Surprenant face à face
Récit érotique écrit par Malong [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 7 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.6 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.4
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-01-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Surprenant face à face
Ce soir là, en cette fin de semaine, je comptais m'occuper de moi. Un bon film les doigts de pieds en éventail. Et puis, il me revenait qu'un programme était prévu de longue date.
Je pensais être en retard en me pointant dans ce bars à bières qui avait fleuri comme du houblon au printemps dans cette petite zone industrielle enclavée dans la ville. Là, je devais y retrouver deux trés bons copains. J'avais sérieusement zappé cette soirée, c'est donc avec un peu de précipitation que j'avais recalé mon timing.
J'étais déjà sur place lorsqu'il m'ont appelé l'un après l'autre pour me prévenir qu'ils ne viendrait pas. Sincèrement déçu, je vivais en cet instant un vrai moment de solitude.
Bref.
Il y avait du monde. J'avais déjà commandé et je récupérais une bière qui avait une jolie couleur ambrée, comme la peau de la tendre et belle Loulou, une amie qui m'avait rendu visite et qui était repartie sur son île. Aussi, je me suis mis à l'écart pour déguster cette douce amertume accoudé à une table haute.
Trois femmes au première abord un peu plus jeunes que moi investissaient la table à côté. Aussitôt, deux entre elles confiaient leurs affaires à la troisième et elles se dirigèrent vers le bar où les consommateurs s'étaient s’agglutinés depuis mon arrivée.
Pendant ce temps l'autre femme organisait leur table. Elle me demandait si elle pouvait récupérer une des chaises hautes qui se trouvaient autour de ma table. Je n'y trouvais bien sûr aucun inconvénient. J'appréciais sa politesse. J'aimais ce regard ne me fuyait pas. Elle était très à l'aise. Extravertie.
Joli regard. Je remarquais aussi qu'au niveau d'un de ses poignets, ce qui devait être une manchette. Un tatouage coloré partiellement caché par son pull.
Sans aucune malice je me permettais d'y faire allusion en complimentant la partie émergeante du graphisme .
Cette femme semblait être assez fière de son tatouage. Si elle restait discrète sur ce dessin elle m'informa, alors que je ne demandais rien, qu'elle en avait d'autres. Précisant qu'elle avait des écrits, plus précisément de la calligraphie chinoise. Dont un, là, me montra-t-elle, au niveau de ses reins.
Aussiu, confidence pour confidence, j'avouais être un grand lecteur de tatouage. Ça eu pour effet de l'a faire sourire. Fort de cette petite réussite, je continuais avec une énormité, une ânerie venue du fin fond de la poésie.
- "Confucius jamais loin de l'anus ". Elle pouffa.
- Ho, quand même, nous ne nous connaissons pas. reprenait-elle faussement outrage. Cependant je n'en rajoutais pas.
Les deux copines revenaient déjà avec des verres. Elles avaient bien remarqué qu'une approche avait eu lieu durant leurs courtes absences entre leur copine et moi.
Puisque j'étais seul, l'une d'elles proposaient sympathiquement de trinquer, à...? on ne savait trop. J'intégrais le groupe de femmes.
Une discussion fait de tout et de rien se construisit et ce moment convivial me fit oublier mon mauvais jeu de mots. C'était sympa. Après avoir offert une tournée je prenais congé de ces sympathiques dames.
Ce soir-là, il flottait comme vache qui pisse. Bien que j'étais garé près du bar, je montais mouillé dans ma voiture. Et avant de démarrer je prenais le temps de consulter mon téléphone.
Je contrôlais mes sms quand la sympathique tatouée toquait subitement à ma vitre.
Que voulait elle avec sa veste sur la tête en guise de parapluie ? Je réagis. Je calculais la protection et je proposais de continuer se nouvelle échange dans ma voiture plus au sec .
La demande était simple. Elle souhaitait un lift, être déposée à quelques rues de là.
Elle ne pouvait m'offrir qu'un café. Je ne refusais pas. La pluie avait cessé alors je mettais mis à la suivre dans le couloir de son immeuble. Chose que je n'avais pas remarqué dans le bar, il y avait là sous sa robe semblait-il un joli châssis, un ensemble bien proportionné qui déambulait devant moi. Ma blague pourrie me traversait l'esprit aussi je revenais rapidement dans une zone pacifique.
