Sylvie se lache

- Par l'auteur HDS Bilou -
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Récit libertin : Sylvie se lache Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-02-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Couleur du fond :
Sylvie se lache
Sylvie est venue rendre visite à Elisabeth, elles se connaissent depuis longtemps et Sylvie qui est seule maintenant à Bordeaux avait envie de revoir son amie. Les retrouvailles furent sous le signe de la bonne humeur et les plaisanteries fusaient entre elles. C’était la fin du printemps, le soleil était enfin de retour et Elisabeth avait ses jambes gainées de soie noire, Sylvie s’en aperçu au premier regard et demanda à la maîtresse de maison si elle n’avait pas trop chaud avec un collant. Avec un grand sourire la maîtresse de maison releva sa robe jusqu’à la ceinture et découvrit des bas retenus par un porte jarretelles.
Ouah dit Sylvie, c’est super sexy tout ça, et le haut est de la même couleur ?
Elisabeth enleva complément sa robe et dévoila son ensemble de couleur bleu roi.
Mon chéri m’avait souvent demande d’en porter et j’ai toujours reporte a en acheter, je trouvai cela vulgaire a la limite pute mais maintenant que je le vois sur toi c’est plutot bien et jecomprends que les hommes peuvent aimer.
Peux tu m’en prêter un, j’aimerai en porter un pendant que je suis la et bien sur aller faire des courses avec toi dans cette tenue, bien sûr si tu pouvais me prêter aussi des bas j’aurai la panoplie complète de la coquine et je pourrai ressentir ce que cela donne.
Pas de problème dit Elisabeth, il faudrai voir ce que tu portes en ce moment et en fonction de la couleur je te trouverai quelque chose.
Sylvie n’hésita pas une seule seconde et se retrouva vite fait en culotte et soutien gorge. L’ensemble était coordonné de couleur noire et Elisabeth s’est souvenu qu’elle avait un porte jarretelle qui pourrait se marier avec ces sous vetements qu’elle porte.
Elle alla fouiller dans son sac de sport et entre tous ses jouets sexuels, elle trouva celui qui conviendrait.
Il était de couleur violette et celui ci allait bien trancher avec les sous vêtements noirs qu’elle portait. Petite touche perso elle reprit dans ce fameux sac un string noir qui allait bien faire ressortir ses fesses bien rondes. Pour les bas, noirs 15 deniers avec couture.
Bon, on t’habille maintenant, Elisabeth lui mit le porte-jarretelles autour de la taille et commença à l’ajuster sur la ceinture, elle prit les bas et demanda à Sylvie de les faire glisser sur ses jambes bien galbées. Elle lui demanda de retirer sa culotte afin d’attacher ses bas. Sylvie eut un petit moment d’hésitation avant de s’exécuter.
Étonnement elle avait un gros clito et des lèvres bien fournies le tout recouvert d’une belle toison blonde.Elisabeth lui faisait face et avait le pubis de Sylvie à la hauteur de son visage. C’est Sylvie qui fit le premier pas et mis sa jambe sur la chaise ou était assise Elisabeth. La maîtresse de maison avait une belle chatte ouverte devant elle et commença à lécher cet entrejambe à sa disposition. Elle mis ce gros clito entre ses lèves, le suça et ses mains caressaient les fesses de Sylvie.. l’invitée qui n’avait pas ressenti cela depuis que son compagnon était disparu savourait pleinement cet instant. Tout en s’occupant de Sylvie qui adorait cela en manifestant des râles de plaisir , Elisabeth continuait à ajuster les jarretelles sur les bas de son invitée.
Ce petit plaisir fut interrompu par la sonnette d’entrée.
Qui c’est ? Demanda Sylvie un peu déçue de l’interruption de son plaisir.
Elisabeth regarda par la fenêtre de la chambre et compris que c’était le facteur qui avait un gros colis en main.
C’est le facteur dit elle, vite rhabillons nous.
