SURPRISE !
Récit érotique écrit par Alainylon [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-02-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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SURPRISE !
Ce matin là, j’étais en récup et bien sûr seul à la maison. J’étais des plus heureux de profiter de cette journée. Sans prendre la peine de me passer quelque chose sur moi, je me dirigeais jusqu’à la cuisine, où je me préparais un bon café bien fort.
J’étais en train de tartiner mon pain grillé quand la sonnerie de la porte d’entrée striait le calme de la pièce. Interrompant ce que je faisais, j’enfilai en maugréant ma robe de chambre et avant d’arriver à la porte criais que j’arrivais.
- C’est moi Nathalie, Alain ! Bredouilla-t-elle. Peux-tu m’amener au lycée, s’il te plait ?
- Bien entendu. Répondis-je après avoir ouvert la porte. Rentre !
Je m’effaçais pour laisser entrer la jeune fille. Je fis quelques pas dans le salon avant de lui annoncer que j’allais me préparer. Le temps d’enfiler quelque chose sur moi.
Nathalie, fille d’un couple d’ami, était une jolie brunette aux yeux noisettes. Toujours habillée sexy, que sa silhouette fluette mettait en relief ses pourtours parfaitement proportionnées.
Posant son sac de court sur le sol, elle me suivit alors que je me dirigeais jusqu’à ma chambre, Nathalie derrière mes basques. Alors que je cherchais dans la commode quoi me mettre, la jeune fille se alla poser son cul sur le coin de mon lit.
- Tu comptes rester là ? Lui fis-je.
- Cela t’ennui ? Répliqua-t-elle.
- À ton avis ?
- Comme tu veux ! Lâchais-je en laissant tomber ma robe de chambre sur le sol, tout en jetant de temps en temps un œil vers elle.
Qui pour mieux contempler le spectacle, posait ses deux mains en arrière, ce qui eut pour effet de rehausser son buste et le mit encore mieux en valeur. Les pieds de chaque côté du matelas, la jupe plissée, courte, remonta haut sur ses cuisses fermes, en me passant un slip, je pus découvrir que la jeune fille ne portait aucun sous-vêtement. La coquine continuait à me détailler sans se gêner. Elle admirait mon torse. Plus bas, mon sexe que moulait mon slip en nylon.
Alors que je lui tournai le dos pour fouiller dans son tiroir à la recherche d’une paire de chaussette, Nathalie se plaçait derrière moi.
Sentant le souffle de la jeune fille dans mon cou, je me retournai. Nos visages étaient quasiment à la même hauteur, à quelques millimètres l’un de l’autre. La coquine tendit ses lèvres et sans bouger, aspira ma bouche, tendrement. Elle m’enlaça et fouillait ma bouche avec une langue dure, pointue et habile.
Surpris par son initiative, je ne pus que répondre à sa sollicitation. Je passais ma main derrière sa nuque et à mon tour, avançais ma langue dans la jeune bouche qui s’ouvrait. Les mains de Nathalie, explorait rapidement mon corps. La main s’attarda quelques instants sur les épaules, puis descendait sur mon torse et se dirige tout droit sur mon sexe. Pendant que les doigts jouaient avec lui, l’autre main caressait agréablement mes couilles.
-Oh ! Oui … lâchait-elle, tu as l’air d’aimer cela, cochon !
Pour toute réponse, d’une poussée je l’envoyais valser sur mon lit. Sans lui laisser le temps de réagir je m’allongeais sur elle. M’aidant de mes mains, je soulevais la jupette, empaumais les fesses nues, rebondies et fermes de la jeune Nathalie et plaquais ma queue contre sa chatte. Nos ventres se touchaient, se frôlaient, s’excitaient, s’agaçant.
Sans desserrer mon étreinte, je lui fouillai le sexe avec mes doigts profondément enfoncés. Sous ma caresse la coquine jouissait et relâchait de longs jets de plaisirs qui venaient mouiller mes mains et facilitaient ainsi la pénétration.
- Tu ne peux pas savoir comment j’avais envie de cet instant ! Me fit-elle.
