Surprise sur une plage des Landes
Récit érotique écrit par Lolo-Bi [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-10-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Surprise sur une plage des Landes
Ma femme et moi sommes un couple d’une trentaine d’année. Nous sommes physiquement assez différents : Anaïs est brune aux cheveux noirs, à la peau mate et aux yeux bleus, 1m72 pour 59 kg, tandis que moi j’ai la peau claire avec des yeux verts, et que je mesure 1m80 pour 70 kg. Nous sommes plutôt musclés par des entrainements réguliers à la piscine plusieurs fois par semaine. Nous sommes mariés depuis 5 ans, et nous nous aimons toujours aussi passionnément. Nous avons une confiance aveugle l’un dans l’autre et c’est pour ça que j’ai accepté de passer mes vacances dans les Landes dans un camping naturiste quand ma femme me l’a proposé dès l’année qui a précédé notre mariage. Je ne l’aurais jamais fait avant de la connaitre, mais ça m’a paru normal de l’accompagner dans sa pratique. Depuis, les 3 semaines de congés que nous passons nus au camping et sur la plage nous aident à nous reposer, et aussi à nous retrouver l’un et l’autre, alors que les semaines de travail ne nous laissent pas toujours le temps de prendre suffisamment soin de notre couple. Je ne sais pas si c’est de voir tous ces corps nus, mais c’est vrai que le soir nous avons une libido au plus haut. Quand je dis que je ne sais pas si c’est de voir tous ces corps nus, je sais bien que c’est ça car nous ne nous privons pas de mater les autres, et de nous faire des réflexions sur untel ou une telle.
Durant ces quelques années de pratique, il nous est déjà arrivé d’être installés non loin de couples qui se caressent et s’embrassent, parfois avec la queue de Monsieur qui se met au garde à vous. S’ils sont trop près de nous, si ça dure un peu trop, je me mets en général à bander. Mais quand il s’agit de couples gay, ça me fait un effet immédiat. Ça n’a pas échappé à Anaïs, ma femme, à qui j’ai dû avouer un soir qu’avant de flasher sur elle, j’avais aussi eu aussi des relations avec des hommes, et que j’ai toujours trouvé ça très agréable. Je me souviens de notre conversation :
- Tu as connu beaucoup d’hommes ?
- Tu es indiscrète ma chérie, mais je veux bien te répondre si tu réponds également à cette même question.
- J’ai déjà fait l’amour avec uniquement 8 hommes autres que toi.
- Pareil pour les femmes, mais je peux avouer une vingtaine pour les mecs…
- La vache, tu as sucé plus de bites que moi alors ! Et pas que sucé même ? Et tu es plutôt enculeur ou enculé ?
- On dit plutôt passif ou actif maintenant, même si ça revient au même… Et j’aime les deux. En général, mes relations étaient avec des gars qui aimaient aussi les deux. Comme ça, pas de jaloux, chacun son tour !
- J’en reviens pas. Tu es bisexuel en fait. Moi par derrière je n’ai jamais essayé, ça ne m’a jamais tenté.
- Il ne faut jamais faire ce que l’on n’a pas envie de faire. Mais si un jour tu as envie, je sais comment faire pour une première fois. Et si tu n’as pas envie, ce n’est pas un problème pour moi, j’ai déjà tellement de belles choses à m’occuper par ailleurs.
- Tu sais ce que ça fait de se faire pénétrer, comme moi.
- Exactement, et pour ma part c’est aussi ce que j’aime quand je me fais sodomiser, le fait de s’abandonner à l’autre. Sans compter le petit + pour les mecs, c’est la prostate. Sa stimulation est carrément jouissive. Y’a un truc qui peut te donner une idée aussi c’est la langue. C’est trop excitant de se faire bouffer l’anus, ça c’est facile à essayer, tu vas voir que ma langue sera aussi agile de ce côté-là si tu veux.
Evidemment, dans les quelques mois qui ont suivi, on a aussi tout essayé de ce côté-là. Et maintenant, ma langue s’égare assez régulièrement sur son anus, et je peux aussi sodomiser Anaïs quand elle en a envie. Quant à moi, assez régulièrement mais sans trop en abuser, j’ai droit à un plug anal vibrant et connecté qu’Anaïs s’amuse à utiliser pour ma mettre à sa merci. L’amour est toujours présent entre nous, on s’aime intensément et faire l’amour oscille entre complicité, tendresse et jeux coquins pour notre plus grand plaisir.
En ce milieu de mois d’août, nous nous installons au camping et nous filons directement voir l’océan, bien évidemment dans le plus simple appareil. C’est sur le chemin en rentrant de la plage que j’ai la surprise de ma vie quand j’entends :
- Florent ? Je t’ai aperçu tout à l’heure dans les vagues et j’ai eu un doute. Mais là pas de doute, même sans ton costume.
- Johanna, ça alors ?! Ça me fait plaisir de te voir, même si heu c’est très gênant de se croiser comme ça. Enfin, c’est bête ce que je dis, si on est là c’est qu’on s’en fout, heu…
- T’inquiète pas, j’avoue que quand j’ai commencé le nudisme, c’était ma hantise de croiser des personnes que je connaissais. Bon, j’oublie l’essentiel, je te présente Laurent, mon mari.
- Enchanté Laurent, et je vous présente Anaïs, ma femme. Anaïs, Johanna est une collègue du bureau, elle est cheffe d’équipe comme moi, mais dans une autre division depuis un an c’est ça ?
- Oui un an exactement à la rentrée. C’est dingue de se croiser ici, et comme ça, c’est vrai. Vous êtes au camping aussi j’imagine ?
- Oui, ça fait 6 ans que l’on fréquente les campings naturistes et c’est la troisième année qu’on vient là. On aime cette côte landaise et ses grandes plages sans trop de monde et la fréquentation du camping nous convient bien. On vient seuls, et même si on ne vient pas là pour se faire des amis, c’est quand-même mieux de sympathiser avec des voisins qui te ressemblent un peu, en âge ou en façon de vivre. C’est votre première fois ici ?
- Première fois ici, troisième dans un camping naturiste. On est justement venu ici en voyant les avis sur le camping et la fréquentation ni trop familiale, ni trop âgée. Et donc, même si vous n’êtes pas là pour ça, vous voulez venir prendre un apéritif ce soir ?
On a échangé nos emplacements, fixé l’heure du rendez-vous et aussi parlé du dress code car de façon un peu étonnante, les soirées dans les campings naturistes peuvent être … habillées. Nous avons convenu que nous resterions nus. Sur le chemin vers notre bungalow, Anaïs m’interpelle :
- Vous aurez des choses à raconter à vos collègues à la rentrée, c’est carrément drôle, et un peu gênant aussi non ?
- Oui, un peu, mais au final je pense que l’on a envie autant l’un que l’autre de ne pas parler de ça quand on va se croiser au bureau.
