SURPRISE PARTY - histoire érotique

111...113…115...Nous somme plus très loin … 117 ! Nous y
sommes !
La petite souris et moi avons répondu favorablement à l’invitation de cette
charmante hôtesse de la rejoindre dans sa suite pour 22 heures. Tel fut pas
notre surprise lorsqu’elle nous ouvre la porte ….
Nous sommes arrivés à Auckland depuis 6 heures du matin, bien
fatigués par ce long voyage et les quelques galipettes effectuées histoire
d’agrémenter notre vol.
Après un bon petit déjeuner copieux à l’anglaise pris sur le port nous nous
sommes promenés main dans la main pour visiter la ville et commencer à
s’imprégner de l’ambiance locale.
Aux alentours de midi , les bras de Morphée se faisant trop lourds, nous
sommes retournés à l’hôtel afin de nous reposer au maximum avant la
belle soirée qui nous attend.
C’est une soirée déguisée !!!? notre hôtesse du soir nous accueille en
tenue hyper sexy cuir moulant et longue botte à la Catwoman. Un peu gêné
nous n’avions pas compris le thème de l’invitation mais nous sommes
rassurés en rentrant dans sa suite car nous ne sommes pas seul ! Tout
l’équipage est présent , du commandant de bord en tenue d’apparat, et tout
le reste de l’équipage, pilote en second, steward, hôtesses, tous en tenue de
soirée et quelques clients privilégiés et repérés durant le vol par nos hôtes.
Nous nous regardons avec la petite souris, un brin amusés et finalement
ravis de se retrouver parmi un panel très select de personnes de bonne
compagnie.
Musique agréable, champagne, et un buffet composé principalement
d’huîtres, d’asperges, petits fours avec du gingembre, des amandes, du
chocolat noir, des fruits rouges, que des aliments symbole de stimulants, à
la sensualité, la passion et le désir…
Est-ce un hasard ?
La suite est immense, grande terrasse qui donne sur le port, décor très
soigné, plusieurs grands canapés qui forment un U au milieu de la pièce
principale et écran vidéo King Size . Nous n’osons pas faire le tour de
l’appartement mais nous repérons plusieurs chambres au fond d’un couloir
proche de la salle de bains et des commodités.
La soirée est très agréable et malgré la barrière de la langue nous
arrivons à discuter avec la plupart des invités présents.
La petite souris parle très bien l’anglais, faut dire que dans le
domaine des langues c’est une experte ! Pour ma part, je baragouine
quelques mots que l’alcool buvant m’aide à sortir de façon plus naturel au
fur et à mesure des coupes.
Nous n’avons pas forcément de tenue de soirée à proprement dit,
l’invitation à cette sauterie n’était pas prévue au programme, mais nous
aimons le style décontracté chic. Ma chérie avec une petite jupe colorée,
arrivant au dessus des genoux, jambe nues, petites ballerines assorties et
un haut bras nues, plutôt moulant, ne laissant pas de doute sur la qualité et
la santé de sa poitrine dont elle l’avait volontairement libérée de son
carcan de dentelles habituelles afin de bien faire deviner le dessin de son
galbe.
Pour ma part, pantalon en lin et chemise rose pâle qui me va si bien au
teint.
Nous allons bientôt comprendre qu’il n’était pas utile de trop s’habiller…
Au fur et à mesure que la soirée avance nous remarquons le vas et
vient de plusieurs personnes dans les couloirs. Il semblerait qu’un pouvoir
magique existe dans une des pièces de la suite qui a le don de faire
déshabiller les jolies demoiselles et les étalons en rûte. Nous sommes
invités à participer à un poker un peu particulier mais nous préférons rester
un peu en retrait, regarder la partie se dérouler et rigoler sur l’effeuillage
progressif du commandant de bord et de son second qui semble pas très
heureux à ce jeux.
De retour dans le grand salon, l’atmosphère a changé…
L’écran King Size fait l’apologie des exploits de Rocco et les couples
deviennent trio voir quatuor. Pas habitué, la petite souris est un peu
intimidée et me serre la main très fort comme si je devais la retenir pour
qu’elle ne succombe pas.
Notre sublime hôtesse s’approche de nous avec un large sourire et un
déhanché sans équivoque. Elle nous demande de la suivre dans une des
chambres. Nous la suivons ne sachant pas trop à quoi nous attendre même
si nous avons une petite idée. L’ambiance de la soirée, l’alcool,
l’esthétisme soigné des participants, tout cela nous fait tourner la tête vers
une nouvelle expérience pour tous les deux.