J’abandonnais mes doigts, pour les remplacer par mes lèvres. Sous le pincement de mes dents je sentais sa jouissance monter lentement dans un premier, puis monter encore et encore. Elle serrait ma tête contre sa vulve pour que je puisse boire sa liqueur intime. Le nez dans le sexe de Nathalie, j’aspirais les lèvres, le clitoris et je bus la cyprine qui coulait à flot. Puis à petits coups de langues, je nettoyais la muqueuse, terminant ainsi la jouissance de Nathalie.
- Encore … quémandait cette dernière.
Je m’exécutais jusqu’à ce qu’elle me repousse. Me voyant baisser mon slip le long de mes jambes, elle lâcha, avec convoitise : - Oh oui ! Mets le moi !
Et elle se cala sur le dos, jambes écartées prête à me recevoir.
Après avoir humecté avec sa salive mon bout, je le présentais à l’entrée de son anus. La rosette brune et large marquée profondément par le petit trou, luisait de cyprine qui s’était écoulée de son sexe lors de ma caresse buccale.
Au contact de mon gland, Nathalie poussait un long et profond soupir de bonheur et de plaisir, tendait ses fesses et s’apprêtait à avaler par derrière ma queue, tout en se masturbant le clitoris.
Je poussais ma queue dans le petit trou qui s’ouvrait, s’écartait, avalait et aspirait mon outil à plaisir. Après quelques va-et-vient lascifs, Nathalie avait déjà atteint l’extase.
- Encore ! Plus loin ! Plus fort ! Oui plus fort… Nathalie criait, se tordait de plaisir et se pâmait. Elle laissait aller sa jouissance. La cyprine se répandait largement sur le lit. Sa main toujours sur le clitoris qu’elle broyait sous son plaisir lui arrachait des hurlements de jouissance.
Bien empalée, je goûtais aux nombreuses contractions de son anus qui prolongeait le plaisir. Penché maintenant au-dessus de sa tête, je l’embrassais langoureusement et profondément. Ma langue dure et pointue fouillait Sa bouche, raclait les dents, se heurtait au palais.
Je profitais de ces instants pour partir à l’exploration du corps de Nathalie. Dénudant sa poitrine pour caresser doucement ses seins aux petits bouts durs et pointus, j’introduis mes doigts dans le sexe renflé, humide et chaud de la jeune fille tout en lui pompant le cul.
Le contact intime envoyait une longue onde de plaisir dans le ventre de la jeune fille. Je cherchais son bouton et le trouvais niché dans le haut des plis de la jeune vulve. Un bouton dur et peu développé mais très sensible. En grattant avec le bout de l’ongle, je le sentais durcir et se tendre. Doucement, je redescendais de nouveau vers l’ouverture du jeune sexe et pénétrais une fois encore doucement l’entrée.
Nathalie poussait un long soupir, écartait largement les jambes pour mieux m’inciter à continuer mon fouillage, lui arrachant un long gémissement.
- Oh ! Oui, pénètre-moi … loin … encore plus … Le sexe se contractait et s’ouvrait sous les vagues de plaisir qui montaient, broyant ma main au fur et à mesure que je l’enfouissais. Mes doigts étaient loin dans son sexe et je caressai les parois internes, glissantes de plaisir, et aussi ma queue logée dans l‘autre tunnel. Je m’y attardé et déclenchais de longs soupirs de la part de Nathalie, insistais sur la zone érogène, dont je sentais le granuleux et petites aspérités qui durcissaient sous la poussée du massage de mes doigts. Le plaisir se déclenchait et se déchaînait d’un seul coup, faisant crier de jouissance la jeune fille : -Encore! Encore plus ! Encore! Oui … Le corps arc-bouté, secoué de spasmes de plaisir, Nathalie criait son plaisir. Et de retomber sur le dos, après avoir trempé ma main, dont le sexe, le clitoris et les seins redemandent aussi du plaisir.
Il ne m’en fallait pas moins pour inonder son cul de ma jouissance.
Après m’être lavé la bite souillée de taches brunâtres et d’avoir mis les draps du lit dans la machine à laver, j’accompagnais Nathalie jusqu’à la ville. Durant toute la durée du parcours elle me suppliait de renouveler notre relation.