- Tu la connais bien Johanna ?
- Oui, on travaillait dans la même équipe il y a 2 ans. Elle doit avoir ton âge car si mes souvenirs sont exacts, elle a un an de moins que toi. Je ne connaissais pas son mari, je savais qu’elle était mariée, mais pas plus.
- Ils ont l’air sympa. Et ils sont bien foutus aussi. Ils sont beaux avec leur peau basanée. Johanna est magnifique avec ses yeux noirs et ses cheveux bouclés, et elle a un très beau sourire. Quant à Laurent, outre son côté métissé évident, je suis certaine que tu auras remarqué son beau paquet. Tu es déjà bien doté, mais je pense qu’il doit être un peu plus grand que toi.
- Evidemment que j’ai remarqué, on peut pas la louper sa bite ! Je me demande s’ils font partie de ceux qui s’amusent avec d’autres couples ici ou s’ils sont plus calmes, comme nous. Dans tous les cas, tu as intérêt à ne pas avoir envie de dormir trop tôt ce soir car j’ai bien envie de te rappeler ce que ma jolie queue qui n’est peut-être pas aussi grande que celle de Laurent peut faire ! Et je n’ai pas attendu le soir de rentrer de l’apéritif, on s’est déjà bien chauffé sous la douche, mais ça c’est une autre histoire.
Le bungalow de Johanna et Laurent est situé comme le nôtre en bordure du camping, mais un peu plus loin du chemin qui mène à la plage. Installés sur la terrasse, nous avons passé une très bonne soirée, à discuter de tout et de rien, et surtout du plaisir que nous offre ces quelques semaines de congés à vivre nus. Je savais déjà que je m’entendais bien avec Johanna, et c’est très sympa de voir qu’Anaïs et Johanna s’entendent visiblement bien également. Avec Laurent, le courant passe également très bien. On partage des centres d’intérêts, on rigole des mêmes choses bref, on est prêt à devenir de bons amis. Au moment de partir, Johanna demande à Anaïs si elle veut l’accompagner à un cour d’aquagym organisé dans la piscine du camping.
- Tu verras, c’est assez sympa, c’est très dynamique et excellent pour le cardio. C’est un peu tôt, c’est à 8h30, mais ça vaut le coup.
- Ça te dérange pas si j’accompagne Johanna demain matin ?
- Pas du tout. Et moi je vais en profiter pour nager un peu le matin, j’adore la plage quand elle est presque déserte.
- Je pourrai venir avec toi ? J’adore ça aussi et puis on se retrouvera en fin de matinée.
Je vois que Johanna jette immédiatement un coup d’œil plein d’interrogation à Laurent.
- Tu seras sage mon chéri ? Tu connais les règles ?
- Comme une image.
Devant notre air un peu surpris, Johanna ajoute en fixant Laurent :
- Laurent est un véritable amour, mais il a vite tendance à chercher à draguer les beaux gars. Fais-bien attention à tes fesses Florent, il peut être très entreprenant, il a de l’expérience de ce côté-là. Ça ne me dérange pas qu’il aille voir des gars de temps en temps, mais il doit avoir la permission avant de batifoler.
Laurent baisse les yeux, probablement surpris par ces révélations très personnelles. Je ne peux pas m’empêcher de regarder Laurent différemment, et je sens en une fraction de seconde que mes souvenirs d’aventures gays remontent à la surface. Anaïs m’observait et je suis sûr qu’elle a remarqué quelque chose. Elle sourit avec ce petit air coquin que j’aime tant, et avant que je puisse répondre (c’est quand-même à moi que le conseil était adressé) c’est elle qui enchaîne :
- Ça leur fait un point commun, Florent aussi a de l’expérience avec les mecs ! Florent je sais que tu es resté sage pendant toutes ces années, mais peut-être qu’Anaïs a raison, il vaut mieux rappeler les règles élémentaires. Je crois que je pourrais comprendre que tu aies envie de ce que je ne peux pas te donner, mais cela ne pourrait s’envisager qu’en complète transparence, et avec ma permission donc.
J’ai envie de répondre que j’ai toujours été fidèle, homme ou femme, mais je sais qu’Anaïs a senti mon trouble, et je ne veux pas non plus faire durer cette conversation. Nous nous faisons la bise et je crois que laurent a eu la même idée que moi, nous nous rapprochons un peu plus qu’in ne la fait avec nos épouses respectives, et nos queues se touchent franchement le temps d’une bise. C’est peu, mais suffisant pour que ma bite ne soit pas aussi molle qu’avant. Heureusement qu’on rentre dans le noir… Le lendemain, Anaïs file rejoindre Johanna tandis que Laurent me rejoint. On file à la plage tout de suite, en emportant juste une serviette. J’installe en premier ma serviette et je m’assois. Florent arrive à ma hauteur et se rapproche très près de moi. Je vois sa belle queue qui commence à bander. L’effet et immédiat, et je commence à bander aussi. Laurent me demande :
- Toi aussi tu en as envie ?
- J’avoue que oui, je n’ai pas arrêté d’y penser cette nuit. Mais je n’ai pas fréquenté d’autre homme depuis 6 ans maintenant. Et puis, j’ai promis à Anaïs d’être sage. Toi aussi d’ailleurs.
- Je sais bien. Maintenant, je crois que si on ne fait rien, on va rester la queue raide pendant une heure. Et puis, sucer n’est pas tromper non ?
Il se rapproche encore et son bel engin touche mes lèvres. Je lui donne un coup de langue, et j’ouvre la bouche. Je me mets à genoux, et je commence à le pomper. On ne dit pas un mot. Mon expérience revient vite. Se lui malaxe les couilles de ma main gauche pendant que la droite tient sa queue pour que je puisse le lécher. Ma langue joue avec son frein et je l’entends qui soupire.
- Je peux te dire que tu n’as rien perdu mon Florent !
Je laisse ma bouche s’habituer à son volume et je descends petit à petit sur son manche. Il est bien membré, mais je sais que j’y arrivais et après deux ou trois blocages, j’arrive à m’enfoncer son pieux dans la gorge. Il ne faut que peu de temps avant qu’il ne commence à m’envoyer de longs jets de foutre au fond de ma bouche. J’avale tout, c’est délicieux ! Tout mon plaisir revient en un instant…
Laurent se dégage de ma bouche, me complimente, et me dit que c’est à son tour. Je m’allonge sur ma serviette et il vient se mettre entre mes jambes. Ses lèvres pulpeuses et sa langue jouent avec mon gland. Il lèche, encore et encore. Je n’en peux plus, je râle de plaisir, encore heureux qu’à l’endroit où on avait pris soin d’aller et à cette heure matinale, on ne croise personne. Il suce comme un dieu. Il descend vers mes couilles, il les lèche et les prend en bouche, et descend encore un peu à mi-chemin vers mon anus. Et puis il remonte, et m’avale. Il a le nez collé à mon pubis épilé. Je sens sa bite déjà raide sur mon tibia, et je sens qu’il la prend en main. Je comprends ce qu’il a fait quand je sens ses doigts gluants de son sperme et de ma salive s’aventurer vers mon petit trou. Je le laisse faire. Il s’y enfonce tout doucement, un doigt, puis deux, puis trois. Tout en continuant à m’avoir dans sa bouche, il me fouille le cul avec ses doigts, s’attardant aussi sur ma prostate. S’en est trop, et je jouis au fond de sa gorge. On s’allonge sur la serviette pour reprendre notre souffle.
