Surtout ne pas se faire prendre
Récit érotique écrit par Olivia lena [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-02-2014 dans la catégorie Pour la première fois
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Surtout ne pas se faire prendre
Surtout ne pas se faire "prendre…"
Bonsoir, je ne sais pas trop comment commencer si ce n'est de vous dire que mon corps tremble, alors que mes doigts courent sur le clavier pour vous écrire ces quelques lignes. Juste avant, je venais de refermer la porte de notre appartement, derrière des amis venus faire une "after". Le réveil marque 5h du matin… et il faut remonter environ 1h30 plus tôt pour avoir l'explication des tremblements en questions : je suis dans le salon à rigoler comme c'est pas permis avec mon copain et une dizaine d'amis, quand le gong de la porte retentit. Je me lève direct en disant :
"J'y vais, c'est Julien et Marc, ils m'ont smsçé qu'ils arrivaient accompagnés…"
Je voltige toute légère dans l'appart et arrive devant la porte, tourne le verrou et ouvre très rapidement pour les surprendre…et...
LE CHOC…LA, DEVANT moi, tétanisant tout mes muscles, faisant bouillir le sang de toutes les veines de mon corps et plongeant ma mémoire dans un souvenir que je croyais disparu…Malgré tout, j'arrive miraculeusement à dire :
"………………………"
Mais ça je vous le dirai un peu plus tard.
Je m'appelle Lydia, j'ai 29 ans et partage ma vie avec Laurent qui a 32 ans, je suis brune plutôt foncé, cheveux très courts (par commodité), je suis petite : 1m55, avec des petits seins en pyramide, et pèse 45kg, de petites fesses rondes qui suivent une cambrure assez importante, et une toison très fournie mais dont le maillot est régulièrement entretenu. Mon visage a toujours, par ses traits fins, dégagé de la beauté, de l'honnêteté, et de la jeunesse (la semaine dernière encore, j'arrive au guichet de la gare et le type me dit "moins de 18ans je suppose…"). On m'a d'ailleurs affublée de l'étiquette de "sainte ni touche", qui soit dit en passant me va comme un gant, car en effet les choses du sexe dans ma vie actuelle n'ont pour moi aucun intérêt, et je m'en détourne telle une sainte offusquée le ferait devant la vue d'un torse nu d'homme dans un magasine féminin. Seulement voilà, avant d'être une "sainte", j'ai d'abord été une adolescente de 16 ans, et à cet âge-là (et les girls ne me contrediront pas), les conversations de filles dans la cour d'école se remplissent de tout autre chose que les chiantissimes "suites numériques" ou autre "Phèdre" de Racine… Et c'est de la "chose" dont on parle avant tout… et après aussi remarquez.
Mes meilleures amies, à cette époque, sont Justine et Caroline, on se dit tout et surtout nos histoires de garçon plus âgés qui ne cherchent qu'à voler notre virginité, et que l'on mène gentiment par le bout…du nez (l'autre bout viendra un peu plus tard). A cette période, mon gars en question s'appelait Léo, et je dois dire qu'il me plaisait vraiment : 19 ans redoublant 2 fois (pour nous ça voulait dire 2 fois plus d'expérience), les yeux noirs, mystérieux, et ça me suffisait largement. Sauf que lui bien sûr il voulait tout, mais bon c'est le grand jeu de cet âge là, comme avant lui, le roulage de pèle avait succédé au jeu du docteur qui avait lui enterré le baiser du bac à sable (sur la joue)…et oui, à chaque âge des jeux différents… Bref, le jour qui nous intéresse est là, je suis dans la cour avec Caro entrain de lui demander conseil sur la petite jupe rouge que j'ai choisie…"blabla…est-elle assez courte?…blablabla…", et de finir par lui dire que je vois Léo cette après-midi, mais surtout que je vais sécher l'étude de 2 à 4 et le rejoindre à notre planque tandis que lui va sécher le sport. Elle devient hystérique et me dit :
"ouaouaoua Salope, vous allez rester à la planque 2 HEURES…je te déteste".
"Non pas 2, mais 1h30".
"Pétasse, c'est dégeu…bon allez raconte tu vas jusqu'où ?…"
"Bah tu vois quoi…à peine plus loin que la dernière fois…HIHIHIhihihhihihi"
"ahihahihahi garce…vous allez fumer"
"oui bien sûr, même si je suis toujours "privée de sortie" à cause de l'autre fois"
"y sont chelou tes vieux"
"m'en parle pas ils ont la rancune tenace, j'ai vachement intérêt de faire gaffe"
"rappelle-moi juste où vous en étiez la dèr?"
"hey ben pelotage de nibarts sous le t-shirt et sans soustif…"
"Trainée va…HIHIHIhihihihi"
"hihihihihihi…"
"bon à toute…évidement conseil de filles chez moi ce soir…et tu t'allonge"
"c'est clair…bye"
Désolée pour la façon de parler mais nous étions jeunes et un peu conne… Bref, le début d'après-midi se passe comme sur des roulettes pour mon plan, mais malgré tout je suis très nerveuse, j'espère que son plan va marcher aussi. C'est moi qui vais à la planque d'abord et lui me rejoint un peu plus tard. La planque en question n'est autre qu'une extension du gymnase où l'on stocke plein de matériel de gym et entre autre des tapis de gym. Il se trouve qu'un jour nous voulions fumer une clop avec les girls et que, comme dans tous les bahus de France et sans doute du monde, il faut se planquer pour fumer, et bien pour nous c'était derrière ce bâtiment. Sauf qu'il y a deux mois, en arrivant, Justine remarque que la porte de derrière est entrouverte et qu'une clé est restée dessus, ni une ni deux, on referme la porte et on se barre avec la clé…et voilà, on avait non seulement une bonne planque, mais en plus il y avait le confort des tapis qui était vraiment agréable lorsque nous étions accompagnées d'un garçon.
