Ta meilleure amie
Récit érotique écrit par Accent [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-05-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Ta meilleure amie
Ta meilleure amie !
Mireille,Ah ! La merveilleuse soirée de bal : je t’ai rencontrée. Immédiatement nous avons vécu un coup de foudre réciproque. J’ai lu une promesse dans tes yeux. Angèle, ta meilleure copine, a remarqué notre rapprochement. Du coup elle t’a envoyé un autre cavalier pour nous éloigner, puis hardiment est venue m’inviter. Notre conduite avait été sage. Avec elle les choses prirent une autre tournure. Dès les premiers pas elle colla ses hanches et son ventre contre moi, à chaque occasion elle frotta sa poitrine de garce de 20 ans délurée, contre ma chemise pour m‘allumer. Ses tétons durs et pointus étaient une révélation excitante.
Elle me serrait de près, emprisonnait ma jambe entre ses cuisses, me chauffait des pieds à la tête et ses yeux provocants ne lâchaient pas les miens, me lançaient des éclairs et me défiaient. Mon sang malgré moi bouillonnait et mon érection subite l’amusa. Sans vergogne elle accentua la pression de son bassin sur le bas de mon abdomen en faisant basculer son dos en arrière pour mieux m‘observer et lire dans mes yeux le trouble où elle me plongeait. Je transpirais, cela lui permettait de me plaisanter sur la vivacité de mes sentiments et la qualité de mes réactions physiques.
- Hé, ben, dis donc, tu flambes au premier contact ! Tu démarres au quart de tour. Quel joli étalon. Tu es un amour de garçon, bienvenue dans notre troupe.
Quelle garce ! Elle poussa le culot jusqu’à me demander si je t’avais draguée en te serrant d’aussi près.
Par bonheur elle était entourée d’une cour nombreuse d’admirateurs, de soupirants impatients et devait entretenir leur flamme, attiser leurs désirs pour les conserver dans son sillage parfumé au « Suivez-moi, monsieur. » Sûre d’avoir su me faire entrer au rang de ceux qui souhaitaient lui faire l’amour, elle décida de me faire languir un peu. C’était une technique éprouvée. Elle croyait m’inspirer de la jalousie en me laissant tout excité et chaviré pour aller se jeter dans les bras d’un autre et lui procurer les mêmes sensations sous mes yeux. Je tremblais encore, bouleversé par son audace et effrayé par ma vulnérabilité, quand je te vis, assise, les yeux tournés vers moi. Douce, calme, chaste, plus décemment vêtue, sans exhibition, tu étais à l’opposé de cette copine turbulente, sûre de son charme, aguicheuse et si troublante.
Je retrouvai mon sang froid, nous échangeâmes un sourire, je pris le courage de t’inviter à danser. Ton corps gardait la distance, ta présence me calmait. J’étais bien avec toi, sans tourment de la chair, mais serein, heureux. Je sus précéder en t’invitant rapidement les tentatives de ta copine, qui aurait voulu exciter la jalousie d’autres prétendants en me conduisant sur la piste. Ce jeu m’aurait transformé en hochet, ou en cape rouge pour les taureaux qu’elle faisait baver de désir. Toi et moi avons terminé ensemble les dernières danses, et tu semblas l’apprécier. Ton baiser chaste lors de notre séparation et ta promesse de me revoir m’emplirent de joie pour toute la semaine.
Lorsque, au hasard d’une rencontre, Angèle m’apprit que tu me donnais rendez-vous chez elle le dimanche suivant, je fus submergé de bonheur. Je me souvenais de ton baiser si tendre, j’en espérais d’autres, c’était le début plein d’émotion d’une magnifique histoire d’amour. Fou de bonheur, j’arrivai un peu avant l’heure pour ne pas manquer ce premier rendez-vous avec toi. Angèle ouvrit la porte, vêtue d’un peignoir léger dont les pans s’écartaient en haut ou en bas au gré de ses mouvements. Par l’échancrure du col je voyais tantôt l’arrondi délicieux d’un sein ferme et bien plein, tantôt une aréole sombre surmontée en son centre par la pointe du sein. Dans le bas, ses jambes en mouvement dégageaient la plénitude adorable des cuisses fuselées. Je découvris même à plusieurs reprises la tache sombre de son pelage pubien. J’en eus le souffle court. Mais avec une parfaite désinvolture Angèle me déclara en me fixant dans les yeux pour y lire mon trouble ou pour m‘hypnotiser :
— Excuse-moi, je sors du bain, il faisait chaud, je transpirais et les odeurs de sueur m’incommodent. Viens t’asseoir au salon. Mes parents rendent visite à des amis. Ta chère Mireille m’a annoncé qu’elle aurait du retard. Maintenant je me sens mieux. Mets-toi aussi à l’aise, pends ta veste au porte-manteau ; tu peux enlever ta cravate cela ne m’offusquera pas. Aimes-tu mon parfum ? Prendras-tu un verre ? Hume.