Sylvie mît le string qui lui avait été prêté et en un rien de temps les deux femmes furent rhabillées et Elisabeth ouvrit au petit facteur. C’était un jeune homme antillais plutôt mignon et Elisabeth compris qu’il plaisait beaucoup à Sylvie. Il se dirigeât vers le bar du salon avec le colis en main et sortit de sa sacoche l’imprimé à signer.
Vous prendrez bien un ti punch proposa Elisabeth.
Euh oui dit Keran surtout que vous êtes la dernière de ma journée aujourd’hui.
Il s’assit sur le canapé, Elisabeth a ses côtés et’Sylvie en face sur un fauteuil.
La,discussion portait sur son travail pendant que ces trois dégustaient l’apéritif. Sylvie avait déjà siroté son premier verre et en redemandait .Son attitude et le ton de sa voix avaient changé. Elle croisait les jambes et il était facile pour kerian de voir les grosses cuisse de Sylvie gainées de jolis bas noir retenues par de larges jarretelles , à certaines occasions il lui etait possible de voir son string de la même couleur. Elisabeth fit un signe discret à Sylvie sur sa position mais Sylvie lui répondait d’un clin d’œil avec un grand sourire. Pendant qu’Elisabeth servait le second punch, Sylvie se dirigea vers le couloir, Elisabeth pensait qu’elle allait aux toilettes. Elle revint peu de temps après pour déguster le breuvage et recommença son petit jeu sauf que cette fois on pouvait très nettement voir qu’elle avait enlevé son sous vêtement et le petit Kerian pouvait se rincer l’œil et découvrir sa chatte châtain claire bien velue. A en voir le le haut du pantalon du jeune facteur il était clair qu’il n’était pas insensible à ce petit manège. Sylvie après avoir terminé son second verre se leva et pris la main du facteur en lui disant, viens je vais te faire visiter la maison. Keran se leva à son tour et suivit la coquine en mettant la main sur le gros de Sylvie. Il s’arrêtèrent à la première pièce qui était la chambre d’Elisabeth et Sylvie ferma la porte. Elisabeth pouvait entendre des rires, des gémissements, des râles et parfois des claques qui devaient être destinées aux bonnes fesses de Sylvie. Après 3/4 d’heure Sylvie ressortit de la chambre toute épanouie et avec les mains sur son bas ventre.
- oh putain qu’est ce qu’il m’a mis le petit, ce n’est pas un sexe qu’il a mais un gros gourdin, il m’a fait grimper aux rideaux à deux reprises. J’ai essayé de me la mettre entre les fesse mais son gland était trop gros pour mon petit trou. Elle se rapprochât de la maîtresse de maison et lui mis les bras autour du cou. Ce suivit d’un long baiser sur la bouche entre les deux femmes et Elisabeth compris au goût et à l’odeur que Sylvie s’était prise une rasade de jus d’homme.
- Bon eh bien je boirais bien un autre punch apres ces galipettes.
- Et qu’est ce qu’il fait demanda Elisabeth.
- il se repose un peu, après tout ce qu’il m’a fait il a bien droit à,un peu de repos le petit.
-Dis moi Elisabeth pendant ton séjour aux Antilles tu t’es faite sauter par un antillais?
- Ah des propositions j’en ai eu mais je n’ai jamais voulu franchir le pas.
- Eh bien en ce qui me concerne j’ai déjà goûté à la chose, quand on était en vacances en Martinique un soir avec Christian on est allé dans un bar et on avait pas mal bu. Il ne restait plus que nous dans ce bar et mon homme s’etait endormi sur le comptoir. Le serveur, la cinquantaine a commencé à me toucher les mains puis les seins, j’ai trouvé ça agréable, il m’a ensuite demandé de passer derrière le bar, je savais très bien ce qu’il voulait et j’ai suivi sa demande. Passée de l’autre côté du bar cet homme dont je ne connais pas le nom a relevé ma robe. J’avais un peu honte car Christian m’avait demandé pour cette soirée de ne pas mettre de sous vêtement, il avait donc accès à ma foufoune et ne s’en privait guère, puis il sortit son braquemart que je ne pouvais voir mais que je pouvais bien sentir. Elle était en levrette entrain de se faire mettre et pouvais s’assurer que Christian dormait toujours sur le bar.
