Surprise aux Baléares - histoire érotique

Après avoir passé l'après midi à la plage, tranquilles, en touristes, nous nous arrêtons dans un magasin pour acheter un magnet, avant de rejoindre notre hôtel à proximité.
Un jeune vendeur s'approche de nous, souriant, d'une infinie douceur. Il passe sa main sur l'avant bras de mon homme, semble l'avoir caressé furtivement et montré son ouverture à une intimité encore plus favorable…

" Dis donc, il me drague, là? me dit David, alors que le jeune vendeur a dû retourner à sa caisse.

Si peu habitué à ce genre de situation, David est émerveillé. Sa carrure de poids lourd, son visage balafré, sa toison dense noire de geai lui donne un air de macho très viril que l'on se garde d'aborder. On s'attendrait plus à recevoir son poing dans la figure en osant aller le caresser. Le vendeur a compris notre relation entre David et moi. Peut-être nous a t'il déjà repéré sur la plage ou ailleurs. Pris par une pulsion, il a osé.
Tous les deux, nous regardons le vendeur différemment. Une beauté, une infinie douceur se dégage de ce jeune homme, à la chevelure d'un noir profond, aux dents si blanches, aux yeux comme des perles rares. Il me semble Pakistanais. Que fait-il ici aux Baléares? Perso, je lui donne à peu près 25 ans.
De loin, devant sa caisse, il nous observe, nous sourit, d'un sourire si agréable qu'on a envie de lui répondre, ce qui fait sa force.
On aurait pu repartir et nous sommes encore là, à attendre qu'il revienne nous voir.
Lorsqu'il revient enfin, directement près de mon chéri pour marquer son attirance, David bande comme un âne, incapable de maîtriser sa montée de sève. Son bermuda est tendu à outrance et il ne sait comment enchaîner et draguer cet éphèbe consentant.

" Celui là." lui dis-je en lui montrant du doigt un magnet et en touchant à mon tour le beau jeune homme, pour montrer l'approbation de notre couple à son envie.

Il sourit et nous le suivons vers la caisse. Un autre employé, plus âgé, s'affaire tout à côté et se dirige vers d'autres clients. Est-ce son patron, ou autre, on ne saurait le dire mais lui aussi a des origines Pakistanaises, comme, il me semble, beaucoup de vendeurs dans les magasins près de la plage.
Pour faire dans la discrétion, je lui transmets un flyer de notre hôtel, qu'il récupère aussitôt.
Nos regards se comprennent et, imperturbable, il note à son tour quelque chose dessus et le glisse dans le sac avec notre achat.

Nous ressortons enfiévrés comme des gamins et David a hâte de lire ce qu'il a marqué.

" Bébé, il a écrit quoi?
" Il est dispo dans une heure.
" Oh Putain. T'as vu comment il est gaulé. Putain, le beau corps. J'en ai trop envie.
" Doudou, il est pour toi. C'est toi qu'il veut. Fais toi plaisir.
" Merci mon cœur. Oh Putain, ce que je vais lui mettre…

Mais rembobinons un peu l'histoire pour mieux comprendre l'environnement et le contexte. En vacances aux Baléares, aujourd'hui, nous avons décidé de tester la plage, à environ une centaine de mètres de notre hôtel. Plus de place, moins de cris, pas de sono près de la piscine …le rêve.
La journée s'est passée, tranquille, entre les baignades et les expositions au soleil. A chaque sortie de l'eau, les gouttes perlent sur la peau cuivrée de mon homme et réunissent ses poils fournis et drus. Il est magnifique de beauté, massif, poilu et digne de figurer sur un catalogue pour bears, lui qui rêve de corps lisses comme le mien.

Il sait toute mon attention à son bien-être tout comme lui aussi veille à ce que je sois heureux avec lui. Nous avons entre nous cette relation indéfinissable, qui fait que nos regards se comprennent. Comme moi, sur la plage, il se redresse par moments et, derrière ses lunettes de soleil, il scrute les hommes qui passent là. Nous en rions quelquefois et lorsqu'il me raconte qu'il s'en taperait bien un, qu'il me le désigne, il sait qu'il ne va pas me vexer.


