'introduisit sans ménagement dans son intimité. L'homme s'immobilisa un instant, seule attention de sa part jusqu'à présent. Puis, il commença son va-et-vient. Etait-ce l'excitation ? En tout cas Elodie fut surprise de se rendre compte qu'elle mouillait très vite... Son homme la regardait-elle ? Comment le pourrait-il dans le noir ? L'inconnu œuvrait en elle et le bruit de ses cuisses contre les fesses d'Elodie raisonnait dans la pièce... La prise qu'il avait sur elle ne finit qu'avec sa jouissance, bruyante, presque bestiale. Il eut juste la décence de se retirer avant d'expulser par jets successifs sa semence sur ses fesses.
Le calme s'installa. Elodie ne bougea pas. L'homme posa la main sur la table, avec un bruit métallique.
- Cela te servira, grogna-t-il
Comme il était venu, il partit. Elodie se retourna, remonta son short. Elle se dirigea vers sa torche et balaya à nouveau la pièce. Aucune trace de l'inconnu. Elle repensa à ses mots et regarda la table : une clef.
Elle ajusta ses vêtements puis continua son exploration par la porte où elle pensait qu'il s'était éclipsé.
A droite une porte fermée. La clef n'en vint pas à bout. A gauche, un petit couloir. Elle n'avait pas vraiment le choix. A peine remise de ses émotions, elle s'avança.
Il la mena vers l'accueil. Là aussi, le désordre était roi. Cette fois, elle avait plus d'espace pour évoluer et croiser au large des bureaux, placards et autres mobilier derrière lesquels elle se serait attendu à trouver quelques surprises.
Elle commençait à comprendre les règles. Il fallait qu'elle retrouve Laurent, pour échapper à tous ces pièges, vite. Une rapide inspection s'imposait. D'un côté, l'entrée de l’hôtel. Face à elle, deux grandes portes coupe-feu. Elle s'approcha, prudente et jeta un coup d’œil par les hublots : rien. Enfin, rien de visible en tout cas. Un long couloir, orné de portes de chaque côté. C'était les chambres de l'aile Sud.
Doucement, elle ouvrit un battant. Mais son grincement la surprit. Vite, elle s'engouffra dans le couloir. Un dernier coup d’œil par le hublot dans la pièce précédente : rien.
Il ne lui restait donc plus qu'à avancer... Elle n'avait pas fait 2m qu'un bruit lourd retentit derrière elle, au niveau de la porte. Spontanément, elle se précipita pour comprendre. Elle poussa la porte, mais elle résistait. Derrière le hublot, un homme au sourire diabolique. Leur deux visages s'approchèrent, puis l'homme insista du regard sur le couloir tout en le montrant de l'index. Elodie comprit. Elle se retourna aussitôt en manipulant maladroitement sa lampe.
Un autre homme avait surgi, certainement d'une des chambres. Plaquée contre la porte, ils s'observaient. Elodie glissa doucement le long du mur. Bientôt, ils se firent face, épiant le moindre geste de l'autre. La seule issue, le couloir; la seule solution, la fuite. Elodie esquiva un bref mouvement vers la porte, et tandis que l'homme s'empressa à lui barrer le chemin, elle fit volte face et s'enfuit à l'opposé. A l'autre bout, une autre porte battante. Elodie courra aussi vite qu'elle put. Mais arrivée à son niveau, quelle ne fut pas sa surprise en découvrant que son ouverture était entravée par une longue chaine. Derrière elle, le long couloir des chambres et au fond, l'homme. Il n'avait pas vraiment tenté de la poursuivre. Il devait savoir qu'elle était prise au piège.
Elodie se jeta sur la première chambre : fermée ! La clef ! En vain, elle était trop petite. Elle passa à la porte suivante : pareil... Sa quette d'une issue la rapprochait inexorablement de cet homme qui remontait sûrement le corridor.
A mi chemin, ils n'était qu'à quelques mètres. L'homme accéléra le pas. Elodie recula et trébucha. L'homme en profita pour se précipiter sur elle. Il l'a saisit par le poignet et la redressa. Face à face, il prit son visage d'une main et l'embrassa goulument. Sa main plongea entre les cuisses d'Elodie. Il se mit à la caresser, fermement, mais non sans douceur. Le plaisir s'offrait à elle, mais elle n'oubliait pas que le but du jeu était de retrouver Laurent. Il est clair que si elle "cédait" à chaque fois, elle perdrait.
