Sur un sentier Corse
Récit érotique écrit par Le licencieux [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
- • 3 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Le licencieux ont reçu un total de 11 734 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-04-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 2 275 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Sur un sentier Corse
Mes sens prirent rapidement le pas sur ma raison, un après midi de juillet, alors que je me retrouvais seul avec Evelyne dans le petit appartement d’Ajaccio où nous l’avions invitée, ma soeur et moi, ainsi que son frère Antoine, pour quelques jours de farniente.
Antoine n’était pas encore rentré de sa randonnée et ma soeur, retenue par des obligations professionnelles ne devait arriver que quelques jours plus tard.
Je savais, par quelques indiscrétions de cette dernière que la vie sexuelle d’Evelyne était quasiment inexistante depuis son divorce, trois ans plus tôt.
Etait-ce cela qui me taraudait inconsciemment l’esprit lorsqu’au sortir de la douche elle apparut au salon où je lisais, ceinte d’une grande serviette, pour quérir dans sa valise de quoi se vêtir de propre ?
Je l’observai quelque secondes, les sens en ébullition, puis lorsqu’elle se redressa, je fus mû par une force irrésistible : je m’approchai derrière elle et je l’enlaçai tout en me préparant à recevoir une paire de claques, que j’aurai, à vrai dire, bien mérité.
Au lieu de cela elle bascula la tête sur mon épaule, et je m’enhardis alors à empaumer ses seins, dont je ne pus, hélas, apprécier la douceur à travers l’épaisse serviette.
Terriblement excité et encouragé par sa réaction, je n’ hésitai pas et défis le noeud qui la retenait.
Elle tomba au sol et je découvris enfin le corps d’Evelyne.
Agée de 40 ans, petite, maigrelette, elle n’était pas particulièrement belle mais offrais néanmoins à mes yeux concupiscents, des fesses rebondies sur lesquelles je posai les mains sans tarder.
Je sentis aussitôt son corps frissonner et je remontai le long de ses hanches pour saisir sa poitrine, cette fois nue.
Je ne m’attendais pas à sentir sous la main des globes si fermes qui s’allongeaient en obus. Les tétons en étaient déjà dressés et lorsque je les caressai, Evelyne se mit à ronronner.
Il n’en fallut pas davantage pour m’inciter à descendre sur son ventre et perdre mes doigts dans sa fine toison blonde.
Lorsque je glissai vers sa fente humide elle murmura :
— Non… Non…
Si mollement que je m’autorisai à une inspection plus poussée.
Lorsque mes doigts frôlèrent son clitoris, elle écarta légèrement les jambes et je la masturbai lentement jusqu’à l’orgasme.
Il fut retenu. Silencieux. Mais je sentis son corps en proie à un puissant séisme.
Je m’apprêtais à l’abandonner après un baiser dans le cou lorsqu’elle se retourna subitement pour couvrir ma poitrine nue de baisers.
Elle me suça les tétons avant de s’accroupir pour baisser d’un seul élan mon short et mon slip, libérant ma queue, dressée depuis le début des hostilités.
Elle la prit aussitôt dans la bouche pour m’offrir une fellation généreuse agrémentée d’une introduction d’un doigt dans l’anus, ce qui me sidéra.
Non que cela me déplut. Bien au contraire. Mais je ne la pensais pas capable d’une telle initiative. Du moins lors d’un premier assaut.
Elle ne retira son doigt qu’après avoir avalé ma semence puis sans un mot récupéra sa serviette, ses affaires propres, et disparut.
Je me retrouvai alors comme un c…, la queue à l’air sans avoir pu la remercier.
Autant dire qu’une fois rhabillé et assis sur le canapé, je n’avais plus l’esprit disposé à la lecture.
Je n’avais plus qu’une obsession en tête : la baiser !
Je nous imaginais alors dans les postures les plus acrobatiques que j’aurais sans doute eu du mal à prendre, mais mon esprit était trop bouillonnant pour m’apporter des envies plus conformes à mes possibilités.
Je me plus aussi à penser qu’Evelyne devait avoir un désir pressant de se faire sauter, déduction qui me vint en repensant aux confidences de ma soeur.
l’inconvénient était que je ne disposais que d’assez peu de temps pour tenter quelque chose.
Deux jours en fait, car dès que ma soeur sera là, je devrai renoncer.
De plus, la présence quasi constante d’Antoine m’offrait peu de « fenêtres de tir » si je puis m’exprimer ainsi.
Je devais absolument tenter quelque chose sans trop tarder.
Ainsi, le soir même, j’invitai, un peu lourdement sans doute, son frère à ne pas s’arrêter en si bon chemin dans sa découverte de l’ile, et l’incitai à s’inscrire pour une randonnée sur le G20.
Lorsque, après réflexion il trouva mon idée excellente, et que je peinais à contenir ma joie, ce fut Evelyne qui tempéra mon excitation en fuyant mon regard et en s’écartant dès que je la frôlais, si bien que je ne sus bientôt plus quoi penser.
Puis elle souffla le chaud et le froid lorsqu’elle demanda à brûle pourpoint :
— Cat arrive quand ?
— Jeudi, répondis-je.
— Ah, parfait, conclut-elle avec un sourire que je ne sus interpréter.
