Suzanne 3
Récit érotique écrit par Scrup89 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-12-2019 dans la catégorie Dominants et dominés
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Suzanne 3
-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --
Suzanne 3
Troisième séance chez Suzanne. Nous voilà au Vendredi soir. Qu’est ce qui m’attend ? Elle m’a promis une surprise, la sadique, mais elle ne m’en a pas dit vraiment davantage. Le seul truc que j’ai deviné à travers ses messages, c’est que je devrai passer chez elle tout le week-end. Et ça, c’est nouveau. « Pas besoin de pyjama, il y a ici tout ce qu’il faut ». La connaissant j’imagine le pire.
Bon, il est 18h30. Je me présente, comme convenu. La porte de l’immeuble, la sonnerie de l’entrée, l’escalier, le palier du dernier étage.
Les autres fois il y avait un mot sur le paillasson pour m’indiquer ma tenue avant d’entrer : « Slip », par exemple. Je commence à avoir l’habitude.
Aujourd’hui, rien. Ou plutôt presque rien : une feuille blanche. Aurais je carte blanche ? Ah, je devine … s’il n’y a rien d’écrit c’est parce que je dois rentrer sans rien sur moi. Tout nu. A poil. J’ai compris. Surtout qu’elle m’a dit de venir épilé.
Je m’apprête à glisser mes fringues dans le seau prévu à cet effet comme d’habitude. Mon pull, mon jean, mes baskets , j’arrive au slip.
Surprise, le seau est presque plein . Un sweat, un jean, des sandales, un string et un soutif. Aïe aïe aïe ! je ne suis pas seul, Il y a une gonzesse !
J’y vais ? J’y vais pas ? Plus le choix. Mes fringues et mes baskets filent dans le seau. Et moi sur le palier, devant la porte encore fermée. En slip.
C’est bizarre, d’être comme ça. Ça m’excite déjà. Et la porte qui ne s’ouvre pas.
Mon slip rejoint le reste, j’attends toujours. Dans le noir, mais avec un détecteur de mouvement. Au moindre geste je suis sous la lampe qui éclaire le palier. Ah ! Voilà qu’un petit papier apparaît, sous la porte. Je l’attrape pour lire les instructions.
C’est simple. Il y a juste une flèche dessinée. Vers le haut. Je traduis « érection ! »Exécution, je commence à me branler. Pas besoin d’y aller fort. En moins d’une minute je suis en position, flèche en l’air.
Ah, enfin, la porte s’entrouvre. J’y vais … c’est le noir total.
La porte se referme derrière moi. Et je sens une présence. Dans mon dos. Je sens un corps. A l’évidence, un corps nu. Ou presque nu. Mais ce n’est pas la Suzanne. On me ceinture. Pas le temps de dire Ouf. Une main sur ma bouche pour ne pas crier, une sur ma queue pour me branler… Décidément, ce soir c’est ma fête, c’est du rapide. Et du muet.
Muet ? Pas vraiment, voilà que je l’entends, de loin.
- « Vas y Ginette, il est à toi ce soir. Fais lui tout ce que tu veux.
- Tout ?
- Oui, tripote le, torture le, comme tu aimes. Mais n’oublie pas, parfois les rôles s’inversent. Et il t’arrivera d’y passer à ton tour.
- Je sais, Suzanne, je sais. Surtout que j’aime ça.
- Il est bien épilé, comme prévu ?
- Oh oui, ça ira, dit-elle rn me caressant les couilles.
- La raie du cul aussi ?
- Oui, mais on lui fera une petite finition si vous voulez, ajoute-t-elle en glissant un doigt entre mes fesses, avec gourmandise »J’ai bien entendu, elle se nomme Ginette. Pour sûr ce n’est pas un nom de guerre. Elle doit être vieille. Et … expérimentée, c’est sûr.
- Pour commencer, essore le bien. A la main, à la bouche, vide le deux fois de suite si tu peux. Pour la suite ce sera meilleur, un vrai barreau.
- J’aime quand vous me donnez des ordres. S’il vous plait, Suzanne, pour bien le commencer, je voudrais qu’il soit pendu par les poignets au gros crochet en haut pour mieux le tripoter. Je peux ?
- Tu le veux à ta merci, c’est ça ?
- Oui, je veux lui faire ce que j ai envie.
- Fais le grimper sur le petit escabeau. Tu lui noues les poignets pour commencer; puis tu les fixes au crochet, à bonne hauteur. Tu connais, tu as déjà été accrochée comme ça la semaine derrière.