Ses râles, elle les étouffait en se mettant la main sur la bouche pour ne surtout pas le réveiller mais elle avait un immense plaisir.
Après un petit moment, elle eut envie d’autre chose et lui dit dans des termes crus encule moi vieux cochon.
Le matin même Christian l’avait sodomisee pour son plus grand plaisir et donc son trou était déjà dilaté pour recevoir cette grosse bite. Le barman excité par cette demande se mit à exécution et pointa son chibre vers le trou du cul de la touriste demandeuse, Sylvie prit les choses en mains et l’amena jusqu’à l’entrée de sa grotte, elle put facilement deviner comme le barman était bien outillé, elle sentit bien le gland passer avec une certaine douleur mais après quelques va et viens le plaisir anal était de retour. Elle se mordait l’avant bras pour rester silencieuse, Christian était toujours endormi, la situation l’excitait énormément de baiser dans un bar avec un inconnu et le tout devant son mari. Même en fantasme elle ne l’avait jamais imaginé.
Elle sentit que le serveur n’allait pas tenir longtemps et lui demanda de ne pas juter dans son cul mais de lui mettre toute sa semence sur son visage. Peu de temps après il se retira, Sylvie se mit à genou afin de recevoir toute la jute sur sa gueule. Les jets étaient puissants et nombreux pour le plus grand plaisir de la touriste, son visage était recouvert de sperme. Comme il y avait beaucoup de Mirroirs dans le bar elle pu se voir avec le visage avec de nombreuses traces blanchâtres. Elle prit des serviettes pour se nettoyer et réveilla Christian pour un retour vers la chambre.
- Et tu lui a avoué à Christian, de ton écart demanda Elisabeth ?
- J’avais pensé lui en parler et puis je ne l’ai jamais fait de peur de lui faire mal.
-Bon dit Sylvie on va le réveiller ce petit facteur?
Elisabeth ne semblait pas chaude mais devant l’insistance de son invitée elle suivit Sylvie vers sa chambre.
- Dis donc, il t’a bien remuée le jeune ?
- Oui mais pourquoi tu dis ça
- Bein parceque tu as des jarretelles derrières qui se sont détachées, laisse moi arranger ça. Il est vrai qu’avec ses grosses fesses les jarretelles ne pouvaient retenir les bas.
Elle réajusta Sylvie et lui caressa les fesses avec en prime une petite claque.
Quand ils arrivèrent dans la chambre, le petit facteur dormait sur le ventre, Sylvie alla le retrouver et se mit à califourchon sur lui pui descendit son visage vers les fesses du facteur, elle les mordilla puis écarta les fesses du jeune homme pour lui lécher la rondelle, ce qu’il apprécia énormément.
Elisabeth s’était assis sur un fauteuil et regardait la scène se demandant si elle allait intervenir.
Keran se retourna et Elisabeth put se rendre compte que Sylvie n’avait pas exagéré quand à la taille de son mandrin. Sylvie commença une pipe en allant partout sur sa bite et ses couilles, il est vrai qu’elle avait de quoi faire en plus d’avoir un gland énorme il avait aussi des couilles démesurée, la nature l’avait bien gâté.
A voir Sylvie sucer le facteur, de s’élancer mettre sur les joues et sur la gorge, le spectacle était plutôt erotique.
Elle entrepris de remonter sa robe, d’écarter son string et de se caresser la vulve avec douceur. Des films porno elle en avait vu mais de voir cela a 2 mètres d’elle cela lui donna envie de se masturber ces deux acteurs porno d’un jour.
Keran entendit Elisabeth gémir, elle s’était mise deux doigts dans sa chatte poilue et allait bon train. Puis il l’invita à se joindre à eux, elle hésita et finalement franchit le pas. Entre temps Sylvie avait chevauché le facteur et s’était introduit le membre dans la chatte. Elle pouvait voir avec plaisir dans le Mirroir de l’armoire le gros chibre noir aller et disparaître entre ses jambes, de se voir avec des bas augmenta son désir.