- Putain c’était bon.
- Tu l’as dit !
- Ton cul est encore bien souple pour quelqu’un qui n’a pas revu un mec depuis des années.
- Anaïs joue aussi avec parfois…
- Toutes les mêmes !
On éclate de rire. On va se baigner rapidement, car le temps passe et on décide sur le chemin du retour de ne rien dire à nos épouses. On les rejoint dans notre bungalow. Johanna se précipite vers Laurent pour l’embrasser. Elle regarde Anaïs et lui fait un petit signe de tête. Johanna vient m’enlacer pour m’embrasser également.
- Vous n’avez pas idée les gars comme une bouche peut garder le goût du sperme. N’est-ce pas Johanna ?
- Je confirme… Vous nous avez désobéi !
A quoi cela servirait de nier ? Avec Laurent on baisse le nez.
- Vous n’êtes que des gamins devant un paquet de bonbons, vous êtes prévisibles au possible. Aussi avec Anaïs, nous sommes passés au bungalow pour prendre de quoi vous punir tous les deux. Laurent, tu sais déjà ce que c’est, aussi tu vas montrer à Florent comment faire.
J’ai le temps de regarder tout le monde. Laurent baisse le nez, sans un mot, il semble se regarder la bite. Johanna est rayonnante. On voit qu’elle a l’habitude de ce jeu de domination, car s’en est un sans aucun doute. Quant à mon Anaïs, je vois bien qu’elle ne semble pas véritablement fâchée contre moi et qu’elle semble plutôt bien s’amuser de participer à cette pièce de théâtre. J’attends donc de voir ce que Johanna sort de son sac. Je ne comprends pas immédiatement de quoi il s’agit, n’ayant jamais été curieux de cette pratique, mais je me doute très vite quand Laurent prend l’objet pour le rapprocher de son pénis qui semble se rétracter sur lui-même de seconde en seconde : il s’agit d’une cage de chasteté.
- Laurent, montre à Florent comment on fait. Tu vois Florent, il s’agit d’une cage de chasteté pour homme en résine. C’est Anaïs qui aura la clé et qui décidera quand tu pourras l’enlever. Tant que vous portez ça, impossible de bander et donc pas de quéquette entre vous, puisque vous n’êtes que deux petits cochons.
- Et si je veux pas ?
- Mon chéri, sur le principe, tu ne peux pas nier que vous n’avez pas été corrects. Johanna était certaine de ce qui arriverait et elle m’a convaincu de ne pas aller à notre cours mais plutôt de vous suivre de loin. On était juste derrière une dune un peu plus haut, vous ne nous avez même pas vues tellement vous étiez occupés. Et je ne t’ai pas vu hésiter à le prendre dans ta bouche et à lui tailler une bonne pipe ! Et puis ne t’inquiète pas, pour une première fois on va instaurer une durée de seulement 24h. Et il n’y a pas de raison de recommencer si vous êtes raisonnables.
- Juste un jour ? Bon, mais je ne veux pas avoir mal.
- T’inquiète, ça fait pas mal et on s’y fait vite, me rassure Laurent.
Je vois Laurent se saisir des éléments sur la table. Il passe ses couilles et son pénis dans un anneau. Il positionne ensuite son gland dans le tube, et repousse son pénis encagé dans son pubis jusqu’à ce que la base de la cage atteigne l’anneau. Lui qui a d’habitude une belle queue qui pend, se retrouve avec une petite bite prisonnière d’une cage qui pendouille lamentablement entre ses jambes. C’est Johanna qui verrouille le tout avec une petite clé, en prenant soin de la ranger sur une chainette courte qu’elle place autour de son cou. Je fixe Anaïs, je veux être sûr de ce dans quoi on s’engage. Je ne vois que son amour, pas de colère, mais je suis certain de voir un air coquin qui me dit qu’elle a envie de jouer un peu. Mon cerveau tourne à toute vitesse, tiraillé entre révolte et perspectives de jeux érotiques. Pourquoi pas essayer ce petit jeu de maitresse dominatrice ? Je me décide et prends la deuxième cage sur la table, qui est un peu plus petite que celle de Laurent. Quand je fais remarque que c’est quand-même petit, Johanna me dit que ma bite est un peu moins longue que celle de Laurent, et qu’il vaut mieux être bien ajusté pour stopper tout début d’érection qui serait au final plus pénible. Je me résous donc à obéir, et je me retrouve verrouillé en un rien de temps.
Comme on a largement le temps de retourner sur la plage avant de déjeuner, Anaïs et Johanna nous disent qu’il faut y retourner, comme on est, en exhibant notre virilité en cage, que l’on ne peut que remarquer. On prend un chemin détourné, celui où ne passent pas les familles mais plutôt celui des libertins qui ont une partie de plage qui leur est de fait réservée. On ne croise pas trop de monde sur le chemin, mais on croise des regards qui en disent long : des hommes qui montrent qu’ils sont plus virils et qu’ils ne sauraient tolérer ça, d’autres amusés, des envieux aussi. Quant aux femmes, je crois que je n’ai vu que des airs de « quelle bonne idée de maitriser ces bites toujours trop vigoureuses et entreprenantes ». On arrive sur la plage et on file se baigner avec Laurent. Il me rassure quand on est tous les deux dans l’eau :
- On s’est bien fait baisé. Tu verras, 24h ça passe vite. La dernière fois, j’ai dû porter ça une semaine.
- Mais c’est pas possible ! Tu avais fait quoi ?
- Je draguais sur une appli de rencontres gay et elle m’a choppé. Que j’aille avec des mecs, Johanna elle le tolère uniquement si elle maitrise et là, je lui avais rien dit.
- Elle est super ouvert d’esprit Johanna. Anaïs elle sait que j’ai baisé avec plein de mecs avant de la connaitre, mais je ne l’ai jamais trompé, ni avec un mec ni avec une femme. Je ne sais pas ce qu’elle dirait si j’allais avec un autre mec. Et sinon, une semaine sans baiser ou te branler c’est faisable ?