Dans son petit appartement elle m'installa dans un petit fauteuil inconfortable et si je la perdais de vue, je reconnu le bruit spécifique de la machine à expresso.
En déposant la tasse je découvrais un peu plus de son tatouage et la manchette apparue végétal grimpant. Je demandais alors jusqu'où montait ce dessin. Elle répondit, jusqu'à l'épaule. Et ajouta qu'elle était fleuriste.
Enflammé, j'avais imaginé cette plante grimpante enroulée autour d'un téton et je me permettais encore une espièglerie en exprimant le trait de mon imagination.
Elle sourit. Je suppose que vu l'orientation de la projection dans laquelle je venais de m'engagé, elle prefera faire une mise au point. Plutôt direct, elle me dit franchement qu'elle ne m'avait pas fait venir ici pour un plan cul. Certe, elle me trouvait vraiment sympa. Elle continuait en m'informant qu'elle avait un nouveau copain. C'était récent. La traversée de la période Covid, elle etait restée 3 ans seule.
Enfin tout pleins d'infos dont finalement je me tamponnais royalement le coquillart, mais assez explicite pour me faire comprendre que je ne la baisserais pas.
Je la rassurais. Je reconnaissais avoir vu en elle une très belle femme, je n'avais pas calculé un plan avec elle. Elle comprenais que je n'étais pas impressionné par ce cadrage.
Puisqu'on était dans un espace de la franchise, je me permettais dans cette limite de dériver encore un peu. J'accordais une synthèse simpliste aux infos qu'elle m'avait données sur elle et en déduisais hâtivement avec un brin de perversité que trois ans de célibat devaient représenter un sacré nombre de masturbations.
Cette supputation arriva à la faire rire encore une fois et elle confirmait en acquiesça de la tête. Dans le mille.
Je buvais le café et je continuais à alimenter ce thème de discussion. Elle m'écoutais. Je lui racontais que je me masturbais régulièrement. Que je farfouillais sur le net histoire de trouver images et récits excitant. J'y mettais du détail et elle était vraiment intéressée. Je comprenais sa traversée du dessert affective. Je reconnaissais adorer la masturbation féminine. Si elle n'avait pas forcément dit grand-chose elle lâchait casch, qu'elle, c'était la bite qu'elle préférait, l'éjaculation. Pleine d'excitation, elle se confessait et elle m'apprenait que ses seins aussi l'aidaient à jouir. Elle avait des objets qu'elle ne voulait cependant pas monter.
Mon sexe était gonflé. La sexualisation de l'échange chauffait mon esprit, à tel point que je dû presser ma verge au travers mon pantalon pour tenter une mise en place plus confortable. L'engin n'était pas au mieux dans mon caleçon.
En me voyant faire elle s'exclamait avec douceur.
- carré...ment
Elle était toujours en face de moi et n'avais pas bougé de son canapé.Je captais chez elle un rictus elle avait eu un petit truc qui l'avait désarçonnée.
Je m'excusais. Je lui expliquais que ma verge était vraiment mal positionnée. Je dégrafais alors mon pantalon afin de libérer la gêne.
Elle ne réagit pas. Elle n'en perdrait pas une miette.
Puisqu'elle aimait la bite, je décidais à cet instant d'entrer dans un délire en lui offrant une séance, une exhibition. Ça passait ou ça cassait. À ce stade je me moquais bien de ce que pouvait donner comme réaction mon comportement.
Ma queue était au plus gros. Je dégageais un peu plus mon sexe de mon pantalon. Elle ne dit toujours rien. J'exécutais un va et viens. Je me branlais.
La situation prit une tournure inespérée puisqu'elle dégainait à son tour. À son tour elle passa à l'action. Elle écartait ses jambes en remonta sa robe pour dégager sa dentelle qui laissa apparaître les poils de sa vulve. Sa main s'activait. Elle lissait ses lèvres. Elle se doigtait tout en me regardant. Une belle masturbation dans les normes. Je l'imaginais mouillée et cette image me faisait monter dans les tours.
Elle se malaxait un seinnet assez rapidement j'ai pu la voir et l'entendre jouir. Elle resta un moment inerte tout en resserrant les cuisses.