Elisabeth entreprit de mettre sa chatte sur la bouche de Keran et de faire face à sa copine. Elles s’embrassèrent tout en jouant avec leurs seins, ceux de Sylvie étaient petits avec de grosses oreoles brunes set avec la loi de la gravité et l’âge tendaient à se diriger vers le bas, Sylvie avait enlevé le soutien gorge d’Élisabeth et s’amusait avec ces grosses mamelles.
Elisabeth s’avança un peu écarta ses fesses et se mit la rondelle sur la bouche du petit facteur, un vrai delice pensa t elle
Les deux cochonnes mattaient le Mirroir bienfaiteur avec un œil discret, les grosses fesses de Sylvie qui chevauchaient Keran allaient dans tous les sens, des fois on pouvait voir son trou du cul bien poilu, et après les deux gros globes se rejoignaient, ses seins faisaient de même et Elisabeth alliait le plaisir d’un jeune homme qui lui bouffait le cul et Sylvie qui lui suçait ses gros seins.
Sylvie refit une tentative de se mettre le gros mandrin dans son cul mais ce fut peine perdue. Elisabeth ayant remarqué la volonté de son amie elle se dirigea vers son fameux sac de sport en ressortit un gode ceinture en cuir noir et un flacon de lubrifiant. Elle se l’ajusta, serra la ceinture, mis un peu de lubrifiant et se positionna derrière Sylvie qui avait tout compris. La bite de Kerian était toujours dans la chatte de Sylvie. Elisabeth l’a sortie et entreprit de sucer ce membre. Elle en avait envie et sentit la grosseur du gland du jeune homme, sa bouche était bien remplie.
Elle délaissa le membre pour se diriger vers les fesses de Sylvie, son trou était bien poilu et la langue d’Elisabeth trouva tout naturellement le point sensible. Aux premiers coups de langues Sylvie était remplie de plaisir entre la bite de Kerian et la langue d’Elisabeth elle était vraiment comblée. Elisabeth prit un peu de lubrifiant pour son god
e et écarta ces grosses fesses à ce moment Sylvie parla a l’oreille de Keran .
- Bien sur Sylvie tu es une grosse cochonne, tu es même une pute qui aime la bite.
- Ahhh oui continue comme ça cela m’excite énormément petit cochon, bourre moi la chatte avec ta grosse bite.
Elisabeth comprit que Sylvie avait besoin de sexe, sûrement dû à ne pas avoir touché à la chose depuis des années et que cela la rendait vraiment cochonne.
Ceci dit Elisabeth se présenta derrière son amie avec son gode et du lubrifiant dessus.
- Ahhh dit elle vous me fourrez dans tous les trous et que c’est bon quand même, bande de salauds.
Elisabeth y alla progressivement entre ses grosses fesses, Sylvie semblait accuser le coup quand meme.
- Vas y doucement quand meme t’es entrain de me casser le cul.
Elisabeth réduit la cadence elle avait quand même enfourne la moitie du gode. Keran lui continuait son petit bonne homme de chemin, tantot il pelotait les grosses et allait prendre en main les mamelles d’Elisabeth.
Les cris de douleur de Sylvie du debut succédèrent à des gémissements de plaisir. Elle voyait dans le mirroir que son assaillante ne lui avait pas tout mis et donc demanda à Elisabeth dans des termes aussi crus.
- allez enfourne moi tout dans le cul, hummmmm c’est bon.
Après un petit moment Sylvie se mis à crier et s’effondra sur Keran avec d’énormes spasmes. Une double jouissance qu’elle n’avait pas connu depuis longtemps.
- Ah merci bande de salauds vous m’avez faite doublement jouir.
Après que les deux compères s’étaient retirés de ses trous béants, Sylvie alla embrasser chaudement tout d’abord Keran en lui passant une main douce sur les testicules puis elle se rapprocha d’Elisabeth entrain de détacher son gode ceinture. Elle droit aussi à un long baiser sur la bouche puis Sylvie se rapprocha de l’oreille d’Elisabeth et lui dit.
- Maintenant à toi de t’amuser.
