Sylvie 2

- Par l'auteur HDS Prospero -
Récit érotique écrit par Prospero [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
  • • 11 récits publiés.
  • • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
  • • L'ensemble des récits érotiques de Prospero ont reçu un total de 32 615 visites.
Récit libertin : Sylvie 2 Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-02-2025 dans la catégorie Pour la première fois
Cette histoire de sexe a été affichée 3 533 fois depuis sa publication.

Couleur du fond :
Sylvie 2
Un moment plus calme, on se caresse on s’embrasse. Mes mains découvrent ce corps magnifique. Sa peau est douce, je m’enhardi, ma main glisse dans sa toison noire et bouclée. Je sens sous mes doigts la blessure de son sexe, c’est brûlant et trempé. Elle écarte un peu pls sa cuisse pour laisser mes doigts explorer. Elle frissonne. J’ai touché un endroit sensible, surement son clitoris. C’est fou l’humidité et la chaleur. Doucement elle retire ma main et la monte vers mon visage.

- Regarde tes doigts, ils sont tout mouillés. Tu sais, tu as pris beaucoup de plaisir mais en te faisant jouir, j’ai bien failli jouir deux fois tellement je suis excitée.

Mes doigts sont en effet luisants d’une mouille épaisse. Je ne résiste pas au plaisir de lécher mes doigts alors que Sylvie me regarde. Ce que j’ai sur la langue est presque épicé, je pense immédiatement au poivre.

-Je crois que j’ai bien fait de te choisir, tu es curieux de tout, plus coquin que bien des hommes. Tu vois je suis surprise que tu aies voulu gouter ton sperme. C’était génial. D’ailleurs quand on s’embrassait j’ai failli jouir, je voulais faire ça depuis longtemps mon mari n’a jamais voulu et les autres hommes non plus. Oui j’avoues, j’ai quelques amants. Avec un en plus maintenant dit-elle en m’enlaçant et m’embrassant.

- Tu veux que j’essaie de te faire jouir maintenant ? Dis-je. Je crains un peu de ne pas savoir le faire.

- Mon chéri, je ne suis pas inquiète, tu réussiras surement, je crois que tu es très doué pour ça. Et puis je vais te guider. Je pense que tu es impatient de me faire l’amour non ?

- Euh Oui c’est vrai j’y pense depuis le début Sylvie.

- Dis plutôt ma chérie, j’aimes bien quand tu le dis. Et je sens que tu es tellement sincère. Mais, ne va pas tomber amoureux surtout, entre toi et moi c’est uniquement le sexe et puis on est amis aussi. Essaye de ne pas imaginer autre chose.

- Non je comprends bien. Je ne croyais pas qu’une chose comme ça arriverait. C’est vrai que ça fait longtemps que je te regarde avec envie, mais je pourrais être ton fils comme Etienne. Alors je sais que ça doit rester surtout secret. Il faudra que je fasse attention quand tu viens bavarder avec ma mère. Ce sera bizarre quand je te verrais chez nous.

- Allez assez bavardé mon chéri. Mais !! Comment c’est possible ? Regarde tu as toujours la queue en l’air. Dis donc je ne connais pas beaucoup de mecs qui bandent comme toi. Je t’excite tant que çà ?

- Oui Syl.. Ma chérie, tu me rends dingue, je n’y croyais pas au début.

- Bon alors maintenant tu vas me faire du bien, je suis tellement excitée que çà devrait aller vite. Veux-tu me lécher la chatte ?

- Oh bien sûr, la voir et la lécher, tu sais je n’ai jamais vu une vraie femme comme toi nue. Des copines quelques petits bouts, une fois j’ai pu caresser un peu le sexe d’une copine, la main dans son pantalon, mais pas plus.

- Alors viens, régale tes yeux, je vais m’ouvrir en grand pour toi, et je vais te guider pour me lécher.

Sur ces mots, Sylvie s’allongea sur le canapé, posant un de ces pieds sur la table basse elle avait largement ouvert le compas de ses cuisses. Avec ses doigts elle écarta les grandes lèvres de son sexe au milieu de sa forêt bouclée et sombre. Elle me dévoilait ses petites lèvres très ouvertes sur le rose vif des plis de son sexe, qui palpitait. Elle était plus qu’humide prés de ses grandes lèvres les poils étaient trempés et luisaient de mouille. Les petites lèvres un peu brunes se rejoignaient en haut pour servir de capuchon à son clitoris assez long tout lisse et brillant, d’un rose un peu plus foncé.