A l'heure prévue, notre vendeur se présente devant l'hôtel, vêtu comme un touriste, coiffé d'une casquette. Je l'accompagne, content que le personnel de l'accueil soit occupé par l'arrivée d'un groupe assez bruyant. Quelle raison a-t-il trouvé pour se libérer, je l'ignore.

Dans notre chambre, sans la moindre pudeur, tout naturellement, il va se blottir dans les bras puissants de mon homme et offre sa bouche. David, pourtant peu adepte d'embrasser un autre que moi, succombe à ses lèvres pulpeuses.
Quoi de plus érotique que de voir deux êtres qui se désirent et s'apprêtent à s'accoupler. Ses bras se sont enroulés sur le corps large et solide pendant que mon homme parcoure les reins et le galbe des fesses de notre jeune vendeur transi de désir. David brûle d'envie de le féconder. Baiser un jeune homme qui le désire, c'est le rêve pour lui.

Les bouches sont ventousées, les langues se mêlent, la salive se mélange. Un moment, je suis malheureux mais je me raisonne. Oui, il en embrasse un autre mais je suis à côté. Jamais David ne voudrait me faire de peine et il a eu mon accord.

Libéré de ce baiser fougueux, il tombe ses vêtements avec une agilité déconcertante.
Pourquoi le corps des Pakistanais est il si beau, je me demande encore. Ses courbures parfaites, son visage si souriant, apaisé, et son sexe qui apparaît… Mon Dieu. J'en reste pantois tant il est bien équipé.
Je lis les yeux émerveillés de mon homme devant cet adonis lisse, d'une teinte à la fois dorée, nacrée, café au lait, d'un merveilleux pastel. Certes doté d'un magnifique sexe mais David est habitué à prendre un homme contre lui et il ne voit que son corps gracieux et son cul galbé qu'il va fourrer avec son superbe manche.

Il entreprend d'effeuiller mon homme qui, surpris par son initiative, se laisse faire. Lui qui adore le rôle inverse se laisse faire! C'est incroyable!
Il libère David de son teeshirt et la masse de mon beau poids lourd s'affiche. Ses pectoraux puissants recouverts d'une toison de grizzli, son ventre rebondi tout autant fourni et ses bras noueux, pleins de force et de virilité…mon homme est beau. J'ai envie de hurler tant je l'aime, tant il est à moi.

Les doigts très fins et agiles du magnifique éphèbe parcourent la toison dense et caressent le galbe de son ventre. Je comprends son désir, son intense plaisir à frotter le corps de mon homme, son exact opposé. Il aime lui aussi les hommes bien en chair, poilus, bâtis comme des titans. Moi aussi, la première fois, j'étais au bord de l'évanouissement tant mon plaisir fut intense.

David apprécie et l'attire vers ses tétons qu'il lui impose de sucer. En réalité, il ne lui impose rien du tout car il s'y plie avec trop d'ardeur. J'en bave d'envie…
Mon mâle reprend les commandes… Le bermuda et le reste tombe de façon très virile.
Les doigts délicats du jeune vendeur enserrent le cylindre dur, l'autre main soupèse les couilles charnues. Il ne s'effraie pas du tout du puissant braquemart libéré, il se penche, se met à genoux et approche ses lèvres pulpeuses.
Quand d'autres auraient fait plein de simagrées, lui trouve ça normal. D'une facilité déconcertante, la moitié du gourdin disparaît dans la chaleur de sa bouche. Deux ou trois manœuvres pour saliver le manche et, sans difficulté, ses lèvres vont jusqu'aux couilles…

" AHHHH….Putaiiiiiiiiiiiinnn….Ouais…Putain le mec!!!!!!