Je lui demandais de s'ouvrir encore un moment pour que je puisse voir sa chatte. Elle exécutait la demande. Je regardais ces levres ouvertes tout en m'astiquant. Ça m'excitait, je me laissais aller et j'éjaculais sur ma chemise. Orgasme.
Elle m'amena un Sopalin et lorsqu'elle fut au plus près de moi j'en profitais pour diriger ma main vers son pubis. Comme une caresse pour la remercier, mais elle m'intercepta.
je cherchais à comprendre ce qui l’avait motiver. Elle avoua ne pas être sûr que son nouveau copain puisse rentrer dans un délire comme celui là. Il était plus conventionnel. Et puis de toutes façons elle ne s'endormait jamais sans ses caresses.
Merci tout ça. Elle me donnait son numéro de téléphone. Je l'enregistrais et promettais de ne jamais passer à l'improviste.
Je rentrais sans avoir vu le tatouage en entier, ni d’alleurs les écrits. Dommage.
Lot de consolation, je savais que je trouverais un récit à lire sur HDS.
Assez rapidement je la voyais et l'entendais jouir. Elle restait un moment inerte tout en resserrant les cuisses.
Je lui demandais de s'ouvrir encore un moment pour que je puisse voir son minou pour la gestion des stimulus. Elle exécutait la demande. Je regardais cette chatte ouverte en m'astiquant. Ca m'excitait, je me laissais aller et j'éjaculais sur ma chemise. Orgasme.
Elle m'amena un Sopalin et lorsqu'elle fut au plus près de moi j'en profitais pour diriger ma main vers son pubis. Comme une caresse pour la remercier. Elle m'interceptait. Ça me fit marrer.
Merci tout ça. Elle me donnait son numéro de téléphone. Je l'enregistrais et promettais de ne jamais passer à l'improviste.
Je rentrais sans avoir vu le tatouage en entier, ni les écrits. Dommage.
Lot de consolation, je savais que je trouverais un récit à lire sur HDS.
Je pensais être en retard en me pointant dans ce bars à bières qui avait fleuri comme du houblon au printemps dans cette petite zone industrielle enclavée dans la ville. Là, je devais y retrouver deux trés bons copains. J'avais sérieusement zappé cette soirée, c'est donc avec un peu de précipitation que j'avais recalé mon timing.
J'étais déjà sur place lorsqu'il m'ont appelé l'un après l'autre pour me prévenir qu'ils ne viendrait pas. Sincèrement déçu, je vivais en cet instant un vrai moment de solitude.
Bref.
Il y avait du monde. J'avais déjà commandé et je récupérais une bière qui avait une jolie couleur ambrée, comme la peau de la tendre et belle Loulou, une amie qui m'avait rendu visite et qui était repartie sur son île. Aussi, je me suis mis à l'écart pour déguster cette douce amertume accoudé à une table haute.
Trois femmes au première abord un peu plus jeunes que moi investissaient la table à côté. Aussitôt, deux entre elles confiaient leurs affaires à la troisième et elles se dirigèrent vers le bar où les consommateurs s'étaient s’agglutinés depuis mon arrivée.
Pendant ce temps l'autre femme organisait leur table. Elle me demandait si elle pouvait récupérer une des chaises hautes qui se trouvaient autour de ma table. Je n'y trouvais bien sûr aucun inconvénient. J'appréciais sa politesse. J'aimais ce regard ne me fuyait pas. Elle était très à l'aise. Extravertie.
Joli regard. Je remarquais aussi qu'au niveau d'un de ses poignets, ce qui devait être une manchette. Un tatouage coloré partiellement caché par son pull.
Sans aucune malice je me permettais d'y faire allusion en complimentant la partie émergeante du graphisme .
Cette femme semblait être assez fière de son tatouage. Si elle restait discrète sur ce dessin elle m'informa, alors que je ne demandais rien, qu'elle en avait d'autres. Précisant qu'elle avait des écrits, plus précisément de la calligraphie chinoise. Dont un, là, me montra-t-elle, au niveau de ses reins.
Aussiu, confidence pour confidence, j'avouais être un grand lecteur de tatouage. Ça eu pour effet de l'a faire sourire. Fort de cette petite réussite, je continuais avec une énormité, une ânerie venue du fin fond de la poésie.