Je frémissais, imaginant ce que cela serait, alors que j’avais encore son goût dans ma bouche.
- On verra… lâchai-je, juste avant la déposer sur le trottoir.
J’étais en train de tartiner mon pain grillé quand la sonnerie de la porte d’entrée striait le calme de la pièce. Interrompant ce que je faisais, j’enfilai en maugréant ma robe de chambre et avant d’arriver à la porte criais que j’arrivais.
- C’est moi Nathalie, Alain ! Bredouilla-t-elle. Peux-tu m’amener au lycée, s’il te plait ?
- Bien entendu. Répondis-je après avoir ouvert la porte. Rentre !
Je m’effaçais pour laisser entrer la jeune fille. Je fis quelques pas dans le salon avant de lui annoncer que j’allais me préparer. Le temps d’enfiler quelque chose sur moi.
Nathalie, fille d’un couple d’ami, était une jolie brunette aux yeux noisettes. Toujours habillée sexy, que sa silhouette fluette mettait en relief ses pourtours parfaitement proportionnées.
Posant son sac de court sur le sol, elle me suivit alors que je me dirigeais jusqu’à ma chambre, Nathalie derrière mes basques. Alors que je cherchais dans la commode quoi me mettre, la jeune fille se alla poser son cul sur le coin de mon lit.
- Tu comptes rester là ? Lui fis-je.
- Cela t’ennui ? Répliqua-t-elle.
- À ton avis ?
- Comme tu veux ! Lâchais-je en laissant tomber ma robe de chambre sur le sol, tout en jetant de temps en temps un œil vers elle.
Qui pour mieux contempler le spectacle, posait ses deux mains en arrière, ce qui eut pour effet de rehausser son buste et le mit encore mieux en valeur. Les pieds de chaque côté du matelas, la jupe plissée, courte, remonta haut sur ses cuisses fermes, en me passant un slip, je pus découvrir que la jeune fille ne portait aucun sous-vêtement. La coquine continuait à me détailler sans se gêner. Elle admirait mon torse. Plus bas, mon sexe que moulait mon slip en nylon.
Alors que je lui tournai le dos pour fouiller dans son tiroir à la recherche d’une paire de chaussette, Nathalie se plaçait derrière moi.
Sentant le souffle de la jeune fille dans mon cou, je me retournai. Nos visages étaient quasiment à la même hauteur, à quelques millimètres l’un de l’autre. La coquine tendit ses lèvres et sans bouger, aspira ma bouche, tendrement. Elle m’enlaça et fouillait ma bouche avec une langue dure, pointue et habile.
Surpris par son initiative, je ne pus que répondre à sa sollicitation. Je passais ma main derrière sa nuque et à mon tour, avançais ma langue dans la jeune bouche qui s’ouvrait. Les mains de Nathalie, explorait rapidement mon corps. La main s’attarda quelques instants sur les épaules, puis descendait sur mon torse et se dirige tout droit sur mon sexe. Pendant que les doigts jouaient avec lui, l’autre main caressait agréablement mes couilles.
-Oh ! Oui … lâchait-elle, tu as l’air d’aimer cela, cochon !
Pour toute réponse, d’une poussée je l’envoyais valser sur mon lit. Sans lui laisser le temps de réagir je m’allongeais sur elle. M’aidant de mes mains, je soulevais la jupette, empaumais les fesses nues, rebondies et fermes de la jeune Nathalie et plaquais ma queue contre sa chatte. Nos ventres se touchaient, se frôlaient, s’excitaient, s’agaçant.
Sans desserrer mon étreinte, je lui fouillai le sexe avec mes doigts profondément enfoncés. Sous ma caresse la coquine jouissait et relâchait de longs jets de plaisirs qui venaient mouiller mes mains et facilitaient ainsi la pénétration.
- Tu ne peux pas savoir comment j’avais envie de cet instant ! Me fit-elle.
J’abandonnais mes doigts, pour les remplacer par mes lèvres. Sous le pincement de mes dents je sentais sa jouissance monter lentement dans un premier, puis monter encore et encore. Elle serrait ma tête contre sa vulve pour que je puisse boire sa liqueur intime. Le nez dans le sexe de Nathalie, j’aspirais les lèvres, le clitoris et je bus la cyprine qui coulait à flot. Puis à petits coups de langues, je nettoyais la muqueuse, terminant ainsi la jouissance de Nathalie.