- Tu me vois bien Gilles? Je suis toute à toi, fais doucement avec mon clito je suis tellement excitée je vais bondir.

- C’est magnifique, ton sexe est superbe, ca donne vraiment envie de mettre sa langue. Et ça sent bon.

- Allez essaye de me faire jouir, prends ton temps ne te jette pas sur mon clito, lèches partout

J’étais a quelques centimètres a peine, explorant du regard ce sexe si mystérieux jusqu’à maintenant. De nos jours a 15 ans tous les mômes ont déjà vu une chatte en gros plan. Moi c’était la première que je voyais . L’idée d’y poser mes lèvres, de lécher cette chair humide ne me posais aucun souci. Comme tout a l’heure partager mon sperme dans la bouche de Sylvie m’avait semblé tellement naturel. Ma seule crainte était de ne pas lui donner de plaisir. Et dans ma tête cette question après vais-je enfin pouvoir mettre mon sexe en elle. J’avais l’impression que tant que je n’aurais pas giclé dans son sexe je n’aurais pas fait l’amour. Je venais d’en faire bien plus que certains dans une vie pourtant.

Sylvie maintenait son sexe grand ouvert. Je sentis un frisson la parcourir, quand le cœur battant je passais ma langue dans le rose, recueillant sa mouille sur ma langue. Bon sang que c’est doux, cet odeur piquante et poivrée m’enivre. De la langue je parcours les replis du sexe, mes lèvres font des baisers je suce les petites lèvres. Je prend garde a ne pas heurter le clito qui me semble de plus en plus gonflé et saillant. Je sais bien que le clitoris est plus ou moins l’équivalent du gland pour un homme. Je suis aussi au courant que comme nous les femmes bandent en quelque sorte et que leur clitoris augmente de taille selon l’excitation. Mais ces connaissances théoriques, ne valent pas la pratique. Sylvie est gémissante, a chaque attouchement de ma langue elle laisse échapper un petit gémissement et ses hanches roulent, parfois elle pousse son pubis vers ma bouche ou l’éloigne quand ma caresse est trop fort.

- Oh chéri, c’est bon, c’est bon continues, doucement comme çà , quelle langue douce tu as Gilles, je t’adore.

Cette remarque me fait chaud au cœur, non pas que j’éprouve un sentiment pour Sylvie. Mais j’ai envie de lui plaire pour la remercier de me laisser découvrir ce mystère du sexe. Avec elle je me sens homme et pas le jeune con que je suis habituellement. Elle est en train de faire de moi un homme au fond.

Je reste persuadé encore aujourd’hui que sans son éducation au sexe ma vie n’aurait pas été la même. Elle m’a ouvert les yeux sur cet aspect de la vie, que j’ai exploré ensuite dans toutes ses dimensions et possibilités. Elle m’a donné une assurance que je n’avais pas, par méconnaissance, je n’osais pas et manquais peut-être des occasions. Après Sylvie, j’ai toujours eu des femmes qui cédaient à mes avances, et surtout des femmes qui n’ont jamais été déçues par nos ébats. Ceci n’est peut-être pas humble, je le reconnais mais ce n’est pas de la gloriole mais un fait qui s'est vérifié au fil des années. J’ai multiplié les aventures et les partenaires, féminines ou pas d’ailleurs.

- Oh oui c’est bon chéri continue gémissait Sylvie.

Bien planté entre ses jambes, je me délectais de la vision de son sexe grand ouvert. Je faisais mes premières armes dans cet exercice, sans doute ce que je fais de mieux si j’en crois les réactions de toutes celles qui ont eu la chance d’y goûter. Je vais encore une fois paraître présomptueux, mais si j’avais reçu 100€ a chaque fois qu’une femme me l’a dit je me serais fait un joli bas de laine. Mais entre mes partenaires et moi il n’y eut jamais d’affaire d’argent à une exception car je ne voulais pas mourir idiot sans avoir eu recours à une péripatéticienne, oui ok une pute, expérience assez agréable, elle était jolie, charmante et sympathique. J’ai passé un excellent moment avec elle.