Etait-elle soulagée d’apprendre la venue prochaine de ma soeur ou pensait-elle, l’esprit polisson, que ça nous laissait encore du temps pour… ?
Je tentai, bêtement, de la tester quelques heures plus tard lorsque Antoine partit pour s’inscrire à la rando en déclarant ostensiblement que j’allais me doucher et je laissait la porte de la salle de bains entrebâillée.
Il ne se passa rien !
Lorsque, dépité, je rejoignis un peu plus tard Evelyne au salon, elle était plongée dans ses mots croisés.
Je m’assis dans le fauteuil, face à elle et je l’observai ne sachant plus que penser.
Après un quart d’heure peut-être, je frissonnai lorsqu’elle changea de position, car dans son mouvement, qui découvrit brièvement ses cuisses, il me sembla constater l’absence de culotte.
Cependant, je ne m’enflammai pas, persuadé que mon désir trompait ma vue.
Le lendemain Antoine partit de bonne heure pour le G20 et, curieusement, je me trouvai bêtement intimidé en me retrouvant en tête à tête avec Evelyne, ne sachant pas de quoi parler.
A la vérité j’aurais bien livré quelques pensées sur ce qui m’intéressait de faire avec elle, mais j’attendais un signe de sa part.
Un signe qui ne venait pas.
Pourtant, en fin de matinée elle débloqua la situation en lançant :
— Et si on allait pique niquer ?
J’approuvai aussitôt, et elle suggéra d’emprunter le sentier qui partait de l’église.
J’approuvai, certes, mais j’aurais quand même préféré un pique nique avec sieste crapuleuse dans le grand lit de ma chambre.
Evelyne confectionna quelques sandwichs en un tour de main, que je plaçai, ainsi que deux bouteilles d’eau, dans mon sac à dos.
Elle disparut un bon quart d’heure dans sa chambre et je reçus un choc libidineux lorsque je la vis reparaitre vêtue d’un mini short blanc et d’un débardeur turquoise.
Elle enfila ses baskets roses.
J’optai quant à moi, pour un short de sport, également blanc, et un t-shirt de même ton.
Le sentier pierreux, fort mal entretenu et de fait peu fréquenté, montait abruptement à l’assaut de la colline et je laissai à dessein, passer Evelyne devant moi.
Son petit cul rebondi me fit bander dès les premiers cent mètres.
Après une demi heure de marche qu’elle mena d’un bon pas, malgré mes jérémiades, elle s’arrêta près d’un genévrier et se retourna pour me demander :
— Le spectacle te plait ?
Je m’apprêtai à répondre qu’on n’était pas encore assez haut pour avoir une vue dégagée sur la mer lorsque, fort heureusement, je saisis l’allusion.
— Beaucoup, répondis-je alors en souriant.
Elle me regarda d’un oeil brillant avant de proposer :
— Je reste devant alors ?
Je ne jugeai pas utile de répondre d’autant qu’elle venait de repartir.
Elle ne me fit pas grâce d’un nouvel arrêt avant le sommet que j’atteignis en soufflant comme un boeuf.
— Tu devrais peut-être penser à faire un peu de sport, me suggéra-t-elle en buvant un longue rasade d’eau.
— Ouais, je crois que t’as raison.
C’est au moment où elle me passait la bouteille que je réalisai, voyant ses seins gigoter, qu’elle n’avait pas de soutien gorge.
Je me triturai les méninges afin de me souvenir si c’était là une habitude ou une tentative de corruption.
Après quelques minutes je fus certain de n’avoir jamais vu ses nichons se trémousser de la sorte.
Donc…
— A quoi penses-tu ? m’interrogea-t-elle.
— A rien
— Vraiment ?
— Vraiment.
— Dommage, conclut-elle en plongeant la main dans le sac.
Je me traitai d’idiot de n’avoir point saisi la perche qu’elle me tendait et je me promis de me rattraper à la première occasion.
Nos sandwichs achevés, elle s’allongea et reposa sa tête sur mes cuisses.
Elle ferma les yeux brièvement puis, brusquement souleva le bas de mon t-shirt pour déposer un baiser sur mon ventre.
— J’aime bien faire ça, expliqua-t-elle.
Je n’eus pas l’audace de lui demander avec qui elle aimait bien faire ça.
Je n’en n’aurais d’ailleurs pas eu l’opportunité car elle poursuivit aussitôt :
— Je ne sais pas si tu as remarqué, mais je n’ai pas mis de soutien gorge.
Nouveau baiser sur mon ventre puis elle ajouta en me regardant avec des yeux fiévreux :
— Et je n’ai pas de culotte non plus.
— Je crois que je m’en doutais, répondis-je bêtement.
Elle reposa la tête sur mes cuisses et lâcha :
— Alors tu attends quoi, le déluge ?
L’invitation ne pouvant être plus explicite, je glissai la main sous son débardeur, à la recherche des jolis obus.
Ils étaient chauds, fermes et fiers.
Lorsque j’en pinçai les tétons, Evelyne poussa un petit cri de plaisir avant de se redresser pour faciliter le retrait de son débardeur.
Ses seins étaient magnifiques. Je n’avait fait, jusque là que les toucher, et leur vue était un vrai ravissement.
— Tu sais, appréciai-je, en les caressant, j’ai rarement vu d’aussi jolis nichons.
— Ils te plaisent alors ?