- On trouve des dérivatifs. Johanna est très inventive. Je suis sûr qu’elle est en train d’en discuter avec Anaïs en ce moment, tu m’en diras des nouvelles demain matin, aha !!!
Le reste de la journée se passe, et je m’habitue finalement assez vite à cette privation de liberté. Le soir venu, Anaïs a continué de jouer à fond le jeu de domination et j’ai dû la faire jouir avec ma langue plusieurs fois dans toutes les positions imaginables tandis qu’elle jouait de la télécommande du plug vibrant qu’elle avait pris soin de m’enfoncer dans le cul. Mon pauvre pénis emprisonné ne pouvait est resté misérablement confiné et compressé, coulant comme jamais. Nous n’avions jamais joué du plus vibrant aussi longtemps, et je crois que j’aurais fait n’importe quoi pour me laisser sodomiser tellement mes terminaisons nerveuses anales ont été sollicitées, comme ma prostate qui était prête à éclater.
Le lendemain matin, Johanna et Laurent passent nous prendre pour aller à la plage. Je crois que l’on va partir tout de suite, quand Anaïs et Johanna nous disent :
- Vous avez été sages et je crois que vous avez bien compris la leçon. Vous allez pouvoir vous débarrasser de votre cage. Et vous allez vous l’enlever l’un l’autre, parce que c’est en vous suçant l’un et l’autre que vous avez dû la porter. Laurent, c’est toi qui commence à débarrasser Florent.
On ne dit pas un mot, trop heureux de pouvoir être libéré. Laurent s’occupe délicatement de moi et, probablement à la fois trop frustré de ma nuit avec Anaïs et excité par la situation, je me mets à bander de façon visible. Je vois qu’Anaïs et Johanna échangent un regard amusé, mais elles ne disent rien. C’est à mon tour de de m’occuper de Florent. Je luis retire sa cage sans difficulté, même si je dois faire attention avec sa queue qui n’est déjà plus exactement au repos. Et d’ailleurs il se met à avoir une belle érection comme moi et très vite, nous sommes tous les deux devant nos épouses respectives en train de bander comme des ânes. Quand Johanna dit que l’on ne peut pas sortir comme ça, je crois qu’elle va nous dire qu’elle va repartir avec Laurent dans leur bungalow pour que l’on puisse chacun de notre côté faire passer notre excitation en faisant l’amour tout la reste de la matinée, mais ce n’est pas ce qui se passe…
- Bon, je ne sais pas ce que tu en penses Anaïs, mais on en peut pas les laisser comme ça. Pour ma part, je suggérerais bien de finir cette histoire comme elle a commencé en leur demandant de sucer la bite. J’aimerais bien le voir se soulager les couilles avec un 69, juste sous nos yeux, histoire qu’ils assument leurs actes.
Je vois bien Anaïs hésiter, et Laurent et moi tentons de protester car on a visiblement la même idée en tête, mais Anaïs nous fait signe de nous taire.
- Johanna a raison, vous devez vous libérer de votre punition en assumant devant nous votre penchant pour les autres hommes. J’ai très envie de voir comment vous sucez une bite, j’ai toujours entendu dire que les mecs s’y prennent mieux que nous les femmes alors montrez-nous !
Ni Laurent ni moi ne protestons, et je vois bien qu’il continue comme moi de bander dur. Le bungalow n’est pas très grand, et pour un 69, le plus confortable c’est de nous installer sur le lit. Quand j’arrive sur un des côtés du lit, Laurent me pousse doucement dessus et je me retrouve allongé sur le dos. Il vient se placer tête-bêche à côté de moi, et on commence à se sucer. Nos femmes sont à l’entrée de la chambre et nous regardent. Je relève les yeux et je crois le regard d’Anaïs qui semble à la fois éberluée et amusée du spectacle que je lui offre en train de lécher avec application le gland de Laurent, pendant que ce dernier s’occupe plutôt de me gober les couilles. Nous y mettons l’un et l’autre tout notre savoir-faire, passant de coups de langue experts sur le gland, le frein, tout le long de la queue et prenant aussi les couilles de notre partenaire en bouche. Celles de Laurent sont d’ailleurs très pendantes, c’est très excitant de s’en occuper. Nous prenons beaucoup de plaisir, et gémissons aussi de celui que l’on donne. Au bout de dix minutes, je vois qu’il est temps de passer à la vitesse supérieure, Laurent se met sur le dos, pendant que je me positionne au-dessus de lui, ce qui me facilite le travail pour le pomper plus rapidement. Ce que je n’avais pas anticipé, c’est que tout en m’accueillant très profond dans sa gorge, Laurent a aussi un accès très facile à mon cul et il arrive à se lubrifier deux doigts pour me le fourrer dans le cul, sans difficulté après avoir eu un plug vibrant dedans une bonne partie de la nuit. Anaïs et Johanna ne manquent rien du spectacle, et s’en est très vite trop pour moi, surtout après la tension accumulée. J’arrive à m’enfoncer au plus profond de la gorge de Laurent pour lui balancer de longs jets de foutre qu’il avale sans rechigner.
- Et moi ? Tu ne t’occupe pas de moi Florent ? Si nos maitresses et toi le veulent bien, j’’aimerais tellement t’enculer et te décharger dans le cul.
- Euh, c’était pas le marché initial dis-donc. On va carrément plus loin là…
- Moi en tous cas je veux bien voir ça, dit tout de suite Johanna.
- Montre-moi comment tu arrives à prendre le bel engin de Laurent mon amour. Je suis certaine que tu en as envie en plus.
Et puis zut, pourquoi le nier ? Je ne me fais pas prier, oui j’en ai vraiment très très envie.
- C’est moi qui décide comment alors. Mets-toi sur le dos, je vais te chevaucher mon salaud. Tu vas voir ce que c’est qu’un cul affamé depuis plusieurs années.
Je me positionne au-dessus de Laurent et je me saisis de sa belle queue épaisse. Elle est gluante de ma salive et de son excitation, et mon cul a été bien préparé par le plug d’Anaïs et les doigts de Laurent. Je descends doucement en m’empalant sur son pieux. Je pousse un cri de plaisir quand j’arrive à m’asseoir, sa bite au plus profond de moi. C’est vraiment trop bon, comment j’ai pu m’en passer pendant toutes ces années ? Je bouge mon bassin doucement, Laurent gémit à son tour. Je continue à onduler un bon moment et quand je vois qu’il va perdre son contrôle, je monte et je descends plus vite, ma bite à nouveau toute dure battant la cadence et claquant sur son ventre à chaque fois qu’il est bien à fond dans mon cul. Il se libère enfin et crie de plaisir quand il commence à éjaculer, tout en me pistonnant à son tour. Je me mets à mon tour à éjaculer sans même me toucher !