Sylvie, deviens agitée, progressivement mes caresses se rapprochaient de son clitoris qui sortait de son capuchon, le coquin était très gonflé et ferme. Je pense que j’avais un peu trop attendu avant de m’occuper de lui, quand ma langue le touchait par dessous, Sylvie poussa un cri et sembla se tétaniser une fraction de seconde avant de crier :

- Oh ouiiiiiiiiiiii!! Oui comme çà!!

Satisfait de la réaction, je commençais à alterner les léchouilles entre le rose de son sexe, ses petites lèvres que j’aspirais et mordillais même très légèrement et son bouton que je taquinais de la langue ou que je le prenais entre mes lèvres. C’était un concert de petits cris, de gémissement de saut de carpe. Elle tirait mes cheveux et me plaquait contre son sexe, ou bien fermait ses cuisses et écrasait ma tête. A ce petit jeu, je déposais pas mal de salive sur son sexe, mais cela n’expliquait pas l’inondation à laquelle je faisais face. S’ouvrant spasmodiquement son vagin crachotait une mouille de plus en plus épaisse qui au fil des minutes devenait laiteuse. Je me doutais que le plaisir montait, qu'il était de plus en plus clair que j’allais la faire jouir. A cette époque je supposais, maintenant je sais. Je plongeais ma langue dans son sexe qui s’ouvrait palpitant et brulant. Ma queue coincée entre mon corps et le canapé frottait sur le cuir, mes reins se balançant je me frottais contre ce cuir. Sylvie inondait mon visage ma bouche, mon nez mes joues même étaient trempées. Mon visage était couvert de sa mouille. Je buvais son plaisir comme elle avait fait jaillir et bu mon sperme.

- Oui, oui, encore ! Oui fort

Sylvie était de plus en plus agitée, des doigts tiraient mes cheveux qui a cette époque était assez long. Ses mains se crispant sur le cuir du canapé le faisait crisser. Je sollicitais autant son clito que le reste de son sexe. Je glissais même deux doigts dans son vagin ruisselant. Je ne savais pas vraiment où promener mes doigts, mais je constatais qu’elle aimait cette pénétration. Elle coulait littéralement, et plus j’agitais mes doigts plus sa liqueur épaississait. J’avais comme nous tous entendu des légendes sur les “éjaculations” féminines. Je me trouvais devant la réalité, qui est différente pour chaque femme en fait. Sylvie faisait partie de celles qui offre cette liqueur laiteuse et épaisse parfois presque aussi consistante que du sperme. Pour ma première confrontation j’étais gâté. D’autres auraient peut-être été rebutés, moi non j’adorais. Dans ma frénésie à dévorer sa chatte, je lapais ce qui voulais de son sexe, récupérant son plaisir, ma langue descendit plus bas, sur son anus qui palpitait diablement. Je ne pouvais m’empêcher de le lécher et même de pénétrer du bout de la langue. A cette caresses Sylvie répondait par force cris et contorsions. J’en déduisais que çà lui plaisait. Je continuais donc à manger toute cette zone. Les palpitations de ces deux orifices étaient de plus en plus violentes, Le vagin de Sylvie s’ouvrait en grand, me laissant voir l’intérieur rose, luisant ruisselant. J’anticipais l’instant où ce serait ma queue qui plongerait dans ce gouffre.



- Oh oui, encore, ouiii c’est bon encore chéri !!

Sylvie je le sentais était arrivé au point culminant de son excitation, son sexe palpitait comme affolé, s’ouvrant et se fermant au rythme de mes caresses. Son clitoris totalement sorti de sous son petit capuchon, saillant et rouge s’offrait à ma bouche. Je le prenais dans mes lèvres, le léchais, tournait autour, je le mordillais même trés légèrement comme les petites lèvres. Avec ma langue je plongeais au fond de son cratère en ébullition, ramenant des flots de nectar de plus en plus consistant. L’odeur épicée de son sexe était de plus en plus prégnante.

Soudain, un hurlement.

- Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii je jouis!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Le corps de Sylvie se tétanisait, appuyée sur ses épaules, elle avait décollé son fessier du canapé et en arc de cercle, posée sur ses talons, elle jouissait, tremblante, parcourue de long frissons. J’avais suivi le mouvement et continuait à la manger. Elle coulait de plus belle, sa mouille laiteuse gouttait sur le canapé ruisselait sur ses fesses. Je sentais ma queue palpiter et osciller. J’avais peur d’éjaculer bêtement. Pourtant cela faisait maintenant plusieurs heures je pense que je bandais comme un fou. J’en avais mal aux couilles. La jouissance de Sylvie dura un long moment avant qu’elle ne se laisse retomber sur le canapé, le souffle court.

Je pensais qu’elle allait faire une pause, au lieu de çà elle me regarda , attrapa ma main et me tira vers elle.

- Viens chéri, viens prends moi, Gilles baise moi !! Vite viens, viens chéri !!

Sylvie m’avait ordonné çà d’une voix rauque , péremptoire.
Cet instant que j’avais espéré depuis le début était là, je n’avais pas à hésiter, mais insidieusement, un doute me prit, j’étais tellement excité que je me disais que j’allais éjaculer à peine en elle. Ce doute fut fugace, et je posais mon gland à l’orée de son sexe rempli de mouille. La sensation, je la ressens encore, je m’enfonçais dans de la soie, trempée et brûlante. Un fourreau vivant qui se comprimait, se détendait me faisant ressentir des sensations ineffables. A cet instant je me suis confusément senti homme et plus le puceau que j’étais. Sylvie semblait apprécier mon sexe en elle, son gémissement continue tout le temps où je m’enfonçais en elle, s’amplifiait. Je luttais pour ne pas jouir trop vite. Mes mouvements étaient lents, et je me focalisais sur ne pas éjaculer. Je ressortais totalement de son sexe pour y revenir. Ma queue était couverte de sa crème blanche. La moiteur et la chaleur de son sexe était aussi incroyable que sa douceur. Les sensations étaient bien au-delà de ce que j’avais rêvé. C’est là que je suis devenu accro au sexe, aux jeux érotiques, accro aux femmes. Je ne connais pas une autre activité plus satisfaisante que le sexe. J’avais tout juste 18 ans, je faisais l’amour avec une femme qui en avait plus de 30, qui plus est une femme magnifique. Certes elle était esthéticienne et pour cela était toujours apprêtée. Pour moi et je ne me trompais pas, elle aurait pu être mannequin, actrice. Elle représentait la beauté féminine que nous aimons tous. Je mesurais la chance, et le cadeau qu’elle me faisait.



- Viens, viens fit elle tendant ses bras,



Elle m’enlaçait, serra ses jambes contre mon dos et imprima le rythme qu’elle souhaitait. Nos visages se touchaient, ses lèvres et les miennes se soudaient. Ses yeux parlaient pour elle, ils étaient pleins d’éclairs de plaisir. Elle avait l’air enchantée de la façon dont je la possédais. Sans doute de ces premiers pas dans le sexe j’ai gardé une manie, un travers si on veut. Si j’ai des relations avec une femme, ou un homme puisque j’aimes aussi. Si on a des jeux sexuels divers, tant que je n’ai pas pénétré la ou le partenaire pour moi je n’ai pas fait l’amour avec elle ou lui. Un peu idiot mais je suis comme çà.

- Oh Gilles, c’est bon, j’aimes te sentir en moi me disait Sylvie entre deux soupirs

- Je t’adore, Sylvie, c’est bon si bon dis-je

Elle ne cessait de me caresse les flancs, parfois ses ongles me griffait un peu quand arrivé au fond de son sexe son clito frottais sur ma queue. Je ménageais ma résistance, mais j’avais de plus en plus de mal à repousser le dénouement, je le sentais, mes couilles étaient remontées a la base de ma verge depuis un moment déjà. Sylvie en était consciente et elle me dit.

- Gilles chéri, ne te retiens pas, n’essaye pas de me faire jouir encore. Accélère, jouis en moi, pour moi fais le j’en ai envie. Je veux te voir jouir et te sentir gicler dans ma chatte.

