Surcharge de Travail ( Rachel )
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Récit érotique écrit par Prospero [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Surcharge de Travail ( Rachel )
Les jobs même très techniques accueillent depuis pas mal d’années de plus en plus de femmes. Ce qui n’est pas un mal. Si je suis plus réticent dans le cas de métiers comme la sécurité ou l’armée. Rien de dérangeant à ce qu’un mignonne petite blonde fasse ma vidange (je parle d’automobile là bandes d’obsédés)
J’ai passé ma vie dans les techniques de transmission et de téléinformatique. Pour finir ingénieur responsable de la région Grand Est pour une grande administration. Oui 45 années de fonction publique d’état. Un fainéant quoi. Comme le disent ceux qui font des barbecue le dimanche auxquels je ne pouvais participer étant de service, fériés, nuits, journées. Oh je ne me plains pas, mais j’aime chasser les idées reçues et leur faire la peau. Fermons là parenthèse.
J’avais donc de charmantes techniciennes dans certains secteurs et locaux. Aussi compétentes que les techniciens, bien plus agréables à regarder. Parfois peu farouches et çà c’était le pied.
Marie-Josée, enfin Rachel car la belle avait changé son prénom après une visite chez une voyante qui lui avait prédit des tas de choses. Mais qu’elle devait changer de prénom. Notre Rachel nous avait bien fait rire en nous racontant çà. On peut être technique mais pour autant garder un fond irrationnel et superstitieux.
Rachel attirait l’œil et c’était savamment calculé. Blonde platine, petit visage ovale et menton un peu pointu. De grand yeux lumineux, d’un bleu vert magnifique. Une petite nana longiligne avec des petits seins bien marqués coniques et pointus, la taille de guêpe, hanches pleines et longue jambes parfaitement galbées et des talons qui la signalait en approche. Quand elle était arrivée, c’était avec un compagnon qui disparut rapidement de la circulation. Mais pas de son poste car également technicien. Beau mec, mais à part ça ?
Rachel était jeune 22 / 23 ans moi je venais de dépasser la trentaine et faisait office de responsable sur ce lieu de travail. Mais pas responsable de la jolie pouliche qui œuvrait dans une autre division. Mais nous étions chacun a un bout de la chaine et devions donc collaborer. Rachel avait vite compris que pour ne pas trop se perdre dans les méandres techniques, il était intéressant de venir me solliciter. Enjôleuse au possible elle usait de son charme pour avoir de l’aide. On devenait rapidement amis. Travailler avec elle était agréable et facile, sa présence était un atout qui faisait passer le temps plus vite. Rachel était une frôleuse c’était innée chez elle. Toutes les fois qu’elle venait chercher une information elle se collait presque à moi. Ce n’était pas vraiment volontaire mais l’espace vital pour elle çà n’existait pas. Très tactile, elle posait facilement sa main sur la mienne, se collait contre mon dos quand je lui montrais des choses au point que sa bouche frôlait mon oreille, parfois quand elle était légèrement habillée, je sentais la pointe de ses seins au travers des tissus. Et son parfum assez fort restait sur les fringues.
Un jour penchés sur un schéma que je lui expliquais elle était contre moi, son menton appuyé sur mon épaule et sa main gauche posée sur mon épaule gauche. Une position disons normale, pour des amoureux mais plus étrange pour des collègues.
- Rachel, ma belle tu sais que tu es collée contre moi, provocateur je lui dis tu es tellement prés que je sens tes tétons dans mon dos et ta joue caresse mon oreille. Tu es certaine que ce sont les infos qui t’intéressent ?
- Oh ! Pardon Gilles je ne me rendais pas compte. Cela te dérange ?
- Non, pas vraiment, mais je ne voudrais pas que cela te dérange toi. Je ne voudrais pas que certains puissent te faire des remarques.
Son visage exprimait toute l’ingénuité dans laquelle elle se trouvait. Elle ne voyait pas ce qu’il pouvait y avoir de bizarre a son comportement.
- Et puis avec toi, on se connait depuis longtemps tu m’as vu arriver ici. Et tu m’as toujours aidée, et tu es gentil.
Je la sentais troublée, comme si je la rejetais et lui faisait des reproches.
- Hé fais pas la moue comme çà je ne suis pas en train de te dire que ça me dérange que tu sois collée à moi, c’est vis à vis de ce que peuvent penser les autres.
- Oh je m’en fous dit Rachel ils peuvent penser ce qu’ils veulent.
- Moi aussi tu le sais bien, personne ne va me dire ici ce que je dois faire.
- C’est sur Gilles ils ont peur de toi et sur toute la technique tu es de référent. C’est toujours toi qui règles les trucs compliqués, et puis tu es chef de service en plus.
- Ouais mais être chef ne m’autorise pas à accaparer les jolies filles de la boîte dis je
- C’est moi “la jolie fille” ? Fit Rachel en minaudant par jeu.
- Tu en vois une autre dans le secteur.
- Tu es trop chou Gilou fit elle les yeux pétillants. Et d’un geste vif elle me fait un bisou sur les lèvres
Je ne relève pas le Gilou, j’ai pourtant horreur qu’on utilise se diminutif. Je gambergeais à toute vitesse. Il était certain que cette situation allait arriver avec Rachel. On avait tous les deux mis sous le boisseau les émotions qui naissaient quand on était proches.
Je devais admettre que depuis le début, elle me faisait de l’effet. Il devenait clair que c’était réciproque. Cela expliquait, que Rachel changeait ses services pour être là quand j’y étais, pourquoi elle m’apportait toujours le café le matin pour parler avec moi. Je me disais que j’avais été aveugle ou naïf. Je ne pouvais pas ignorer ce qui venait d’arriver.
On était face à face dans cette travée de matériels. On ne nous voyait pas.