Enfoncé dans un fauteuil confortable je reçus la caresse de sa chevelure soyeuse et dus respirer l’odeur enivrante de son cou avant de la complimenter pour la qualité de son parfum. Je la connaissais à peine, je la savais capable de me tenter, de me frôler adroitement pour éveiller mes sens, capable de s’amuser à provoquer une érection. Mais elle avait été l’ange annonciateur de la bonne nouvelle, par elle j’avais appris ton désir de me revoir. J’étais naïf, pas méfiant : J’étais décidé à passer sur son exubérance et sa trop grande familiarité parce qu’elle me permettait de te rencontrer dans des conditions idéales : dans sa maison, en tête à tête. Personne au salon, personne dans la maison, vous aviez bien choisi le lieu et le moment. Son parfum capiteux, la chaleur de son accueil, le spectacle de son jeune corps m’envoûtaient et je ne regrettais pas vraiment ton retard. Angèle me servit un double whisky pour me faire patienter. Tu ne tarderais pas. C’était mon jour de chance. Fort innocemment elle se pencha pour me remettre mon verre. Ses deux seins bronzés firent un bond hors du peignoir, sous mon nez. J’en fus ému jusqu’au plus profond de mon être. Devant mon visage congestionné, la somptueuse naïade juste sortie du bain éclata de rire :
— Mon Dieu, on dirait que tu n’as jamais vu une poitrine de fille ! Eh bien, regarde, profite du spectacle puisque le hasard et les lois de la pesanteur t’offrent cette vue.
Le hasard et la pesanteur ou la malice de l’effrontée ? Aujourd’hui je suis certain qu’il s’agissait d’un calcul de la belle. Elle tissait sa toile et ma naïveté lui donnait tous les atouts.
— Tu les trouves comment ?
Je bafouillais ; ému, surpris par tant d’aisance et de simplicité.
— Beaux, très beaux !
— Touche-les ! Ne sont-ils pas doux et de belle forme ?
Je n’avais rien d’un expert, je devins chèvre et balbutiai, une main tendue vers l’opulente poitrine, incapable de bâtir une dissertation sur le sujet.
— Oui, ils sont doux et de belle forme. Euh !
— Bien, tu apprécies, merci… Touche les pointes et vois. Qu’en dis-tu ?
Elle avait saisi ma main, placé son téton entre mon pouce et mon index. Je devais le faire rouler entre mes doigts. Je le sentis durcir et je le vis s’allonger. Elle me dévisageait, incrédule.
— Oh ! Le timide. Tu n’as donc pas de sœur ? Pauvre garçon. Je vais en faire office. L’autre… Oui, touche l’autre sein : ce n’est pas un péché. Un homme doit voir, toucher, émouvoir. C’est naturel.
Je m’enhardis et pris le second qui salua ma caresse en raidissant à son tour. Je les faisais rouler et m’amusais à les voir grandir à mon contact.
— Les filles adorent ces caresses. Tu devras faire la même chose avec Mireille, elle aimera, crois-moi.
Ce retour à Toi, chère Mireille, était une ruse habile. Elle me rappelait que je t’attendais, que je devais rester et lui permettait de lutter contre un éventuel désir de fuite inspiré par ma pudeur. Comment savait-elle que ce type de caresse te plairait ? Et j’eus honte d’avoir complètement oublié « Mimi ». Je lâchai prise et allais m’excuser.
— Ah ! Non ! Ne t’arrête pas en si bon chemin. Si tu délaisses ainsi ta petite amie, tu la décevras. Ton apprentissage est à faire de A à Z. Tu as de la veine de m’avoir rencontrée. Ecoute mes conseils : Tu dois déposer des baisers sur les seins. Allez, pose ta bouche ! Oui, un peu partout, c’est bon. N’aie pas peur… Et là, surtout sur l’aréole et le téton… Voilà, tu comprends vite, ouvre les lèvres et suce légèrement. Brrr, encore… plus fort… Hoooooooo, que c’est bon. Tu es doué… Et l’autre maintenant.
C’était un ordre plus qu’une prière. Je n’avais pas envie de me révolter, pensez donc, une occasion comme celle-là ne se présente pas chaque jour. J’obtempérais.
