Sylvie une journée pourrie, quoi que.... - histoire érotique

Sylvie une journée pourrie, quoi que....

Nous sommes un lundi matin, il y a deux semaines que Luc et Paul sont partis.
Louis doit partir en déplacement pour la semaine.
Je traîne un peu au lit, en le regardant se préparer.
Il vient m'embrasser, puis il me dit
"A vendredi mon amour"
Puis il ajoute avec un regard malicieux,
"Sois sage !"
Nous rigolons et il s'en va.
Je n'ai rien de spécial à faire, j'irai au bureau cet après-midi pour prendre mon courrier, je me lève et déjeune sur la terrasse dans le plus simple appareil.
Mon tél sonne, c'est Louis.
"Je te manque déjà "
"Bien sûr que oui, j'ai oublié de te dire que un technicien doit venir pour le local technique de la piscine vers 11h00"
"D'accord, je serais là, je n'ai rien à faire de toutes façons "
Je range la maison en attendant, puis je profite pour prendre un peu le soleil au bord de la piscine.
À 11h10, la sonnette retentit, je regarde à la caméra, c'est le type pour la piscine..
J'enfile le premier peignoir à porter de main, merde, c'est le plus petit de ma collection, il arrive vraiment à raz la touffe(heureusement je suis épilée) et le haut ne cache pas entièrement ma poitrine, tant pis.
Le gars tape à la porte, je lui ouvre en me plaçant derrière cette dernière.
"Bonjour madame, c'est pour la piscine, votre mari m'a demandé de venir faire les réglages du nettoyage automatique des filtres. "
Je le regarde et le trouve à mon goût avec ses cheveux blonds, son polo blanc moulant son buste, et son short bleu marine mettant en valeur son anatomie.
"En effet, il vient de me prévenir, entrez et suivez-moi "
Je ferme la porte derrière lui et le précède pour lui montrer le local technique.
J'en profite pour bien bouger mon cul sous ses yeux,
Sans me retourner je sens qu'il mate mon déhanché.
Il entre dans le local technique, pendant que je m'installe sur un transat.
Il ressort 20 minutes après.
Je suis toujours sur le transat et mon peignoir minimaliste ne cache plus grand chose. Je l'entend arriver et ne fais rien pour rendre ma tenue moins provocatrice.
"Excusez-moi, une des vannes est fatiguée, je n'en ai pas dans le fourgon, je repasserai demain, où, si j'en trouve une aujourd'hui ce soir, si vous êtes disponible bien sûr "
Je tourne la tête et je vois qu'il est torse nu.
Je baisse mes lunettes, regarde son buste musclé et perlant de sueur, je porte une branche de mes lunettes à la bouche et la passe sur ma langue.
"Madame?"
"Oh pardon, oui bien sûr, je suis quelqu'un de très disponible. "
"Très bien, alors demain c'est sûr, ou peut être ce soir, je vais vous demander votre numéro pour vous prévenir de ma venue, serait-il possible de prendre une douche avant de partir ?"
"Oui bien sûr, je vous accompagne "
"Merci beaucoup, mais je vais utiliser celle de la piscine "
"J'apporte de quoi vous rafraîchir "
Je rentre en le regardant par la baie vitrée, d'ici j'ai vue directe sur la douche.
Il ote ses baskets, puis son short et va sous la douche.
Il a des fesses musclées ce qui lui fait un cul d'enfer, malheureusement pour l'instant je ne peux voir son sexe.
J'emmène le plateau avec les verres et lui tourne le dos pour le poser sur la table basse.
il n'est pas timide, je m'allonge sur mon transat.
Je le regarde au travers de mes lunettes noires, whaou, il est bien équipé, je le veux.
Il remet son short, se chausse, et vient vers moi.
Il s'assoit sur un autre transat, je me lève , lui tourne le dos, prend son verre sur la table basse en ne pliant pas les jambes afin de mettre mon cul en valeur.
Je pense que cela doit faire son effet.
Je me tourne doucement pour lui tendre son verre.
Là, je suis abattue, il regarde ses messages sur son portable, tend la main, attrape son verre,
"Merci beaucoup "
Je m'assois en face de lui, jambes légèrement écartées, il ne peut que voir mon sexe.
Il boit son verre., tout en regardant son portable.
Je tente une discussion.
"Mon prénom est Sylvie "
Il lève les yeux
"Moi, c'est Yann"
Et il replonge aussitôt sur son écran, finit son verre, se lève.
"Bon, j'ai encore du boulot, je vous téléphone en fin d'après midi ou demain matin "
Je tente une dernière approche en me levant et en me rapprochant de lui, mon peignoir s'est ouvert un peu plus laissant ma poitrine bien visible.
Il me regarde dans les yeux sans un coup d'œil sur mon décolleté.
Il me tend la main .
"Ne vous dérangez pas, je connais le chemin "
Il tourne les talons et sort de la maison.
Je suis dégoûtée, je me suis excitèe seule et je reste sur ma faim.
Il me faut du sexe.
J'appelle Marc mais je tombe sur son répondeur, je lui demande de me rappeler lorsqu'il aura mon message.
Il est 12h30, je décide de me mettre une petite robe légère et de me rendre voir Boom à la paillote du camping, peut-être que lui pourrait me venir en aide.
J'arrive sur place, et me dirige directement vers la buvette.