Je posais mes doigts sous son menton, je tirais vers moi, lentement elle se laissait guider, j’approchais ses lèvres des miennes, elle posa ses mains à plat sur ma poitrine un instant j’ai cru qu’elle allait me repousser. Mais rien ne vint. Je remarquais qu’elle tremblait un peu et que ses lèvres s’entrouvraient. Elle fit un petit pas en avant, se collant contre moi, alors que nous bouches se mêlaient, ma main droite était passée de son menton au creux de ses reins, tandis que la gauche caressait ses cheveux soyeux.
Le baiser était fougueux, malgré ses yeux mi-clos je voyais l’intensité de son regard. Elle se pressait contre moi comme si elle voulait se fondre en moi. Elle avait enroulé ses bras autour de ma taille. Et je sentais sa cuisse passer entre mes jambes. Comme elle était placée elle devait bien sentir ma queue gonflée dans mon pantalon. Il était impossible de rester de marbre avec elle dans mes bras. Et je me rendais compte que je n’avais aucune intention de rester de marbre. J’avais juste envie de la jolie Rachel et il me semblait que c’était parfaitement réciproque.
Notre baiser dura longtemps, nous ne l’avons brisé qu’à bout de souffle. Rachel posa sa joue droite contre mon cœur. Elle était toujours tremblante. L’instant était vraiment spécial.
- Eh bien, ma jolie, nos relations viennent de changer, d’évoluer. Non ?
- Oui mais tu as une copine en ce moment je crois dit Rachel
Elle me regardait avec des yeux tristes, je compris qu’elle était au bord des larmes
- Oui et alors, ça change quoi ? Dis-je
- Je ne veux pas foutre le bordel pour toi. Mais j’avais trop envie depuis longtemps. T’est trop gentil avec moi. J’ai craqué.
- Et j’en suis flatté, tu ne m’as jamais laissé indifférent non plus, je sais qu’il y avait des soucis avec ton ex. Je ne voulais pas ajouter de la confusion. Pour toi.
- Viens avec moi on va aller dans un endroit plus tranquille, moins exposé quand même. J'ai toujours mon bureau au premier, va m’y attendre il est ouvert. Ne nous faisons pas trop remarquer ensemble.
Je regarde Rachel s’éloigner, quel déhanché et le tic-tac des talons sur le sol est envoutant. Je suis vraiment satisfait, surpris aussi, je n’avais jamais eu l’impression de vraiment intéresser la belle. Je n’avais rien fait pour et dans mes règles, les affaires de sexe au travail j’essaie d’éviter. Mais j’avoue que j’avais toujours convoité une relation plus intime avec elle. J’étais plus âgé, hiérarchiquement son supérieur même si nous n’étions pas exactement du même service. J’allais devoir clarifier les choses avec elle. Une relation sexuelle, amicale c’était possible. Mais je ne voulais pas m’engager, je n’avais pas vraiment de sentiments pour elle, attirance et amitié aucun soucis mais pas plus. En espérant que ce soit réciproque. C’était surtout pour cela que je lui avais demandé de monter dans mon bureau. En cas de réaction excessive on serait à l’abri des regards et oreilles indiscrets. Cela me laissait quelques minutes pour réfléchir également. Cela peut paraitre retors mais suivre ses pulsions peut mener à des situations catastrophiques. Soyons honnêtes, mon érection était là pour me signaler qu’animalement je la désirais, j’espérais qu’elle n’avait pas de désir autre que physique à mon encontre sinon la situation allait devenir compliquée.
J’entrais dans le bureau, Rachel m’accueillait avec un sourire éloquent. Je fermais la porte et un tour de clef pour éviter les visites inopportunes.
- Je ferme on sera tranquille, tu n’es pas séquestrée ma jolie.
- Je suis contente tu sais, je n’osais pas trop faire ce que j’ai fait mais j’ai eu raison.
- Il faut en parler justement avant d’aller plus loin. Dis-je
Rachel fit une moue éloquente, baissant la tête
- J’ai fait une connerie alors ? Dit-elle tout bas.
Je m’approchais, mais restait à distance malgré mon envie de la prendre dans mes bras.
- Non Rachel, mais je veux que tout soit clair, ce sera peut-être un peu brutal. Je ne vais pas nier que tu me plais, que j’ai très envie de toi. Mais je ne veux pas que tu t’imagines une relation autre que le sexe entre nous.
- Ah non, non, je ne pensais pas à ça, je sais que tu as quelqu’un je ne cherche pas un nouveau mec, je ne suis pas amoureuse rassure toi. Je t’aime bien, j’ai vraiment envie de toi, je connais ta réputation c’est ça qui m’attire. Tu sais je suis copine avec Evelyne, elle m’a parlé de toi déjà.
- Ah d’accord, Evelyne me fait de la pub, ce n’est pas bien çà on avait dit discret. En plus je connais son mari. Désolé mais je voulais qu’on soit clairs l’un pour l’autre.
Rachel, me fit un grand sourire et d’approcha de moi, exagérant son déhanchement. C’est une fille qui aime s’amuser et qui n’hésite jamais à faire des pitreries, voir des grimaces de gosse mal élevée. Elle m’attrape par le cou
- On en était où, je ne me souviens plus dit-elle en posant sa bouche sur la mienne.