Mireille,Ah ! La merveilleuse soirée de bal : je t’ai rencontrée. Immédiatement nous avons vécu un coup de foudre réciproque. J’ai lu une promesse dans tes yeux. Angèle, ta meilleure copine, a remarqué notre rapprochement. Du coup elle t’a envoyé un autre cavalier pour nous éloigner, puis hardiment est venue m’inviter. Notre conduite avait été sage. Avec elle les choses prirent une autre tournure. Dès les premiers pas elle colla ses hanches et son ventre contre moi, à chaque occasion elle frotta sa poitrine de garce de 20 ans délurée, contre ma chemise pour m‘allumer. Ses tétons durs et pointus étaient une révélation excitante.
Elle me serrait de près, emprisonnait ma jambe entre ses cuisses, me chauffait des pieds à la tête et ses yeux provocants ne lâchaient pas les miens, me lançaient des éclairs et me défiaient. Mon sang malgré moi bouillonnait et mon érection subite l’amusa. Sans vergogne elle accentua la pression de son bassin sur le bas de mon abdomen en faisant basculer son dos en arrière pour mieux m‘observer et lire dans mes yeux le trouble où elle me plongeait. Je transpirais, cela lui permettait de me plaisanter sur la vivacité de mes sentiments et la qualité de mes réactions physiques.
- Hé, ben, dis donc, tu flambes au premier contact ! Tu démarres au quart de tour. Quel joli étalon. Tu es un amour de garçon, bienvenue dans notre troupe.
Quelle garce ! Elle poussa le culot jusqu’à me demander si je t’avais draguée en te serrant d’aussi près.
Par bonheur elle était entourée d’une cour nombreuse d’admirateurs, de soupirants impatients et devait entretenir leur flamme, attiser leurs désirs pour les conserver dans son sillage parfumé au « Suivez-moi, monsieur. » Sûre d’avoir su me faire entrer au rang de ceux qui souhaitaient lui faire l’amour, elle décida de me faire languir un peu. C’était une technique éprouvée. Elle croyait m’inspirer de la jalousie en me laissant tout excité et chaviré pour aller se jeter dans les bras d’un autre et lui procurer les mêmes sensations sous mes yeux. Je tremblais encore, bouleversé par son audace et effrayé par ma vulnérabilité, quand je te vis, assise, les yeux tournés vers moi. Douce, calme, chaste, plus décemment vêtue, sans exhibition, tu étais à l’opposé de cette copine turbulente, sûre de son charme, aguicheuse et si troublante.
Je retrouvai mon sang froid, nous échangeâmes un sourire, je pris le courage de t’inviter à danser. Ton corps gardait la distance, ta présence me calmait. J’étais bien avec toi, sans tourment de la chair, mais serein, heureux. Je sus précéder en t’invitant rapidement les tentatives de ta copine, qui aurait voulu exciter la jalousie d’autres prétendants en me conduisant sur la piste. Ce jeu m’aurait transformé en hochet, ou en cape rouge pour les taureaux qu’elle faisait baver de désir. Toi et moi avons terminé ensemble les dernières danses, et tu semblas l’apprécier. Ton baiser chaste lors de notre séparation et ta promesse de me revoir m’emplirent de joie pour toute la semaine.
Lorsque, au hasard d’une rencontre, Angèle m’apprit que tu me donnais rendez-vous chez elle le dimanche suivant, je fus submergé de bonheur. Je me souvenais de ton baiser si tendre, j’en espérais d’autres, c’était le début plein d’émotion d’une magnifique histoire d’amour. Fou de bonheur, j’arrivai un peu avant l’heure pour ne pas manquer ce premier rendez-vous avec toi. Angèle ouvrit la porte, vêtue d’un peignoir léger dont les pans s’écartaient en haut ou en bas au gré de ses mouvements. Par l’échancrure du col je voyais tantôt l’arrondi délicieux d’un sein ferme et bien plein, tantôt une aréole sombre surmontée en son centre par la pointe du sein. Dans le bas, ses jambes en mouvement dégageaient la plénitude adorable des cuisses fuselées. Je découvris même à plusieurs reprises la tache sombre de son pelage pubien. J’en eus le souffle court. Mais avec une parfaite désinvolture Angèle me déclara en me fixant dans les yeux pour y lire mon trouble ou pour m‘hypnotiser :
— Excuse-moi, je sors du bain, il faisait chaud, je transpirais et les odeurs de sueur m’incommodent. Viens t’asseoir au salon. Mes parents rendent visite à des amis. Ta chère Mireille m’a annoncé qu’elle aurait du retard. Maintenant je me sens mieux. Mets-toi aussi à l’aise, pends ta veste au porte-manteau ; tu peux enlever ta cravate cela ne m’offusquera pas. Aimes-tu mon parfum ? Prendras-tu un verre ? Hume.