- Ouiiiii c’est excitant ça me fait mouiller.
- Ne sois pas pressée.
- Ouiiiii … j’ai envie de l’humilier.
- Bâillonne-le, sinon on ne s’entendra pas.
- Dommage, j’aimerais bien l’entendre gueuler.
- Obéis, ma Ginette, ou sinon je te fouette.
- Voilà c’est fait.
- Il bande ?
- Oui. Un vrai cerf.
- Enlève l’escabeau, il faut qu’il soit pendu. S’il gigote un peu trop, tu attaches ses chevilles avec du velcro. Ou du scotch large.
- Du scotch, c’est mieux.
Attrape ses couilles, et serre-les. Presse-les comme des figues mûres.
- Il va aimer, ou non ?
- On va voir. Regarde comme il bande- Oui, c’est super, et il a mal, je le sens.
- Ecrase-les. Fais-lui mal.
Je me demande combien de temps ça va durer. Ce sont de vraies sadiques, on est loin des simples jeux sado-maso de salon promis par la Suzanne.
- Prends le bien, suce !
- Oui- Mords lui les couilles, et enlève lui le bâillon un instant, qu’on l’entende gueuler un bon coup.
La vieille y va à pleines dents, je le sens. Elle va me châtrer si ça continue. Je ne gueule pas, ça l’exciterait encore plus.
- Suce le, vide le.
- Il jouit … le cochon. C’est un rapide !
- C’est bon, finis le, essore le, n’avale surtout pas; mets le jus dans un verre.
- Dommage … Mais c’est o.k. Dans le verre.
- Ne le lâche pas, empêche le de débander, et tu lui fais une autre pipe sur-le-champ.
- Mais … il couine comme une gonzesse.
- Mets lui un doigt au cul, ou deux. Masse lui sa prostate. Fais le jouir, il le faut.
Comme prévu, c’est plus long à venir mais, contre toute attente j’envoie une seconde giclée au fond de sa gorge, bien abondante , qu’elle recrache dans le verre, et elle me lâche enfin, en position « repos ».
- Laisse le pendu par les mains, mais tu lui glisses un gros bouquin sous les pieds, ou même deux. Pour le reposer un peu ; il servira encore, après qu’on ait mangé.
- On se fait un petit apéro ? demande Ginette en faisant ce que lui a ordonné la Suzanne.
- Pas tout de suite, chérie. Mets le sperme dans le bac à glaçons, et au congélateur.
Au passage elle ne peut s’empêcher de me tripoter la bite ; une vraie salope, vraiment, tu verras quand ce sera ton tour, tu t’en souviendras.
- Voici la cire à épiler, et les bandes. Finis-le, il faut que ses couilles soient douces comme des coquilles d’œuf.
- Et la raie ?
- La raie du cul aussi. Je ne veux pas voir la moindre trace de poil.
Elle a pris son temps, et elle m’a fignolé avec un rasoir à manche. Attention à ne pas bouger, sinon … émasculation garantie.
- Détache-le à présent. Descends le sur le parquet. Et couche le dans le grand panier, comme un chien, poignets attachés. Tu l’as tellement sonné qu’il ne pourra pas bouger.
- O.K.
- Viens vers moi à présent, et allume la lumière, qu’il nous voie un peu.
Je n’en crois pas mes yeux. Une Ginette bien mûre, avec des rides, mais un cul et des nénés magnifiques. Totalement à poil. Enfin, plutôt sans poil. Totalement épilée … je sens qu’elle va m’en faire voir celle-là. Et Suzanne, bien mûre elle aussi mais absolument parfaite. En combi-collant, avec … un gode double sans harnais, droit comme un i majuscule, enfilé à fond dans son sexe. Assise dans un fauteuil en rotin style Emmanuelle.
- Viens sur moi Chérie, viens que je te baise.
L’autre ne se le fait pas dire deux fois. La voilà à califourchon sur Suzanne, elle ajuste le bidule, et se laisse tomber jusqu’à être embrochée. Et voilà que ça s’embrasse, que ça remue, que ça gémit …- Oui, oui, j’y suis, chérie. Bourre-moi bien, j’ai tellement envie ! Je sens que je vais partir, je jouis … oh oui, je jouis, tu le sens ?
- Oh oui, mais j’en veux davantage. Tourne-toi, cochonne. Donne-moi ton petit cul.