Ma bouche occupée, je réponds avec mes mains. J’ouvre les 2 boutons du bas de son chemisier, et glisse mes mains autour de sa taille, pour l’enlacer. Sa peau est douce et chaude, elle sent bon, don parfum certes, mais aussi son odeur naturelle me plait énormément. Je suis très sensible aux odeurs. Mes mains remontent le long de ses flancs. Rachel est menue, fine, presque maigre. Je sens ses côtes, sa respiration est accélérée durant ce baiser qui dure. Sous mes doigts, je sens la naissance de ses seins, je glisse sur les deuc petits coquins, car ils sont petits, mais d’une fermeté incroyable, elle n’a pas de soutien-gorge on ne l’imaginerait pas en la voyant. J'enserre les deux petits seins et mes doigts remontent vers ses pointes, a peine ai-je heurter les aréoles, que je sens son frémissement. Et je capture son petit cri de plaisir dans ma bouche. Notre baiser cesse.
- Oh tu a les mains douces Gilles. J’ai les tétons très sensibles, tes pouces là ils me rendent dingue déjà.
- Laisse toi faire, ouvre ton jean, enlève le. J’ai envie de te voir nue. Je voudrais te donner le maximum de plaisir.
- Oh oui c’est déjà prometteur, tu bandes je sens la bosse contre ma cuisse.
- Comment ne pas bander devant une si jolie poupée. Une vraie petite Barbie en chair et en os.
Je fais tomber son chemisier, et enfin je vois ses deux petits seins, petits certes, mais dressés et durs, deux petits cônes pointus orné de tétons rose tendre, un peu grenus, et longs. Je pose ma bouche sur le droit, le lécher, le suce, l’aspire. Rachel Rejette la tête en arrière, en gémissant. Mon pouce continue à cajoler le gauche, je sens les petits bouts de chair durcir et se tendre sous mes caresses. Rachel s’active à enlever sa ceinture et a s’extraire de son jean qui la moule. Surprise pas de culotte.
- Oh mais tu es une sans culotte ma chérie
- J’aime être libre, j’en porte rarement c’est moche quand je porte des choses moulantes.
- Une petite chatte toute nue ?
-Non pas vraiment mais pas beaucoup de poils
- On le voit à peine, petite coquine.
- Je te plais alors ? Demande Rachel
- Non pas du tout, c’est pour ça que je suis en train de te déshabiller dans un bureau fermé. Tu es une friandise à croquer.
- Je te trouve trop habillé toi. Et elle commence a déboutonner ma chemise. D'une main fébrile.
- Impatiente ?
- Oh oui Gilles aide moi fait elle en posant un bisou sur mes lèvres.
Comment refuser, je déboucle mon ceinturon. Laisse tomber mon pantalon a mes pieds. Comme toujours il tombe facilement vue ce que j’ai dans mes poches et mon couteau dans son étui de ceinture. De nos jours je serais mal vu, mais toute ma vie j’ai toujours porté un couteau de poche, non juste une lame, pas de tire-bouchon.
“O Tempora O Mores”. Je me débarrasse de mon caleçon où j’étais à l'étroit. Je bande toujours, ma queue contre mon ventre est prête à toutes les folies. Depuis tout jeune, j’ai toujours eu des érections puissantes et durables. Par jeu j’ai testé certains produits, un vrai calvaire. Rester plus que dur toute la journée et plus malgré un grand nombre d’éjaculations c’est une torture.
- Humm tu me plais encore plus quand tu es nu. Evelyne a raison, je comprends qu’elle ait craqué pour toi. Et je suis heureuse d’avoir à mon tour craqué.
- Tu vas lui raconter ? Nous deux.
- Oui surement, elle m’a tout dis de vous deux, je sais qu’il faut que je goutte à ta langue. Mais avant je veux te faire goutter la mienne.
Elle me couvre de petits bisous depuis la bouche, le cou, ma poitrine, un petit coup de langue sur mes tétons qui durcissent instantanément Elle laisse une longue trace humide sur ma peau. Les poils ne semble pas la gêner. Elle titille mon nombril, enfonce sa langue dans la cavité. La descente arrive a son terme, agenouillée, elle pose ses mains sur ma virilité tendue. Le contact avec ses doigts me fait instantanément bander plus fort. Sa main gauche malaxe mes couilles. Ses yeux clairs me scrutent, elle guette mes réactions. A chaque pointe d’excitation en plus j’ai eu un petit gémissement. De sens doigts elle tie sur la peau de mon sexe, lentement elle décalotte mon gland déjà bien rouge
- Ohhhhh j’aime dis-je en un souffle
- Humm je vois çà mon chéri, ta queue vibre presque. J’adore tu réagis j’aime bien savoir si je fais bien.
- Continue comme çà petite coquine.
- Si tu veux tu peux être plus vulgaire, j’aime bien çà.
- Ah oui ? Tu aimes les mots crus, petite salope çà irai.
- Ouiii j’adooore.
- Arghhhhh suis-je forcé de crier. Rachel vient d’avaler la moitié de ma queue, sa bouche est brulante et soyeuse.
Mes mains s’enfouissent dans ses cheveux, son regard est rieur, elle aime ma réaction. Elle me suce en regardant mon visage, agenouillée comme une soumise. C’est parfaitement ce que j’adore.
Rachel est vraiment douée, elle prend ma queue en totalité dans sa bouche elle finit le nez dans les poils de mon pubis. Elle me lèche comme un esquimau, insistant sous le gland.
- Tu aimes ?
- Ohhh ouiii attends je vais m’allonger, viens sur moi en 69 je vais te lécher.
- Hmmmm oh oui dit elle
Je me mets sur le sol du bureau, par chance le mien a encore de la moquette c’est moins froid. Rachel met son fessier au-dessus de mon visage, se penche en avant, reprend ma queue dans sa bouche. La petite coquine, suce avec entrain, savoir-faire je ne dirais pas comme une pro, c’est une fille libérée, sensuelle mais ce n’est pas une pute. Oh non. J’ai vu un collègue prendre une baffe pour une plaisanterie obscène par ce petit bout de femme. Je sais que j’avais mis au point les limites de notre relation. Mais je ne me referais pas, il y a toujours en moi une sorte de réflexe sentimental. J’ai toujours du me surveiller pour ne pas dire “je t’aime.” mais pour toute celles avec qui j’ai eu des aventures, sauf les femmes croisées dans des partouzes vues une fois ou deux. Il y a toujours un petit fond sentimental. Quand je pense à Rachel, il y a une grande nostalgie.