Ebahi par cette manœuvre extraordinaire, mon homme ne peut retenir sa satisfaction d'être si bien embouché et en ferme les yeux tant son plaisir est absolu.
Moi aussi, je suis ébahi. Je sais tout le plaisir que cela procure d'avoir un suceur qui la prend en entier. Je suis émerveillé par sa capacité et sa facilité à enfourner la queue épaisse de mon homme. Un suceur comme ça, je dis respect.
David, et c'est bien normal, le laisse profiter de son gourdin, caresse ses magnifiques cheveux noirs et je sais que c'est trop bon, vraiment trop bon… Il écarte davantage les jambes pour profiter en mode pacha et ronronne des "Putaiiiin", des "Ouaiiiis" des Hummm" . Le travail est bien fait, délicat, sans à-coups, appliqué, total.
Avant que la pression ne soit trop forte, il décide de passer à une autre étape qui l'intéresse tout autant.
Notre vendeur comprend son petit geste et se redresse, se tortille, présente aussitôt ses fesses. Au moins, avec lui, c'est pas compliqué. Son magnifique sourire confirme qu'il est open pour la manœuvre, qu'il la désire depuis le début.
D'un signe de la main, mon homme lui indique le lit.

Allongé l'un contre l'autre, les corps s'enlacent, se frottent, se serrent. Les deux sexes splendides se croisent et se chevauchent. Notre Pakistanais se pâme de bonheur d'être pris sous les étreintes de mon homme et offre son corps langoureux. Il a compris qu'il va bientôt être sodomisé et se prête à tous les désirs de son mâle.
David, qui a repris sa position de dominant, lui laboure la bouche de sa langue râpeuse et lui impose la puissance de son corps viril.
Le contraste est flagrant entre la douceur de ce jeune corps, qui vient de finir son adolescence et celui de mon mâle, viril, très velu, bourré de testostérones, plein de muscles tel un taureau.

Notre passif se tourne sur le ventre, impatient, offre sa croupe, invite à se servir. Il n'a pas les questions de certains ni la peur des autres et s'enduit le trou d'un peu de gel que je lui donne pendant que David enfile un préservatif à sa taille.
Les corps se mettent en place, aimantés par le même désir. Le gland somptueux se cale dans l'ouverture et commence son forage.
Le bel adonis ouvre la bouche, sans un cri et ne s'étourdit pas de l'épais mandrin qui a forcé l'œillet humide et déployé la corolle. Il se cabre, s'offre complètement pendant que David chausse sans problème son superbe bambou dans l'anus dilaté. Un coup de reins de mon homme me confirme qu'il l'a emmanché jusqu'à la garde, sans la moindre difficulté.
Un souffle langoureux sort des poumons du passif, rempli de bonheur. Depuis qu'il a vu mon homme dans son magasin, il en a tant rêvé. Il se cabre encore, dans l'espoir de recevoir les derniers centimètres, embrasse les bras poilus de mon homme…son bonheur est évident.

David est sur un petit nuage. Lui qui, d'habitude, encule des mecs qui crient comme des gorets, aujourd'hui, il baise un jeune mec ouvert, plein de désir pour lui. Content d'être si bien accueilli dans ce cul en chaleur, il le bécote dans le cou puis va chercher ses lèvres. Ils se contorsionnent tous les deux et se rejoignent. Allongé sur ce passif consentant, il le fouraille de sa grosse bite pour lui rappeler que c'est lui le reproducteur ici. Mon mâle a repris ses instincts de bête et entend bien lui infliger une saillie virile. Je connais mon homme, il va bien le servir.
Il lui bave dans la bouche et lui râpe le visage avec sa barbe de 4/5 jours. Le magnifique minet couine à présent de s'en prendre autant dans le cul. Ses petites plaintes exotiques sont un ravissement pour David. Baisé, sodomisé dans les règles, il ne souffre pas, bien au contraire.

Tout à son instinct de mâle, David ne m'a pas oublié.

" Bourre lui la gueule, Bébé!

Même si les paroles paraissent vulgaires, ce n'est en aucun cas un mépris de la part de David. C'est sa façon de s'exprimer et il a senti le besoin de faire plaisir à ce jeune homo Pakistanais qui aime tant sa grosse queue. Moi qui suis moins bien monté, si je passe après, il va être trop élargi.