A cheval à nouveau, mais à l’envers. Au fond du trou du cul en deux secondes.
- Tu m’as fait mal, cochonne, mais maintenant c’est bon dans mon anus. Tu aimes ?
- Oh oui, j’aime. Laisse moi te pilonner le fondement, je veux que tu jouisses du cul, vas-y …- Oui, j’adore, surtout quand c’est toi. Fais ta salope, dis moi des cochonneries, arrose moi, envoie la sauce.
Un détail que je n’avais pas vu jusqu’à présent. La bite en silicone est munie d’une poire caoutchouc. La Suzanne me montre bien l’outil, et, d’un coup, envoie tout le contenu dans l’anus de l’autre cochonne. Je saurai plus tard que c’était de l’eau tiède. Avec du poivre et du gros sel, pour lui chauffer l’anus . HmmmmUne bonne demi-heure à se gouiner, se fister, et moi … rien. Repos ! Toujours coincé dans le panier à chien. Mais, je le sens, je ne perds rien pour attendre.
- Sors le de là, on va jouer un peu.
- Oh oui, on lui fait quoi ?
- Pour commencer on va l’anesthésier. Donne moi l’éther, à coté de toi. Et le coton.
- Oui- Et présente moi sa bite, bien molle.
- Ce n’est pas facile, il risque de bander.
- Molle, j’ai dit.
Et voilà qu’elle m’enduit d’éther à haute dose. C’est tout froid, et, c’est vrai, anesthésiant.
- Tiens le bien, tu vois ce que j’ai dans ma main ?
- Oui, un truc pour percer les oreilles des gamines.
- A peu près ça. En fait un peu plus grand.
- On lui perce quoi ? La bite ?
- Plus exactement le sac des couilles, le scrotum comme on dit dans les livres. Tiens le bien, on va lui faire ça à la base. Il va le sentir passer mais c’est supportable avec l’éther. Et sans risque.
La salope, la vicieuse, elle m’a pris de court. Pas le temps de dire non ; pas le temps de dire oui. J’ai poussé un cri énorme.
- Et voilà, mon mignon, c’est fait… On cicatrise 30 minutes et je te passerai un anneau d’acier que tu garderas à perpète. Tu es à moi à présent , et … à Ginette.
A suivre
Suzanne 3
Troisième séance chez Suzanne. Nous voilà au Vendredi soir. Qu’est ce qui m’attend ? Elle m’a promis une surprise, la sadique, mais elle ne m’en a pas dit vraiment davantage. Le seul truc que j’ai deviné à travers ses messages, c’est que je devrai passer chez elle tout le week-end. Et ça, c’est nouveau. « Pas besoin de pyjama, il y a ici tout ce qu’il faut ». La connaissant j’imagine le pire.
Bon, il est 18h30. Je me présente, comme convenu. La porte de l’immeuble, la sonnerie de l’entrée, l’escalier, le palier du dernier étage.
Les autres fois il y avait un mot sur le paillasson pour m’indiquer ma tenue avant d’entrer : « Slip », par exemple. Je commence à avoir l’habitude.
Aujourd’hui, rien. Ou plutôt presque rien : une feuille blanche. Aurais je carte blanche ? Ah, je devine … s’il n’y a rien d’écrit c’est parce que je dois rentrer sans rien sur moi. Tout nu. A poil. J’ai compris. Surtout qu’elle m’a dit de venir épilé.
Je m’apprête à glisser mes fringues dans le seau prévu à cet effet comme d’habitude. Mon pull, mon jean, mes baskets , j’arrive au slip.
Surprise, le seau est presque plein . Un sweat, un jean, des sandales, un string et un soutif. Aïe aïe aïe ! je ne suis pas seul, Il y a une gonzesse !
J’y vais ? J’y vais pas ? Plus le choix. Mes fringues et mes baskets filent dans le seau. Et moi sur le palier, devant la porte encore fermée. En slip.
C’est bizarre, d’être comme ça. Ça m’excite déjà. Et la porte qui ne s’ouvre pas.
Mon slip rejoint le reste, j’attends toujours. Dans le noir, mais avec un détecteur de mouvement. Au moindre geste je suis sous la lampe qui éclaire le palier. Ah ! Voilà qu’un petit papier apparaît, sous la porte. Je l’attrape pour lire les instructions.
