Sylvie

- Par l'auteur HDS Huguette34 -
Récit érotique écrit par Huguette34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Sylvie Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-02-2011 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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(8.0 / 10)

Couleur du fond :
Sylvie
Nous sommes couchées avec cette coquine de Sylvie. Nous devons dormir ensemble à la suite de l’arrivée imprévue de la famille, dont elle justement. La maison est pleine de monde. Après le repas et les conversations sans fin, nous allons nous coucher. Normalement je me serais fait du bien, comme chaque soir. Mais la présence dans mon lit de ma cousine Sylvie m’en empêche. Je porte ce soir une nuisette, comme ma cousine, alors que normalement je dors nue. J’ai beau me tourner dans tous les sens, je ne peux pas m’endormir sans ma drogue. Je suis obligée de me lever pour aller aux toilettes simplement pour me masturber. J’ai pu me faire jouir presque normalement. Presque, ce n’est pas complet, il me manque simplement la présence dans mon ventre d’un gode, celui que j’ai dans ma table de nuit. Quand je retourne me coucher Sylve a envahi la moitié de ma place. Sa nuisette est montée très haut. Je ne sais pas ce qu’elle a fait pour être ainsi dénudée. Je vois ses cuisses et ses fesses. Si elle se tournait je verrai sa chatte.
Justement je veux la faire tourner, je voudrai me recoucher et dormir un peu. Je force pour arriver à la faire revenir à sa place. Bien sur elle a la chatte à l’air. Je suis curieuse et je ne me gêne pas pour examiner sa moule. Elle a les jambes légèrement écartées, je ne vois pas tout, mais c’est suffisant pour savoir qu’elle est rasée d’où la vue du début de ses lèvres intimes. Je fais la comparaison avec les miennes. Je suis partiale : je préfère mon sexe au sien.
Je peux me coucher plus tranquille et m’endormir. Je rêve que quelqu’un me touche les fesses et les seins. Je me réveille brusquement, c’est Sylvie qui a posé une main sur mes hanches et l’autre sur ma poitrine. Pour mes hanches, c’est volontaire. Pour ma poitrine, c’est différent, j’ai ma tête sur son bras et son épaule, elle a posé sa main sur un sein et me caresse plutôt bien. Dans mon demi sommeil, je me laisse faire, c’est agréable d’être ainsi réveillée. Brusquement je me rends compte que c’est ma propre cousine qui me fait ces caresses. Je vais me lever et l’engueuler quand elle pose sa bouche sur la mienne. Je me débats un peu pour qu’elle me lâche, je suis même prêtre à lui mordre la bouche. Quand je veux sortir mes dents, c’est sa langue qui entre dans ma bouche. Elle m’embrasse comme me font tous ceux que je fréquente et ils sont assez nombreux (je ne suis pas une fille très sage). C’est aussi bon, sauf que c’est une fille. Elle fait durer ce baiser longtemps, tellement longtemps que j’y prend gout.
Maintenant je rend son baiser et ma langue va fouiller sa bouche.
Elle se rend bien compte que mon attitude a changé. Elle pousse son avantage en caressant plus tendrement le sein qu’elle a gardé dans sa main. Elle le caresse lentement, sans y appuyer, mon mamelon entre deux doigts qui glissent dessus.
Sa main sur ma hanche continue sa caresse qui va maintenant sur mon ventre. Elle ne fait que me frôler. Ce n’est rien et pourtant ça me fait un drôle d’effet.
J’ai envie qu’elle arrête et qu’elle cesse à la fois. Je suis indécise au possible, moi qui n’aime que les hommes ou les masturbations, me voilà hésitante avec une fille qui me caresse d’une façon éhontée. Et puis, zut tant pis pour cette nuit je me laisserai faire, qu’elle différence entre une branlette que je me fait ou une qu’un homme me donne ou une fille qui fait pareil ?
