Sylvie et les autres

- Par l'auteur HDS Fabriss34 -
Récit érotique écrit par Fabriss34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Sylvie et les autres Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-02-2012 dans la catégorie Plus on est
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Sylvie et les autres
Nous nous pressons depuis une heure. Pour moi c’est vite fait, une douche rapide, avec
passage obligatoire du jet d’eau sur la bite: je serre les dents pour ne pas jouir.
Par contre je ne mégotte pas sur le cul. Je suis penché en avant, j’ouvre bien les
fesses, je met le jet puissance maximum pour bien le sentir. J’avoue aimer cette
caresse de l’eau sur l’anus. Je sais que si je continu, je vais jouir; d’autant plus
qu’elle me regarde faire.
Sylvie est contre le lavabo, le pubis bien contre. Elle se maquille les seins avec un
peu de rouge à lèvre pour rendre ses seins encore plus sexy, comme si elle avait
besoin de ça. Bien sur les pointes sont en l’air, elle bande aussi des mamelons.
- Pourquoi tu ne te fait pas jouir, comme souvent ?
- Parce que nous sommes attendus, que je compte bien baiser la femme de Bernard, tu
sais Julie, celle que tu aimes bien.
- Je n’aime pas sa femme, j’aime baiser avec.
- Nous serons deux donc.
- Et tu feras quoi ?
- Je la baiserai pendant que tu la sucera. Ca te vas ?
- Bien sur, surtout si son mari me baise en même temps.
Nous sommes toujours nus, bien excités prêts à tout pour jouir. Nous nous embrassons
longuement sur la bouche, à cause de notre nudité nous sommes tentés par le sexe de
l’autre. Sylvie est toujours d’accord pour baiser où que se soit avec qui que se soit.
Elle me raconte souvent les baise qu’elle fait avec des amis de rencontre qui lui
fourre une bite sans tous ses trous. Quelque fois c’est avec une femme. Et là, d’agrès
elle c’est autre chose comme orgasme qu’avec un homme, sauf moi qui la connais trop
bien pour la faire jouir complètement. Comme de mon coté je cherche les bonnes
occasions pour baiser, je lui raconte mes bonnes fortunes. Elle m’écoute toujours en
se branlant. Par contre quand elle jouit, je dois répéter sur elle ce que j’ai fait
avec l’autre.
Ce soir nous devons participer à une vente aux enchère pur une œuvre de bienfaisance:
la virginité d’une fille de 19 ans pour les orphelins de je ne sais où. Je vais
participer à l’enchère rien que pour f&ire monter la somme. Le bien dans cette affaire
est que nous serons tous nus, sauf la rosière, sensée ne pas savoir comment les hommes
sont fait alors que je sais pour l’avoir enculée qu‘elle adore les queues.
Notre toilette est simple, Sylvie porte sa robe de spectacle, c’est-à-dire très
transparente laissant vois outre ses seins, toutes ses parties intimes. Je suis un
peu plus habillé avec un pantalon léger, un t-shirt et des chaussures. N’importe qui
voit que je suis nu, comme ma femme.
Nous n’arrivons pas tellement en retard. Je n’avais pas décidé de baiser la copine de
ma femmes nous aurions largement eu le temps de tirer un coup.
- Tu vois que nous pouvions nous aimer dans la salle de bains, j’aurais ou te faire
jouir dans le bouche comme tu aime.
Le tout dit assez fort. Certains participant se retournent pour nous regarder ? Voyant
la tenue de ma femme, ils se taisent.
Elle cherche un peu Julie qui n’arrive qu’à l’instant, avec son mari. Elle les rejoint
pour embrasser d’abord Julie sur la bouche, ensuite toujours sur la bouche Bernard.
Quand ils sont nus, je vais les voir. Nous mettons notre petite partie sur les rails.
Ils sont partis avec nous. Je regarde la chatte que je vais prendre comme Sylvie
regarde la bite qui va venir sans son ventre.
Avant nous sommes là pour la « pucelle ». Bernard la connait aussi pour l’avoir aussi
enculée. Nous commençons les enchères lentement. La fille, même habillée est jolie et
sexy. Un couple même enchérit. La femmes est commue pour ses mœurs spéciales. A la
rigueur la fille accepterai de partager un homme avec une autre fille. Mais c’est un
gros industriel jeune, heureusement à la réputation de très bon baiseur qui l’emporte.
Il vient chercher son lot: elle lui sourit quand il la prend dans ses bras et qu’elle
l’embrasse. Ils sorte de la pièce sans doute pour aller baiser tranquilles.
Donc nous sommes maintenant avec l’autre couples. Je prend Julie dans mes bras, je
l’embrasse sur le bouche et lui caressant les seins et les fesses. Ma main sur ses
fesses ne cherche que son cul. Elle me le donne sans problème, devant son mari. Je
caresse l’anus un peu, juste pour l’exciter. Elle m’a pris la queue dans sa main
droite: elle commence à me branler avec beaucoup d’expérience. Sa main fait juste le
tour de ma bite. Sachant que Sylvie veut la sucer, je la mets en levrette pour la
baiser. Je profite de l’absence de ma femme, essence provisoire pour la branler un
peu. Ma main doit lui faire du bien sur sa chatte; elle commence à gémir. Je n’ai pas
à forcer pour chercher son trou, Sylvie empoigne ma queue, me masturbe un peu, juste
ce qu’il faut pour que je sois dur, la pose à l’entrée de son vagin. C’est là que
j’entre facilement. Sylvie est couchée sur le dos, sa bouche sur le clitoris, je sens
son visage contre mes couilles. Je vois surtout une bite venir sur son trou à plaisir.
Elle passe ses jambes sur celle de son amant. Elle en oublie le sexe qu’elle suçait.
Maintenant elle aime Bernard comme elle fait avec moi. Ses jambes sont sur lui, la
bite seule suffit à les joindre.
Que ma femme baise bien: elle prend son pied et le donne à son amant. De mon coté j’ai
droit à une femme qui adore baiser. Elle jouit je ne sais combien de fois. D’elle
même elle me fait changer d’orifice, je vais dans son cul. Quel bonheur d’y être, elle
sais accuser ses plaisirs en se branlant aussi. Quand je jouis, je n’en mène pas
large, les deux femmes ont encore les forces pour faire un long 69. Les culs sont
occupés par les doigts. Quand nous recommençons à bander, elle ne veulent plus de
nous. Nous sommes obliger de nous branler. Je branle Bernard qui a un bon morceau et
lui me branle également. Nous faisons tirer le maximum de plaisir partagé: il me
branle fort bien comme je crois le lui rendre. Nous arrivons à coordonner nos
orgasmes: nos jets sont sur les femmes. Nous attendons encore un bon moment, quand
nous rebandons, nous prenons chacun notre Nana pour la baiser. Nous jouissons les
quatre à la fois. D’ommage il faudra attedre e fois suivante la semaine prochaine.

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Texte coquin : Sylvie et les autres
Histoire sexe : Une rose rouge
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