Elisabeth se rapprocha de sa future victime et prit la tige d’ébène dans sa bouche après quelques va et viens elle eut une petite idée, se leva du lit prit la main du facteur et lui dit
- viens on va ailleurs.
Keran la suivit jusqu’à la cuisine, elle alla vers un placard et sortit un tablier avec bretelles, s’approcha de l’évier et enfila les gants de ménage en latex. Elle se lova dans les bras du jeune et lui dit
- ça te plairait de bourrer le cul de là ménagère pendant qu’elle nettoie l’évier et fait la vaisselle?
- Bien sur si c’est ce que tu veux.
Les mains gantées d’Elisabeth descendaient doucement sur le corps de Keran jusqu’à arriver sur le beau membre du petit loup. Elle le caressa et Keran n’avait ressenti cela avant c’est à dire se faire branler doucement par une main gantée.
La sodomie, la maîtresse de maison ne l’avait pas connue pour la première fois par son mari mais par son patron. Au cours de rallyes elle avait fait quelques petits croisements de jambes en face d’Andre appuyé d’un regard coquin et cela ne faisait aucun doute pour lui, elle en voulait.
Quelques temps après André envoya le mari d’Elisabeth en mission africaine et se mit de permanence de nuit. Après un coup de téléphone à Elisabeth il eut la confirmation qu’il était le bienvenu pour lui rendre visite. Tout se passa très vite car il devait rentrer au travail, ils se retrouvèrent nus, Elisabeth en position de levrette et André derrière elle. La taille de sa bite ne semblait pas très grosse toujours et il qu’il commença à la prendre avec vigueur. Elisabeth y trouva du plaisir mais sentit que son plaisir n’était pas le même que d’habitude. Au bout de quelque temps André finit par ejaculer. Après la séparation des deux amants, Elisabeth se mit la main sur la chatte et ne sentit rien couler de cet endroit par contre du liquide coulait entre ses petites fesses. Il me la glissee entre les fesses ce petit coquin. Forte de cette expérience toute nouvelle, elle laissa des amants avec de plus calibres faire la même chose et elle en retirait un certain plaisir tout comme ses amants.
Elisabeth était toujours entrain d’astiquer le membre puis se retourna vers l’évier montrant son fessier au facteur. Il ne fut pas insensible aux bas retenus par de larges jarretelles à une hauteur égale et finissant au ras de ses petites fesses, c’est une pro du porte jarretelle, se dit il.
De la poche ventrale de son tablier, elle sortit un flacon de lubrifiant en mis sur ses gants. Elle massa ses gros seins toujours cachés par le haut de son tablier et bien sur ses fesses et son oignon. Elle mis un doigt puis un second afin de dilater son trou du cul. Elle finit par la queue du jeune homme qui ressentit un grand bonheur tellement cela glissait à merveille. Il regardait toujours les fesses d’Elisabeth délimitées par les bas dans la partie inférieure, les jarretelles sur les côtés et enfin le porte jarretelles en haut. Ses fesses grâce au lubrifiant brillaient de mille feu. Quel beau spectacle se dit il.
- Tu viens me sauter mon p’tit loup ?
- Oui bien sûr, j’arrive.
- Vas-y doucement quand même, surtout avec le mandrin que tu as.
Elisabeth écarta ses fesses et attendit que son mâle lui perfore le cul. Après une petite masturbation, Keran pointa son engin vers son centre d’interêt, son énorme gland était maintenant à l’entrée, il donna une impulsion des reins et commença à voir disparaître l’extrémité de sa belle bite. Elisabeth sentait bien que les choses avaient avancé. C’était un peu dur pour elle et ressentit beaucoup de douleur ce qui expliqua son râle. Keran fit une brève pause et continua d’aller plus loin et cela rentrait bien à son grand étonnement. Il lui avait mis la moitié maintenant et ses coups de rein étaient plutôt lents. L’assaillie prit les devants et recula son cul vers son taureau pour en prendre plus. Maintenant elle avait tout pris dans le fion. Elle entendit un bruit de petit moteur électrique qui lui était bien familier. En tournant la tête vers la porte d’entrée entrouverte, elle vit Sylvie entrain de les mater avec un gode dans son vagin. Keran prit les cheveux d’Elysabeth et commença à bien la limer. Le plaisir anal pour elle était très fort. Elle fit glisser sa main droite sous le tablier et commença à se caresser la fente. Keran lachat les cheveux et descendit jusqu’aux mamelles d’Elisabeth qu’il pris à pleine main et commença à jouer avec les gros tétons bien dressés. Elisabeth sentit bien que Keran était au bord de l’ejaculationet se dégagea de Keran.