Je me laisse faire, sans trop savoir où tout ça va me mener. Je me met sur le dos, me cale contre sa tête, me laisse faire. Mise ainsi elle peut prendre mon sein encore mieux, cette fois c’est sa bouche qui me fait du bien, elle me suce le téton. Sa langue le lèche pendant que sa main caresse le dessous.
Son autre main arrive sur le pubis. Je suis comme elle, je suis rasée, pas pour moi, c’est une corvée, pour mes amis hommes, dont certains aiment me voir plus nue que nue. A propos d’hommes il est temps que je fasse le bilan de mes amants anciens et actuels. Je devrai être étonnée du résultat.
Pour, le moment je suis dans les bras de Sylvie. Je sens sa main venir sur ma chatte. Je sens la différence d’avec un homme. Elle est bien plus douce pour me toucher, je sens à peine ses doigts quand ils se déplacent. Pour augmenter mon plaisir, elle passe le dos de ses doigts entre mes lèvres pour caresser, il n’y a pas d’autre mot. Elle les a mis de telle façon qu’elle arrive à caresser les lèvres et l’entrée de ma grotte. Quand elle arrive à me toucher le clitoris je sursaute, je m’y attendais pourtant. J’ignorais encore le douceur du contact. Je suis sur le point de jouir quand elle s’arrête sans que rien ne le laisse prévoir. Elle change sa main de position. Elle la remet sur mon bouton qui s’impatientait. Je frémis de partout quand elle reprend la masturbation. Cette fois elle est moins douce, plus directe. Je sens mon plaisir revenir. Je sens des frissons parcourir tout mon corps comme quand je me branle, mais en plus forts. Je ne suis plus en moi, il me semble survoler le lit. Je me vois tendue comme un arc, posée seulement sur mes talons et ma tête et je crie ma jouissance. Je me souviens que je suis retombée sur le lit, couchée sur le dos, en respirant très fort comme si j’avais fait un effort terrible.
Comme une récompense je reçoit encore un baiser de Sylvie. Sa langue va dans les profondeurs de ma bouche.
Enfin elle parle :
- Alors, tu as bien jouis ?
- Oui, je ne m’y attendais pas.
- Pourquoi tu n’as pas voulu que je te fasse l’amour au début ?
- Je ne savais pas que c’ était si bon.
- Tu sais que tu pourras le rendre ce que je t’ai fait. Après je te sucerai et tu me le rendras. Si tu le veux nous ferons un 69.
Vaste programme. La nuit s’achève. Je vais lui faire plaisir, j’omets de l’embrasser et pourtant je suce un sein. Je lui mets directement ma main sur la chatte. Mon Dieu qu’elle est mouillée. J’essaie de faire comme elle sur ses lèvres, je n’obtiens qu’un piètre résultat. Je remonte sur son bouton. Il a la taille du mien aussi je peux la branler comme si c’était pour moi. J’ai le résultat escompté : je la fais jouir. Mes doigts ressentent la même chose qu’avec mon bouton.
- N’arrête pas, recommences à me branler, tu le fais très bien.
Je recommence ma caresse pour faire jouir Sylvie encore une fois. Je ne pensais pas qu’elle ait un orgasme aussi vite. Sa tête remue dans tous les sens. Je continue ma caresse, j’ai moi, envie de la faire partir encore. J’arrive au point où elle a un orgasme continu de plusieurs minutes. Cette fois je l’embrasse longuement.
- Tu as trop joui maintenant. Ce que tu me proposais on le fera plus tard, ce soir par exemple :
- Non pas ce soir, pour la sieste.
Elle se relève un peu, me demande de venir mettre mon sexe contre sa cuisse, elle en fait autant. Nous nous caressons chacune le sexe à la cuisse de l’autre. C’est très agréable de sentir que son clitoris prend un certain plaisir sans être touché par une main. Elle en jouit. Je n’arrête pas pour être dans le même état qu’elle. Je me laisse aller dans un bel orgasme. Nous échangeons un baiser, le dernier de notre amour matinal.