C’est simple. Il y a juste une flèche dessinée. Vers le haut. Je traduis « érection ! »Exécution, je commence à me branler. Pas besoin d’y aller fort. En moins d’une minute je suis en position, flèche en l’air.
Ah, enfin, la porte s’entrouvre. J’y vais … c’est le noir total.
La porte se referme derrière moi. Et je sens une présence. Dans mon dos. Je sens un corps. A l’évidence, un corps nu. Ou presque nu. Mais ce n’est pas la Suzanne. On me ceinture. Pas le temps de dire Ouf. Une main sur ma bouche pour ne pas crier, une sur ma queue pour me branler… Décidément, ce soir c’est ma fête, c’est du rapide. Et du muet.
Muet ? Pas vraiment, voilà que je l’entends, de loin.
- « Vas y Ginette, il est à toi ce soir. Fais lui tout ce que tu veux.
- Tout ?
- Oui, tripote le, torture le, comme tu aimes. Mais n’oublie pas, parfois les rôles s’inversent. Et il t’arrivera d’y passer à ton tour.
- Je sais, Suzanne, je sais. Surtout que j’aime ça.
- Il est bien épilé, comme prévu ?
- Oh oui, ça ira, dit-elle rn me caressant les couilles.
- La raie du cul aussi ?
- Oui, mais on lui fera une petite finition si vous voulez, ajoute-t-elle en glissant un doigt entre mes fesses, avec gourmandise »J’ai bien entendu, elle se nomme Ginette. Pour sûr ce n’est pas un nom de guerre. Elle doit être vieille. Et … expérimentée, c’est sûr.
- Pour commencer, essore le bien. A la main, à la bouche, vide le deux fois de suite si tu peux. Pour la suite ce sera meilleur, un vrai barreau.
- J’aime quand vous me donnez des ordres. S’il vous plait, Suzanne, pour bien le commencer, je voudrais qu’il soit pendu par les poignets au gros crochet en haut pour mieux le tripoter. Je peux ?
- Tu le veux à ta merci, c’est ça ?
- Oui, je veux lui faire ce que j ai envie.
- Fais le grimper sur le petit escabeau. Tu lui noues les poignets pour commencer; puis tu les fixes au crochet, à bonne hauteur. Tu connais, tu as déjà été accrochée comme ça la semaine derrière.
- Ouiiiii c’est excitant ça me fait mouiller.
- Ne sois pas pressée.
- Ouiiiii … j’ai envie de l’humilier.
- Bâillonne-le, sinon on ne s’entendra pas.
- Dommage, j’aimerais bien l’entendre gueuler.
- Obéis, ma Ginette, ou sinon je te fouette.
- Voilà c’est fait.
- Il bande ?
- Oui. Un vrai cerf.
- Enlève l’escabeau, il faut qu’il soit pendu. S’il gigote un peu trop, tu attaches ses chevilles avec du velcro. Ou du scotch large.
- Du scotch, c’est mieux.
Attrape ses couilles, et serre-les. Presse-les comme des figues mûres.
- Il va aimer, ou non ?
- On va voir. Regarde comme il bande- Oui, c’est super, et il a mal, je le sens.
- Ecrase-les. Fais-lui mal.
Je me demande combien de temps ça va durer. Ce sont de vraies sadiques, on est loin des simples jeux sado-maso de salon promis par la Suzanne.
- Prends le bien, suce !
- Oui- Mords lui les couilles, et enlève lui le bâillon un instant, qu’on l’entende gueuler un bon coup.
La vieille y va à pleines dents, je le sens. Elle va me châtrer si ça continue. Je ne gueule pas, ça l’exciterait encore plus.
- Suce le, vide le.
- Il jouit … le cochon. C’est un rapide !
- C’est bon, finis le, essore le, n’avale surtout pas; mets le jus dans un verre.
- Dommage … Mais c’est o.k. Dans le verre.
- Ne le lâche pas, empêche le de débander, et tu lui fais une autre pipe sur-le-champ.
- Mais … il couine comme une gonzesse.
- Mets lui un doigt au cul, ou deux. Masse lui sa prostate. Fais le jouir, il le faut.
Comme prévu, c’est plus long à venir mais, contre toute attente j’envoie une seconde giclée au fond de sa gorge, bien abondante , qu’elle recrache dans le verre, et elle me lâche enfin, en position « repos ».
- Laisse le pendu par les mains, mais tu lui glisses un gros bouquin sous les pieds, ou même deux. Pour le reposer un peu ; il servira encore, après qu’on ait mangé.