Je m’écroule sur lui, nous sommes haletants de plaisir. Nous jetons un coup d’œil à nos femmes qui n’en reviennent pas d’avoir été spectatrices de cette baise torride entre hommes, entre leurs maris. La bite de Laurent se rétrécit et je m’échappe de sa prise en laissant couler une belle quantité de sperme sur nos cuisses.
- C’était chaud les gars ! Vous avez pris votre pied, vous ne pouvez pas le nier. On va voir avec Johanna si on vous laisse encore quelques moments entre vous, mais dans l’immédiat, tu as intérêt à avoir encore du jus mon Florent, parce que je suis vraiment très chaude là ! Johanna, on vous laisse remonter à votre bungalow et on se donne rendez-vous dans deux heures ?
- J’allais te proposer la même chose. Allez Laurent, on file mon bel étalon !
Nos vacances venaient de prendre un tournant inattendu…
Durant ces quelques années de pratique, il nous est déjà arrivé d’être installés non loin de couples qui se caressent et s’embrassent, parfois avec la queue de Monsieur qui se met au garde à vous. S’ils sont trop près de nous, si ça dure un peu trop, je me mets en général à bander. Mais quand il s’agit de couples gay, ça me fait un effet immédiat. Ça n’a pas échappé à Anaïs, ma femme, à qui j’ai dû avouer un soir qu’avant de flasher sur elle, j’avais aussi eu aussi des relations avec des hommes, et que j’ai toujours trouvé ça très agréable. Je me souviens de notre conversation :
- Tu as connu beaucoup d’hommes ?
- Tu es indiscrète ma chérie, mais je veux bien te répondre si tu réponds également à cette même question.
- J’ai déjà fait l’amour avec uniquement 8 hommes autres que toi.
- Pareil pour les femmes, mais je peux avouer une vingtaine pour les mecs…
- La vache, tu as sucé plus de bites que moi alors ! Et pas que sucé même ? Et tu es plutôt enculeur ou enculé ?
- On dit plutôt passif ou actif maintenant, même si ça revient au même… Et j’aime les deux. En général, mes relations étaient avec des gars qui aimaient aussi les deux. Comme ça, pas de jaloux, chacun son tour !
- J’en reviens pas. Tu es bisexuel en fait. Moi par derrière je n’ai jamais essayé, ça ne m’a jamais tenté.
- Il ne faut jamais faire ce que l’on n’a pas envie de faire. Mais si un jour tu as envie, je sais comment faire pour une première fois. Et si tu n’as pas envie, ce n’est pas un problème pour moi, j’ai déjà tellement de belles choses à m’occuper par ailleurs.
- Tu sais ce que ça fait de se faire pénétrer, comme moi.
- Exactement, et pour ma part c’est aussi ce que j’aime quand je me fais sodomiser, le fait de s’abandonner à l’autre. Sans compter le petit + pour les mecs, c’est la prostate. Sa stimulation est carrément jouissive. Y’a un truc qui peut te donner une idée aussi c’est la langue. C’est trop excitant de se faire bouffer l’anus, ça c’est facile à essayer, tu vas voir que ma langue sera aussi agile de ce côté-là si tu veux.
Evidemment, dans les quelques mois qui ont suivi, on a aussi tout essayé de ce côté-là. Et maintenant, ma langue s’égare assez régulièrement sur son anus, et je peux aussi sodomiser Anaïs quand elle en a envie. Quant à moi, assez régulièrement mais sans trop en abuser, j’ai droit à un plug anal vibrant et connecté qu’Anaïs s’amuse à utiliser pour ma mettre à sa merci. L’amour est toujours présent entre nous, on s’aime intensément et faire l’amour oscille entre complicité, tendresse et jeux coquins pour notre plus grand plaisir.
En ce milieu de mois d’août, nous nous installons au camping et nous filons directement voir l’océan, bien évidemment dans le plus simple appareil. C’est sur le chemin en rentrant de la plage que j’ai la surprise de ma vie quand j’entends :
- Florent ? Je t’ai aperçu tout à l’heure dans les vagues et j’ai eu un doute. Mais là pas de doute, même sans ton costume.
- Johanna, ça alors ?! Ça me fait plaisir de te voir, même si heu c’est très gênant de se croiser comme ça. Enfin, c’est bête ce que je dis, si on est là c’est qu’on s’en fout, heu…
- T’inquiète pas, j’avoue que quand j’ai commencé le nudisme, c’était ma hantise de croiser des personnes que je connaissais. Bon, j’oublie l’essentiel, je te présente Laurent, mon mari.
- Enchanté Laurent, et je vous présente Anaïs, ma femme. Anaïs, Johanna est une collègue du bureau, elle est cheffe d’équipe comme moi, mais dans une autre division depuis un an c’est ça ?
- Oui un an exactement à la rentrée. C’est dingue de se croiser ici, et comme ça, c’est vrai. Vous êtes au camping aussi j’imagine ?
- Oui, ça fait 6 ans que l’on fréquente les campings naturistes et c’est la troisième année qu’on vient là. On aime cette côte landaise et ses grandes plages sans trop de monde et la fréquentation du camping nous convient bien. On vient seuls, et même si on ne vient pas là pour se faire des amis, c’est quand-même mieux de sympathiser avec des voisins qui te ressemblent un peu, en âge ou en façon de vivre. C’est votre première fois ici ?
- Première fois ici, troisième dans un camping naturiste. On est justement venu ici en voyant les avis sur le camping et la fréquentation ni trop familiale, ni trop âgée. Et donc, même si vous n’êtes pas là pour ça, vous voulez venir prendre un apéritif ce soir ?
On a échangé nos emplacements, fixé l’heure du rendez-vous et aussi parlé du dress code car de façon un peu étonnante, les soirées dans les campings naturistes peuvent être … habillées. Nous avons convenu que nous resterions nus. Sur le chemin vers notre bungalow, Anaïs m’interpelle :
- Vous aurez des choses à raconter à vos collègues à la rentrée, c’est carrément drôle, et un peu gênant aussi non ?
- Oui, un peu, mais au final je pense que l’on a envie autant l’un que l’autre de ne pas parler de ça quand on va se croiser au bureau.
- Tu la connais bien Johanna ?
- Oui, on travaillait dans la même équipe il y a 2 ans. Elle doit avoir ton âge car si mes souvenirs sont exacts, elle a un an de moins que toi. Je ne connaissais pas son mari, je savais qu’elle était mariée, mais pas plus.
- Ils ont l’air sympa. Et ils sont bien foutus aussi. Ils sont beaux avec leur peau basanée. Johanna est magnifique avec ses yeux noirs et ses cheveux bouclés, et elle a un très beau sourire. Quant à Laurent, outre son côté métissé évident, je suis certaine que tu auras remarqué son beau paquet. Tu es déjà bien doté, mais je pense qu’il doit être un peu plus grand que toi.