En guise de réponse, après l’avoir embrassée sur les lèvres, je lançai :
— Enlève ton short, ma puce.
Le qualificatif intime sortit tout seul. Je ne l’avais pas prémédité et il sembla lui plaire.
Elle souleva aussitôt le bassin et fit glisser à grand peine, tant il était moulant, son petit short.
— Tu es belle, m’exclamai-je aussitôt, sans mentir. Puis je laissai courir la main sur sa peau chaude, m’aventurant furtivement entre ses cuisses, ce qui la fit ronronner :
— Oh, oui, oui, m’encouragea-t-elle.
Je souris puis je me penchai pour sucer ses tétons brièvement avant de la faire pivoter.
Je plaçai ses cuisses de part et d’autre de ma tête, puis lui soulevant le bassin en l’agrippant par les fesses je plaquai ma bouche sur sa chatte que je trouvai déjà humide.
Je glissai le bout de la langue dans la fente rose, déclenchant les gémissements d’Evelyne, puis je ne résistai pas longtemps avant d’agacer son clitoris durci par l’excitation.
Je l’embrassai, le léchai, le suçai, et cherchait inlassablement les petits cris de la suppliciée qui ne tarda pas a exploser dans un orgasme bruyant.
Elle récupéra avec une rapidité déconcertante, pirouettant pour échapper à mon emprise, puis, les gestes rendus brusques par une excitation sans doute pas encore rassasiée, elle s’arrangea pour me dévêtir entièrement et se jeta littéralement sur ma bite pour la sucer, frénétiquement, sans fioriture, et ne cessa son « pompage » que lorsque j’eus répandu ma semence sur sa langue.
Elle déglutit et lança en souriant :
— J’en avais trop envie,
Puis quelques minutes plus tard, blottie contre moi, elle précisa :
— J’aime beaucoup sucer, tu sais. Presque autant que faire l’amour.
Une fois j’ai failli jouir en suçant un homme et j’y serai parvenue sans doute s’il ne s’était pas retiré pour décharger.
Je ne fis aucun commentaire et elle poursuivit sans que je puisse discerner la vérité du fantasme :
— Tu sais, après Lucien j’ai eu une brève aventure avec un type marié. Il adorait ça et il m’arrivait de le sucer jusqu’à dix fois par jour, mais…
— Mais ?
— Heu… il avait une toute petite bite. Elle s’interrompit, soupira puis ajouta : avec toi je crois que j’y arriverai.
— A quoi donc ?
— A jouir en te suçant.
Je demeurai perplexe même si j’avais lu dans un magasine très sérieux que certaines femmes avaient tellement érotisé cette caresse qu’elles parvenaient effectivement à jouir en suçant leur partenaire.
Mais Evelyne, quand même !
Toute cette discussion m’avait chauffé le sang et mon gourdin se redressa lentement, d’autant qu’Evelyne ne cessait pas de jouer avec mes boules qu’elle abandonna cependant pour redonner toute la vigueur à mon membre.
Elle me masturba lentement puis ne put s’empêcher de recommencer à me sucer.
Je la laissai faire un moment puis lorsque je sentis la température monter, je me dégageai en disant :
— Non, pas comme ça.
Elle me regarda un peu surprise puis demanda :
— Tu as envie de me sauter ?
Je fis une moue qui ne lui laissa aucun doute quant à ma réponse et elle demanda encore :
— Tu veux me prendre comment ? Tu sais ça fait longtemps que…
Je lui coupai la chique d’un long baiser avant d’annoncer :
— En levrette.
Elle se positionna aussitôt et je la pénétrai sans difficulté, le regard posé au loin sur la mer.
Elle ne mit pas longtemps à jouir mais je m’attendais, vu l’abstinence avouée, à un orgasme plus expressif.
Je laissai glisser mes mains de ses hanches à ses fesses puis je me retirai, pris par l’envie brulante d’y enfoncer ma queue, laquelle, encore lubrifiée, pénétra sans difficulté.
— Oh, c’est bon, murmura aussitôt Evelyne.
Elle n’avait pas manifesté ainsi son contentement lorsque j’avais pris possession de sa chatte.
J’augmentai progressivement la cadence soudain intrigué par la souplesse de son fourreau et je fus bientôt convaincu que la coquine devait se faire visiter l’endroit régulièrement.
Je ne vis pas d’autre explication et me concentrai sur mon plaisir.
— Tu peux aller plus fort si tu veux me suggéra-t-elle après un moment.
Comment ignorer une telle invitation ?
Je me déchainai bientôt au rythme de sa respiration haletante puis je m’éjectai pour jouir sur ses reins en me demandant aussitôt si je ne venais pas de la priver d’un autre orgasme.
Elle me ramena sur terre en lançant :
— Y’a des lingettes dans le sac.
Deux toilettes plus tard, nous nous retrouvâmes allongés côte à côte dans la petite clairière solitaire à contempler, nus, la mer.
Je crois que je partais pour une petite sieste lorsqu’elle lança :
— C’était bon. Je préfère comme ça que dans la chatte.
Je mis quelques secondes à réaliser puis je ne pus m’empêcher de la questionner :
— Tu te fais prendre souvent comme ça ?
— Jamais. Lucien n’aimait pas.
Je retins l’envie de lui livrer le fond de ma pensée car je savais que les filles qui « ne le faisaient jamais » étaient particulièrement étroites et que la pénétration pouvait s’avérer douloureuse.