La journée se passe cahincaha, entre le ménage, les courses, la cuisine, les autres parents, nous n’avons pas trop le temps de rêver. Nous déjeunons vers 13 heures. La fin du repas arrive presque quand Sylvie me fait un clin d’œil: elle voudrai que nous allions faire la sieste, crapuleuse cela s’entend. Je me lève pour aller dans ma chambre. Je suis déjà nue quand elle arrive. Nous nous embrassons encore, bien serrées. Je ressens ce nouveau plaisir de sentir ses seins contre les miens et son pubis qui caresse le mien. Elle me fait coucher les jambes pendantes, passe sa tête entre mes cuisses, embrasse l’intérieur des jambes avant que sa langue vienne sur ma chatte. J’aime jouir en me faisant sucer, avec elle c’est différent: elle sait exactement où sa langue doit aller puisqu’elle est une femme. Je la sens à peine au début. Quand je suis totalement mouillée, mon excitation au comble, je repart au paradis des gouines. Elle lèche toute ma chatte du bas en haut avant de changer de sens/ Elle passe ainsi deux fois entre mes lèvres. Cette sensation me fait jouir. Elle abandonne mes lèvres pour caresser, survoler mon anus. Quelle douceur dans sa langue. Je ne fais que forcer pour ne pas partir encore; mais quand elle enfonce un tout petit peu sa langue dans le cul, alors, là je suis obligée de rendre les armes: je jouis sans plus me retenir.
Je pose mes jambes sur ses épaules pour faciliter le léchage. Elle me la met dans ma boite à orgasme. Que de plaisirs quand elle lèche sans arrêt mon point G. Elle a tant de chose à me faire découvrir: elle vient avaler en parti le clitoris. Je ne sais pas ce qu’elle fait et ça m’est égal: j’ai sans arrêts des orgasmes. Quand elle estime m’en avoir assez donné, elle me couche, m’embrasse à nouveau, me caresse la poitrine comme elle sait si bien le faire.
- A ton tour de me lécher.
- Je ne saurais pas le faire aussi bien que toi.
- Rares sont les filles qui savent me sucer.
Je vais tâcher de faire mieux que les autres: je me couche à ses pied pour bien embrasser ses pieds, ses mollets, ses cuisses pour arriver sur sa moule. Elle commence à sentir la cyprine, comme moi, sans doute.
Je darde ma langue dans ses lèvres; je commence comme elle par le bas avant de monter jusqu’à son bouton. Je ne fais que le lécher simplement, lentement et de plus en plus vite en appuyant sans arrêt. Elle fait comme moi tout à l’heure, elle passe ses jambes sur mes épaules: j’ai un meilleur accès à son clitoris. Je lèche toujours quand elle me tient la tête:
- Ne pars pas, suces moi encore.
Et un moment plus tard, elle pousse un petit cri, serre ses cuisses sur ma tête. Je sens les contractions de sa chatte quand elle jouit. Je continue pour aller dans son vagin. Je ne sais qu’entrer et sortir ma langue comme si j’avais une bite pour la baiser. Je n’ai même pas cherché son endroit sensible: je ne le trouverai pas. Quand je sors de là, je vais sur son anus, comme elle m’a fait. Je met le bout de ma langue en arrondi pour qu’elle tienne mieux le coup quand je vais l’enculer. J’ai bien fait de m’y prendre ainsi: je peux la sodomiser presque comme un homme. Je suis limitée pas la longueur de langue. Ca fait quand même son effet puisque je sens autour de la langue son cul se fermer et s’ouvrir quand elle jouit.
Je me remets contre elle: nous nous embrassons encore sur la bouche, malgré que nos langues soient passées par le cul de l’autre.
La fatigue nous arrête. Nous bavardons, elle de ses amies moi de mes amants. La conversation peine à sortir du sexe. Pour elle comme pour moi, jouir est indispensable.
- Pourquoi tu ne baises que des filles, tu n’as jamais joui avec un type ?