Enfoncé dans un fauteuil confortable je reçus la caresse de sa chevelure soyeuse et dus respirer l’odeur enivrante de son cou avant de la complimenter pour la qualité de son parfum. Je la connaissais à peine, je la savais capable de me tenter, de me frôler adroitement pour éveiller mes sens, capable de s’amuser à provoquer une érection. Mais elle avait été l’ange annonciateur de la bonne nouvelle, par elle j’avais appris ton désir de me revoir. J’étais naïf, pas méfiant : J’étais décidé à passer sur son exubérance et sa trop grande familiarité parce qu’elle me permettait de te rencontrer dans des conditions idéales : dans sa maison, en tête à tête. Personne au salon, personne dans la maison, vous aviez bien choisi le lieu et le moment. Son parfum capiteux, la chaleur de son accueil, le spectacle de son jeune corps m’envoûtaient et je ne regrettais pas vraiment ton retard. Angèle me servit un double whisky pour me faire patienter. Tu ne tarderais pas. C’était mon jour de chance. Fort innocemment elle se pencha pour me remettre mon verre. Ses deux seins bronzés firent un bond hors du peignoir, sous mon nez. J’en fus ému jusqu’au plus profond de mon être. Devant mon visage congestionné, la somptueuse naïade juste sortie du bain éclata de rire :
— Mon Dieu, on dirait que tu n’as jamais vu une poitrine de fille ! Eh bien, regarde, profite du spectacle puisque le hasard et les lois de la pesanteur t’offrent cette vue.
Le hasard et la pesanteur ou la malice de l’effrontée ? Aujourd’hui je suis certain qu’il s’agissait d’un calcul de la belle. Elle tissait sa toile et ma naïveté lui donnait tous les atouts.
— Tu les trouves comment ?
Je bafouillais ; ému, surpris par tant d’aisance et de simplicité.
— Beaux, très beaux !
— Touche-les ! Ne sont-ils pas doux et de belle forme ?
Je n’avais rien d’un expert, je devins chèvre et balbutiai, une main tendue vers l’opulente poitrine, incapable de bâtir une dissertation sur le sujet.
— Oui, ils sont doux et de belle forme. Euh !
— Bien, tu apprécies, merci… Touche les pointes et vois. Qu’en dis-tu ?
Elle avait saisi ma main, placé son téton entre mon pouce et mon index. Je devais le faire rouler entre mes doigts. Je le sentis durcir et je le vis s’allonger. Elle me dévisageait, incrédule.
— Oh ! Le timide. Tu n’as donc pas de sœur ? Pauvre garçon. Je vais en faire office. L’autre… Oui, touche l’autre sein : ce n’est pas un péché. Un homme doit voir, toucher, émouvoir. C’est naturel.
Je m’enhardis et pris le second qui salua ma caresse en raidissant à son tour. Je les faisais rouler et m’amusais à les voir grandir à mon contact.
— Les filles adorent ces caresses. Tu devras faire la même chose avec Mireille, elle aimera, crois-moi.
Ce retour à Toi, chère Mireille, était une ruse habile. Elle me rappelait que je t’attendais, que je devais rester et lui permettait de lutter contre un éventuel désir de fuite inspiré par ma pudeur. Comment savait-elle que ce type de caresse te plairait ? Et j’eus honte d’avoir complètement oublié « Mimi ». Je lâchai prise et allais m’excuser.
— Ah ! Non ! Ne t’arrête pas en si bon chemin. Si tu délaisses ainsi ta petite amie, tu la décevras. Ton apprentissage est à faire de A à Z. Tu as de la veine de m’avoir rencontrée. Ecoute mes conseils : Tu dois déposer des baisers sur les seins. Allez, pose ta bouche ! Oui, un peu partout, c’est bon. N’aie pas peur… Et là, surtout sur l’aréole et le téton… Voilà, tu comprends vite, ouvre les lèvres et suce légèrement. Brrr, encore… plus fort… Hoooooooo, que c’est bon. Tu es doué… Et l’autre maintenant.
C’était un ordre plus qu’une prière. Je n’avais pas envie de me révolter, pensez donc, une occasion comme celle-là ne se présente pas chaque jour. J’obtempérais.
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