Ce qui n’était pas le cas d’Evelyne.
Sans doute affichai-je une mine perplexe, car elle cru bon de préciser, sans aucune gène :
— J’aime me mettre des godes dans les fesses.
— Pas dans la chatte ?
— Ça m’arrive aussi mais j’ai moins de sensations.
Comme je ne répondais pas elle ajouta en riant :
— Tu dois me prendre pour une extraterrestre, je jouis en faisant des pipes et je préfère m’enfiler des godes dans le cul plutôt que dans la chatte, comme toutes les filles. Et tout ça, je ne peux pas l’expliquer. C’est comme ça.
Je ne jugeai pas utile d’épiloguer et me contentai de lui prendre la main.
Elle la serra puis lança encore :
— Tu sais j’ai jamais parlé de tout ça avec personne et si ça te gène je m’arrête.
— Ça aurait plutôt tendance à m’exciter, répondis-je.
— Ouais, je vois, fit-elle en posant les yeux sur ma queue. Puis elle explosa de rire en ajoutant : t’es quand même sacrément bien monté.
— Trop, tu crois ?
— Oh non, ça sûrement pas ! cria-t-elle presque en laissant courir sa main sur l’objet.
Je souris, cherchant à la taquiner.
— Tu n’es pas toujours obligée de la toucher, tu sais.
— Tu rigoles j’espère, répondit-elle aussitôt en caressant le gland du bout des doigts. Puis soudain elle me regarda au fond des yeux.
— Tu me trouves salope ?
— Un peu, répondis-je en ajoutant aussitôt : mais ça me plait.
Puis je levai la main vers sa poitrine et la complimentai :
— T’as de sacré beaux seins, tu sais.
— J’aime bien quand tu les touches.
Je ne me privai donc pas de la peloter et téter ses gros mamelons.
— Hum, c’est bon, minauda-t-elle.
Lorsque je cessai mes caresses elle pivota et vint se placer sur moi pour un « 69 » savoureux.
Elle jouit deux fois.
Moi, une seule.
Puis nous nous rallongeâmes.
Elle ne tarda pas à s’endormir… A plat ventre.
Je la regardai un long moment avant de la couvrir de baisers puis je n’y tins plus : je m’allongeai sur elle et cherchai le chemin de sa chatte.
— Non chéri, encule-moi, lança-t-elle alors.
J’accédai volontiers à sa demande et je me glissai entre ses fesses pour une longue sodomie sensuelle.
J’eus le plaisir de l’entendre jouir mais, étrangement, je ne cherchai pas à la rejoindre et me retirai.
Elle se dressa sur les coudes quelques secondes plus tard puis voyant ma queue toujours dressée, elle demanda :
— Tu n’as pas joui ?
Je ne jugeai pas utile de répondre et je plaçai mon bras sous la tête en lançant :
— J’ai envie que tu me branles.
Elle sourit puis avança la main. Elle prit ma queue dans sa paume gauche, puis de l’autre main me pelota les bourses.
C’était bon.
Après un moment, elle murmura :
— Relève les jambes chéri.
J’obéis tout en laissant résonner l’adjectif dans ma tête.
Nous n’étions, certes, pas amoureux mais ces petits qualificatifs que nous distribuions avec parcimonie étaient les bien venus.
Lorsque j’eus replié les jambes, je sentis un doigt pénétrer mon anus et je fermai les yeux.
Evelyne parvint à synchroniser habilement ses mouvements et je voguai rapidement vers le plaisir que j’exprimai dans un rugissement.
— Waou ! fit-elle. Dis-donc, ça avait l’air bon !
— Très, répondis-je sans pouvoir contenir mes tremblements.
— Chut… Calme-toi, murmura-t-elle en laissant ma queue ramollir dans sa main.
Puis elle ne put se retenir de sucer le gland, ce qui me poussa à lui demander :
— Tu as vraiment sucé un type dix fois dans la journée simplement parce que tu en avais envie ?
— Oui, ça t’étonne ?
— Un peu. Et tu aurais envie de me sucer combien de fois entre ici et la maison ? Parce qu’il va falloir quand même rentrer.
— Ça, je ne sais pas. répondit-elle. Tu sais, c’est une pulsion que j’ai du mal à contrôler et qui me vient subitement dès que je vois un homme bander. Alors prends garde à toi si tu bandes tout le long du chemin. Je ne réponds pas de moi.
Je la regardai alors qu’elle se rhabillait puis je l’imitai.
— Mets juste ton t-shirt, chéri. Ça sera plus pratique. Et tu restes à portée de main pour que je puisse contrôler ton état.
Je gardai quand même mon short à la main en cas de rencontre impromptue.
Il n’y en eut pas et Evelyne me suça quatre fois dans la descente.
Alors que nous approchions de l’église, elle tendit une nouvelle fois la main derrière elle.
— C’est pas croyable plus je te suces et plus tu bandes dur.
Elle m’attira vivement dans un fourré et se livra une nouvelle fois à son occupation favorite.
Néanmoins, sa fellation fut plus gourmande, plus inventive, et elle me fit trois gorges profondes avant de me pomper frénétiquement en me malaxant les couilles.
Elle s’interrompit juste quelques secondes pour m’informer :
— Je… je crois que je vais y arriver.