La première qui arrivait fermait derrière elle et nous avions convenu d'un code pour celles qui suivaient. Code que j'avais donné à Léo. Côté sécurité, il fallait aussi faire attention car il y avait une autre entrée qui donnait à l'intérieur du gymnase d'où l'on pouvait venir à tout moment chercher quelques matériels. C'était d'ailleurs déjà arrivé, mais en nous plaçant tout au fond au-dessus d'une pile de tapis souples, on ne pouvait franchement pas nous capter à moins de faire du bruit. Evidemment tout ceci nous plaçait tout de même dans des états de stress très importants, et alors que j'attendais Léo, le stress montait. Ces jets d'adrénaline, source de sensation forte par excellence, me bombardait davantage le corps et le cerveau cette après-midi là…L'attente jouait également son rôle de surtension, et amplifiait encore largement le phénomène qui atteignit des sommets ce jour-là. On dira ce que l'on voudra, mais l'extrême tension de "ne pas se faire prendre" est sans doute parmi les plus exquises sensations que notre esprit soit capable de nous procurer, devenant ainsi le terrain privilégier d'autres sensations plus dévastatrices encore. A ce propos, on dit que le premier shoot à l'héroïne (mais le premier seulement) est le plus puissant trip que le cerveau puisse subir, dans le même ordre d'idée on le compare souvent d'ailleurs à l'orgasme (ou par contre la chimie du cerveau opère naturellement et sans apport artificiel). Attention, la nuance est de mise, car quand je parle d'orgasme, je parle bien-sur de l'ORGASME, et pas des petites baises conventionnelles qui ressemblent plus à des pétards "mouillés" ( à peine) qu'à la chose en question qui elle doit d'abord se vivre avant de s'écrire… je suis sûre que vous voyez de quoi je parle.
Donc j'attends mon Léo depuis plus de 20 minutes et toutes ces réactions chimiques font grimper ma libido en flèche et je ressens même de nouvelles sensations qui me surprennent beaucoup, comme de petites décharges électriques qui me traversent le bas-ventre et chauffent très fort mon petit minou et ses contours, je ne suis pas sûre, mais j'ai l'impression que déjà, mon petit volcan interne crache quelques matières brulantes et liquides.
Tandis que je m'apprête à vérifier, j'entends frapper à la porte extérieure… mon coeur se serre…
TOC TOC……TOC TOC……TOC…
OUF c'est le code, je peux respirer et descends pour lui ouvrir.
Clicclac…"Salut, oh j'ai flippé grave…"
Nous restons un peu dehors pour fumer une clop et discuter un peu.
Quelques minutes plus tard, nous nous vautrons amoureusement sur les tapis, nous roulons l'un sur l'autre, nous nous chatouillons puis nous embrassons pour finir par des caresses qui se précisent.
J'avais déjà remarqué que son audace s'affirmait de câlin en câlin, mais là, était-ce l'endroit, la situation, l'excitation ou les trois réunis, ses caresses devenaient plus précises, plus lentes, et j'adorais ça. De nouveau, ce crachin chaud et électrique entre mes cuisses…qui me surprend et…
"humm…"
Ce petit cri venu du coeur l'encourage et il se met à glisser ses mains sous mon chemisier mais surtout, une première, me surprend et glisse rapidement sa main gauche sous ma jupe, et remonte direct sur ma petite culotte blanche en coton.
Je panique un peu alors que ses doigts constatent maintenant dans quel état il me met. Mais je suis tellement bien que j'ai envie de me détendre et de profiter de cette caresse nouvelle et…
"Huummm…"
"Fais attention ma belle" pensais-je alors…ça déraille…
Et effectivement, Léo se sent pousser des ailes et surtout une belle bosse, qui vient maintenant se frotter contre ma cuisse.
C'est quand il bascule et roule rapidement sur moi que j'ai peur de la suite et que frappée de questions, j'ai du mal à savoir quoi faire…(allez fais-le…non t'es pas prête…oh allez tout est bien et tu l'aimes…)
Sa fougue grandit encore lorsqu'il fait passer mes jambes de chaque coté de son bassin en retroussant au passage ma jupe sur mon ventre. Cette fois c'est quelque chose, car la mystérieuse bosse dans son jeans est maintenant plaquée, collée tout contre ma culotte trempée, et son baiser nerveux marque une forte excitation accompagnée de petits bang bang bang qui percutent mon pubis et roulent sur les lèvres de ma chatte.
De plus en plus dingue, je réponds à mes questionnements internes au rythme de ces bangs… (bang…oui…bang…non…bang…oui…bang…non)
Mon corps supplie un oui tandis que ma tête ordonne un non…
…Mais depuis tout à l'heure, je suis en retard sur ses intentions, et encore une fois, en un éclair, il roule sur le coté, et attrape de ses doigts habiles l'élastique de ma culotte pour tenter de la descendre. Heureusement, l'écartement de mes genoux empêche toute continuation… Cette fois, me dis-je, ça suffit, je dois l'arrêter ici…mais alors que ces paroles frappent ma tête, mes jambes cèdent et se resserrent libérant ainsi la descente de ma culotte, qu'il n'hésite pas un instant à reprendre jusqu'à ce qu'il la retire entièrement …
Je me sens terrifiée par cette chose qui échappe à mon contrôle…et pourtant elle continue de m'exciter au plus haut point…et je pense…"Est-ce LE jour????…je ne sais pas …j'suis larguée…"
Léo lui n'est pas du tout hésitant, il est revenu entre mes jambes , et frotte de nouveau ce mystère qui j'ai l'impression a encore durci.