Sur mon nez presque, ce petit cul bien rond, ferme, de petites fesses a la peau blanche, un joli sillon dans lequel se cache la petite pastille plissée et une jolie blessure rose, aux lèvres crénelées. La fente est humide et luisante, au bas le petit bouton planqué dans son capuchon fort proéminent. Son petit anus m’attire, j’aime lécher cette zone si sensible et innervée. Ma langue fait le tour, une fois humecté de salive, ce pousse légèrement de la pointe de la langue. L’anneau semble céder doucement. Je suis surpris par sa souplesse. Je force un peu plus, ma langue entre un petit peu en elle. Voilà une bonne nouvelle.
Je descends le long de sa vulve, elle est bouillante et commence a ruisseler. Mon dieu qu’elle sent bon, quel gout. Chaque femme a son odeur et son gout, certaines sont acidulées et sont des friandises Rachel est de celles –ci. Mes pouces écartent les petites lèvres, le rose vernis de cyprine brille sous la lumière que c’est beau. Je ressent cela avec toutes les femmes que j’ai eu. Je n’ai jamais trouvé deux sexes qui se ressemblaient. C’est toujours unique. Je fouille la grotte humide de ma langue, je la pénètre loin, mon nez est mouillé. Ma salive coule sur mon menton et je sais que j’aurais l’odeur de cette magnifique minette sur ma barbe pendant un moment. Je sens que Rachel adore ce que je fais, elle se cambre roule des hanches ses mains étreignent plus fort ma queue et elle me suce avec encore plus de fougue.
J’aspire le capuchon et le clito entre mes lèvres. Elle semble recevoir une décharge électrique, laisse mon gland sortir de sa bouche pour gémir.
- Ohhhhh oui oui comme çà c’est bon Gilles encore encore mange moi.
Elle s’est un peu relevée, je sens les pointes dures de ses seins danser sur la peau de mon ventre. J’ai le visage coincé sous ses fesses, ma bouche soudée a sa chatte de plus en plus mouillée.
- Oh Gilles chéri je vais te faire l’amour. Dit-elle
Elle prend la direction des opérations, j’adore son attitude. Rachel se retourne, elle est belle ses yeux d’azur sont éblouissants, ses cheveux cascadent sur ses petits seins et les caressent sans doute. D’une main elle guide mon sexe entre les lèvres de son sexe. Elle se laisse descendre sur ma queue. Sa chatte est une fournaise et aussi douce que la soie. Elle est agitée de petits soubresauts.
- Ohhh chéri c’est bon je te sens fort.
Je me cambre, allant un peu plus loin en elle. Rachel vient prendre ma bouche, mes mains se posent sur sa taille et j’accompagne et régule la cadence de ses coups de reins. Les yeux dans les yeux on se laisse aller on aime le corps de l’autre, à cet instant on peut dire que j’aime Rachel on est soudés, on fusionne, les vagues de plaisir déferlent sur nous deux. Je prends ses mains les pose sur ma poitrine, lui faisant comprendre que j’aime les caresses sur les tétons. Elle a un petit sourire éloquent. Elle attrape les petits bouts, les tortille, les serre les étire. Elle se penche, les lèche, les aspire. Elle doit sentir les réactions de mon pénis à ces caresses. Cela me fait énormément d’effet. Certaines ont réussi a me faire jouir uniquement pas cette caresse. Et c’est vraiment fort.
- Ouhh Gilles tu aimes çà , je te sens vibrer en moi.
- Continue petite salope, tu est trop belle
Elle est vraiment magnifique, elle se donne totalement, elle n’a qu’un but, le plaisir. Et elle veut me donner du plaisir. Je glisse ma main entre nos deux corps, elle s’est un peu rejetée en arrière, je peux atteindre son clito. Quand mon pousse le frôle.
- Ohhhh Ouiiiii c’est bon continues encore dit Rachel la voix rauque.
Chaque passage de mon doigt lui tire un cri, elle donne un coup de rein et m’enfonce plus en elle, alors que je sens ses muscles enserrer ma queue. La petite est vraiment musclée, elle m’aurait serré le sexe a deux mains que l’effet n’aurait pas été différent.
Nous étions tous les deux presque au sommet de notre plaisir. Ce qui me fit jouir c’est un geste anodin ou presque mais c’était tellement sensuel que j’ai atteint l'orgasme presque instantanément. Le buste rejeté en arrière, Rachel criait alors que je taquinais son clito. Elle pris ses seins dans ses mains et attrapant ses tétons elle se mit a les tordre. Visions très classique et convenue, mais là c’était fait avec un tel naturel et dans le feu de l’action. Que je crachais mon sperme dans son sexe palpitant, agité de convulsions.
Nous avons crié en même temps, avant qu’elle ne revienne se pelotonner contre moi. Nous aurions bien continué des heures, mais il ne faut pas oublier on était au travail, notre absence trop longue aurait été remarquée. C’était la première fois avec ma belle Rachel que plus tard j’ai entrainé dans des soirées très chaudes.
J’ai passé ma vie dans les techniques de transmission et de téléinformatique. Pour finir ingénieur responsable de la région Grand Est pour une grande administration. Oui 45 années de fonction publique d’état. Un fainéant quoi. Comme le disent ceux qui font des barbecue le dimanche auxquels je ne pouvais participer étant de service, fériés, nuits, journées. Oh je ne me plains pas, mais j’aime chasser les idées reçues et leur faire la peau. Fermons là parenthèse.