- "Confucius jamais loin de l'anus ". Elle pouffa.
- Ho, quand même, nous ne nous connaissons pas. reprenait-elle faussement outrage. Cependant je n'en rajoutais pas.
Les deux copines revenaient déjà avec des verres. Elles avaient bien remarqué qu'une approche avait eu lieu durant leurs courtes absences entre leur copine et moi.
Puisque j'étais seul, l'une d'elles proposaient sympathiquement de trinquer, à...? on ne savait trop. J'intégrais le groupe de femmes.
Une discussion fait de tout et de rien se construisit et ce moment convivial me fit oublier mon mauvais jeu de mots. C'était sympa. Après avoir offert une tournée je prenais congé de ces sympathiques dames.
Ce soir-là, il flottait comme vache qui pisse. Bien que j'étais garé près du bar, je montais mouillé dans ma voiture. Et avant de démarrer je prenais le temps de consulter mon téléphone.
Je contrôlais mes sms quand la sympathique tatouée toquait subitement à ma vitre.
Que voulait elle avec sa veste sur la tête en guise de parapluie ? Je réagis. Je calculais la protection et je proposais de continuer se nouvelle échange dans ma voiture plus au sec .
La demande était simple. Elle souhaitait un lift, être déposée à quelques rues de là.
Elle ne pouvait m'offrir qu'un café. Je ne refusais pas. La pluie avait cessé alors je mettais mis à la suivre dans le couloir de son immeuble. Chose que je n'avais pas remarqué dans le bar, il y avait là sous sa robe semblait-il un joli châssis, un ensemble bien proportionné qui déambulait devant moi. Ma blague pourrie me traversait l'esprit aussi je revenais rapidement dans une zone pacifique.
Dans son petit appartement elle m'installa dans un petit fauteuil inconfortable et si je la perdais de vue, je reconnu le bruit spécifique de la machine à expresso.
En déposant la tasse je découvrais un peu plus de son tatouage et la manchette apparue végétal grimpant. Je demandais alors jusqu'où montait ce dessin. Elle répondit, jusqu'à l'épaule. Et ajouta qu'elle était fleuriste.
Enflammé, j'avais imaginé cette plante grimpante enroulée autour d'un téton et je me permettais encore une espièglerie en exprimant le trait de mon imagination.
Elle sourit. Je suppose que vu l'orientation de la projection dans laquelle je venais de m'engagé, elle prefera faire une mise au point. Plutôt direct, elle me dit franchement qu'elle ne m'avait pas fait venir ici pour un plan cul. Certe, elle me trouvait vraiment sympa. Elle continuait en m'informant qu'elle avait un nouveau copain. C'était récent. La traversée de la période Covid, elle etait restée 3 ans seule.
Enfin tout pleins d'infos dont finalement je me tamponnais royalement le coquillart, mais assez explicite pour me faire comprendre que je ne la baisserais pas.
Je la rassurais. Je reconnaissais avoir vu en elle une très belle femme, je n'avais pas calculé un plan avec elle. Elle comprenais que je n'étais pas impressionné par ce cadrage.
Puisqu'on était dans un espace de la franchise, je me permettais dans cette limite de dériver encore un peu. J'accordais une synthèse simpliste aux infos qu'elle m'avait données sur elle et en déduisais hâtivement avec un brin de perversité que trois ans de célibat devaient représenter un sacré nombre de masturbations.
Cette supputation arriva à la faire rire encore une fois et elle confirmait en acquiesça de la tête. Dans le mille.
Je buvais le café et je continuais à alimenter ce thème de discussion. Elle m'écoutais. Je lui racontais que je me masturbais régulièrement. Que je farfouillais sur le net histoire de trouver images et récits excitant. J'y mettais du détail et elle était vraiment intéressée. Je comprenais sa traversée du dessert affective. Je reconnaissais adorer la masturbation féminine. Si elle n'avait pas forcément dit grand-chose elle lâchait casch, qu'elle, c'était la bite qu'elle préférait, l'éjaculation. Pleine d'excitation, elle se confessait et elle m'apprenait que ses seins aussi l'aidaient à jouir. Elle avait des objets qu'elle ne voulait cependant pas monter.