De nouveau, des questions me pèsent, mais assez rapidement laissent la place à une soudaine impression… JE SUIS PRETE…J'en ai trop envie… J'attire Léo pour lui glisser à l'oreille.
"Tu as des préservatifs??" Surpris, il me dit nerveusement :
"oouui…bien…sûr…je…t'es sûre ?…"
"oui…sûre…"
Il se redresse vite, plonge une main dans sa poche et en sort une capote…
Il dégrafe son jeans…Ce qui m'affole complètement, je le regarde faire, étant incapable de participer… Et là, une forte voix retentit :
"Y A QUELQU'UN LA HAUT?…QUEST CE QUE VOUS FAITES ?"
La panique me broie instantanément le cerveau…et tout s'effondre…Léo se redresse comme une fusée et détale comme un lapin sautant de l'autre coté d'où la voix est venue…
"HEY…TOI VIENS ICI…HEY…ARRETE-TOI…MAIS…", dit le trouble-fête en escaladant les tapis.
Instinctivement je me suis recroquevillée en foetus contre une autre pile de tapis…ne peux plus bouger, en plus ma tête explose de milles pensées…(mes PARENTS, merde, je suis foutue, les copines, tout le lycée va savoir, je vais être exclue…c'est pas possible…non)
"Mademoiselle, ça va?..", dis une voix déjà toute proche.
Je jette un coup d'oeil dans sa direction, car j'ai cru reconnaitre la voix de Thomas, un des pions du lycée, d'une trentaine d'années, sur qui les copines et, surtout moi, flashons complètement…
"Lydia? c'est toi? est-ce que ça va?"
Toute cette tension, s'en est trop et je fonds en larme...
Thomas s'approche encore, s'accroupit :
" T'inquiète pas, ça va allez…, me dit-il avec une voix plus douce et rassurante, que s'est il passé? dis-moi juste si je dois appeler l'infirmerie ?"…
Je bondis en me jetant dans ses bras, et dis…
"NON NON surtout pas, ça va très bien"
" ça n'a pas l'air d'aller"
"Si si si ça va...mais…ne dites rien, je vous en supplie"
"Je ne peux pas ne rien dire, je ne sais pas ce qui s'est passé, et vous n'avez pas le droit d'être ici, je dois en parler…"
Toujours blottie contre son torse et dans ses bras forts qu'il a placés sur mes épaules, je ne sais vraiment pas quoi dire pour changer le destin pourri qui m'attendait.
Mais prolonger ces longues secondes, dans le creux de sa personne était la seule chose dont j'avais envie……
Paradoxalement, le responsable de mon effondrement, devenait, malgré lui, mon seul rempart avec le monde extérieur…
Contre toute logique rationnelle, là, à cet instant, de nouvelles petites piqures me harcèlent au fond du ventre et j'en suis toute retournée… Elles viennent des profondeurs de mon volcan, et j'ai l'impression qu'il se passe quelque chose d'anormal…
Et tandis qu'il cherche à rompre cette étreinte improvisée, je m'accroche légèrement en lui disant :
"Attendez s'il vous plait…juste encore un peu…"
Il ne dit rien, mais prend une position plus confortable pour lui (assis en tailleur en face de moi), et reprend ce qui ressemble maintenant plus à un câlin amical qu'à une accolade compatissante.
Comme pour ménager ma sensibilité, il chuchote dans mes cheveux :
"Ecoute, je veux bien te faire confiance, et ne rien dire, mais tu dois me dire si tout ce qui s'est passé ici était consentant ou non…"
Apercevant dans sa voix un salut possible, je sens qu'il peut devenir mon héros après avoir été mon bourreau…
"Oui…j'étais juste avec mon copain entrain de faire des petits câlins, rien de méchant…il ne s'est rien passé d'autre…"
"Il ne t'a pas touchée de manière inconvenante ? "
Je réponds que "non" alors que ma petite chatte mouille de nouveau et à ma grande surprise beaucoup plus abondamment qu'avec Léo …Et j'en suis toute troublée.
"Tu me le promets Lydia?"
"…oui je vous le promets…il venait juste de me retirer ma culotte…quand vous êtes venu…il n'avait pas commencé, promis"
Aujourd'hui encore, je ne sais toujours pas comment j'ai pus sortir une chose pareille, mais son effet sur Thomas fut direct, car je sentis un spasme incontrôlé lui parcourir le corps.
"Tu…tu es sûre…?" Sa voix si directive à son arrivée venait de railler pour la première fois…
"oui…bon avant de l'enlever, il m'avait mis la main…"(nouveau spasmes).
"Mais... tu voulais???"
"…oui bien sûr!"
Sentant que les choses lui échappent, il commence à se reculer tout en restant assis en tailleur.