J’avais donc de charmantes techniciennes dans certains secteurs et locaux. Aussi compétentes que les techniciens, bien plus agréables à regarder. Parfois peu farouches et çà c’était le pied.
Marie-Josée, enfin Rachel car la belle avait changé son prénom après une visite chez une voyante qui lui avait prédit des tas de choses. Mais qu’elle devait changer de prénom. Notre Rachel nous avait bien fait rire en nous racontant çà. On peut être technique mais pour autant garder un fond irrationnel et superstitieux.
Rachel attirait l’œil et c’était savamment calculé. Blonde platine, petit visage ovale et menton un peu pointu. De grand yeux lumineux, d’un bleu vert magnifique. Une petite nana longiligne avec des petits seins bien marqués coniques et pointus, la taille de guêpe, hanches pleines et longue jambes parfaitement galbées et des talons qui la signalait en approche. Quand elle était arrivée, c’était avec un compagnon qui disparut rapidement de la circulation. Mais pas de son poste car également technicien. Beau mec, mais à part ça ?
Rachel était jeune 22 / 23 ans moi je venais de dépasser la trentaine et faisait office de responsable sur ce lieu de travail. Mais pas responsable de la jolie pouliche qui œuvrait dans une autre division. Mais nous étions chacun a un bout de la chaine et devions donc collaborer. Rachel avait vite compris que pour ne pas trop se perdre dans les méandres techniques, il était intéressant de venir me solliciter. Enjôleuse au possible elle usait de son charme pour avoir de l’aide. On devenait rapidement amis. Travailler avec elle était agréable et facile, sa présence était un atout qui faisait passer le temps plus vite. Rachel était une frôleuse c’était innée chez elle. Toutes les fois qu’elle venait chercher une information elle se collait presque à moi. Ce n’était pas vraiment volontaire mais l’espace vital pour elle çà n’existait pas. Très tactile, elle posait facilement sa main sur la mienne, se collait contre mon dos quand je lui montrais des choses au point que sa bouche frôlait mon oreille, parfois quand elle était légèrement habillée, je sentais la pointe de ses seins au travers des tissus. Et son parfum assez fort restait sur les fringues.
Un jour penchés sur un schéma que je lui expliquais elle était contre moi, son menton appuyé sur mon épaule et sa main gauche posée sur mon épaule gauche. Une position disons normale, pour des amoureux mais plus étrange pour des collègues.
- Rachel, ma belle tu sais que tu es collée contre moi, provocateur je lui dis tu es tellement prés que je sens tes tétons dans mon dos et ta joue caresse mon oreille. Tu es certaine que ce sont les infos qui t’intéressent ?
- Oh ! Pardon Gilles je ne me rendais pas compte. Cela te dérange ?
- Non, pas vraiment, mais je ne voudrais pas que cela te dérange toi. Je ne voudrais pas que certains puissent te faire des remarques.
Son visage exprimait toute l’ingénuité dans laquelle elle se trouvait. Elle ne voyait pas ce qu’il pouvait y avoir de bizarre a son comportement.
- Et puis avec toi, on se connait depuis longtemps tu m’as vu arriver ici. Et tu m’as toujours aidée, et tu es gentil.
Je la sentais troublée, comme si je la rejetais et lui faisait des reproches.
- Hé fais pas la moue comme çà je ne suis pas en train de te dire que ça me dérange que tu sois collée à moi, c’est vis à vis de ce que peuvent penser les autres.
- Oh je m’en fous dit Rachel ils peuvent penser ce qu’ils veulent.
- Moi aussi tu le sais bien, personne ne va me dire ici ce que je dois faire.
- C’est sur Gilles ils ont peur de toi et sur toute la technique tu es de référent. C’est toujours toi qui règles les trucs compliqués, et puis tu es chef de service en plus.
- Ouais mais être chef ne m’autorise pas à accaparer les jolies filles de la boîte dis je
- C’est moi “la jolie fille” ? Fit Rachel en minaudant par jeu.
- Tu en vois une autre dans le secteur.
- Tu es trop chou Gilou fit elle les yeux pétillants. Et d’un geste vif elle me fait un bisou sur les lèvres
Je ne relève pas le Gilou, j’ai pourtant horreur qu’on utilise se diminutif. Je gambergeais à toute vitesse. Il était certain que cette situation allait arriver avec Rachel. On avait tous les deux mis sous le boisseau les émotions qui naissaient quand on était proches.
Je devais admettre que depuis le début, elle me faisait de l’effet. Il devenait clair que c’était réciproque. Cela expliquait, que Rachel changeait ses services pour être là quand j’y étais, pourquoi elle m’apportait toujours le café le matin pour parler avec moi. Je me disais que j’avais été aveugle ou naïf. Je ne pouvais pas ignorer ce qui venait d’arriver.
On était face à face dans cette travée de matériels. On ne nous voyait pas.
Je posais mes doigts sous son menton, je tirais vers moi, lentement elle se laissait guider, j’approchais ses lèvres des miennes, elle posa ses mains à plat sur ma poitrine un instant j’ai cru qu’elle allait me repousser. Mais rien ne vint. Je remarquais qu’elle tremblait un peu et que ses lèvres s’entrouvraient. Elle fit un petit pas en avant, se collant contre moi, alors que nous bouches se mêlaient, ma main droite était passée de son menton au creux de ses reins, tandis que la gauche caressait ses cheveux soyeux.
Le baiser était fougueux, malgré ses yeux mi-clos je voyais l’intensité de son regard. Elle se pressait contre moi comme si elle voulait se fondre en moi. Elle avait enroulé ses bras autour de ma taille. Et je sentais sa cuisse passer entre mes jambes. Comme elle était placée elle devait bien sentir ma queue gonflée dans mon pantalon. Il était impossible de rester de marbre avec elle dans mes bras. Et je me rendais compte que je n’avais aucune intention de rester de marbre. J’avais juste envie de la jolie Rachel et il me semblait que c’était parfaitement réciproque.