Mon sexe était gonflé. La sexualisation de l'échange chauffait mon esprit, à tel point que je dû presser ma verge au travers mon pantalon pour tenter une mise en place plus confortable. L'engin n'était pas au mieux dans mon caleçon.
En me voyant faire elle s'exclamait avec douceur.
- carré...ment
Elle était toujours en face de moi et n'avais pas bougé de son canapé.Je captais chez elle un rictus elle avait eu un petit truc qui l'avait désarçonnée.
Je m'excusais. Je lui expliquais que ma verge était vraiment mal positionnée. Je dégrafais alors mon pantalon afin de libérer la gêne.
Elle ne réagit pas. Elle n'en perdrait pas une miette.
Puisqu'elle aimait la bite, je décidais à cet instant d'entrer dans un délire en lui offrant une séance, une exhibition. Ça passait ou ça cassait. À ce stade je me moquais bien de ce que pouvait donner comme réaction mon comportement.
Ma queue était au plus gros. Je dégageais un peu plus mon sexe de mon pantalon. Elle ne dit toujours rien. J'exécutais un va et viens. Je me branlais.
La situation prit une tournure inespérée puisqu'elle dégainait à son tour. À son tour elle passa à l'action. Elle écartait ses jambes en remonta sa robe pour dégager sa dentelle qui laissa apparaître les poils de sa vulve. Sa main s'activait. Elle lissait ses lèvres. Elle se doigtait tout en me regardant. Une belle masturbation dans les normes. Je l'imaginais mouillée et cette image me faisait monter dans les tours.
Elle se malaxait un seinnet assez rapidement j'ai pu la voir et l'entendre jouir. Elle resta un moment inerte tout en resserrant les cuisses.
Je lui demandais de s'ouvrir encore un moment pour que je puisse voir sa chatte. Elle exécutait la demande. Je regardais ces levres ouvertes tout en m'astiquant. Ça m'excitait, je me laissais aller et j'éjaculais sur ma chemise. Orgasme.
Elle m'amena un Sopalin et lorsqu'elle fut au plus près de moi j'en profitais pour diriger ma main vers son pubis. Comme une caresse pour la remercier, mais elle m'intercepta.
je cherchais à comprendre ce qui l’avait motiver. Elle avoua ne pas être sûr que son nouveau copain puisse rentrer dans un délire comme celui là. Il était plus conventionnel. Et puis de toutes façons elle ne s'endormait jamais sans ses caresses.
Merci tout ça. Elle me donnait son numéro de téléphone. Je l'enregistrais et promettais de ne jamais passer à l'improviste.
Je rentrais sans avoir vu le tatouage en entier, ni d’alleurs les écrits. Dommage.
Lot de consolation, je savais que je trouverais un récit à lire sur HDS.
Assez rapidement je la voyais et l'entendais jouir. Elle restait un moment inerte tout en resserrant les cuisses.
Je lui demandais de s'ouvrir encore un moment pour que je puisse voir son minou pour la gestion des stimulus. Elle exécutait la demande. Je regardais cette chatte ouverte en m'astiquant. Ca m'excitait, je me laissais aller et j'éjaculais sur ma chemise. Orgasme.
Elle m'amena un Sopalin et lorsqu'elle fut au plus près de moi j'en profitais pour diriger ma main vers son pubis. Comme une caresse pour la remercier. Elle m'interceptait. Ça me fit marrer.
Merci tout ça. Elle me donnait son numéro de téléphone. Je l'enregistrais et promettais de ne jamais passer à l'improviste.
Je rentrais sans avoir vu le tatouage en entier, ni les écrits. Dommage.
Lot de consolation, je savais que je trouverais un récit à lire sur HDS.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Bon moment partager pour cette première lecture de vos œuvres que vous m avez indiquer de les découvrir lors d une discussion courte en ce matin de janvier 2023.
Je vais aller lire et découvrir la suit de vos œuvres. Merci . KATIA
Je vais aller lire et découvrir la suit de vos œuvres. Merci . KATIA
C'est très excitant, bravo.
J'aimerais vivre cette scéance de masturbation à deux.
Merci pour vos textes...
J'aimerais vivre cette scéance de masturbation à deux.
Merci pour vos textes...