C'est le moment que je choisis, pour porter inconsciemment l'estocade finale en relevant ma jambe droite en cercle ce qui a pour effet "malencontreux", de remonter ma jupe sur le haut de mes cuisses, lui offrant une occasion unique d'apercevoir furtivement mon antre sacrée avant que la jupe ne retombe.
Il faut croire que son inconscient est aussi à l'affût que le mien, car son regard pique directement sur l'endroit ainsi dévoilé…et y reste un instant…puis, comme si quelque chose venait de changer dans sa tête, il se rapproche à nouveau, et reprend la même position; si ce n'est que je suis maintenant en face de lui, une jambe de chaque coté de lui et ma jupe largement retroussée sur le haut de mes cuisses. Je ne vous raconte même pas les sensations brulantes…
Comme pour justifier son rapprochement, il me lance :
"T'es sûre que ça va ?, t'as l'air toute tremblante"
"J'ai peur de ce qui va arriver…Thomas"
"Mais rien Lydia, je t'ai dit que je le gardais pour moi"
Je relève tranquillement la tête cherchant son regard bleu perçant
qui m'attend...
Et quand on dit que la vérité se trouve dans le regard de l'autre, et bien j'ai compris ce que cela voulait dire ce jour-là, car nous restâmes là, perdus dans le regard de l'autre un temps incertain, attirés par des forces incontrôlables…
Ce qui me parait dingue aujourd'hui encore, c'est la manière dont nos lèvres ont bougées exactement en même temps pour se coller l'une à l'autre, comme une irrésistible attraction, formant un tourbillon balayant tout sur son passage.
Nos langues entrent dans la danse et se mêlent dans une synchronisation parfaite, nous faisant goûter ainsi subtilement l'un à l'autre.
Je ne suis pas croyante, mais ce baiser était si Lumineux, qu'on aurait pu facilement me convaincre de n'importe quoi, tant que cet instant durerait…
Quelques mouvements plus tard, mais sans interrompre notre baiser, je suis accoudée sur les tapis derrière moi et réalise qu'il s'est glissé entre mes jambes son jeans déjà sur les chevilles…sûrement par magie car je n'en ai pas le souvenir…Mais en revanche je me rappelle parfaitement ma soudaine envie de suspendre ce baiser délicieux pour regarder l'action subtile qu'il menait en bas de mon ventre…
Ses bras ont pris appui de chaque coté de moi, alors que mes jambes sont à présent relevées et enserrent sa taille, lui offrant un écartement maximum. Nos bustes sont séparés, me permettant de plaquer mes mains sur ses durs abdominaux…
Et quand je peux enfin apercevoir la bête s'approcher, je me demande comment une chose aussi grosse pourrait entrer en moi.
Son gland, qui est décalotté et bien plus large que le reste de sa queue, se trouve maintenant juste en contact avec mes lèvres suintantes de mouille et d'envie...
Ces quelques moments de préparation lucide laissèrent bientôt la place à autre chose, et ce n'est que 13 ans après que ce flash de l'instant me parvient……………………………………………………
Sans savoir quoi faire, je passe maintenant mes mains sur ses hanches pour lui servir d'appui et l'inviter à poursuivre cette découverte du désir, du plaisir et de l'extase…et je sens alors son gland disparaitre délicatement en moi, et provoquer le deuxième instant Lumineux, accompagné dans tout mon corps de spasmes irréguliers mais violents…La douleur est délicieuse…et de concert, notre intuition primitive fige cet instant, pour que nous puissions en jouir ensemble…
Nos regards incrédules du plaisir que nous prenons se retrouvent, laissant nos souffles courts se percuter avant d'échanger de nouveau un baiser sublime et mouillé…
Et là, sans bouger, il me transporte aux antipodes de tout ce que j'ai pu lire ou entendre de la perte de sa virginité…
La suite est difficile à décrire, mais alors que je sentais la pénétration reprendre millimètres après millimètres, je suis sûre aujourd'hui que ni lui ni moi ne bougions, mais que le mouvement venait de manière incontrôlée, d'une contraction venue du plus profond de moi qui aspirait sa verge et m'en emplissait totalement…
Et cela dura l'éternité pour que son glaive percute les entrailles de mon volcan, libérant toute son énergie dans de puissants jets de lave en fusion, nous entrainant ensemble dans un mélange de couleurs inconnues et totalement explosives à l'intérieur…
BOUMMMMMMMMmmmm…
Nul cri, nul son, rien ne pouvait sortir de nous……………….
C'était l'instant de rien, plus d'âge, plus d'espace, plus de temps, l'existence même de nos vies était en cause………………….
Un étrange réflexe de nouveau commun nous fit nous serrer très fort l'un contre l'autre et nous restâmes ainsi plusieurs minutes précieuses…absents de toute chose…
Voilà, le cadeau que la vie m'a fait ce jour-là, et très franchement, aujourd'hui encore, 13 ans plus tard, jamais je n'ai ressenti une chose aussi puissante et troublante qu'inattendue…
Le plus étrange est la manière dont ma mémoire avait complètement enfoui cet événement, comme pour me dire laisse tomber, oublie, tu ne connaitras jamais mieux, elle avait raison jusque là…oui, mais j'ai ouvert cette porte et…
"…THOMAS?!?!…"
FIN...
PS : Avis à tous nos lecteurs…nous vous signalons qu'une petite surprise vous attend à la fin du prochain "voyage de marina", à paraitre dans les prochain jours…merci de votre fidélité bonsoir et à bientôt…
PPS : Avis à ma petite langue de vipère…sois patiente...et n'oublie pas qu'il est mauvais qu'une chose en devienne deux...