La queue raide, le gland suintant, je m'approche du couple enchâssé l'un dans l'autre. Mon phallus relevé, je me joins à eux. Mon homme, en signe d'amour, quête mon abricot gonflé, l'honore de sa salive, le déguste. Je pourrais lui jouir dans la bouche, il n'en prendrait pas ombrage, bien au contraire. Il a toujours avalé ma semence. Son amour pour moi est total.

La bouche de notre soumis est ouverte. Il meurt d'envie de me sucer et de se faire entuber en même temps. Nous sommes tombés sur un bon client.
David me laisse disposer de mon sexe luisant pour assister à cette fellation demandée. Il se rince l'œil lorsque toute ma hampe disparaît entre les lèvres pulpeuses. Une douceur envahit mon sexe. Comment fait il pour me procurer un tel bien-être. Il n'est nullement dérangé de me l'engloutir jusqu'aux couilles, de me presser le gland contre sa luette et de recevoir le braquemart de mon homme entre les fesses.

Beaucoup se pâmeraient d'assister à telle partouze.
Ses capacités vacillent un peu, il fléchit, gémit entre nous deux. Pas les couinements de chez nous, les occidentaux mais un petit gémissement digne, très érotique, qu'il doit tenir de ses origines exotiques.
David l'a mis un peu sur le côté pour ne pas l'écraser. J'aperçois son magnifique sexe, tendu à l'excès, raide de plaisir. Ses lèvres glissent sur ma queue et me procurent des sensations de plus en plus chaudes. Sa bouche est un étuve brûlante et humide et, tel un soufflé au fromage, je monte, m'apprête à déborder…mon membre se raidit, une phase de non retour ne saurait tarder…

" Bébé, il va te vider les couilles!…" David jubile de la situation, heureux comme tout.

Il prend plaisir à me voir bientôt juter, à voir que je vais gicler mon foutre dans cette bouche gourmande qu'il a lui-même explorée.

" Heinnnnn…Putaiiiiinnnn, moi aussi, je vais le fourrer…

Mon Doudou ne se retient plus; il le pilonne et lui envoie un ramonage intensif, avant de conclure.

L'explosion fatale arrive…ponctuée de nos râles libérateurs.
Il ne bronche pas, tire une grande fierté à recevoir mon sperme, me siphonne carrément les couilles. De violents jets s'échappent de son sexe et giclent jusque sur moi; il sait que David, bloqué et arrêté entre ses fesses, le rempli de sa semence tout en gueulant sa libération.
Il nous faut une ou deux minutes à descendre tant tous le monde à pris son pied.

Repu, satisfait de tant de plaisir, David se déchausse du bel adonis et bascule sur le dos. La capote est remplie, le bambou encore raide. Notre jeune Pakistanais se penche alors sur mon homme et, dans un geste d'une douceur extrême, il enlève la capote et vient sucer ce beau phallus qui l'a si bien honoré. Comme beaucoup d'hommes après avoir jouis, David n'est pas un adepte de ce moment. Il n'y a qu'à moi qu'il tolère et réserve cette délicate attention, pour me prouver son amour…mais notre éphèbe ne peut pas le savoir.
David le remercie pour qu'il n'insiste pas.


Il se relève, le sourire radieux, ayant assouvi son fantasme et remet aussitôt ses vêtements. Mon homme se lève, le prend dans ses bras et l'embrasse affectueusement.
Notre beau Pakistanais, avec sa montre, nous fait comprendre qu'il doit partir… D'un grand sourire, avec des tapes dans le dos, nous le remercions.

" Putain, ça valait le coup" me dit mon chéri lorsque nous nous retrouvons seuls.

On a quand même supposé qu'il devait soulager nombre de touristes. Nous sommes retournés dans le magasin le lendemain, il était " tout sourire " avec un Allemand fortement charpenté et avec la trique dans le short.
David m'a donné une tape dans le dos, excité d'imaginer la suite de la drague….