Notre baiser dura longtemps, nous ne l’avons brisé qu’à bout de souffle. Rachel posa sa joue droite contre mon cœur. Elle était toujours tremblante. L’instant était vraiment spécial.
- Eh bien, ma jolie, nos relations viennent de changer, d’évoluer. Non ?
- Oui mais tu as une copine en ce moment je crois dit Rachel
Elle me regardait avec des yeux tristes, je compris qu’elle était au bord des larmes
- Oui et alors, ça change quoi ? Dis-je
- Je ne veux pas foutre le bordel pour toi. Mais j’avais trop envie depuis longtemps. T’est trop gentil avec moi. J’ai craqué.
- Et j’en suis flatté, tu ne m’as jamais laissé indifférent non plus, je sais qu’il y avait des soucis avec ton ex. Je ne voulais pas ajouter de la confusion. Pour toi.
- Viens avec moi on va aller dans un endroit plus tranquille, moins exposé quand même. J'ai toujours mon bureau au premier, va m’y attendre il est ouvert. Ne nous faisons pas trop remarquer ensemble.
Je regarde Rachel s’éloigner, quel déhanché et le tic-tac des talons sur le sol est envoutant. Je suis vraiment satisfait, surpris aussi, je n’avais jamais eu l’impression de vraiment intéresser la belle. Je n’avais rien fait pour et dans mes règles, les affaires de sexe au travail j’essaie d’éviter. Mais j’avoue que j’avais toujours convoité une relation plus intime avec elle. J’étais plus âgé, hiérarchiquement son supérieur même si nous n’étions pas exactement du même service. J’allais devoir clarifier les choses avec elle. Une relation sexuelle, amicale c’était possible. Mais je ne voulais pas m’engager, je n’avais pas vraiment de sentiments pour elle, attirance et amitié aucun soucis mais pas plus. En espérant que ce soit réciproque. C’était surtout pour cela que je lui avais demandé de monter dans mon bureau. En cas de réaction excessive on serait à l’abri des regards et oreilles indiscrets. Cela me laissait quelques minutes pour réfléchir également. Cela peut paraitre retors mais suivre ses pulsions peut mener à des situations catastrophiques. Soyons honnêtes, mon érection était là pour me signaler qu’animalement je la désirais, j’espérais qu’elle n’avait pas de désir autre que physique à mon encontre sinon la situation allait devenir compliquée.
J’entrais dans le bureau, Rachel m’accueillait avec un sourire éloquent. Je fermais la porte et un tour de clef pour éviter les visites inopportunes.
- Je ferme on sera tranquille, tu n’es pas séquestrée ma jolie.
- Je suis contente tu sais, je n’osais pas trop faire ce que j’ai fait mais j’ai eu raison.
- Il faut en parler justement avant d’aller plus loin. Dis-je
Rachel fit une moue éloquente, baissant la tête
- J’ai fait une connerie alors ? Dit-elle tout bas.
Je m’approchais, mais restait à distance malgré mon envie de la prendre dans mes bras.
- Non Rachel, mais je veux que tout soit clair, ce sera peut-être un peu brutal. Je ne vais pas nier que tu me plais, que j’ai très envie de toi. Mais je ne veux pas que tu t’imagines une relation autre que le sexe entre nous.
- Ah non, non, je ne pensais pas à ça, je sais que tu as quelqu’un je ne cherche pas un nouveau mec, je ne suis pas amoureuse rassure toi. Je t’aime bien, j’ai vraiment envie de toi, je connais ta réputation c’est ça qui m’attire. Tu sais je suis copine avec Evelyne, elle m’a parlé de toi déjà.
- Ah d’accord, Evelyne me fait de la pub, ce n’est pas bien çà on avait dit discret. En plus je connais son mari. Désolé mais je voulais qu’on soit clairs l’un pour l’autre.
Rachel, me fit un grand sourire et d’approcha de moi, exagérant son déhanchement. C’est une fille qui aime s’amuser et qui n’hésite jamais à faire des pitreries, voir des grimaces de gosse mal élevée. Elle m’attrape par le cou
- On en était où, je ne me souviens plus dit-elle en posant sa bouche sur la mienne.
Ma bouche occupée, je réponds avec mes mains. J’ouvre les 2 boutons du bas de son chemisier, et glisse mes mains autour de sa taille, pour l’enlacer. Sa peau est douce et chaude, elle sent bon, don parfum certes, mais aussi son odeur naturelle me plait énormément. Je suis très sensible aux odeurs. Mes mains remontent le long de ses flancs. Rachel est menue, fine, presque maigre. Je sens ses côtes, sa respiration est accélérée durant ce baiser qui dure. Sous mes doigts, je sens la naissance de ses seins, je glisse sur les deuc petits coquins, car ils sont petits, mais d’une fermeté incroyable, elle n’a pas de soutien-gorge on ne l’imaginerait pas en la voyant. J'enserre les deux petits seins et mes doigts remontent vers ses pointes, a peine ai-je heurter les aréoles, que je sens son frémissement. Et je capture son petit cri de plaisir dans ma bouche. Notre baiser cesse.
- Oh tu a les mains douces Gilles. J’ai les tétons très sensibles, tes pouces là ils me rendent dingue déjà.
- Laisse toi faire, ouvre ton jean, enlève le. J’ai envie de te voir nue. Je voudrais te donner le maximum de plaisir.
- Oh oui c’est déjà prometteur, tu bandes je sens la bosse contre ma cuisse.