Bonsoir, je ne sais pas trop comment commencer si ce n'est de vous dire que mon corps tremble, alors que mes doigts courent sur le clavier pour vous écrire ces quelques lignes. Juste avant, je venais de refermer la porte de notre appartement, derrière des amis venus faire une "after". Le réveil marque 5h du matin… et il faut remonter environ 1h30 plus tôt pour avoir l'explication des tremblements en questions : je suis dans le salon à rigoler comme c'est pas permis avec mon copain et une dizaine d'amis, quand le gong de la porte retentit. Je me lève direct en disant :
"J'y vais, c'est Julien et Marc, ils m'ont smsçé qu'ils arrivaient accompagnés…"
Je voltige toute légère dans l'appart et arrive devant la porte, tourne le verrou et ouvre très rapidement pour les surprendre…et...
LE CHOC…LA, DEVANT moi, tétanisant tout mes muscles, faisant bouillir le sang de toutes les veines de mon corps et plongeant ma mémoire dans un souvenir que je croyais disparu…Malgré tout, j'arrive miraculeusement à dire :
"………………………"
Mais ça je vous le dirai un peu plus tard.
Je m'appelle Lydia, j'ai 29 ans et partage ma vie avec Laurent qui a 32 ans, je suis brune plutôt foncé, cheveux très courts (par commodité), je suis petite : 1m55, avec des petits seins en pyramide, et pèse 45kg, de petites fesses rondes qui suivent une cambrure assez importante, et une toison très fournie mais dont le maillot est régulièrement entretenu. Mon visage a toujours, par ses traits fins, dégagé de la beauté, de l'honnêteté, et de la jeunesse (la semaine dernière encore, j'arrive au guichet de la gare et le type me dit "moins de 18ans je suppose…"). On m'a d'ailleurs affublée de l'étiquette de "sainte ni touche", qui soit dit en passant me va comme un gant, car en effet les choses du sexe dans ma vie actuelle n'ont pour moi aucun intérêt, et je m'en détourne telle une sainte offusquée le ferait devant la vue d'un torse nu d'homme dans un magasine féminin. Seulement voilà, avant d'être une "sainte", j'ai d'abord été une adolescente de 16 ans, et à cet âge-là (et les girls ne me contrediront pas), les conversations de filles dans la cour d'école se remplissent de tout autre chose que les chiantissimes "suites numériques" ou autre "Phèdre" de Racine… Et c'est de la "chose" dont on parle avant tout… et après aussi remarquez.
Mes meilleures amies, à cette époque, sont Justine et Caroline, on se dit tout et surtout nos histoires de garçon plus âgés qui ne cherchent qu'à voler notre virginité, et que l'on mène gentiment par le bout…du nez (l'autre bout viendra un peu plus tard). A cette période, mon gars en question s'appelait Léo, et je dois dire qu'il me plaisait vraiment : 19 ans redoublant 2 fois (pour nous ça voulait dire 2 fois plus d'expérience), les yeux noirs, mystérieux, et ça me suffisait largement. Sauf que lui bien sûr il voulait tout, mais bon c'est le grand jeu de cet âge là, comme avant lui, le roulage de pèle avait succédé au jeu du docteur qui avait lui enterré le baiser du bac à sable (sur la joue)…et oui, à chaque âge des jeux différents… Bref, le jour qui nous intéresse est là, je suis dans la cour avec Caro entrain de lui demander conseil sur la petite jupe rouge que j'ai choisie…"blabla…est-elle assez courte?…blablabla…", et de finir par lui dire que je vois Léo cette après-midi, mais surtout que je vais sécher l'étude de 2 à 4 et le rejoindre à notre planque tandis que lui va sécher le sport. Elle devient hystérique et me dit :
"ouaouaoua Salope, vous allez rester à la planque 2 HEURES…je te déteste".
"Non pas 2, mais 1h30".
"Pétasse, c'est dégeu…bon allez raconte tu vas jusqu'où ?…"
"Bah tu vois quoi…à peine plus loin que la dernière fois…HIHIHIhihihhihihi"
"ahihahihahi garce…vous allez fumer"
"oui bien sûr, même si je suis toujours "privée de sortie" à cause de l'autre fois"
"y sont chelou tes vieux"
"m'en parle pas ils ont la rancune tenace, j'ai vachement intérêt de faire gaffe"
"rappelle-moi juste où vous en étiez la dèr?"
"hey ben pelotage de nibarts sous le t-shirt et sans soustif…"
"Trainée va…HIHIHIhihihihi"
"hihihihihihi…"
"bon à toute…évidement conseil de filles chez moi ce soir…et tu t'allonge"
"c'est clair…bye"
Désolée pour la façon de parler mais nous étions jeunes et un peu conne… Bref, le début d'après-midi se passe comme sur des roulettes pour mon plan, mais malgré tout je suis très nerveuse, j'espère que son plan va marcher aussi. C'est moi qui vais à la planque d'abord et lui me rejoint un peu plus tard. La planque en question n'est autre qu'une extension du gymnase où l'on stocke plein de matériel de gym et entre autre des tapis de gym. Il se trouve qu'un jour nous voulions fumer une clop avec les girls et que, comme dans tous les bahus de France et sans doute du monde, il faut se planquer pour fumer, et bien pour nous c'était derrière ce bâtiment. Sauf qu'il y a deux mois, en arrivant, Justine remarque que la porte de derrière est entrouverte et qu'une clé est restée dessus, ni une ni deux, on referme la porte et on se barre avec la clé…et voilà, on avait non seulement une bonne planque, mais en plus il y avait le confort des tapis qui était vraiment agréable lorsque nous étions accompagnées d'un garçon.