- Si, il y a longtemps. Un jour une fille comme moi m’a presque violée comme je t’ai fait. J’ai aimé bien mieux sa langue qu’une bite. En plus les hommes ne savent pas sucer convenablement.
- Tu vois, tu m’as initié à l’amour entre deux femmes. C’est très bon, c’est même pour certaine chose supérieur à ce qu’un homme peut faire, mais rien ne vaut une bonne bite dans le cul.
- Je n’ai jamais aimé une bite au cul. Par contre j’ai aimé quand ta langue est venue dans le mien.
- La prochaine fois je te mettrai deux ou trois doigts et tu aimeras.
- Pas question. Mets moi les plutôt dans le con, je préfère.
Sur ce elle m’embrasse encore en se mettant sur moi, comme si elle avait une bite. Je sens sur mon clitoris son bas ventre. Elle fais des mouvement de masturbation avec son ventre. Je fais ce que toutes femmes normale éprouve dans ce cas: je jouis encore.
- Et si nous prenions la position normale pour deux filles. Elle se tourne complètement, nous voici prête pour un 69. J’aile assez le faire avec mes amants: il va juste me manquer une queue dans la bouche. A sa place j’ai toute la fente de Sylvie: elle a plein de petits endroits délicieux. Elle m’a laissé en dessous. Quand elle met ses jambes autour de ma tête, j’ai une vue complète sur sa féminité, j’ai aussi son odeur de femelle et le gout de cyprine. Je place ma langue sur elle pendant qu’elle m’en fait autant. Elle me lèche partout, entre un doigts dans le cul. Moi je ne fait que ce qu’il faut pour me régaler de son gout et la qualité de la douceur de son sexe en entier. Je lui mets aussi u doigts dans le cul.
Nous jouissant presque ensemble. Ce n’est pas fait pour nous arrêter. Je suis maintenant sur elle: je sens en plus les seins sur son ventre et les siens sur le mien.
Nous cessons ce jeu agréable pour un instant.
- Viens nous allons jouer autrement.
- Que veux tu faire.
- J’ai envie depuis quelque temps d’essayer une formule dont j’ai entendu parler : nous mettrons nos clitoris en contact pour jouir comme de vraies lesbiennes, puisque toi tu ne le referas plus jamais.
- Tu as raison, je profite de toi pour jouir maintenant puisque je n’ai pas d’amant sous la main. Je ne peux pas me branler devant toi.
- Si ça tu peux le faire.
- Après toi je ne referai plus l’amour avec une fille.
- Viens assied toi.
Je ne réfléchis pas trop, je m’assois. Je m’aperçois juste avant qu’elle mette en pratique sa nouvelle idée que ça ne marchera pas. Je me surélève un peu pour qu’elle puisse venir vers moi. J’ai eu raison, en nous organisant comme il faut, je sens mon clitoris contre le sien. Il nous reste à faire pratiquement les mouvements de baise. Nous pouvons nous embrasser tout en nous baisant, comme je fais avec un amant. Nos bouches restent unies le temps de la jouissance qui est rapide à cause de la nouveauté.

Nous nous couchons le soir assez tard: elle voudrai encore baiser avec moi. Je l’en dissuade. Je reste nue, après avoir sorti mon gode, j’écarte bien les jambes et me masturbe enfin selon mon gout. Elle me regarde faire, se couche à mes cotés, écarte ses jambes et se caresse la chatte toujours en regardant ce que je fais. Après ma jouissance, je lui prête le gode. Je me demande où elle va le mettre. Elle est classique et le met dans la vagin d’où en quelques mouvements elle jouit.
De la nuit, nous sommes restées sages. Je n’ai fait que la lécher rapidement avant le lever/ Elle est partie dans la matinée. En m’embrassant sur le joues avant de partir, elle ne me dit qu’un seul mot :
- Dommage.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
SUPERBE HISTOIRE, MERCI



Texte coquin : Sylvie
Histoire sexe : Une rose rouge
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