Puis, alors que je déchargeai en trois jets puissants dans sa bouche, je la sentis frémir puis trembler en même temps que ses yeux se révulsaient.
Je compris qu’elle venait de jouir.
Antoine n’était pas encore rentré de sa randonnée et ma soeur, retenue par des obligations professionnelles ne devait arriver que quelques jours plus tard.
Je savais, par quelques indiscrétions de cette dernière que la vie sexuelle d’Evelyne était quasiment inexistante depuis son divorce, trois ans plus tôt.
Etait-ce cela qui me taraudait inconsciemment l’esprit lorsqu’au sortir de la douche elle apparut au salon où je lisais, ceinte d’une grande serviette, pour quérir dans sa valise de quoi se vêtir de propre ?
Je l’observai quelque secondes, les sens en ébullition, puis lorsqu’elle se redressa, je fus mû par une force irrésistible : je m’approchai derrière elle et je l’enlaçai tout en me préparant à recevoir une paire de claques, que j’aurai, à vrai dire, bien mérité.
Au lieu de cela elle bascula la tête sur mon épaule, et je m’enhardis alors à empaumer ses seins, dont je ne pus, hélas, apprécier la douceur à travers l’épaisse serviette.
Terriblement excité et encouragé par sa réaction, je n’ hésitai pas et défis le noeud qui la retenait.
Elle tomba au sol et je découvris enfin le corps d’Evelyne.
Agée de 40 ans, petite, maigrelette, elle n’était pas particulièrement belle mais offrais néanmoins à mes yeux concupiscents, des fesses rebondies sur lesquelles je posai les mains sans tarder.
Je sentis aussitôt son corps frissonner et je remontai le long de ses hanches pour saisir sa poitrine, cette fois nue.
Je ne m’attendais pas à sentir sous la main des globes si fermes qui s’allongeaient en obus. Les tétons en étaient déjà dressés et lorsque je les caressai, Evelyne se mit à ronronner.
Il n’en fallut pas davantage pour m’inciter à descendre sur son ventre et perdre mes doigts dans sa fine toison blonde.
Lorsque je glissai vers sa fente humide elle murmura :
— Non… Non…
Si mollement que je m’autorisai à une inspection plus poussée.
Lorsque mes doigts frôlèrent son clitoris, elle écarta légèrement les jambes et je la masturbai lentement jusqu’à l’orgasme.
Il fut retenu. Silencieux. Mais je sentis son corps en proie à un puissant séisme.
Je m’apprêtais à l’abandonner après un baiser dans le cou lorsqu’elle se retourna subitement pour couvrir ma poitrine nue de baisers.
Elle me suça les tétons avant de s’accroupir pour baisser d’un seul élan mon short et mon slip, libérant ma queue, dressée depuis le début des hostilités.
Elle la prit aussitôt dans la bouche pour m’offrir une fellation généreuse agrémentée d’une introduction d’un doigt dans l’anus, ce qui me sidéra.
Non que cela me déplut. Bien au contraire. Mais je ne la pensais pas capable d’une telle initiative. Du moins lors d’un premier assaut.
Elle ne retira son doigt qu’après avoir avalé ma semence puis sans un mot récupéra sa serviette, ses affaires propres, et disparut.
Je me retrouvai alors comme un c…, la queue à l’air sans avoir pu la remercier.
Autant dire qu’une fois rhabillé et assis sur le canapé, je n’avais plus l’esprit disposé à la lecture.
Je n’avais plus qu’une obsession en tête : la baiser !
Je nous imaginais alors dans les postures les plus acrobatiques que j’aurais sans doute eu du mal à prendre, mais mon esprit était trop bouillonnant pour m’apporter des envies plus conformes à mes possibilités.
Je me plus aussi à penser qu’Evelyne devait avoir un désir pressant de se faire sauter, déduction qui me vint en repensant aux confidences de ma soeur.
l’inconvénient était que je ne disposais que d’assez peu de temps pour tenter quelque chose.
Deux jours en fait, car dès que ma soeur sera là, je devrai renoncer.
De plus, la présence quasi constante d’Antoine m’offrait peu de « fenêtres de tir » si je puis m’exprimer ainsi.
Je devais absolument tenter quelque chose sans trop tarder.
Ainsi, le soir même, j’invitai, un peu lourdement sans doute, son frère à ne pas s’arrêter en si bon chemin dans sa découverte de l’ile, et l’incitai à s’inscrire pour une randonnée sur le G20.
Lorsque, après réflexion il trouva mon idée excellente, et que je peinais à contenir ma joie, ce fut Evelyne qui tempéra mon excitation en fuyant mon regard et en s’écartant dès que je la frôlais, si bien que je ne sus bientôt plus quoi penser.
Puis elle souffla le chaud et le froid lorsqu’elle demanda à brûle pourpoint :
— Cat arrive quand ?
— Jeudi, répondis-je.
— Ah, parfait, conclut-elle avec un sourire que je ne sus interpréter.
Etait-elle soulagée d’apprendre la venue prochaine de ma soeur ou pensait-elle, l’esprit polisson, que ça nous laissait encore du temps pour… ?
Je tentai, bêtement, de la tester quelques heures plus tard lorsque Antoine partit pour s’inscrire à la rando en déclarant ostensiblement que j’allais me doucher et je laissait la porte de la salle de bains entrebâillée.