La première qui arrivait fermait derrière elle et nous avions convenu d'un code pour celles qui suivaient. Code que j'avais donné à Léo. Côté sécurité, il fallait aussi faire attention car il y avait une autre entrée qui donnait à l'intérieur du gymnase d'où l'on pouvait venir à tout moment chercher quelques matériels. C'était d'ailleurs déjà arrivé, mais en nous plaçant tout au fond au-dessus d'une pile de tapis souples, on ne pouvait franchement pas nous capter à moins de faire du bruit. Evidemment tout ceci nous plaçait tout de même dans des états de stress très importants, et alors que j'attendais Léo, le stress montait. Ces jets d'adrénaline, source de sensation forte par excellence, me bombardait davantage le corps et le cerveau cette après-midi là…L'attente jouait également son rôle de surtension, et amplifiait encore largement le phénomène qui atteignit des sommets ce jour-là. On dira ce que l'on voudra, mais l'extrême tension de "ne pas se faire prendre" est sans doute parmi les plus exquises sensations que notre esprit soit capable de nous procurer, devenant ainsi le terrain privilégier d'autres sensations plus dévastatrices encore. A ce propos, on dit que le premier shoot à l'héroïne (mais le premier seulement) est le plus puissant trip que le cerveau puisse subir, dans le même ordre d'idée on le compare souvent d'ailleurs à l'orgasme (ou par contre la chimie du cerveau opère naturellement et sans apport artificiel). Attention, la nuance est de mise, car quand je parle d'orgasme, je parle bien-sur de l'ORGASME, et pas des petites baises conventionnelles qui ressemblent plus à des pétards "mouillés" ( à peine) qu'à la chose en question qui elle doit d'abord se vivre avant de s'écrire… je suis sûre que vous voyez de quoi je parle.
Donc j'attends mon Léo depuis plus de 20 minutes et toutes ces réactions chimiques font grimper ma libido en flèche et je ressens même de nouvelles sensations qui me surprennent beaucoup, comme de petites décharges électriques qui me traversent le bas-ventre et chauffent très fort mon petit minou et ses contours, je ne suis pas sûre, mais j'ai l'impression que déjà, mon petit volcan interne crache quelques matières brulantes et liquides.
Tandis que je m'apprête à vérifier, j'entends frapper à la porte extérieure… mon coeur se serre…
TOC TOC……TOC TOC……TOC…
OUF c'est le code, je peux respirer et descends pour lui ouvrir.
Clicclac…"Salut, oh j'ai flippé grave…"
Nous restons un peu dehors pour fumer une clop et discuter un peu.
Quelques minutes plus tard, nous nous vautrons amoureusement sur les tapis, nous roulons l'un sur l'autre, nous nous chatouillons puis nous embrassons pour finir par des caresses qui se précisent.
J'avais déjà remarqué que son audace s'affirmait de câlin en câlin, mais là, était-ce l'endroit, la situation, l'excitation ou les trois réunis, ses caresses devenaient plus précises, plus lentes, et j'adorais ça. De nouveau, ce crachin chaud et électrique entre mes cuisses…qui me surprend et…
"humm…"
Ce petit cri venu du coeur l'encourage et il se met à glisser ses mains sous mon chemisier mais surtout, une première, me surprend et glisse rapidement sa main gauche sous ma jupe, et remonte direct sur ma petite culotte blanche en coton.
Je panique un peu alors que ses doigts constatent maintenant dans quel état il me met. Mais je suis tellement bien que j'ai envie de me détendre et de profiter de cette caresse nouvelle et…
"Huummm…"
"Fais attention ma belle" pensais-je alors…ça déraille…
Et effectivement, Léo se sent pousser des ailes et surtout une belle bosse, qui vient maintenant se frotter contre ma cuisse.
C'est quand il bascule et roule rapidement sur moi que j'ai peur de la suite et que frappée de questions, j'ai du mal à savoir quoi faire…(allez fais-le…non t'es pas prête…oh allez tout est bien et tu l'aimes…)
Sa fougue grandit encore lorsqu'il fait passer mes jambes de chaque coté de son bassin en retroussant au passage ma jupe sur mon ventre. Cette fois c'est quelque chose, car la mystérieuse bosse dans son jeans est maintenant plaquée, collée tout contre ma culotte trempée, et son baiser nerveux marque une forte excitation accompagnée de petits bang bang bang qui percutent mon pubis et roulent sur les lèvres de ma chatte.
De plus en plus dingue, je réponds à mes questionnements internes au rythme de ces bangs… (bang…oui…bang…non…bang…oui…bang…non)
Mon corps supplie un oui tandis que ma tête ordonne un non…
…Mais depuis tout à l'heure, je suis en retard sur ses intentions, et encore une fois, en un éclair, il roule sur le coté, et attrape de ses doigts habiles l'élastique de ma culotte pour tenter de la descendre. Heureusement, l'écartement de mes genoux empêche toute continuation… Cette fois, me dis-je, ça suffit, je dois l'arrêter ici…mais alors que ces paroles frappent ma tête, mes jambes cèdent et se resserrent libérant ainsi la descente de ma culotte, qu'il n'hésite pas un instant à reprendre jusqu'à ce qu'il la retire entièrement …
Je me sens terrifiée par cette chose qui échappe à mon contrôle…et pourtant elle continue de m'exciter au plus haut point…et je pense…"Est-ce LE jour????…je ne sais pas …j'suis larguée…"
Léo lui n'est pas du tout hésitant, il est revenu entre mes jambes , et frotte de nouveau ce mystère qui j'ai l'impression a encore durci.