- Evidemment que j’ai remarqué, on peut pas la louper sa bite ! Je me demande s’ils font partie de ceux qui s’amusent avec d’autres couples ici ou s’ils sont plus calmes, comme nous. Dans tous les cas, tu as intérêt à ne pas avoir envie de dormir trop tôt ce soir car j’ai bien envie de te rappeler ce que ma jolie queue qui n’est peut-être pas aussi grande que celle de Laurent peut faire ! Et je n’ai pas attendu le soir de rentrer de l’apéritif, on s’est déjà bien chauffé sous la douche, mais ça c’est une autre histoire.
Le bungalow de Johanna et Laurent est situé comme le nôtre en bordure du camping, mais un peu plus loin du chemin qui mène à la plage. Installés sur la terrasse, nous avons passé une très bonne soirée, à discuter de tout et de rien, et surtout du plaisir que nous offre ces quelques semaines de congés à vivre nus. Je savais déjà que je m’entendais bien avec Johanna, et c’est très sympa de voir qu’Anaïs et Johanna s’entendent visiblement bien également. Avec Laurent, le courant passe également très bien. On partage des centres d’intérêts, on rigole des mêmes choses bref, on est prêt à devenir de bons amis. Au moment de partir, Johanna demande à Anaïs si elle veut l’accompagner à un cour d’aquagym organisé dans la piscine du camping.
- Tu verras, c’est assez sympa, c’est très dynamique et excellent pour le cardio. C’est un peu tôt, c’est à 8h30, mais ça vaut le coup.
- Ça te dérange pas si j’accompagne Johanna demain matin ?
- Pas du tout. Et moi je vais en profiter pour nager un peu le matin, j’adore la plage quand elle est presque déserte.
- Je pourrai venir avec toi ? J’adore ça aussi et puis on se retrouvera en fin de matinée.
Je vois que Johanna jette immédiatement un coup d’œil plein d’interrogation à Laurent.
- Tu seras sage mon chéri ? Tu connais les règles ?
- Comme une image.
Devant notre air un peu surpris, Johanna ajoute en fixant Laurent :
- Laurent est un véritable amour, mais il a vite tendance à chercher à draguer les beaux gars. Fais-bien attention à tes fesses Florent, il peut être très entreprenant, il a de l’expérience de ce côté-là. Ça ne me dérange pas qu’il aille voir des gars de temps en temps, mais il doit avoir la permission avant de batifoler.
Laurent baisse les yeux, probablement surpris par ces révélations très personnelles. Je ne peux pas m’empêcher de regarder Laurent différemment, et je sens en une fraction de seconde que mes souvenirs d’aventures gays remontent à la surface. Anaïs m’observait et je suis sûr qu’elle a remarqué quelque chose. Elle sourit avec ce petit air coquin que j’aime tant, et avant que je puisse répondre (c’est quand-même à moi que le conseil était adressé) c’est elle qui enchaîne :
- Ça leur fait un point commun, Florent aussi a de l’expérience avec les mecs ! Florent je sais que tu es resté sage pendant toutes ces années, mais peut-être qu’Anaïs a raison, il vaut mieux rappeler les règles élémentaires. Je crois que je pourrais comprendre que tu aies envie de ce que je ne peux pas te donner, mais cela ne pourrait s’envisager qu’en complète transparence, et avec ma permission donc.
J’ai envie de répondre que j’ai toujours été fidèle, homme ou femme, mais je sais qu’Anaïs a senti mon trouble, et je ne veux pas non plus faire durer cette conversation. Nous nous faisons la bise et je crois que laurent a eu la même idée que moi, nous nous rapprochons un peu plus qu’in ne la fait avec nos épouses respectives, et nos queues se touchent franchement le temps d’une bise. C’est peu, mais suffisant pour que ma bite ne soit pas aussi molle qu’avant. Heureusement qu’on rentre dans le noir… Le lendemain, Anaïs file rejoindre Johanna tandis que Laurent me rejoint. On file à la plage tout de suite, en emportant juste une serviette. J’installe en premier ma serviette et je m’assois. Florent arrive à ma hauteur et se rapproche très près de moi. Je vois sa belle queue qui commence à bander. L’effet et immédiat, et je commence à bander aussi. Laurent me demande :
- Toi aussi tu en as envie ?
- J’avoue que oui, je n’ai pas arrêté d’y penser cette nuit. Mais je n’ai pas fréquenté d’autre homme depuis 6 ans maintenant. Et puis, j’ai promis à Anaïs d’être sage. Toi aussi d’ailleurs.
- Je sais bien. Maintenant, je crois que si on ne fait rien, on va rester la queue raide pendant une heure. Et puis, sucer n’est pas tromper non ?
Il se rapproche encore et son bel engin touche mes lèvres. Je lui donne un coup de langue, et j’ouvre la bouche. Je me mets à genoux, et je commence à le pomper. On ne dit pas un mot. Mon expérience revient vite. Se lui malaxe les couilles de ma main gauche pendant que la droite tient sa queue pour que je puisse le lécher. Ma langue joue avec son frein et je l’entends qui soupire.
- Je peux te dire que tu n’as rien perdu mon Florent !
Je laisse ma bouche s’habituer à son volume et je descends petit à petit sur son manche. Il est bien membré, mais je sais que j’y arrivais et après deux ou trois blocages, j’arrive à m’enfoncer son pieux dans la gorge. Il ne faut que peu de temps avant qu’il ne commence à m’envoyer de longs jets de foutre au fond de ma bouche. J’avale tout, c’est délicieux ! Tout mon plaisir revient en un instant…
Laurent se dégage de ma bouche, me complimente, et me dit que c’est à son tour. Je m’allonge sur ma serviette et il vient se mettre entre mes jambes. Ses lèvres pulpeuses et sa langue jouent avec mon gland. Il lèche, encore et encore. Je n’en peux plus, je râle de plaisir, encore heureux qu’à l’endroit où on avait pris soin d’aller et à cette heure matinale, on ne croise personne. Il suce comme un dieu. Il descend vers mes couilles, il les lèche et les prend en bouche, et descend encore un peu à mi-chemin vers mon anus. Et puis il remonte, et m’avale. Il a le nez collé à mon pubis épilé. Je sens sa bite déjà raide sur mon tibia, et je sens qu’il la prend en main. Je comprends ce qu’il a fait quand je sens ses doigts gluants de son sperme et de ma salive s’aventurer vers mon petit trou. Je le laisse faire. Il s’y enfonce tout doucement, un doigt, puis deux, puis trois. Tout en continuant à m’avoir dans sa bouche, il me fouille le cul avec ses doigts, s’attardant aussi sur ma prostate. S’en est trop, et je jouis au fond de sa gorge. On s’allonge sur la serviette pour reprendre notre souffle.
- Putain c’était bon.
- Tu l’as dit !