- Encore … quémandait cette dernière.
Je m’exécutais jusqu’à ce qu’elle me repousse. Me voyant baisser mon slip le long de mes jambes, elle lâcha, avec convoitise : - Oh oui ! Mets le moi !
Et elle se cala sur le dos, jambes écartées prête à me recevoir.
Après avoir humecté avec sa salive mon bout, je le présentais à l’entrée de son anus. La rosette brune et large marquée profondément par le petit trou, luisait de cyprine qui s’était écoulée de son sexe lors de ma caresse buccale.
Au contact de mon gland, Nathalie poussait un long et profond soupir de bonheur et de plaisir, tendait ses fesses et s’apprêtait à avaler par derrière ma queue, tout en se masturbant le clitoris.
Je poussais ma queue dans le petit trou qui s’ouvrait, s’écartait, avalait et aspirait mon outil à plaisir. Après quelques va-et-vient lascifs, Nathalie avait déjà atteint l’extase.
- Encore ! Plus loin ! Plus fort ! Oui plus fort… Nathalie criait, se tordait de plaisir et se pâmait. Elle laissait aller sa jouissance. La cyprine se répandait largement sur le lit. Sa main toujours sur le clitoris qu’elle broyait sous son plaisir lui arrachait des hurlements de jouissance.
Bien empalée, je goûtais aux nombreuses contractions de son anus qui prolongeait le plaisir. Penché maintenant au-dessus de sa tête, je l’embrassais langoureusement et profondément. Ma langue dure et pointue fouillait Sa bouche, raclait les dents, se heurtait au palais.
Je profitais de ces instants pour partir à l’exploration du corps de Nathalie. Dénudant sa poitrine pour caresser doucement ses seins aux petits bouts durs et pointus, j’introduis mes doigts dans le sexe renflé, humide et chaud de la jeune fille tout en lui pompant le cul.
Le contact intime envoyait une longue onde de plaisir dans le ventre de la jeune fille. Je cherchais son bouton et le trouvais niché dans le haut des plis de la jeune vulve. Un bouton dur et peu développé mais très sensible. En grattant avec le bout de l’ongle, je le sentais durcir et se tendre. Doucement, je redescendais de nouveau vers l’ouverture du jeune sexe et pénétrais une fois encore doucement l’entrée.
Nathalie poussait un long soupir, écartait largement les jambes pour mieux m’inciter à continuer mon fouillage, lui arrachant un long gémissement.
- Oh ! Oui, pénètre-moi … loin … encore plus … Le sexe se contractait et s’ouvrait sous les vagues de plaisir qui montaient, broyant ma main au fur et à mesure que je l’enfouissais. Mes doigts étaient loin dans son sexe et je caressai les parois internes, glissantes de plaisir, et aussi ma queue logée dans l‘autre tunnel. Je m’y attardé et déclenchais de longs soupirs de la part de Nathalie, insistais sur la zone érogène, dont je sentais le granuleux et petites aspérités qui durcissaient sous la poussée du massage de mes doigts. Le plaisir se déclenchait et se déchaînait d’un seul coup, faisant crier de jouissance la jeune fille : -Encore! Encore plus ! Encore! Oui … Le corps arc-bouté, secoué de spasmes de plaisir, Nathalie criait son plaisir. Et de retomber sur le dos, après avoir trempé ma main, dont le sexe, le clitoris et les seins redemandent aussi du plaisir.
Il ne m’en fallait pas moins pour inonder son cul de ma jouissance.
Après m’être lavé la bite souillée de taches brunâtres et d’avoir mis les draps du lit dans la machine à laver, j’accompagnais Nathalie jusqu’à la ville. Durant toute la durée du parcours elle me suppliait de renouveler notre relation.
Je frémissais, imaginant ce que cela serait, alors que j’avais encore son goût dans ma bouche.
- On verra… lâchai-je, juste avant la déposer sur le trottoir.
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