Surpris

- Par l'auteur HDS Zootman -
Récit érotique écrit par Zootman [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Surpris Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-03-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Surpris
Le soir, quand tous les salariés sont partis, je reste seul à mon bureau à traiter quelques dossiers de mon entreprise.
Parfois, je vais sur HDS ou un autre site pour lire les histoires ou mater une petite vidéo.
Dans ce cas, il n’est pas rare que je baisse mon froc, me pose le cul nu sur mon fauteuil et que je m’astique le jonc gentiment.
Je fais attention car la personne qui vient faire le ménage arrive à des heures aléatoires.
C’est une femme africaine, qui ne compte pas ses heures pour pouvoir gagner sa vie et avec qui une relation de sympathie s’est tissée au fil des ans. Elle est efficace, discrète, et sa blouse de travail bleue qu’elle porte ne m’a jamais laissé dériver vers des pensées coquines. Quoique j’avoue que parfois j’avais un peu fantasmé quand même.

Je surveille toujours les bruits qui surgissent pendant mes masturbations et il m’est arrivé de devoir me rhabiller à la hâte en entendant la personne arriver (elle s’appelle Awa).

Un jeudi soir, j’étais en train de me caresser et ne n’ai pas entendu la clé tourner dans la porte d’entrée et les pas s’avancer dans le couloir qui passe devant mon bureau.
Quand Awa est arrivé devant ma porte, j’avais les écouteurs sur les oreilles, la queue dressée devant l’écran et même si mon membre était à moitié sous le bureau, le mouvement de ma main ne laissait place à aucune ambiguïté !

Comme d’habitude, elle s’est arrêtée pour me dire « bonsoir » et s’est figée en me voyant.
Gênée, elle est vite repartie dans le couloir chercher son matériel.
J’étais moi-même un peu ennuyé de la situation et ne savait trop quoi faire.

Je l’entendais faire son boulot dans les autres bureaux et attendais, rhabillé, qu’elle vienne dans le mien chercher la poubelle en essayant d’imaginer ce que je pouvais, devais, allais dire.
Elle est apparue au bout d’une demi-heure, et elle est entrée dans mon bureau l’air de rien.
Elle a pris ma poubelle en se penchant, et là j’ai vu que plusieurs boutons étaient défaits et que je pouvais apercevoir une belle poitrine.
Elle s’est redressée, ayant vu que je l’avais regardée, m’a souri, puis a défait un à un les derniers boutons sur le devant de sa blouse.
Elle était nue dessous !
- J’ai vu que vous aviez envie de vous faire plaisir, et moi je vous trouve mignon et gentil depuis que je travaille ici. Alors laissez-moi faire.
J’étais ébahi… et je l’ai laissé faire
Elle s’est approchée en ouvrant sa blouse et m’a donné un sein. J’étais toujours assis et n’ai eu qu’à le prendre en bouche pour en apprécier la rondeur, happer son téton qui se dressait déjà.
Mes mains sont parties en exploration sur l’autre sein, puis je lui ai pris le visage et l’ai embrassée fougueusement.

Après ce baiser profond, le désir était partagé, et ma queue qui s’était redressée a bien vite été sortie de mon pantalon par sa main experte. Elle s’est agenouillée et m’a pris en bouche, doucement, me léchant le gland de sa langue pointue, puis me suçant toute la tige.
Elle me regardait avec ses yeux rieurs, heureuse de me donner du plaisir.

Pour ma part, je caressais ses seins après lui avoir ôté sa blouse.
Je lui caressais les épaules, ses cheveux un peu crépus, et essayais de me pencher pour lui embrasser le cou pendant qu’elle continuait ses succions.

Je l’ai relevée, et nous nous sommes embrassés à nouveau tout en me mettant à poil.
Ensuite, je l’ai mise sur mon bureau, sur le dos, lui ai levé les jambes et me suis approché de son abricot qui suintait de désir.
J’aime les femmes noires, j’aime leur odeur, j’adore la douceur de leur peau, son grain particulier.
Et là, je pouvais enfouir ma langue dans cette chatte offerte et ne me suis pas privé de la lécher copieusement, tout en lui titillant le clitoris tantôt de la langue, tantôt des doigts.
Je la sentais haleter de plus en plus, elle se caressait les seins, se pinçant les tétons en gémissant par moment.
Ah, la belle fourche ouverte, ces jambes écartées, vision qui enchante les hommes et nous fait raidir tant et si bien.