- Ton cul est encore bien souple pour quelqu’un qui n’a pas revu un mec depuis des années.
- Anaïs joue aussi avec parfois…
- Toutes les mêmes !
On éclate de rire. On va se baigner rapidement, car le temps passe et on décide sur le chemin du retour de ne rien dire à nos épouses. On les rejoint dans notre bungalow. Johanna se précipite vers Laurent pour l’embrasser. Elle regarde Anaïs et lui fait un petit signe de tête. Johanna vient m’enlacer pour m’embrasser également.
- Vous n’avez pas idée les gars comme une bouche peut garder le goût du sperme. N’est-ce pas Johanna ?
- Je confirme… Vous nous avez désobéi !
A quoi cela servirait de nier ? Avec Laurent on baisse le nez.
- Vous n’êtes que des gamins devant un paquet de bonbons, vous êtes prévisibles au possible. Aussi avec Anaïs, nous sommes passés au bungalow pour prendre de quoi vous punir tous les deux. Laurent, tu sais déjà ce que c’est, aussi tu vas montrer à Florent comment faire.
J’ai le temps de regarder tout le monde. Laurent baisse le nez, sans un mot, il semble se regarder la bite. Johanna est rayonnante. On voit qu’elle a l’habitude de ce jeu de domination, car s’en est un sans aucun doute. Quant à mon Anaïs, je vois bien qu’elle ne semble pas véritablement fâchée contre moi et qu’elle semble plutôt bien s’amuser de participer à cette pièce de théâtre. J’attends donc de voir ce que Johanna sort de son sac. Je ne comprends pas immédiatement de quoi il s’agit, n’ayant jamais été curieux de cette pratique, mais je me doute très vite quand Laurent prend l’objet pour le rapprocher de son pénis qui semble se rétracter sur lui-même de seconde en seconde : il s’agit d’une cage de chasteté.
- Laurent, montre à Florent comment on fait. Tu vois Florent, il s’agit d’une cage de chasteté pour homme en résine. C’est Anaïs qui aura la clé et qui décidera quand tu pourras l’enlever. Tant que vous portez ça, impossible de bander et donc pas de quéquette entre vous, puisque vous n’êtes que deux petits cochons.
- Et si je veux pas ?
- Mon chéri, sur le principe, tu ne peux pas nier que vous n’avez pas été corrects. Johanna était certaine de ce qui arriverait et elle m’a convaincu de ne pas aller à notre cours mais plutôt de vous suivre de loin. On était juste derrière une dune un peu plus haut, vous ne nous avez même pas vues tellement vous étiez occupés. Et je ne t’ai pas vu hésiter à le prendre dans ta bouche et à lui tailler une bonne pipe ! Et puis ne t’inquiète pas, pour une première fois on va instaurer une durée de seulement 24h. Et il n’y a pas de raison de recommencer si vous êtes raisonnables.
- Juste un jour ? Bon, mais je ne veux pas avoir mal.
- T’inquiète, ça fait pas mal et on s’y fait vite, me rassure Laurent.
Je vois Laurent se saisir des éléments sur la table. Il passe ses couilles et son pénis dans un anneau. Il positionne ensuite son gland dans le tube, et repousse son pénis encagé dans son pubis jusqu’à ce que la base de la cage atteigne l’anneau. Lui qui a d’habitude une belle queue qui pend, se retrouve avec une petite bite prisonnière d’une cage qui pendouille lamentablement entre ses jambes. C’est Johanna qui verrouille le tout avec une petite clé, en prenant soin de la ranger sur une chainette courte qu’elle place autour de son cou. Je fixe Anaïs, je veux être sûr de ce dans quoi on s’engage. Je ne vois que son amour, pas de colère, mais je suis certain de voir un air coquin qui me dit qu’elle a envie de jouer un peu. Mon cerveau tourne à toute vitesse, tiraillé entre révolte et perspectives de jeux érotiques. Pourquoi pas essayer ce petit jeu de maitresse dominatrice ? Je me décide et prends la deuxième cage sur la table, qui est un peu plus petite que celle de Laurent. Quand je fais remarque que c’est quand-même petit, Johanna me dit que ma bite est un peu moins longue que celle de Laurent, et qu’il vaut mieux être bien ajusté pour stopper tout début d’érection qui serait au final plus pénible. Je me résous donc à obéir, et je me retrouve verrouillé en un rien de temps.
Comme on a largement le temps de retourner sur la plage avant de déjeuner, Anaïs et Johanna nous disent qu’il faut y retourner, comme on est, en exhibant notre virilité en cage, que l’on ne peut que remarquer. On prend un chemin détourné, celui où ne passent pas les familles mais plutôt celui des libertins qui ont une partie de plage qui leur est de fait réservée. On ne croise pas trop de monde sur le chemin, mais on croise des regards qui en disent long : des hommes qui montrent qu’ils sont plus virils et qu’ils ne sauraient tolérer ça, d’autres amusés, des envieux aussi. Quant aux femmes, je crois que je n’ai vu que des airs de « quelle bonne idée de maitriser ces bites toujours trop vigoureuses et entreprenantes ». On arrive sur la plage et on file se baigner avec Laurent. Il me rassure quand on est tous les deux dans l’eau :
- On s’est bien fait baisé. Tu verras, 24h ça passe vite. La dernière fois, j’ai dû porter ça une semaine.
- Mais c’est pas possible ! Tu avais fait quoi ?
- Je draguais sur une appli de rencontres gay et elle m’a choppé. Que j’aille avec des mecs, Johanna elle le tolère uniquement si elle maitrise et là, je lui avais rien dit.
- Elle est super ouvert d’esprit Johanna. Anaïs elle sait que j’ai baisé avec plein de mecs avant de la connaitre, mais je ne l’ai jamais trompé, ni avec un mec ni avec une femme. Je ne sais pas ce qu’elle dirait si j’allais avec un autre mec. Et sinon, une semaine sans baiser ou te branler c’est faisable ?
- On trouve des dérivatifs. Johanna est très inventive. Je suis sûr qu’elle est en train d’en discuter avec Anaïs en ce moment, tu m’en diras des nouvelles demain matin, aha !!!
Le reste de la journée se passe, et je m’habitue finalement assez vite à cette privation de liberté. Le soir venu, Anaïs a continué de jouer à fond le jeu de domination et j’ai dû la faire jouir avec ma langue plusieurs fois dans toutes les positions imaginables tandis qu’elle jouait de la télécommande du plug vibrant qu’elle avait pris soin de m’enfoncer dans le cul. Mon pauvre pénis emprisonné ne pouvait est resté misérablement confiné et compressé, coulant comme jamais. Nous n’avions jamais joué du plus vibrant aussi longtemps, et je crois que j’aurais fait n’importe quoi pour me laisser sodomiser tellement mes terminaisons nerveuses anales ont été sollicitées, comme ma prostate qui était prête à éclater.
