Surprise et découverte - histoire érotique

Je me présente, ,Marion je vais bientôt avoir 18 ans, je viens de réussir mon bac S, je suis une petite rousse menue de 48kg, cheveux tombant sur les épaules, avec queue de cheval des fois, petite poitrine de 85B, mon copain étant parti en vacances, je me retrouve seule à Paris, Porte d’Orléans, mes parents au travail, je décide d’aller me faire une petite toile dans le cinéma de quartier, une belle journée, un peu chaude aussi j’enfile une jupe ample beige, un shorty blanc, un chemisier blanc noué à la taille, sg blanc et petites sandales.
Arrivée devant le cinéma, je me décide pour un film de société, arrivée dans la salle, pas mal de monde, je décide de me mettre au fond, m’installe 2 places au bord de l’allée, car je n’aime pas trop être coincé, je suis un peu absorbée à lire mes messages quand une femme d’une bonne soixantaine, grande, grisonnante, belle femme, souriante, me regarde
- Bonjour, la place est libre
- Oui bien sûr, venant s’assoir à mes côté et je replonge dans mes messages, la lumière diminue, passage de quelques pubs, puis présentation des prochains films et enfin la salle se plonge dans le noir et le film commence.
Au bout d’une quinzaine de minutes je sens le bras de ma voisine contre le mien, surprise, je ne bouge pas, je suis bien calée dans mon fauteuil, qui plus est, bien confortable, sa main se pose délicatement sur mon avant, chaude, ce qui me donne des frissons, je ne veux pas faire du bruit, je suis un peu tétaniser, finalement elle me caresse doucement l’avant-bras, je tourne doucement la tête vers elle, elle regarde l’écran.
Finalement sa descend doucement de mon avant-bras vers ma main, se pose sur elle, la caresse, je sens monter en moi un torrent de chaleur, cette caresse est très agréable en étant surprise de ma réaction, elle me retourne la main et caresse son intérieur, je me laisse faire, je suis bien, sa main saisit la mienne, nos doigts emmêlés, je tourne la tête vers elle, me regarde, me sourit, je me dis elle me drague en me disant je ne suis pas lesbienne, mais me laisse aller.
Sa main quitte la mienne et vient se poser sur mon genoux, je vibre à ce contact, j’ai la chair de poule, elle doit s’en rendre compte, je me laisse faire, elle se penche vers moi
- Vous avez la peau douce et sensible
- Merci, sa main saisit mon genoux, le malaxe puis glisse sur ma cuisse et se faufile en son intérieur, alors je serre cette main entre mes cuisses, elle ne bouge plus, son autre main vient se poser sur mon ventre dénudé, je suis tétanisée, je n’ose plus bouger, je me laisse faire, sa main se glisse dans mon chemisier, se promène su ma poitrine, mes mamelons réagissent, elle en saisit un délicatement à travers mon sg, délicatement, le roule entre ses doigts, je respire plus rapidement, me détend, libérant sa main entre mes cuisses, qui se faufile vers mon panty, se pose sur ma vulve brulante, ne bouge plus, l’autre main saisit le bord de mon sg en extirpant un sin qu’elle saisit, le malaxe avec douceur, pince mon mamelon avec délicatesse, le roule entre ses doigts, il est tendu ma petite poitrine est de plus en plus gonflée, sa main caresse ma fente à travers mon panty, je suis de plus en plus mouillée, elle va s’en rendre compte, tant pis, le moment est agréable, je me laisse aller, sa main quitte mon sein, saisit ma main, la pose sur se cuisse en se penchant vers moi
- Laisse toi aller et fait comme moi, fait moi confiance
- Ma main sent une cuisse ferme, la remonte et surprise je découvre qu’elle n’a pas de culotte, je sens sa toison, je ne bouge plus, alors sa main remonte sur le haut de mon panty, se glisse à l’intérieur, arrive à mon pubis en me disant
- Écarte les cuisses
- Ce que je fait doucement, lui donnant accès à mon intimité, alors sa min se pose sur ma fente humide, un doigt commence à la caresser, ce que je fais, je sens que je commence à m’ouvrir doucement, je fais de même, elle est très humide, comme moi, son doigt écarte doucement mes grandes lèvres, je suis son évolution, son doigt frotte mes petites lèvres trempées, son doigt remonte vers mon bouton qui est gonflé, je vibre de plus en plus, elle s’arrête, son doigt franchit mes petites lèvres en s’enfonce en moi, je le sens entrer, puis sa main se bloque sur ma vulve, son pouce caresse mon bouton, je sens la jouissance arrivée, je me cambre alors elle pose ses lèvres sur les miennes pour m’empêcher de crier, sa langue sa faufile entre mes dents, un log baiser nous unit, longuement, mon orgasme me terrasse et je me laisse aller et retombe sur mon siège, puis ses lèvres me libère, sa langue se promène sur mes lèvres, je suis bien, je sens son doigt en moi, son pouce sur mon bouton se penche vers moi
- Tu as bien joui, tu as bien aimé, maintenant retire ton panty et donne le moi
- Je retire ma main de son pubis, soulève mes fesses, en me disant que je suis folle, retire mon panty et lui donne, le saisit, le porte à son visage puis e penche vers moi
- Tu es merveilleuse, une odeur de jouissance, de plaisir, j’adore, maintenant écarte bien tes cuisses, le plus possible et ne bouge plus
- Je m’exécute en regardant autour de moi, me voici écartelée, ma jupe cachant mon entre cuisse, alors je sens sa main se poser sur ma vulve, un doigt frotte mes grandes lèvres, puis les petites, je suis trempée, le ressort, se glisse entre mes fesses, les écarte, son doigt se glisse vers ma rondelle, la caresse, de plus en plus rapidement, je réagis, me laisse aller, son doigt force un peu, j’ai peur, se positionne bien et force doucement et je me sens surprise de me faire pénétrer aussi facilement, son doigt se promène doucement dans entailles, me laisse aller, son pouce vient frotter ma fente, des frissons m’envahissent, un orgasme arrive, je serre les dents pour ne pas crier, je vivre te me laisse retomber sur le fauteuil et au bout de quelques minutes s’approche de moi
- Tu es vraiment adorable, tu es vraiment étroite ce qui est merveilleux, j’espère que tu as bien aimé
- Oh oui
- Tu veux venir passer l’après-midi chez moi
- Je ne sais pas
- Tu ne risques rien et après je te raccompagne chez toi
- Entendu, je peux avoir mon panty.
- Pas la peine, regarde il fait sombre et dehors personne ne verra rien et on viendra nous chercher devant le cinéma
- J’ai un peu honte, elle saisit son téléphone, tape un texto, l’éteint, saisit ma main en me disant
- Suis moi, nous nous levons et nous dirigeons vers la sortie, arrivons sur le trottoir, nous nous regardons, tu es très belle en pleine lumière
- Vous aussi, nous nous sourions, au bout de quelque minutes une voiture noire arrive s’arrête devant nous, un homme en djellaba en sort, ouvre la portière arrière et nous nous engouffrant à l’intérieur ………..