De nouveau, des questions me pèsent, mais assez rapidement laissent la place à une soudaine impression… JE SUIS PRETE…J'en ai trop envie… J'attire Léo pour lui glisser à l'oreille.
"Tu as des préservatifs??" Surpris, il me dit nerveusement :
"oouui…bien…sûr…je…t'es sûre ?…"
"oui…sûre…"
Il se redresse vite, plonge une main dans sa poche et en sort une capote…
Il dégrafe son jeans…Ce qui m'affole complètement, je le regarde faire, étant incapable de participer… Et là, une forte voix retentit :
"Y A QUELQU'UN LA HAUT?…QUEST CE QUE VOUS FAITES ?"
La panique me broie instantanément le cerveau…et tout s'effondre…Léo se redresse comme une fusée et détale comme un lapin sautant de l'autre coté d'où la voix est venue…
"HEY…TOI VIENS ICI…HEY…ARRETE-TOI…MAIS…", dit le trouble-fête en escaladant les tapis.
Instinctivement je me suis recroquevillée en foetus contre une autre pile de tapis…ne peux plus bouger, en plus ma tête explose de milles pensées…(mes PARENTS, merde, je suis foutue, les copines, tout le lycée va savoir, je vais être exclue…c'est pas possible…non)
"Mademoiselle, ça va?..", dis une voix déjà toute proche.
Je jette un coup d'oeil dans sa direction, car j'ai cru reconnaitre la voix de Thomas, un des pions du lycée, d'une trentaine d'années, sur qui les copines et, surtout moi, flashons complètement…
"Lydia? c'est toi? est-ce que ça va?"
Toute cette tension, s'en est trop et je fonds en larme...
Thomas s'approche encore, s'accroupit :
" T'inquiète pas, ça va allez…, me dit-il avec une voix plus douce et rassurante, que s'est il passé? dis-moi juste si je dois appeler l'infirmerie ?"…
Je bondis en me jetant dans ses bras, et dis…
"NON NON surtout pas, ça va très bien"
" ça n'a pas l'air d'aller"
"Si si si ça va...mais…ne dites rien, je vous en supplie"
"Je ne peux pas ne rien dire, je ne sais pas ce qui s'est passé, et vous n'avez pas le droit d'être ici, je dois en parler…"
Toujours blottie contre son torse et dans ses bras forts qu'il a placés sur mes épaules, je ne sais vraiment pas quoi dire pour changer le destin pourri qui m'attendait.
Mais prolonger ces longues secondes, dans le creux de sa personne était la seule chose dont j'avais envie……
Paradoxalement, le responsable de mon effondrement, devenait, malgré lui, mon seul rempart avec le monde extérieur…
Contre toute logique rationnelle, là, à cet instant, de nouvelles petites piqures me harcèlent au fond du ventre et j'en suis toute retournée… Elles viennent des profondeurs de mon volcan, et j'ai l'impression qu'il se passe quelque chose d'anormal…
Et tandis qu'il cherche à rompre cette étreinte improvisée, je m'accroche légèrement en lui disant :
"Attendez s'il vous plait…juste encore un peu…"
Il ne dit rien, mais prend une position plus confortable pour lui (assis en tailleur en face de moi), et reprend ce qui ressemble maintenant plus à un câlin amical qu'à une accolade compatissante.
Comme pour ménager ma sensibilité, il chuchote dans mes cheveux :
"Ecoute, je veux bien te faire confiance, et ne rien dire, mais tu dois me dire si tout ce qui s'est passé ici était consentant ou non…"
Apercevant dans sa voix un salut possible, je sens qu'il peut devenir mon héros après avoir été mon bourreau…
"Oui…j'étais juste avec mon copain entrain de faire des petits câlins, rien de méchant…il ne s'est rien passé d'autre…"
"Il ne t'a pas touchée de manière inconvenante ? "
Je réponds que "non" alors que ma petite chatte mouille de nouveau et à ma grande surprise beaucoup plus abondamment qu'avec Léo …Et j'en suis toute troublée.
"Tu me le promets Lydia?"
"…oui je vous le promets…il venait juste de me retirer ma culotte…quand vous êtes venu…il n'avait pas commencé, promis"
Aujourd'hui encore, je ne sais toujours pas comment j'ai pus sortir une chose pareille, mais son effet sur Thomas fut direct, car je sentis un spasme incontrôlé lui parcourir le corps.
"Tu…tu es sûre…?" Sa voix si directive à son arrivée venait de railler pour la première fois…
"oui…bon avant de l'enlever, il m'avait mis la main…"(nouveau spasmes).
"Mais... tu voulais???"
"…oui bien sûr!"
Sentant que les choses lui échappent, il commence à se reculer tout en restant assis en tailleur.
C'est le moment que je choisis, pour porter inconsciemment l'estocade finale en relevant ma jambe droite en cercle ce qui a pour effet "malencontreux", de remonter ma jupe sur le haut de mes cuisses, lui offrant une occasion unique d'apercevoir furtivement mon antre sacrée avant que la jupe ne retombe.
