Surprise party fine - histoire érotique

Il faut que je vous dise.. Depuis que je suis en couple, il est devenu terriblement difficile de vivre pleinement ma bisexualité. Ho non pas que ma femme me harcèle, ou me flique, mais je ne voudrais tellement pas la blesser. Et puis surtout, un plan cul vite fait de temps en temps ou une escapade dans des lieux de débauches entre hommes me suffisent. Je me tape donc, de temps en temps, des mecs. Je les suce, ils me sucent, on s'éclate sans arrière pensée. C'est la belle vie.

Seulement avec les plans du net, ce qui peux arriver, c'est de drôles de surprises. Moi je suis plutôt du matin. Les jours où en me levant, j'ai encore la queue dure de mon rêve érotique, je me connecte sur un tchat gratuit, et je cherche. A force on retombe sur les mêmes personnes, cette fois, je suis tombé sur un mec avec qui j'avais déjà baisé. Un plan sans plus, un mec un peu timide, qui avait peu parlé. Il m'avait baisé dans mon pieu, de la même manière que je baise ma femme. Il était doux, et m'avait pris lentement, sous mes draps. C'était pas mal, mais court, et puis, parfois j'aime bien que le mec y aille franchement. Autant vous le dire, c'était pas assez hard.

Bref! Ce type, dont j'avais à ce moment là oublié le prénom, vient me parler sur le tchat. J'ai envie il a envie, ni une ni deux, il arrive d'ici une heure. Ok, juste le temps pour moi de me préparer. Petite douche rapide, un peu de rangement. Je sors les capotes et le gel. Je me cale un doigt bien enduit de salive, histoire de bien me préparer. Gilles arrive enfin. Il sonne à l'interphone, je lui ouvre, il monte. Mon cœur bat à 100 à l'heure dans ces moments là. Je suis encore sensible au risque, tout peux échouer encore.

Gilles frappe à la porte, j'ouvre. Surprise! Ils sont deux. Je suis un peu interloqué, c'est qui ton ami ? Gilles ne me le présente pas vraiment, c'est un ami. Je suppose qu'il s'agit d'un "sexfriend" de Monsieur, et qu'il a trouvé judicieux de me le ramener pour un plan à trois. Après tout pourquoi pas, je l'ai déjà fait, j'aime bien. Les hommes entre. Je n'arrive pas vraiment à donner un âge à l'ami de Gilles, ni une origine d'ailleurs. Je les invite à rentrer et à se mettre à l'aise en bredouillant.

"Je prendrais bien un café, et toi ?" demande Gilles à son ami.

Me voila donc partit préparer du café pour mes visiteurs. Je cogite dans la cuisine en imaginant les possibilités du trio. Quand je reviens au salon, les deux hommes se sont confortablement installés dans mon canapé, pantalon aux chevilles, queue mi-molle. Gilles caresse la queue de son ami, qui semble très à l'aise.

"Tournes toi" me demande-t-il d'ailleurs. Je m'exécute..

"ok, je prendrais du sucre, fous toi à poil et viens me sucer pendant que je bois mon café" Puis en regardant Gilles :
"Alors c'est ça que t'as trouvé à baiser, t'avais rien d'autres sous la main?" Gilles baisse les yeux, et acquiesce. Je subis mon humiliation, et une fois à poil, me mets à genoux devant la bite trapue qui s'offre à moi. Mon partenaire anonyme ne sourcille pas, et bois son café en silence.
Gilles bois son café en ne ratant pas une miette de la scène. Sa queue gonfle dans ma bouche, j'ai une gaule d'enfer. Le mec me saisis par les cheveux et en me regardant, la tasse dans l'autre main :

"Allez suce le maintenant, et surtout le fais pas jouir... "

Je m'exécute. La queue de Gilles doit faire dans les 15cm, assez fine. Je la gobe sans difficulté, Gilles gémit et ne contrôle pas vraiment, quelques soubresauts, et je le sens au bords de l'orgasme, je m'arrête. L'inconnue me rappelle à son bon souvenir, et réenfourne l'engin un peu plus gros dans ma gueule, cette fois sans ménagement.

Gilles est stoïque, probablement frustré de ne pas avoir jouit encore. Ses gestes sont hésitants, et j'entrevois son maître le couper dans son élan alors qu'il se baissait pour me rendre la pareil.

"ok, maintenant lèves toi et baises le" me dit-il en montrant Gilles.