- Comment ne pas bander devant une si jolie poupée. Une vraie petite Barbie en chair et en os.
Je fais tomber son chemisier, et enfin je vois ses deux petits seins, petits certes, mais dressés et durs, deux petits cônes pointus orné de tétons rose tendre, un peu grenus, et longs. Je pose ma bouche sur le droit, le lécher, le suce, l’aspire. Rachel Rejette la tête en arrière, en gémissant. Mon pouce continue à cajoler le gauche, je sens les petits bouts de chair durcir et se tendre sous mes caresses. Rachel s’active à enlever sa ceinture et a s’extraire de son jean qui la moule. Surprise pas de culotte.
- Oh mais tu es une sans culotte ma chérie
- J’aime être libre, j’en porte rarement c’est moche quand je porte des choses moulantes.
- Une petite chatte toute nue ?
-Non pas vraiment mais pas beaucoup de poils
- On le voit à peine, petite coquine.
- Je te plais alors ? Demande Rachel
- Non pas du tout, c’est pour ça que je suis en train de te déshabiller dans un bureau fermé. Tu es une friandise à croquer.
- Je te trouve trop habillé toi. Et elle commence a déboutonner ma chemise. D'une main fébrile.
- Impatiente ?
- Oh oui Gilles aide moi fait elle en posant un bisou sur mes lèvres.
Comment refuser, je déboucle mon ceinturon. Laisse tomber mon pantalon a mes pieds. Comme toujours il tombe facilement vue ce que j’ai dans mes poches et mon couteau dans son étui de ceinture. De nos jours je serais mal vu, mais toute ma vie j’ai toujours porté un couteau de poche, non juste une lame, pas de tire-bouchon.
“O Tempora O Mores”. Je me débarrasse de mon caleçon où j’étais à l'étroit. Je bande toujours, ma queue contre mon ventre est prête à toutes les folies. Depuis tout jeune, j’ai toujours eu des érections puissantes et durables. Par jeu j’ai testé certains produits, un vrai calvaire. Rester plus que dur toute la journée et plus malgré un grand nombre d’éjaculations c’est une torture.
- Humm tu me plais encore plus quand tu es nu. Evelyne a raison, je comprends qu’elle ait craqué pour toi. Et je suis heureuse d’avoir à mon tour craqué.
- Tu vas lui raconter ? Nous deux.
- Oui surement, elle m’a tout dis de vous deux, je sais qu’il faut que je goutte à ta langue. Mais avant je veux te faire goutter la mienne.
Elle me couvre de petits bisous depuis la bouche, le cou, ma poitrine, un petit coup de langue sur mes tétons qui durcissent instantanément Elle laisse une longue trace humide sur ma peau. Les poils ne semble pas la gêner. Elle titille mon nombril, enfonce sa langue dans la cavité. La descente arrive a son terme, agenouillée, elle pose ses mains sur ma virilité tendue. Le contact avec ses doigts me fait instantanément bander plus fort. Sa main gauche malaxe mes couilles. Ses yeux clairs me scrutent, elle guette mes réactions. A chaque pointe d’excitation en plus j’ai eu un petit gémissement. De sens doigts elle tie sur la peau de mon sexe, lentement elle décalotte mon gland déjà bien rouge
- Ohhhhh j’aime dis-je en un souffle
- Humm je vois çà mon chéri, ta queue vibre presque. J’adore tu réagis j’aime bien savoir si je fais bien.
- Continue comme çà petite coquine.
- Si tu veux tu peux être plus vulgaire, j’aime bien çà.
- Ah oui ? Tu aimes les mots crus, petite salope çà irai.
- Ouiii j’adooore.
- Arghhhhh suis-je forcé de crier. Rachel vient d’avaler la moitié de ma queue, sa bouche est brulante et soyeuse.
Mes mains s’enfouissent dans ses cheveux, son regard est rieur, elle aime ma réaction. Elle me suce en regardant mon visage, agenouillée comme une soumise. C’est parfaitement ce que j’adore.
Rachel est vraiment douée, elle prend ma queue en totalité dans sa bouche elle finit le nez dans les poils de mon pubis. Elle me lèche comme un esquimau, insistant sous le gland.
- Tu aimes ?
- Ohhh ouiii attends je vais m’allonger, viens sur moi en 69 je vais te lécher.
- Hmmmm oh oui dit elle
Je me mets sur le sol du bureau, par chance le mien a encore de la moquette c’est moins froid. Rachel met son fessier au-dessus de mon visage, se penche en avant, reprend ma queue dans sa bouche. La petite coquine, suce avec entrain, savoir-faire je ne dirais pas comme une pro, c’est une fille libérée, sensuelle mais ce n’est pas une pute. Oh non. J’ai vu un collègue prendre une baffe pour une plaisanterie obscène par ce petit bout de femme. Je sais que j’avais mis au point les limites de notre relation. Mais je ne me referais pas, il y a toujours en moi une sorte de réflexe sentimental. J’ai toujours du me surveiller pour ne pas dire “je t’aime.” mais pour toute celles avec qui j’ai eu des aventures, sauf les femmes croisées dans des partouzes vues une fois ou deux. Il y a toujours un petit fond sentimental. Quand je pense à Rachel, il y a une grande nostalgie.
Sur mon nez presque, ce petit cul bien rond, ferme, de petites fesses a la peau blanche, un joli sillon dans lequel se cache la petite pastille plissée et une jolie blessure rose, aux lèvres crénelées. La fente est humide et luisante, au bas le petit bouton planqué dans son capuchon fort proéminent. Son petit anus m’attire, j’aime lécher cette zone si sensible et innervée. Ma langue fait le tour, une fois humecté de salive, ce pousse légèrement de la pointe de la langue. L’anneau semble céder doucement. Je suis surpris par sa souplesse. Je force un peu plus, ma langue entre un petit peu en elle. Voilà une bonne nouvelle.