Le lendemain matin, Johanna et Laurent passent nous prendre pour aller à la plage. Je crois que l’on va partir tout de suite, quand Anaïs et Johanna nous disent :
- Vous avez été sages et je crois que vous avez bien compris la leçon. Vous allez pouvoir vous débarrasser de votre cage. Et vous allez vous l’enlever l’un l’autre, parce que c’est en vous suçant l’un et l’autre que vous avez dû la porter. Laurent, c’est toi qui commence à débarrasser Florent.
On ne dit pas un mot, trop heureux de pouvoir être libéré. Laurent s’occupe délicatement de moi et, probablement à la fois trop frustré de ma nuit avec Anaïs et excité par la situation, je me mets à bander de façon visible. Je vois qu’Anaïs et Johanna échangent un regard amusé, mais elles ne disent rien. C’est à mon tour de de m’occuper de Florent. Je luis retire sa cage sans difficulté, même si je dois faire attention avec sa queue qui n’est déjà plus exactement au repos. Et d’ailleurs il se met à avoir une belle érection comme moi et très vite, nous sommes tous les deux devant nos épouses respectives en train de bander comme des ânes. Quand Johanna dit que l’on ne peut pas sortir comme ça, je crois qu’elle va nous dire qu’elle va repartir avec Laurent dans leur bungalow pour que l’on puisse chacun de notre côté faire passer notre excitation en faisant l’amour tout la reste de la matinée, mais ce n’est pas ce qui se passe…
- Bon, je ne sais pas ce que tu en penses Anaïs, mais on en peut pas les laisser comme ça. Pour ma part, je suggérerais bien de finir cette histoire comme elle a commencé en leur demandant de sucer la bite. J’aimerais bien le voir se soulager les couilles avec un 69, juste sous nos yeux, histoire qu’ils assument leurs actes.
Je vois bien Anaïs hésiter, et Laurent et moi tentons de protester car on a visiblement la même idée en tête, mais Anaïs nous fait signe de nous taire.
- Johanna a raison, vous devez vous libérer de votre punition en assumant devant nous votre penchant pour les autres hommes. J’ai très envie de voir comment vous sucez une bite, j’ai toujours entendu dire que les mecs s’y prennent mieux que nous les femmes alors montrez-nous !
Ni Laurent ni moi ne protestons, et je vois bien qu’il continue comme moi de bander dur. Le bungalow n’est pas très grand, et pour un 69, le plus confortable c’est de nous installer sur le lit. Quand j’arrive sur un des côtés du lit, Laurent me pousse doucement dessus et je me retrouve allongé sur le dos. Il vient se placer tête-bêche à côté de moi, et on commence à se sucer. Nos femmes sont à l’entrée de la chambre et nous regardent. Je relève les yeux et je crois le regard d’Anaïs qui semble à la fois éberluée et amusée du spectacle que je lui offre en train de lécher avec application le gland de Laurent, pendant que ce dernier s’occupe plutôt de me gober les couilles. Nous y mettons l’un et l’autre tout notre savoir-faire, passant de coups de langue experts sur le gland, le frein, tout le long de la queue et prenant aussi les couilles de notre partenaire en bouche. Celles de Laurent sont d’ailleurs très pendantes, c’est très excitant de s’en occuper. Nous prenons beaucoup de plaisir, et gémissons aussi de celui que l’on donne. Au bout de dix minutes, je vois qu’il est temps de passer à la vitesse supérieure, Laurent se met sur le dos, pendant que je me positionne au-dessus de lui, ce qui me facilite le travail pour le pomper plus rapidement. Ce que je n’avais pas anticipé, c’est que tout en m’accueillant très profond dans sa gorge, Laurent a aussi un accès très facile à mon cul et il arrive à se lubrifier deux doigts pour me le fourrer dans le cul, sans difficulté après avoir eu un plug vibrant dedans une bonne partie de la nuit. Anaïs et Johanna ne manquent rien du spectacle, et s’en est très vite trop pour moi, surtout après la tension accumulée. J’arrive à m’enfoncer au plus profond de la gorge de Laurent pour lui balancer de longs jets de foutre qu’il avale sans rechigner.
- Et moi ? Tu ne t’occupe pas de moi Florent ? Si nos maitresses et toi le veulent bien, j’’aimerais tellement t’enculer et te décharger dans le cul.
- Euh, c’était pas le marché initial dis-donc. On va carrément plus loin là…
- Moi en tous cas je veux bien voir ça, dit tout de suite Johanna.
- Montre-moi comment tu arrives à prendre le bel engin de Laurent mon amour. Je suis certaine que tu en as envie en plus.
Et puis zut, pourquoi le nier ? Je ne me fais pas prier, oui j’en ai vraiment très très envie.
- C’est moi qui décide comment alors. Mets-toi sur le dos, je vais te chevaucher mon salaud. Tu vas voir ce que c’est qu’un cul affamé depuis plusieurs années.
Je me positionne au-dessus de Laurent et je me saisis de sa belle queue épaisse. Elle est gluante de ma salive et de son excitation, et mon cul a été bien préparé par le plug d’Anaïs et les doigts de Laurent. Je descends doucement en m’empalant sur son pieux. Je pousse un cri de plaisir quand j’arrive à m’asseoir, sa bite au plus profond de moi. C’est vraiment trop bon, comment j’ai pu m’en passer pendant toutes ces années ? Je bouge mon bassin doucement, Laurent gémit à son tour. Je continue à onduler un bon moment et quand je vois qu’il va perdre son contrôle, je monte et je descends plus vite, ma bite à nouveau toute dure battant la cadence et claquant sur son ventre à chaque fois qu’il est bien à fond dans mon cul. Il se libère enfin et crie de plaisir quand il commence à éjaculer, tout en me pistonnant à son tour. Je me mets à mon tour à éjaculer sans même me toucher !
Je m’écroule sur lui, nous sommes haletants de plaisir. Nous jetons un coup d’œil à nos femmes qui n’en reviennent pas d’avoir été spectatrices de cette baise torride entre hommes, entre leurs maris. La bite de Laurent se rétrécit et je m’échappe de sa prise en laissant couler une belle quantité de sperme sur nos cuisses.
- C’était chaud les gars ! Vous avez pris votre pied, vous ne pouvez pas le nier. On va voir avec Johanna si on vous laisse encore quelques moments entre vous, mais dans l’immédiat, tu as intérêt à avoir encore du jus mon Florent, parce que je suis vraiment très chaude là ! Johanna, on vous laisse remonter à votre bungalow et on se donne rendez-vous dans deux heures ?
- J’allais te proposer la même chose. Allez Laurent, on file mon bel étalon !
Nos vacances venaient de prendre un tournant inattendu…
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