Elle réussit à s'échapper. Elle tente encore une autre porte. Mais l'homme la saisit à nouveau. Plaquée au mur, il assure sa prise. Sa main recommence à caresser Elodie. Tandis que sa bouche suce le lobe de son oreille. il plonge la main dans le short. Très vite, il écarte le string. Ses doigts s'enduisent de la cyprine de son dernier ébat. Il masse délicatement son petit bouton à travers ses lèvres. Il glisse le majeur entre elles et s'engouffre dans son vagin. Elodie sursaute. L'espace n'est pas grand. Aussi, il ne tarde pas en déboutonner maladroitement son short. Il s'agenouille devant elle et approche sa bouche de son sexe. Sa langue s'introduit en elle. Il la dévore littéralement.
Elodie se surprend à prendre du plaisir. Elle en oublierait presque que le but du jeu est tout de même d'y échapper. Pas trés difficile de cette prise, même si elle est délicieuse.
Mais l'homme ne l'entend pas ainsi. Sentant sa proie s'esquiver, il se redresse et la replaque au mur. Mais cette fois, ses intentions sont toutes autres. Elodie ne sait comment il s'est débrouillé, mais au contact de sa peau, elle comprend qu'il a réussi à descendre son pantalon. Son sexe, visiblement de bonne taille, est plaqué sur son bas ventre.
Immobilisée, l'homme la saisit par les fesses. Son membre glisse entre les jambes d'Elodie. D'un coup de rein, il s'introduit en elle tout en la laissant redescendre. L'homme ondule des reins sans lâcher sa prise. Il l'embrasse dans le cou tout en malaxant son sein droit de sa main virile. Elle le sent en elle, déterminé à s'enfoncer au plus profond de son intimité.
Elodie se prend au jeu et passe les bras autour du coup de son agresseur. Bientôt, elle sent son membre durcir de plus belle... et un long flot chaud l'inonde. Impossible de se retirer dans cette position. Alors, elle en profite et enserra l'homme de ses jambes...
L'homme s'adosse au mur, éreinté par le rythme et la position. Elodie n'a pas de mal à se retirer.
- Tu as essayé le cadena, murmure-t-il
Le cadenas ? Quel cadenas... la chaine ! A peine rhabillée, Elodie ne demande pas son reste. Elle en oublie même sa lampe et se précipite vers le fond du couloir. A tâtons, elle égraine les maillons pour trouver le sésame. Avec empressement, elle arrache la chaine et laisse derrière elle cet autre inconnu.
Elle fait une pause, pour se remettre de ses émotions. Mais la quête doit continuer.
Elle se remet à marcher, mais cette fois, en aveugle.Un murmure l'interpelle.
- Elodie, ici ....
Sous ses doigts, une grande porte. La voix semblait venir de derrière. Elle s'ouvre. Il faut bien s'y hasarder... Qui sait, c'est peut-être enfin la fin de son périple et Laurent l'y attend.
Les mains tendues en avant, elle essaie de repérer les obstacles. A mi-cuisse, elle heurte ce qui semble être une table. Ses mains explorent ses courbes. Cela ressemble à une grande table telle qu'on en voit dans les salles de réunion. Elle contourne la table, le doigt sur le bord. Elle n'a d'ailleurs pas trop le choix, car des objets ont été entassés autour. Cela l'intrigue un peu, car le bâtiment devrait être quasiment vide.
Soudain elle sent une main effleurer puis saisir sa cheville. Elle crie. Elle tente de s'en extirper, mais la main la tient fermement à tel point qu'elle manque de tomber. Elle se retient à la table. Mais très vite elle se rend compte que plusieurs hommes sont dans la pièce. Les mains courent sur son corps, tirent sur ces vêtements. Bientôt, son T-shirt cède. Elle les repousse, mais c'est en vain. Elle finit par crier :
- Mais que voulez-vous ?!
Sans pour autant lâcher Elodie, les mains s'immobilisent. Du fond de la pièce, une voix étouffée lui répond :
- Tu veux sortir, rejoindre ton amant ? Alors, convainc nous !
Elodie ne répond pas. Mais elle est décidée. "Vous voulez voir ce que je suis capable de faire ?" pense-t-elle. "Vous allez être servi".