- On se fait un petit apéro ? demande Ginette en faisant ce que lui a ordonné la Suzanne.
- Pas tout de suite, chérie. Mets le sperme dans le bac à glaçons, et au congélateur.
Au passage elle ne peut s’empêcher de me tripoter la bite ; une vraie salope, vraiment, tu verras quand ce sera ton tour, tu t’en souviendras.
- Voici la cire à épiler, et les bandes. Finis-le, il faut que ses couilles soient douces comme des coquilles d’œuf.
- Et la raie ?
- La raie du cul aussi. Je ne veux pas voir la moindre trace de poil.
Elle a pris son temps, et elle m’a fignolé avec un rasoir à manche. Attention à ne pas bouger, sinon … émasculation garantie.
- Détache-le à présent. Descends le sur le parquet. Et couche le dans le grand panier, comme un chien, poignets attachés. Tu l’as tellement sonné qu’il ne pourra pas bouger.
- O.K.
- Viens vers moi à présent, et allume la lumière, qu’il nous voie un peu.
Je n’en crois pas mes yeux. Une Ginette bien mûre, avec des rides, mais un cul et des nénés magnifiques. Totalement à poil. Enfin, plutôt sans poil. Totalement épilée … je sens qu’elle va m’en faire voir celle-là. Et Suzanne, bien mûre elle aussi mais absolument parfaite. En combi-collant, avec … un gode double sans harnais, droit comme un i majuscule, enfilé à fond dans son sexe. Assise dans un fauteuil en rotin style Emmanuelle.
- Viens sur moi Chérie, viens que je te baise.
L’autre ne se le fait pas dire deux fois. La voilà à califourchon sur Suzanne, elle ajuste le bidule, et se laisse tomber jusqu’à être embrochée. Et voilà que ça s’embrasse, que ça remue, que ça gémit …- Oui, oui, j’y suis, chérie. Bourre-moi bien, j’ai tellement envie ! Je sens que je vais partir, je jouis … oh oui, je jouis, tu le sens ?
- Oh oui, mais j’en veux davantage. Tourne-toi, cochonne. Donne-moi ton petit cul.
A cheval à nouveau, mais à l’envers. Au fond du trou du cul en deux secondes.
- Tu m’as fait mal, cochonne, mais maintenant c’est bon dans mon anus. Tu aimes ?
- Oh oui, j’aime. Laisse moi te pilonner le fondement, je veux que tu jouisses du cul, vas-y …- Oui, j’adore, surtout quand c’est toi. Fais ta salope, dis moi des cochonneries, arrose moi, envoie la sauce.
Un détail que je n’avais pas vu jusqu’à présent. La bite en silicone est munie d’une poire caoutchouc. La Suzanne me montre bien l’outil, et, d’un coup, envoie tout le contenu dans l’anus de l’autre cochonne. Je saurai plus tard que c’était de l’eau tiède. Avec du poivre et du gros sel, pour lui chauffer l’anus . HmmmmUne bonne demi-heure à se gouiner, se fister, et moi … rien. Repos ! Toujours coincé dans le panier à chien. Mais, je le sens, je ne perds rien pour attendre.
- Sors le de là, on va jouer un peu.
- Oh oui, on lui fait quoi ?
- Pour commencer on va l’anesthésier. Donne moi l’éther, à coté de toi. Et le coton.
- Oui- Et présente moi sa bite, bien molle.
- Ce n’est pas facile, il risque de bander.
- Molle, j’ai dit.
Et voilà qu’elle m’enduit d’éther à haute dose. C’est tout froid, et, c’est vrai, anesthésiant.
- Tiens le bien, tu vois ce que j’ai dans ma main ?
- Oui, un truc pour percer les oreilles des gamines.
- A peu près ça. En fait un peu plus grand.
- On lui perce quoi ? La bite ?
- Plus exactement le sac des couilles, le scrotum comme on dit dans les livres. Tiens le bien, on va lui faire ça à la base. Il va le sentir passer mais c’est supportable avec l’éther. Et sans risque.
La salope, la vicieuse, elle m’a pris de court. Pas le temps de dire non ; pas le temps de dire oui. J’ai poussé un cri énorme.
- Et voilà, mon mignon, c’est fait… On cicatrise 30 minutes et je te passerai un anneau d’acier que tu garderas à perpète. Tu es à moi à présent , et … à Ginette.
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