"Bonjour boom "
"Tiens, bonjour Sylvie, pas la même tenue que la dernière fois mais toujours aussi jolie "
"Merci, enfin quelqu'un de gentil aujourd'hui "
"Tu es de repos aujourd'hui "
"Oui j'ai la chance d'organiser mon boulot comme je veux "
"C'est bien ça, tu veux déjeuner ?"
"Pourquoi pas, je suis venue surtout en espérant pouvoir te remercier à mon tour pour le plaisir que tu m'as donné au bord de la rivière "
"Ah, oui, il faut que je te dise quelque chose"
Il me fait signe de me rapprocher.
"J'ai bien aimé te faire ce cunni, mais il faut que tu saches qu'avec les femmes ça s'arrête là, je préfère baiser les hommes "
Je suis décontenancée mais j'essaie de rester stoïque.
"Remarque, vu comme tu te sers de ta langue, ils ne doivent pas être déçus "
"Non, ma langue c'est que pour les femmes, je ne fais que ça avec elles, avec les garçons je suis dominant, j'aime bien les soumettre, me faire sucer avant de les sodomiser, j'espère que tu n'es pas trop déçue "
"Oui, bien sur, mais tant pis "
"Je suis désolé, en plus, j'ai des collègues qui auraient pu te soulager, mais deux sont partis pour la journée et les deux autres travaillent. "
"Dommage pour moi. Ce n'est pas mon jour, mais je repasserai, ciao "
"Ciao bella "
Je rentre chez moi désespérée.
Je me déshabille et m'allonge sur le transat.
Le téléphone sonne, c'est Yann qui me dit qu'il passera à 17h00 avec la vanne.
Il est 15h30, j'en profite pour faire un petit somme.
16h50, je me vêt d'un peignoir long et moche, de toute façon il ne me regardera pas, lui aussi doit préférer les hommes.
Il sonne, je vais ouvrir, il me regarde
"Vous étiez plus jolie ce matin "
Je suis estomaquée.
"Pour l'effet que ça vous a fait "
"Oui, j'en suis désolé, mais j'avais beaucoup de travail et je ne voulais pas me laisser distraire "
"Et maintenant, vous n'avez plus de boulot "
"Juste votre vanne et terminé jusqu'à demain, d'ailleurs, je vais la changer de suite "
Je le regarde se rendre dans le local technique, et je me précipite pour me changer et me remaquiller, je m'enferme dans la salle de bain et je mets de la musique en passant que la journée pourrait très bien se terminer.
Je choisis une robe courte et sans bretelles que j'affectionne particulièrement pour son côté pratique et sexy, en effet, tout est rapidement accessible .
Je me chausse d'escarpins à talons qui finissent de galber mon postérieur.
Je regagne la terrasse après m'être coiffée et maquillée.
Yann sort du local.
"Whaou, magnifique, j'ai presque fini mais il me manque un joint, mon ouvrier doit me le mener, est-ce que je peux prendre une douche en attendant, il fait chaud et je sens la transpiration."
"Bien sûr, je vous emmène du gel douche "
Il se fout à poil et va sous la douche.
Je le regarde, il est bien bâti.
Je reviens avec le gel douche et lui tend, il se frotte le corps et lorsqu'il arrive à son sexe je ne peux dégager mon regard, je pense qu'il a bien vu car il le brique intensément.
Je reprends mes esprits et je vais servir des boissons.
Il revient sans se sécher et se pose sur le canapé du salon de jardin.
Je lui donne un verre et je me pose à côté de lui.
Ma robe est tellement courte qu'elle ne cache pas mon minou.
"Votre mari risque d'être jaloux si il arrive "
"Il est parti en déplacement professionnel toute la semaine "
"Laisser une belle femme comme vous seule une semaine, ça doit être dur "
"Non, je lui fais régulièrement des comptes rendus de mes activités "
Il rit , et pose sa main sur ma cuisse.
"Toutes vos activités?"
Je souris, écarte légèrement mes cuisses et pose ma main sur son sexe .
"Oui, toutes mes activités "
"C'est sympa ça "
"Oui, je suis une femme très libre "
Je tiens maintenant son sexe à pleine main et commence à le mastuber.
"Libre comment?"
Il prend de belles proportions en se dressant fièrement.
"Très très libre "
Il descend le haut de ma robe libérant ma poitrine, dont les tétons ne peuvent que trahir mon excitation.
Je regarde son engin, en me passant suavement ma langue sur mes lèvres, c'est vraiment un beau morceau.
Je prend un coussin et le pose au sol
Je m'agenouille entre ses jambes, cale son sexe entre mes seins et commence une belle cravate de notaire, avec des petits coups de langue lorsque le gland est à portée.
Nous nous regardons mutuellement en imaginant la suite.
"Même si vous etes une femme libre, j'aimerais savoir ce que votre mari ferait si il arrivait maintenant ?"
Je le regarde, positionne mon visage contre ses couilles que je lèche, et remonte ma langue sur toute la longueur de sa verge et gobe le gland.
Je libère ma bouche, frotte sa queue sur mon visage.
"Je suis sûre qu'il se mettrait sur un des fauteuils et m'encouragerait à vous sucer jusqu'à plus soif comme la grosse salope que je suis "
"Grosse salope, tiens donc, jusqu'à quel point ?"
"Jusqu'au point d'être votre objet, d'être une pute si vous le désirez !"
"C'est intéressant ça , mais jusqu'où es-tu prête à aller ?"
"Si tu me baise bien et que tu me fais jouir, je n'aurais aucun tabou pour te satisfaire "
A suivre.....