Il ne se passa rien !
Lorsque, dépité, je rejoignis un peu plus tard Evelyne au salon, elle était plongée dans ses mots croisés.
Je m’assis dans le fauteuil, face à elle et je l’observai ne sachant plus que penser.
Après un quart d’heure peut-être, je frissonnai lorsqu’elle changea de position, car dans son mouvement, qui découvrit brièvement ses cuisses, il me sembla constater l’absence de culotte.
Cependant, je ne m’enflammai pas, persuadé que mon désir trompait ma vue.
Le lendemain Antoine partit de bonne heure pour le G20 et, curieusement, je me trouvai bêtement intimidé en me retrouvant en tête à tête avec Evelyne, ne sachant pas de quoi parler.
A la vérité j’aurais bien livré quelques pensées sur ce qui m’intéressait de faire avec elle, mais j’attendais un signe de sa part.
Un signe qui ne venait pas.
Pourtant, en fin de matinée elle débloqua la situation en lançant :
— Et si on allait pique niquer ?
J’approuvai aussitôt, et elle suggéra d’emprunter le sentier qui partait de l’église.
J’approuvai, certes, mais j’aurais quand même préféré un pique nique avec sieste crapuleuse dans le grand lit de ma chambre.
Evelyne confectionna quelques sandwichs en un tour de main, que je plaçai, ainsi que deux bouteilles d’eau, dans mon sac à dos.
Elle disparut un bon quart d’heure dans sa chambre et je reçus un choc libidineux lorsque je la vis reparaitre vêtue d’un mini short blanc et d’un débardeur turquoise.
Elle enfila ses baskets roses.
J’optai quant à moi, pour un short de sport, également blanc, et un t-shirt de même ton.
Le sentier pierreux, fort mal entretenu et de fait peu fréquenté, montait abruptement à l’assaut de la colline et je laissai à dessein, passer Evelyne devant moi.
Son petit cul rebondi me fit bander dès les premiers cent mètres.
Après une demi heure de marche qu’elle mena d’un bon pas, malgré mes jérémiades, elle s’arrêta près d’un genévrier et se retourna pour me demander :
— Le spectacle te plait ?
Je m’apprêtai à répondre qu’on n’était pas encore assez haut pour avoir une vue dégagée sur la mer lorsque, fort heureusement, je saisis l’allusion.
— Beaucoup, répondis-je alors en souriant.
Elle me regarda d’un oeil brillant avant de proposer :
— Je reste devant alors ?
Je ne jugeai pas utile de répondre d’autant qu’elle venait de repartir.
Elle ne me fit pas grâce d’un nouvel arrêt avant le sommet que j’atteignis en soufflant comme un boeuf.
— Tu devrais peut-être penser à faire un peu de sport, me suggéra-t-elle en buvant un longue rasade d’eau.
— Ouais, je crois que t’as raison.
C’est au moment où elle me passait la bouteille que je réalisai, voyant ses seins gigoter, qu’elle n’avait pas de soutien gorge.
Je me triturai les méninges afin de me souvenir si c’était là une habitude ou une tentative de corruption.
Après quelques minutes je fus certain de n’avoir jamais vu ses nichons se trémousser de la sorte.
Donc…
— A quoi penses-tu ? m’interrogea-t-elle.
— A rien
— Vraiment ?
— Vraiment.
— Dommage, conclut-elle en plongeant la main dans le sac.
Je me traitai d’idiot de n’avoir point saisi la perche qu’elle me tendait et je me promis de me rattraper à la première occasion.
Nos sandwichs achevés, elle s’allongea et reposa sa tête sur mes cuisses.
Elle ferma les yeux brièvement puis, brusquement souleva le bas de mon t-shirt pour déposer un baiser sur mon ventre.
— J’aime bien faire ça, expliqua-t-elle.
Je n’eus pas l’audace de lui demander avec qui elle aimait bien faire ça.
Je n’en n’aurais d’ailleurs pas eu l’opportunité car elle poursuivit aussitôt :
— Je ne sais pas si tu as remarqué, mais je n’ai pas mis de soutien gorge.
Nouveau baiser sur mon ventre puis elle ajouta en me regardant avec des yeux fiévreux :
— Et je n’ai pas de culotte non plus.
— Je crois que je m’en doutais, répondis-je bêtement.
Elle reposa la tête sur mes cuisses et lâcha :
— Alors tu attends quoi, le déluge ?
L’invitation ne pouvant être plus explicite, je glissai la main sous son débardeur, à la recherche des jolis obus.
Ils étaient chauds, fermes et fiers.
Lorsque j’en pinçai les tétons, Evelyne poussa un petit cri de plaisir avant de se redresser pour faciliter le retrait de son débardeur.
Ses seins étaient magnifiques. Je n’avait fait, jusque là que les toucher, et leur vue était un vrai ravissement.
— Tu sais, appréciai-je, en les caressant, j’ai rarement vu d’aussi jolis nichons.
— Ils te plaisent alors ?
En guise de réponse, après l’avoir embrassée sur les lèvres, je lançai :
— Enlève ton short, ma puce.
Le qualificatif intime sortit tout seul. Je ne l’avais pas prémédité et il sembla lui plaire.
Elle souleva aussitôt le bassin et fit glisser à grand peine, tant il était moulant, son petit short.