Elle se retourne alors et, à son tour, saisit une des mains. Elle remonte jusqu'à l'homme. Cette fois, c'est elle qui les surprend.
Sans hésiter, elle défait son pantalon puis caresse rapidement son boxer. Juste assez pour en trouver le contour. D'un coup sec, elle le baisse et saisit tout aussi rapidement son membre déjà bien dur. Il ne lui en faut pas plus pour le prendre en bouche, goulument. L'homme se laisse faire. Les autres mains se sont retirés, mais leur propriétaires sont sortis de leur caches. Elodie les sent à côté. Elle abandonne le premier homme. Elle balaie de la main autour d'elle et touche une hanche. Le manège recommence et en moins de temps qu'il ne faut pour le dire, elle déguste son sexe. Le premier s'est rapproché et caresse son dos. Elodie ne veut leur laisser aucun répit. Tandis qu'elle continue à sucer avec délectation, elle balade énergiquement sa main sur la queue tendue à souhait du premier. Déjà, un autre corps d'approche. Difficile à gérer peut-être.
Quasiment nue, Elodie se tourne vers le premier et lui offre ses fesses. Il comprend vite lorsque son sexe vient les heurter. Elodie ne s'en préoccupe pas plus : il passe ses mains sur sa croupe, puis l'attire vers lui. Sa verge toujours aussi dure que lorsqu'elle l'avait laissée, commence à caresser ses lèvres. Puis, d'un coup il la pénètre. Elodie s’affaire toujours sur les deux autres queues. Tantôt en main, tantôt en bouche... Cette revanche qu'elle avait décide de prendre commence finalement à lui plaire et à lui procurer du plaisir. L'homme derrière elle s'enfonce en elle avec délice. Elle a du mal d'ailleurs par moment à se concentrer. Mais bientôt, elle le sent se tendre. Alors, par un habile mouvement du bassin, elle lui fait comprendre de se retirer. Il s'exécute juste avant de jouir sur elle.
Elodie ne compte pas en rester là. Elle arrive à intervertir un des hommes dont elle savourait le membre avec celui qui vient de jouir. Elle goutte alors ce sexe qui, il y a encore quelques instants, lui donnait autant de tressaillements dans son bas ventre. Il est encore bien en forme. Elle compte bien en user jusqu'à ce qu'il n'en puisse plus !
Derrière elle, l'autre homme s'est déjà engouffré. Il n'est pas en reste mais grâce ou à cause des attentions précédentes d'Elodie, il ne tarde pas non plus à attendre son plaisir. Trop tard pour qu'Elodie ait le temps de l'inviter à la couvrir de sa semence.
Le dernier ne se fait pas prier. Elodie se délecte de ses sexes qui se succèdent en elle pour l'honorer et de ses capacités à les satisfaire. Elle saisit l'avant dernier pour l'amener à hauteur de son visage. A nouveau, elle alterne, mais bientôt l'un d'eux se retire. Elodie voit son plan se concrétiser. Elle redouble de vigueur sur la seule verge encore à portée de bouche et le sent convulser. Une fois en main, quelques caresses précises suffisent à la faire venir, presque au même moment où son dernier prétendant tapisse une dernière fois son vagin.
- Alors, qui est le prochain ? interrogea-t-elle, un brin taquine.
Point de réponse.
- Très bien, alors, guidez moi vers la sortie ! ordonna-t-elle.
Une main, cette fois plus sage, lui prit l'avant bras. Une porte grinça. Elle fut introduite et abandonnée dans une pièce attenante. Au fond, à la flamme d'une bougie vacillante, elle discerne une silhouette familière. S'en approchant, elle l'interpelle :
- J'espère que tu n'as rien raté !
- Je n'ai rien vu. Mais si tu es là maintenant, je me doute par où tu es passée, répondit Laurent
- Par où je suis passée ? Dis plus plutôt par qui est passée par moi !
- L'essentiel, c'est que tu sois là et que tu aies gagné, non ?
- Gagné ? Oui, c'est ça. Et maintenant...
- Oui...
- Je viens récupérer ma récompense. Maintenant, à ton tour de passer par moi... pour m'avoir !
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quel belle experience elle a du avoir ; ellea du passer par toute sorte d emotion :)