Avec ces jambes elle imprimait un rythme plus élevé, je plongeais en elle plus brutalement, nos corps s’entrechoquaient plus fort. Mon souffle était plus court, mes oreilles bourdonnaient, j’étais brulant et en sueur, comme Sylvie mais je ne le remarquais que maintenant. C’est arrivé sans crier gare, d’un dernier coup de rein je plantais mon sexe le plus loin possible en elle. Elle avait un regard que je n’ai jamais oublié, je voyais toute la satisfaction qu’elle éprouvait, je pourrais dire l’amour, mais il n’y avait pas cela entre nous. Enfin elle avait décidé qu’il en était ainsi, je dois bien avouer que pour moi ce n'était pas aussi évident.

Je sentis monter ma jouissance, du fond de mes bourses je pouvais sentir la montée du sperme le long de ma queue. Je me mis à crier, hurler presque. J’ai toujours été très démonstratif. La plupart des hommes sont assez silencieux, moi je m’exprime. Sylvie aussi criait, je m’aperçus qu’elle avait glissé sa main entre nos corps et qu’elle se masturbais pendant que je la prenais. En fait elle jouissait en même temps que moi. Elle m’avoua après que sentir que je giclais en elle avait été un catalyseur de son plaisir. De mon côté cet orgasme était le plus puissant que j’ai connu jusqu’à cet instant. Sans doute un des plus fort que j’ai connu même s'il y a des cas où c’était largement plus fort. Mais c’était le premier d’une série plutôt longue. Aujourd’hui je suis très malheureux de ne plus pouvoir vivre çà, pour des raisons médicales. J’en parle peu mais c’est une profonde blessure. Surtout que dans ma tête le désir est toujours aussi fort que quand j’avais 18 ans. Mais on ne peut “être et avoir été”.

Nous jouissions donc Sylvie et moi avant que je me laisse tomber sur elle. On est resté longtemps, sans rien dire, a sentir nos deux corps l’un contre l’autre. Je crois qu’elle et moi on n’avait le désir que çà ne s’arrête pas.

C’est Sylvie qui brisa le silence.



- Gilles, petit chéri, je n’aurais jamais cru que ce serais aussi bon. Tu sais j’ai quand même pas mal d’expérience, et ce que je viens de vivre avec toi c’est une de mes meilleures expériences. Tu es bien plus doué que bien des hommes que j’ai connu. Mais ta langue, je crois que je ne l’oublierais jamais. Sans vouloir te flatter, jamais un homme n’a su me lécher comme tu viens de le faire. Et j’espère bien que tu le feras encore plein de fois. Je te garderais bien pour moi tu sais !

- Je suis content que j’ai pu te faire plaisir, moi c’était tellement magnifique, avec toi c’était facile, je te trouve belle dans tous les moments. J’adore ton sexe, tu es tellement mouillée, c’est bon sur ma langue. Et être en toi c’était dingue.

- Regarde toi, tu viens de jouir plusieurs fois et ton sexe est encore dressé !! Je n’en reviens pas tu récupères à une vitesse.

- Oui c’est toujours comme ça, je peux le faire plusieurs fois, ça m’arrive de me branler plusieurs fois de suite.

- Tu pourrais encore là ? Non ? Dit Sylvie.

- Je crois oui

- Alors on va voir, viens, tu vas te branler devant moi, j’aimerais bien voire çà. Tu vas jouir sur mon visage sur mes seins.

- Oui ma chérie.

- Hmmm flatteur, tu es adorable.

Tendant la main elle me caressa les couilles alors que je commençais à m’astiquer la queue. Elle était encore humide et plein de la crème de Sylvie, ma main glissait facilement. J’étais bien gonflé, et au fil des caresses ma queue gonflait et durcissait encore. Mon gland totalement décalotté et gonflé refusait de rentrer dans le prépuce qui le serrait Sylvie ne perdait pas une miette de ma branlette. Elle attrapa même mes tétons et les caressait, les pinçait, l’effet ne se fit pas attendre. J’accélérais ma masturbation en gémissant car elle me pinçait assez fort les bouts et j’adorais çà.

- Ah oui tu aimes çà pour de bon et ils sont mignons tes petits bouts. Allez Gilles branles toi bien, jouis sur ta salope, je veux ton sperme partout sur moi.

- Oh oui salope, je vais te gicler dessus !!

Ces paroles m’excitaient et je sentais que je ne tarderais pas a satisfaite ma maitresse. Quelques instants plus tard, je giclais sur son visage, dans sa bouche ouverte sur sa langue, çà coulait sur ses seins. J’éjaculais relativement copieusement si on tient compte des précédentes fois cet après-midi. Sylvie me tira a elle, nettoya ma queue avec sa langue, m’enlaça et me caressa le visage. Sa douceur m’emplissait de joie.

