Sylvie, la femme de mon ami. - histoire érotique

Cette histoire commence à l'époque de Denis, l'organisateur des premiers gang bangs de Lisa.
Lisa et moi avions un couple d'amis, Sylvie et Gilles (prénoms remplacés), Elle avait un très joli visage, mais un peu forte, lui était quelconque, pas très cultivé et ne plaisait pas du tout à Lisa.
Ils ne connaissaient pas notre vie de libertins. Jusqu'un soir où ils nous ont invités.
Gilles ayant trop bu, s'écroule et se couche dans sa chambre, je ne sais pas pourquoi, la conversation, vire au sexe avec Sylvie.
Elle nous raconte son aventure extra-conjugale avec un médecin dans une clinique ou elle bosse comme infirmière.
Sa liaison dure depuis presque 20 ans, Gilles, bien sûr, n'est au courant de rien.
Elle nous demande:"Et vous, vous avez des écarts? je sais que vous êtes un couple libre!".
Je regarde Lisa, qui me dit:"Oui, je lui en ai parlé!".
"Oui, d'ailleurs, je la remercie pour l'invitation avec Denis et ses copains".
J'apprend donc qu'elle a connu son premier gang bang grâce à Lisa.
Nos rapports évoluent donc dans ce contexte de secret, vis à vis de son mari, qui continue d'ignorer tout cela.
Sylvie ne cesse de me lancer des invitations ouvertement, même devant Lisa:"Humm, ton homme, j'en ferai bien mon quatre heures!".
Arrivant sur la quarantaine d'années, elle me disait aussi:"Hummm, t'as de beaux restes!".
Lisa me disait souvent quand je lui faisais part du fait que Sylvie était trop forte à mon gout:"Moi, je la trouve jolie!". On aurait dit qu'elle voulait me pousser dans ses bras.
Puis, vint l'époque ou les rapports entre son mari et moi, se compliquent pour une broutille, la nullité de sa réaction pour quelque chose d'aussi bête, me fait lui en vouloir encore plus.
Ce jour là, comme tous les Lundi, j'étais chez moi, Sylvie sonne à l'interphone.
Je la fais monter. Quand elle entre, je lui propose un café. Nous parlons de tout et rien, dont son mari et sa réaction idiote.
Elle relance, elle même le sujet du sexe, à nouveau, j'ai l'impression d'être un dessert qu'elle a envie de déguster.
Au bout d'une demi-heure, je lui dis que je vais prendre une douche.
Je me rend dans la salle de bain, sans la fermer, puis me déshabille, je passe sous le jet.
Pendant que je commence a me savonner, elle entre dans la petite pièce:"Je peux te laver, si tu veux!".
Elle prend mon gant, me lave tendrement le ventre, puis descend sur ma queue qui commence à bander.
Elle prend le pommeau de douche et rince mon sexe, puis enfonce son visage sur ma queue.
Je gémis, sa bouche est très agréable.
Je l'arrête et lui dit:"Attend-moi, je m'essuie et j'arrive!".
De retour, je l'embrasse, en lui malaxant les seins, j'ai des images contradictoires dans ma tête.
Je pense au fait de me venger de son mari, mais je pense à leurs enfants, oui, je sais, je suis tordu!".
Je chasse toutes ses pensées, et me dit que la baiser ne va être si compliqué.
Elle se retrouve nue, devant moi qui l'était déjà. Elle ne me plait vraiment pas, mais je ne veux pas lui montrer.
Je lui lèche longuement la chatte, elle est très longue à jouir (elle nous en avait parlé à Lisa et moi, elle pense qu'on est laids pendant la jouissance!).
Puis, je la pénètre, longtemps, en lui soulevant les cuisses, puis elle se tourne pour que je la baise en levrette.
Cela m'arrange, elle ne me verra pas détourner le regard de son corps trop large pour m'exciter.
Enfin, je l'entend gémir et jouir puissamment, je me laisse alors aller dans sa chatte, sachant qu'elle prend la pilule.
Quand Lisa est rentrée, je lui ai tout raconté, elle était étonnamment contente.
Le Lundi suivant, Sylvie est revenue.
Après le café, elle s'est collée à moi et me dit:"J'ai encore envie de toi! Laisses moi te sucer!".
Elle se baisse et sort ma queue, puis entame une fellation appuyée, comme on ne m' a jamais sucé auparavant.
Sa langue frotte extrêmement fort sur mon gland, trop fort, j'ai des mouvements de recul répétés.
Ma réaction, n'est pas celle qu'elle espérait, elle me donne envie d'uriner, je ne tiens plus et lui dit:"Sylvie! Arrêtes!".
"Non, viens! J'en ai envie!".
Devant son insistance, je laisse échapper mon liquide, c'est à ce moment, qu'elle recule et me dit:"C'est ce que je pense?".
"Oui, c'est trop fort! Je réagi comme ça, je dois être trop sensible, désolé!".
"Mais habituellement, les hommes adorent ça!".
"Pas moi, je suis gêné, maintenant, j'ai honte, tu m'en veux?".
"Non, c'est un peu ma faute, j'ai envie que tu jouisses dans ma bouche, je vais continuer plus doucement!".
Elle reprend sa fellation, plus normalement et parvient a me faire éjaculer abondamment dans sa gorge, elle ne lâchera mon sexe que complètement vidé de son sperme, en ajoutant:"Hummm, j'adore avaler le sperme!".
La semaine d'après, j'ai refusé ses avances, lui avouant que, j'avais des remords, vis à vis de son mari.
L'histoire s'est arrêtée là.