- Allonge toi sur la table, dit elle.
Elle avait bien envie de goûter à son sirop d’homme. Elle se penchât sur la table, alignant ses deux mains gantées sur le pieu et s’aperçut qu’elle n’avait toujours pas tout entre ses mains, elle approcha sa bouche et commença une pipe d’enfer. Elle sentit après très peu de temps que le petit allait tout lâcher sous peu.
Avec humour elle demanda: Monsieur le facteur, c’est bien là la colle pour les timbres ?
- Oui ma chère dame vous êtes au bon guichet, répondit il avec un large sourire.
Elle avait le gland entier dans la bouche et sentait qu’il durcissait, signe avant coureur d’une explosion de sperme. Quelques secondes après elle reçu une première giclée de taille raisonnable et put déguster le nectar s’en suivirent d’autres mais bien plus importantes, Elisabeth avait la bouche pleine de jute mais ne voulait rien recracher. Elle déglutit progressivement et put se régaler avec ce nectar bien sucré.
Sylvie entra dans la cuisine et dit c’était super, je me suis régalée avec votre spectacle.
- on va boire un dernier punch, cela va me changer le goût dans la bouche.
Les trois convives s’assirent dans le salon et trinquèrent à la santé du facteur.
Mais dis moi Keran dit Elisabeth, dans ta tournée tu as sûrement des veuves ou des femmes délaissées à combler. Keran ne dit rien mais arbora un large sourire mais ne dit rien.
-Allez Keran tu en a une dans notre coin?
- Oui dit Keran dans le château au bout de la route.
- Quoi dit Elisabeth, mais c’est Marie Cecile la grenouille de bénitier qui va à la messe tous les dimanches et qui communie avec son mari.
- C’est bien elle, quand je fais ma tournée et que j’ai une lettre à lui donner elle met un auto collant vert pour dire que la voie est libre, alors je rentre et aussitôt elle me saute sur la queue pour la sucer. En échange elle me donne 20 euros pour ce service, cela l’excite de payer un homme pour ce genre de services. Une fois par mois voire deux elle m’envoie un sms me demandant de venir avec un ami bien monté pour lui boucher tous ses trous comme elle dit.
Ces soirs la, son mari assiste à nos ébats, il fume, boit, regarde si les deux caméras enregistrent bien, va se rassoir pour se branler en nous regardant, une fois qu’il est prêt à ejaculer, il se lève et va vide ses couilles dans la bouche de sa femme. Pour ces soirées, on reçoit 100 euro chacun.
Ces films il en a de nombreux et de temps en temps il les regarde et demande à Marie Cecile de lui pomper la queue.
- Eh bien tu ne t’ennuies pas dans ton métier dit Sylvie.
- Non pas du tout reprit-il, bon mesdames veuillez m’excuser mais je dois vous quitter et reposer mon sac de courriers au bureau de poste. Il partit dans la chambre pour se rhabiller.
Il alla embrasser ses deux hôtesses d’accueil et leur dit merci pour cet accueil chaleureux.
Les deux femmes ne manquèrent pas de le remercier aussi et qu’il était le bienvenu à la maison.
Sylvie alla prendre une douche bien méritée pendant qu’Elisabeth se mit à nettoyer les godes avant de les ranger dans son fameux sac de sport. Après elle allèrent faire une sieste bien méritée mais cette fois dans le même lit.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Belle histoire quelque imperfections dans l’écriture mais le fond est bon et certains details croustillants.D



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