- Tu sais dit-elle on va se revoir toi et moi, j’ai tellement envie d’explorer tout çà avec toi, te faire découvrir des tas de choses. Tu sais je ne suis pas une femme sage. J’ai eu beaucoup d’aventures, j’aime le sexe. Avec un jeune homme comme toi c’est encore plus excitant. Et toi tu a des atouts. Une langue de velours, une endurance peu commune. Tu vas devenir un amant de choix. Si tu veux bien revenir jouer avec moi.

- Oh oui tout ce que tu veux.

- Allez viens un petit tour sous la douche nous fera du bien. Tu m’en a mis partout cochon. Et peut-être que je vais te sucer a nouveau….



En effet Sylvie, me fit jouir à nouveau sous la douche, et de mon côté ma langue lui donna encore du plaisir.



Durant les semaines qui suivirent, je passais énormément de temps avec Sylvie. Je ne vais pas raconter par le menu toutes ces journées, mais elles ont été aussi remplies et torride que ce premier après- midi. Une totale complicité c’était installée, entre elle et moi. Elle m’a tout appris du sexe et des différents jeux possibles entre un homme et une femme. C’est avec elle que j’ai appris à apprécier la sodomie en tant que donneur et receveur. Elle adorait les gode-ceinture et en fit usage avec moi, pour mon plus grand plaisir. J’ai découvert que cela pouvait me mener à l’orgasme par la simple pénétration sans autre moyen. Bien sûr avec de la patience et une partenaire éclairée. Cela me servit plus tard quand j’ai commencé à pratiquer la bisexualité.

Deux années durant j’ai passé de bons moments avec elle avant qu’elle déménage. J’étais triste de la voir partir, je l’avais retrouvée quelques fois puis la vie aidant on s’était perdu de vue. Mais 7 ans plus tard, a la faveur d’une rencontre impromptue je l’ai retrouvée et nous avons décidé de voir si le courant passait toujours. Elle était de nouveau en couple mais toujours indépendante et volage cela n’a pas empêché nos retrouvailles et quelques nuits torrides, avec le petit plus de passer la nuit avec elle et de se réveiller à ses côtés le matin. Malgré le temps il y avait toujours une forte attirance et une tendresse certaine entre elle et moi. Plus que de la tendresse ? Ni elle ni moi n’avons voulu le savoir en fait.

Les avis des lecteurs

Cher Prospero
J'ai lu toutes vos histoires qui sont toutes tellement bien racontée, toute pleine de véracité, je vois les scènes je m'y crois. Etes vous un auteur véritable et pas un amateur.
J'aurais aimé rencontrer une personne telle que vous. J'ai certes un mari formidable et ai connu beaucoup d'aventures moi aussi
J'espère beaucoup d'autres histoires.

Histoire Erotique
Prospero ton histoire est sublime empreinte de beaucoup de sensualité et au travers de tes descriptions je visualise vos ebats Merci d’avoir raconté avec autant de simplicité ta première fois avec une ignisatrice plus âgée mais merveilleusement impudique. Daniel



Texte coquin : Sylvie 2
Histoire sexe : Une rose rouge
Vous êtes :
Indiquez votre adresse mail si vous souhaitez la communiquer à l'auteur de l'histoire.

Dernières histoires érotiques publiées par Prospero

Jacques et Michel - III - Fiesta Infernale - Récit érotique publié le 23-02-2025
Au boulot - Evelyne - Récit érotique publié le 18-02-2025
Jacques et Michel Répétition entre mecs ( II ) - Récit érotique publié le 16-02-2025
Sonia (premier amour) Chap 1 - Récit érotique publié le 14-02-2025
Surcharge de Travail ( Rachel ) - Récit érotique publié le 12-02-2025
Première rencontre avec Jacques - Récit érotique publié le 07-02-2025
Françoise et Fabienne - Récit érotique publié le 05-02-2025
Sylvie 2 - Récit érotique publié le 04-02-2025
Sylvie ma première fois - Récit érotique publié le 31-01-2025
Une femme prêtée par son mari - Récit érotique publié le 29-01-2025