Nous somme cinq dans le lit, le steward, deux hôtesses, nous et le
capitaine de bord debout dans le coin de la chambre, nu comme un ver
après sa déconvenue au jeu. C’est la suite royale ! Et nous avons droit aux
honneurs de l’équipage quasi au complet.
Les participants ne nous attendent pas, ils commencent déjà à se
toucher, se caresser, s’embrasser, s’entremêler, sous le regard excité du
pilote en chef qui s’astique le bout dans son coin.
Nous n’avons jamais participé à ce type de relation et je fait
comprendre que je suis hétéro, La petite souris pose également des limites
mais cela ne dérange pas nos hôtes. Ils semble habitués à l’initiation de
l’amour en groupe et ils ont détecté en nous un potentiel à développer.
Nous ne savons pas exactement ce que nous faisons mais c’est
spontané, agréable et terriblement excitant. Personne n’est trop saoul, tout
le monde est consentant, c’est libérateur, naturel, confortable et
authentique.
Nous n’avons pas besoin de nous déshabiller, on s’en occupe pour
nous. J’ai le privilège d’avoir comme tutrice notre hôte et c’est le steward
qui effeuille ma chérie accompagné d’une autre hôtesse.
Nous en sommes au stade des caresses et des baisers. Positionné dans
le lit l’un en face de l’autre on se quitte quasiment pas du regard avec ma
dulcinée. Pendant que l’on fait en sorte de monter notre désir, nos yeux se
fixent et c’est jubilatoire de voir notre excitation monter en se regardant
sans se toucher, juste par le contact de mains expertes, de lèvres et de
langues aguerries.
Je m’allonge sur le dos prêt à accueillir le monde entier ! Enfin
presque…Ma chérie en profite pour se positionner face à moi et glisse mon
gourdin dans sa fente bien préparée.
Je n’ai pas eu beaucoup le temps de la voir, que le cul rebondi de
mon hôtesse de l’air se positionne sous mon nez prêt à recevoir trous les
honneurs qui lui sont dû. Je prend ce cul à pleine main et commence avec
ma langue à lui détendre la porte arrière pendant que mes doigts se glissent
dans cette chatte si chaude et humide.
Pendant ce temps, ma petite souris branle ma queue avec sa chatte
comme elle sait si bien le faire et comme elle adore lorsqu’elle est bien
excitée,
Quelle étrange sensation se sentir sa femme au bout de sa queue
prendre un plaisir ultime et faire jouir une divine créature au cul exotique
en même temps.
Une fois l’orgasme divin donné à ma déesse des îles, elle se relève un
peu et viens lécher les seins de ma petite souris.
Tel fut pas ma surprise de la voir branler, une queue dans chaque
main, les gourdins du commandant de bord et du steward rien que çà avec
une énergie similaire à celle qu’elle me donne par ses vas et vient
incessant.
La dernière hôtesse n’est pas en reste et caresse les testicules gonflés
des deux étalons prêt à donner de leur puissance dans un jet de sperme qui
arriva, soudainement, spontanément, massivement, inonder les cheveux et
le visage d’une petite souris au bout de son effort.
Épuisée par tant d’exercice, elle s’allonge sur le côté encore éprise
par quelques spasmes d’orgasmes subis par autant d’excitation cumulées.
Pour ma part, les deux hôtesses voyant que je n’avais pas fini, ont la
délicatesse, à tour de rôle, de me branler et me sucer les boules avec un
soin et une douceur qui me fait jouir également avec un râlement tellement
fort que cela fit rire l’assistance et moi-même par la même occasion une
fois mes esprits repris.
Une fois rhabiller, nous laissons nos hôtes continuer car
manifestement un autre couple était invité dans la suite royale.
De retour dans notre chambre, nous prenons une douche pour
évacuer toute la sueur de nos ébats et reprendre nos esprits après cette
soirée bien arrosée dans tous les sens du terme.
Une fois allongé dans notre lit nous nous serrons fort l’un contre
l’autre, comme pour nous retrouver après cette expérience commune
collective.
Nous n’avions jamais parlé de cela auparavant dans nos fantasmes ou
désirs sexuels. C’est venu naturellement, spontanément, dans le respect de
l’un et l’autre et pour notre plaisir commun.
Je ne sais pas si nous recommencerons, mais c’est typiquement le
genre d’aventure qui forge notre relation, notre couple.
La nuit fut douce et notre sommeil profond. C’était le début de notre
voyage de noces, le début de notre histoire, le début de notre vie commune
et la fin de toute les désillusions du passé car c’est la femme de ma vie,
mon amour, ma dulcinée, ma petite souris...