J'aime beaucoup être soumis, j'ai trouvé le bon mâle avec lui, dominateur, solide, pervers. Juste ce qu'il me faut de hard. Gilles se retourne et se positionne, cambré, à 4 pattes sur le canapé. Sans dire un mot, il saisit le gel et commence à se masser l'anus. je m'équipe d'une capote, et lui présente ma queue à sucer. Moi aussi je veux en profiter. Il s'exécute et avale ma queue, en salivant abondamment. Je me positionne alors derrière lui, et entame la lente pénétration dans son cul. Je le sens gémir, mais les instructions du chef sont clairs, vas y direct et à fond. Je le prends sans ménagement, je le sens prendre son pied, le souffle qui s'accélère. Au bout de quelques minutes, l'inconnu prends la tête de Gilles et la porte à sa queue, puis rapidement il s'arrête, et sentant que ma jouissance était proche, m'ordonne de me retirer. A regret, je retire mon sexe du cul de Gilles, béant, bien ouvert. L'inconnue se lève, et me demande où est la chambre, Nous y allons tous les trois.

Je m'allonge sur le lit, l'inconnue me met sur le dos et relève mes jambes. Les doigts plein de gel, il commence à trifouiller mon cul, je sens ses doigts me pénétrer sans délicatesse, mais sans me faire mal. Gilles nous suce alternativement, c'est le pied, je ferme les yeux, et perds un peu la
notion du temps. Tout ce que je sais, c'est que quand mon mâle a retiré ses doigts j'ai sentit l'air passer, et je l'aurais supplié de me prendre sur le champ. Pas besoin, je savais que c'était à la suite du programme. Quelques secondes après, je sentais un gland brûlant contre ma rondelle. Le gel et la préparation préalable, la queue de mon inconnue n'a pas eu beaucoup de mal à forcer le muscle, et rapidement, je sentais le gland épais me transpercer. Une fois le bout de la queue en moi, je le sens relever un peu plus mes fesses, et d'un coup sec, m'embrocher. Toutes sa queue est rentrée en moi, en m'arrachant un hoquet de surprise. Je me cambre, et l'homme de Gilles s'immobilise. Il me branle mollement, pendant que Gilles, lui, se caresse en nous regardant.

Alors que je sentais mon anus se détendre légèrement autour de cette queue qui occupait mon rectum, l'inconnue commença un va et vient vigoureux en moi, en donnant des coups secs. Mes fesses claquaient contre sa peau, et mes mains essayaient de le tenir à distance, tant j'avais l'impression qu'un marteau piqueur me frappait les boyaux. Mais rien n'y faisait, le rythme au contraire s'accélérait. Je m'entendais gémir comme une pucelle qui découvre le cul, et Je voyais Gilles qui bandait à fond. Mon partenaire s'arrêta brusquement, et se retira d'un coup sec. Il se leva rapidement, retira sa capote, et se présenta à mon visage.

"Suces petite pute, je vais te jouir dans la gueule, fais vite ça vient! Gilles, finis le!"

Gilles est docile, ok, mais ça allait forcément dans le sens de son envie. Il mit une capote en une demi-deconde, et il n'en fallut pas plus, pour qu'il plonge ,sans précautions, son engin en moi. Dans le même temps, l'inconnue m'avait fourré son sexe dans la bouche, et je m'appliquais à pomper le dard, pour le faire cracher. Gilles allait et venait dans mon cul encore plus vite, mais son sexe plus modeste ne provoqua aucune douleur, et j'écartais mes fesses le plus possible. Je sentis alors mon partenaire venir, et d'un coup, je sentais un jet puissant conter ma joue, et ma bouche de se remplir de son liquide chaud. Je nettoyais ça queue du mieux que je pouvais, puis quand il se retira, sans un mot, il se rhabilla. Gilles vint quelques instants plus tard, il se retira de mon cul, et jouit sur mon ventre. j'étais vanné.

"Suce le et fais le jouir" dit-il à Gilles, qui hésita un peu, et la mort dans l'âme s'appliqua à me pomper. Encore un qui, une fois bien vidé, à des scrupules et des remords.

Mon érection revint très vite, j'avais le cul en fleur, et le gel collait. Je n'allais pas tarder à jouir, et Gilles le sentais bien. Je voyais bien à sa mine qu'il ne voulait pas que je jouisse dans sa bouche, mais vu le traitement que l'inconnue lui infligeait, j'allais me gêner. Je sentis l'orgasme monter, et lui tint la tête. Quelques secondes plus tard je lui arrosait le palet de mon sperme, il ferma les yeux et se força à avaler. Je le caressais la tête pour le récompenser. Ils partirent immédiatement après que nous échangeâmes nos numéros.