Il faut croire que son inconscient est aussi à l'affût que le mien, car son regard pique directement sur l'endroit ainsi dévoilé…et y reste un instant…puis, comme si quelque chose venait de changer dans sa tête, il se rapproche à nouveau, et reprend la même position; si ce n'est que je suis maintenant en face de lui, une jambe de chaque coté de lui et ma jupe largement retroussée sur le haut de mes cuisses. Je ne vous raconte même pas les sensations brulantes…
Comme pour justifier son rapprochement, il me lance :
"T'es sûre que ça va ?, t'as l'air toute tremblante"
"J'ai peur de ce qui va arriver…Thomas"
"Mais rien Lydia, je t'ai dit que je le gardais pour moi"
Je relève tranquillement la tête cherchant son regard bleu perçant
qui m'attend...
Et quand on dit que la vérité se trouve dans le regard de l'autre, et bien j'ai compris ce que cela voulait dire ce jour-là, car nous restâmes là, perdus dans le regard de l'autre un temps incertain, attirés par des forces incontrôlables…
Ce qui me parait dingue aujourd'hui encore, c'est la manière dont nos lèvres ont bougées exactement en même temps pour se coller l'une à l'autre, comme une irrésistible attraction, formant un tourbillon balayant tout sur son passage.
Nos langues entrent dans la danse et se mêlent dans une synchronisation parfaite, nous faisant goûter ainsi subtilement l'un à l'autre.
Je ne suis pas croyante, mais ce baiser était si Lumineux, qu'on aurait pu facilement me convaincre de n'importe quoi, tant que cet instant durerait…
Quelques mouvements plus tard, mais sans interrompre notre baiser, je suis accoudée sur les tapis derrière moi et réalise qu'il s'est glissé entre mes jambes son jeans déjà sur les chevilles…sûrement par magie car je n'en ai pas le souvenir…Mais en revanche je me rappelle parfaitement ma soudaine envie de suspendre ce baiser délicieux pour regarder l'action subtile qu'il menait en bas de mon ventre…
Ses bras ont pris appui de chaque coté de moi, alors que mes jambes sont à présent relevées et enserrent sa taille, lui offrant un écartement maximum. Nos bustes sont séparés, me permettant de plaquer mes mains sur ses durs abdominaux…
Et quand je peux enfin apercevoir la bête s'approcher, je me demande comment une chose aussi grosse pourrait entrer en moi.
Son gland, qui est décalotté et bien plus large que le reste de sa queue, se trouve maintenant juste en contact avec mes lèvres suintantes de mouille et d'envie...
Ces quelques moments de préparation lucide laissèrent bientôt la place à autre chose, et ce n'est que 13 ans après que ce flash de l'instant me parvient……………………………………………………
Sans savoir quoi faire, je passe maintenant mes mains sur ses hanches pour lui servir d'appui et l'inviter à poursuivre cette découverte du désir, du plaisir et de l'extase…et je sens alors son gland disparaitre délicatement en moi, et provoquer le deuxième instant Lumineux, accompagné dans tout mon corps de spasmes irréguliers mais violents…La douleur est délicieuse…et de concert, notre intuition primitive fige cet instant, pour que nous puissions en jouir ensemble…
Nos regards incrédules du plaisir que nous prenons se retrouvent, laissant nos souffles courts se percuter avant d'échanger de nouveau un baiser sublime et mouillé…
Et là, sans bouger, il me transporte aux antipodes de tout ce que j'ai pu lire ou entendre de la perte de sa virginité…
La suite est difficile à décrire, mais alors que je sentais la pénétration reprendre millimètres après millimètres, je suis sûre aujourd'hui que ni lui ni moi ne bougions, mais que le mouvement venait de manière incontrôlée, d'une contraction venue du plus profond de moi qui aspirait sa verge et m'en emplissait totalement…
Et cela dura l'éternité pour que son glaive percute les entrailles de mon volcan, libérant toute son énergie dans de puissants jets de lave en fusion, nous entrainant ensemble dans un mélange de couleurs inconnues et totalement explosives à l'intérieur…
BOUMMMMMMMMmmmm…
Nul cri, nul son, rien ne pouvait sortir de nous……………….
C'était l'instant de rien, plus d'âge, plus d'espace, plus de temps, l'existence même de nos vies était en cause………………….
Un étrange réflexe de nouveau commun nous fit nous serrer très fort l'un contre l'autre et nous restâmes ainsi plusieurs minutes précieuses…absents de toute chose…
Voilà, le cadeau que la vie m'a fait ce jour-là, et très franchement, aujourd'hui encore, 13 ans plus tard, jamais je n'ai ressenti une chose aussi puissante et troublante qu'inattendue…
Le plus étrange est la manière dont ma mémoire avait complètement enfoui cet événement, comme pour me dire laisse tomber, oublie, tu ne connaitras jamais mieux, elle avait raison jusque là…oui, mais j'ai ouvert cette porte et…
"…THOMAS?!?!…"
FIN...
PS : Avis à tous nos lecteurs…nous vous signalons qu'une petite surprise vous attend à la fin du prochain "voyage de marina", à paraitre dans les prochain jours…merci de votre fidélité bonsoir et à bientôt…
PPS : Avis à ma petite langue de vipère…sois patiente...et n'oublie pas qu'il est mauvais qu'une chose en devienne deux...
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
C est brouillon le lecteur ni comprends rien faut il la table de rosette pour déchiffrer ce charabia.