Sentant qu’elle approchait de la jouissance, je me suis relevé, ai approché mon chibre et l’ai pénétrée lentement. Je sentais son fourreau s’écarter, laissant la place à mon pieu qui s’enfonçait peu à peu.
Une fois au fond, je l’ai regardée et lui ai demandé :
- Awa, tu es belle ainsi, veux-tu lentement ou fortement ?
- Commence doucement, puis accélère, j’aime bien sentir ton membre en moi.
Ainsi fut fait, et j’ai fait durer mes lents mouvements assez longtemps finalement, me délectant de voir ma queue entrer et sortir de ce con charmant. Elle m’a regardé, presque avec reproche, alors j’ai accéléré, la pilonnant de plus en plus rapidement, puis de plus en plus profondément.

Elle avait la tête en arrière, mais je la voyais se mordre les lèvres sous le plaisir ressenti.
J’ai continué à la baiser ainsi, comme un cerf en rut, et elle s’est mise à gémir puis crier :
- Ouiiiiiiiii, vas-y, enfonce toi bien, oooooooo que c’est bon.
Je ne sais pas vous, mais moi, voir une fille qui aime quand je la pénètre fortement, ça m’excite encore plus. Et je me suis déchaîné, agrippant ses cuisses pour aller au plus profond de son antre qui maintenant ruisselait littéralement, exsudant ses odeurs de femme au bord de la jouissance.

Brusquement, je me suis arrêté, je ne voulais pas jouir de suite.
Alors je me suis agenouillé et l’ai à nouveau léchée. Si elle a été un peu déçue peut-être que j’arrête de la pénétrer, elle a très vite recommencé à jouir sous ma langue.
- Mmmm, coquin, je voulais que tu me baises à fond, mais là j’adore ça comme intermède !
- Ta chatte m’envoute, ce sont tes odeurs de femme noire qui me plaisent, j’ai envie de t’absorber en moi.
- Continue, c’est doux, c’est bon.
Et je l’ai avalée, sa cyprine abondante, j’ai humé son nectar, et j’ai commencé à descendre vers son petit trou qui palpitait sous mon nez.
- Oooo, tu es vraiment un cochon, tu veux déjà aller vers mon cul, dès la première fois ?
- Mmmm, je te veux entière, tout partout, ma belle africaine
- Vas-y alors, j’aime que tu me veuilles là aussi, mais va doucement pour commencer.

Ma feuille de rose était sûrement à la hauteur de ses attentes, car à force de lui pénétrer l’anus de ma langue tout en lui caressant son bouton avec deux doigts, elle m’a soudain pris la tête, me forçant à la regarder :
- Je veux que tu m’encules, j’ai trop envie.
Elle s’est relevée, s’est retournée, me présentant son cul magnifique.
- Prends-moi tout de suite, vite
J’ai mis mon gland sur son anneau qui était déjà un peu détendu par mon approche, et me suis enfoncé d’un coup, au fond, et me suis arrêté.
Elle a laissé échapper un gémissement de douleur et plaisirs mêlés.
- Je sens ta queue au fond de moi, cochon, alors maintenant, baise-moi à fond, fort, et je veux avoir ton jus au fond de mon cul.
Ah la bonne fille, elle en voulait, de ma bite, alors je lui ai donné toute ma puissance, et ma queue était raide et longue comme rarement tant la situation m’excitait.

Accroché à son cul qui se lançait vers moi, je lui ai explosé la raie, écartant ses fesses pour voir mon chibre aller et venir dans cet œillet rose entre ses collines noires qui transpiraient le plaisir.
Et bien sûr, j’ai vidé mon jus au fond, lançant le cri du mâle qui décharge sa semence après avoir fait son possible pour donner à sa belle ce qu’elle attend.

Mon sperme s’écoulait de son orifice écarté, et je me suis penché pour le recueillir, lui léchant le petit trou pour apaiser le traumatisme causé par mes assauts.

Elle chantonnait de plaisir maintenant. Alors, m’asseyant sous elle, et tendant le cou, j’ai attrapé son clitoris tendu et ne l’ai plus lâché jusqu’à ce que je l’entende jouir. Elle m’a inondé la bouche d’un jet puissant que j’ai tenté tant bien que mal d’avaler.

Nous étions fourbus.
Nous nous sommes relevés, embrassés de nouveau, nous caressant tendrement le corps. Le temps a passé ainsi, dans une belle douceur post-coït. Puis nous nous sommes rhabillés. Elle avait d’autres bureaux à aller nettoyer.

A mardi prochain, Awa
A mardi, Steve, pas un mot à mon patron ou à mon mari !
Et toi, pas un mot à ma femme !

Nous avons souri, la tête déjà pleine du désir de nous retrouver quelques jours plus tard……

Les avis des lecteurs

Zootman est revenu avec une très belle histoire à nous raconter. Si toutes les femmes de ménages pouvaient se conduire ainsi, le personnel des bureaux ferait des heures supplémentaires gratuites.



Texte coquin : Surpris
Histoire sexe : Une rose rouge
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