— Tu es belle, m’exclamai-je aussitôt, sans mentir. Puis je laissai courir la main sur sa peau chaude, m’aventurant furtivement entre ses cuisses, ce qui la fit ronronner :
— Oh, oui, oui, m’encouragea-t-elle.
Je souris puis je me penchai pour sucer ses tétons brièvement avant de la faire pivoter.
Je plaçai ses cuisses de part et d’autre de ma tête, puis lui soulevant le bassin en l’agrippant par les fesses je plaquai ma bouche sur sa chatte que je trouvai déjà humide.
Je glissai le bout de la langue dans la fente rose, déclenchant les gémissements d’Evelyne, puis je ne résistai pas longtemps avant d’agacer son clitoris durci par l’excitation.
Je l’embrassai, le léchai, le suçai, et cherchait inlassablement les petits cris de la suppliciée qui ne tarda pas a exploser dans un orgasme bruyant.
Elle récupéra avec une rapidité déconcertante, pirouettant pour échapper à mon emprise, puis, les gestes rendus brusques par une excitation sans doute pas encore rassasiée, elle s’arrangea pour me dévêtir entièrement et se jeta littéralement sur ma bite pour la sucer, frénétiquement, sans fioriture, et ne cessa son « pompage » que lorsque j’eus répandu ma semence sur sa langue.
Elle déglutit et lança en souriant :
— J’en avais trop envie,
Puis quelques minutes plus tard, blottie contre moi, elle précisa :
— J’aime beaucoup sucer, tu sais. Presque autant que faire l’amour.
Une fois j’ai failli jouir en suçant un homme et j’y serai parvenue sans doute s’il ne s’était pas retiré pour décharger.
Je ne fis aucun commentaire et elle poursuivit sans que je puisse discerner la vérité du fantasme :
— Tu sais, après Lucien j’ai eu une brève aventure avec un type marié. Il adorait ça et il m’arrivait de le sucer jusqu’à dix fois par jour, mais…
— Mais ?
— Heu… il avait une toute petite bite. Elle s’interrompit, soupira puis ajouta : avec toi je crois que j’y arriverai.
— A quoi donc ?
— A jouir en te suçant.
Je demeurai perplexe même si j’avais lu dans un magasine très sérieux que certaines femmes avaient tellement érotisé cette caresse qu’elles parvenaient effectivement à jouir en suçant leur partenaire.
Mais Evelyne, quand même !
Toute cette discussion m’avait chauffé le sang et mon gourdin se redressa lentement, d’autant qu’Evelyne ne cessait pas de jouer avec mes boules qu’elle abandonna cependant pour redonner toute la vigueur à mon membre.
Elle me masturba lentement puis ne put s’empêcher de recommencer à me sucer.
Je la laissai faire un moment puis lorsque je sentis la température monter, je me dégageai en disant :
— Non, pas comme ça.
Elle me regarda un peu surprise puis demanda :
— Tu as envie de me sauter ?
Je fis une moue qui ne lui laissa aucun doute quant à ma réponse et elle demanda encore :
— Tu veux me prendre comment ? Tu sais ça fait longtemps que…
Je lui coupai la chique d’un long baiser avant d’annoncer :
— En levrette.
Elle se positionna aussitôt et je la pénétrai sans difficulté, le regard posé au loin sur la mer.
Elle ne mit pas longtemps à jouir mais je m’attendais, vu l’abstinence avouée, à un orgasme plus expressif.
Je laissai glisser mes mains de ses hanches à ses fesses puis je me retirai, pris par l’envie brulante d’y enfoncer ma queue, laquelle, encore lubrifiée, pénétra sans difficulté.
— Oh, c’est bon, murmura aussitôt Evelyne.
Elle n’avait pas manifesté ainsi son contentement lorsque j’avais pris possession de sa chatte.
J’augmentai progressivement la cadence soudain intrigué par la souplesse de son fourreau et je fus bientôt convaincu que la coquine devait se faire visiter l’endroit régulièrement.
Je ne vis pas d’autre explication et me concentrai sur mon plaisir.
— Tu peux aller plus fort si tu veux me suggéra-t-elle après un moment.
Comment ignorer une telle invitation ?
Je me déchainai bientôt au rythme de sa respiration haletante puis je m’éjectai pour jouir sur ses reins en me demandant aussitôt si je ne venais pas de la priver d’un autre orgasme.
Elle me ramena sur terre en lançant :
— Y’a des lingettes dans le sac.
Deux toilettes plus tard, nous nous retrouvâmes allongés côte à côte dans la petite clairière solitaire à contempler, nus, la mer.
Je crois que je partais pour une petite sieste lorsqu’elle lança :
— C’était bon. Je préfère comme ça que dans la chatte.
Je mis quelques secondes à réaliser puis je ne pus m’empêcher de la questionner :
— Tu te fais prendre souvent comme ça ?
— Jamais. Lucien n’aimait pas.
Je retins l’envie de lui livrer le fond de ma pensée car je savais que les filles qui « ne le faisaient jamais » étaient particulièrement étroites et que la pénétration pouvait s’avérer douloureuse.
Ce qui n’était pas le cas d’Evelyne.
Sans doute affichai-je une mine perplexe, car elle cru bon de préciser, sans aucune gène :
— J’aime me mettre des godes dans les fesses.