Je descends le long de sa vulve, elle est bouillante et commence a ruisseler. Mon dieu qu’elle sent bon, quel gout. Chaque femme a son odeur et son gout, certaines sont acidulées et sont des friandises Rachel est de celles –ci. Mes pouces écartent les petites lèvres, le rose vernis de cyprine brille sous la lumière que c’est beau. Je ressent cela avec toutes les femmes que j’ai eu. Je n’ai jamais trouvé deux sexes qui se ressemblaient. C’est toujours unique. Je fouille la grotte humide de ma langue, je la pénètre loin, mon nez est mouillé. Ma salive coule sur mon menton et je sais que j’aurais l’odeur de cette magnifique minette sur ma barbe pendant un moment. Je sens que Rachel adore ce que je fais, elle se cambre roule des hanches ses mains étreignent plus fort ma queue et elle me suce avec encore plus de fougue.
J’aspire le capuchon et le clito entre mes lèvres. Elle semble recevoir une décharge électrique, laisse mon gland sortir de sa bouche pour gémir.
- Ohhhhh oui oui comme çà c’est bon Gilles encore encore mange moi.
Elle s’est un peu relevée, je sens les pointes dures de ses seins danser sur la peau de mon ventre. J’ai le visage coincé sous ses fesses, ma bouche soudée a sa chatte de plus en plus mouillée.
- Oh Gilles chéri je vais te faire l’amour. Dit-elle
Elle prend la direction des opérations, j’adore son attitude. Rachel se retourne, elle est belle ses yeux d’azur sont éblouissants, ses cheveux cascadent sur ses petits seins et les caressent sans doute. D’une main elle guide mon sexe entre les lèvres de son sexe. Elle se laisse descendre sur ma queue. Sa chatte est une fournaise et aussi douce que la soie. Elle est agitée de petits soubresauts.
- Ohhh chéri c’est bon je te sens fort.
Je me cambre, allant un peu plus loin en elle. Rachel vient prendre ma bouche, mes mains se posent sur sa taille et j’accompagne et régule la cadence de ses coups de reins. Les yeux dans les yeux on se laisse aller on aime le corps de l’autre, à cet instant on peut dire que j’aime Rachel on est soudés, on fusionne, les vagues de plaisir déferlent sur nous deux. Je prends ses mains les pose sur ma poitrine, lui faisant comprendre que j’aime les caresses sur les tétons. Elle a un petit sourire éloquent. Elle attrape les petits bouts, les tortille, les serre les étire. Elle se penche, les lèche, les aspire. Elle doit sentir les réactions de mon pénis à ces caresses. Cela me fait énormément d’effet. Certaines ont réussi a me faire jouir uniquement pas cette caresse. Et c’est vraiment fort.
- Ouhh Gilles tu aimes çà , je te sens vibrer en moi.
- Continue petite salope, tu est trop belle
Elle est vraiment magnifique, elle se donne totalement, elle n’a qu’un but, le plaisir. Et elle veut me donner du plaisir. Je glisse ma main entre nos deux corps, elle s’est un peu rejetée en arrière, je peux atteindre son clito. Quand mon pousse le frôle.
- Ohhhh Ouiiiii c’est bon continues encore dit Rachel la voix rauque.
Chaque passage de mon doigt lui tire un cri, elle donne un coup de rein et m’enfonce plus en elle, alors que je sens ses muscles enserrer ma queue. La petite est vraiment musclée, elle m’aurait serré le sexe a deux mains que l’effet n’aurait pas été différent.
Nous étions tous les deux presque au sommet de notre plaisir. Ce qui me fit jouir c’est un geste anodin ou presque mais c’était tellement sensuel que j’ai atteint l'orgasme presque instantanément. Le buste rejeté en arrière, Rachel criait alors que je taquinais son clito. Elle pris ses seins dans ses mains et attrapant ses tétons elle se mit a les tordre. Visions très classique et convenue, mais là c’était fait avec un tel naturel et dans le feu de l’action. Que je crachais mon sperme dans son sexe palpitant, agité de convulsions.
Nous avons crié en même temps, avant qu’elle ne revienne se pelotonner contre moi. Nous aurions bien continué des heures, mais il ne faut pas oublier on était au travail, notre absence trop longue aurait été remarquée. C’était la première fois avec ma belle Rachel que plus tard j’ai entrainé dans des soirées très chaudes.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Hé bien les heures de travail doivent passer vite mon cher.
Si j'ai lu attentivement vos textes vous étiez dans la fonction publique. Quelle pub pour les fonctionnaires!! Je plaisante. Il est vrai que dans le domaine professionnel il y a des rencontres a faire. Durant mes années comme prof j'ai eu quelques occasions mais je suis opiniâtrement fidèle a mon mari. Je pense e, vous lisant que vous avez toujours traité les femmes avec tact et douceur. Pourtant je vous sens proche de moi. Je crois que celles qui vous ont approché ont eu de la chance et nous avons tous la chance de vous lire Merci
Si j'ai lu attentivement vos textes vous étiez dans la fonction publique. Quelle pub pour les fonctionnaires!! Je plaisante. Il est vrai que dans le domaine professionnel il y a des rencontres a faire. Durant mes années comme prof j'ai eu quelques occasions mais je suis opiniâtrement fidèle a mon mari. Je pense e, vous lisant que vous avez toujours traité les femmes avec tact et douceur. Pourtant je vous sens proche de moi. Je crois que celles qui vous ont approché ont eu de la chance et nous avons tous la chance de vous lire Merci
Très beau texte prospero sensuel erotique histoire Très bien écrit rite et qui nous permet de visualiser la scène on attend dons la suite. Daniel
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