— Pas dans la chatte ?
— Ça m’arrive aussi mais j’ai moins de sensations.
Comme je ne répondais pas elle ajouta en riant :
— Tu dois me prendre pour une extraterrestre, je jouis en faisant des pipes et je préfère m’enfiler des godes dans le cul plutôt que dans la chatte, comme toutes les filles. Et tout ça, je ne peux pas l’expliquer. C’est comme ça.
Je ne jugeai pas utile d’épiloguer et me contentai de lui prendre la main.
Elle la serra puis lança encore :
— Tu sais j’ai jamais parlé de tout ça avec personne et si ça te gène je m’arrête.
— Ça aurait plutôt tendance à m’exciter, répondis-je.
— Ouais, je vois, fit-elle en posant les yeux sur ma queue. Puis elle explosa de rire en ajoutant : t’es quand même sacrément bien monté.
— Trop, tu crois ?
— Oh non, ça sûrement pas ! cria-t-elle presque en laissant courir sa main sur l’objet.
Je souris, cherchant à la taquiner.
— Tu n’es pas toujours obligée de la toucher, tu sais.
— Tu rigoles j’espère, répondit-elle aussitôt en caressant le gland du bout des doigts. Puis soudain elle me regarda au fond des yeux.
— Tu me trouves salope ?
— Un peu, répondis-je en ajoutant aussitôt : mais ça me plait.
Puis je levai la main vers sa poitrine et la complimentai :
— T’as de sacré beaux seins, tu sais.
— J’aime bien quand tu les touches.
Je ne me privai donc pas de la peloter et téter ses gros mamelons.
— Hum, c’est bon, minauda-t-elle.
Lorsque je cessai mes caresses elle pivota et vint se placer sur moi pour un « 69 » savoureux.
Elle jouit deux fois.
Moi, une seule.
Puis nous nous rallongeâmes.
Elle ne tarda pas à s’endormir… A plat ventre.
Je la regardai un long moment avant de la couvrir de baisers puis je n’y tins plus : je m’allongeai sur elle et cherchai le chemin de sa chatte.
— Non chéri, encule-moi, lança-t-elle alors.
J’accédai volontiers à sa demande et je me glissai entre ses fesses pour une longue sodomie sensuelle.
J’eus le plaisir de l’entendre jouir mais, étrangement, je ne cherchai pas à la rejoindre et me retirai.
Elle se dressa sur les coudes quelques secondes plus tard puis voyant ma queue toujours dressée, elle demanda :
— Tu n’as pas joui ?
Je ne jugeai pas utile de répondre et je plaçai mon bras sous la tête en lançant :
— J’ai envie que tu me branles.
Elle sourit puis avança la main. Elle prit ma queue dans sa paume gauche, puis de l’autre main me pelota les bourses.
C’était bon.
Après un moment, elle murmura :
— Relève les jambes chéri.
J’obéis tout en laissant résonner l’adjectif dans ma tête.
Nous n’étions, certes, pas amoureux mais ces petits qualificatifs que nous distribuions avec parcimonie étaient les bien venus.
Lorsque j’eus replié les jambes, je sentis un doigt pénétrer mon anus et je fermai les yeux.
Evelyne parvint à synchroniser habilement ses mouvements et je voguai rapidement vers le plaisir que j’exprimai dans un rugissement.
— Waou ! fit-elle. Dis-donc, ça avait l’air bon !
— Très, répondis-je sans pouvoir contenir mes tremblements.
— Chut… Calme-toi, murmura-t-elle en laissant ma queue ramollir dans sa main.
Puis elle ne put se retenir de sucer le gland, ce qui me poussa à lui demander :
— Tu as vraiment sucé un type dix fois dans la journée simplement parce que tu en avais envie ?
— Oui, ça t’étonne ?
— Un peu. Et tu aurais envie de me sucer combien de fois entre ici et la maison ? Parce qu’il va falloir quand même rentrer.
— Ça, je ne sais pas. répondit-elle. Tu sais, c’est une pulsion que j’ai du mal à contrôler et qui me vient subitement dès que je vois un homme bander. Alors prends garde à toi si tu bandes tout le long du chemin. Je ne réponds pas de moi.
Je la regardai alors qu’elle se rhabillait puis je l’imitai.
— Mets juste ton t-shirt, chéri. Ça sera plus pratique. Et tu restes à portée de main pour que je puisse contrôler ton état.
Je gardai quand même mon short à la main en cas de rencontre impromptue.
Il n’y en eut pas et Evelyne me suça quatre fois dans la descente.
Alors que nous approchions de l’église, elle tendit une nouvelle fois la main derrière elle.
— C’est pas croyable plus je te suces et plus tu bandes dur.
Elle m’attira vivement dans un fourré et se livra une nouvelle fois à son occupation favorite.
Néanmoins, sa fellation fut plus gourmande, plus inventive, et elle me fit trois gorges profondes avant de me pomper frénétiquement en me malaxant les couilles.
Elle s’interrompit juste quelques secondes pour m’informer :
— Je… je crois que je vais y arriver.
Puis, alors que je déchargeai en trois jets puissants dans sa bouche, je la sentis frémir puis trembler en même temps que ses yeux se révulsaient.
Je compris qu’elle venait de jouir.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Le licencieux
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...