TABLE DE SAPIN (19)
Récit érotique écrit par Alainylon [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-02-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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TABLE DE SAPIN (19)
J’étais en train de marteler la chatte de ma belle-mère avec ma pine, tout en lui suçant l’orteil de son pied droit, alors qu’elle était allongée sur la table de sapin, et moi entre ses cuisses, quand on entendit un coup de klaxon.
-Merde la factrice ! Fit ma belle-mère.
-Ce n’est pas grave, il y a la boîte à lettres ! Répondis-je, incapable de m’arrêter en si bon chemin, sur une voie qui allait me mener jusqu’à la jouissance.
-Il ne faut pas y penser, ton beau-père m’avait avertie ce matin comme quoi il devait recevoir un gros colis, et qu’il ne rentrerait pas dans la boite.
-Bon, je me propose d’y aller.
-Tu en es sûr ?
-Toi tu ne bouges pas, je te finis dès mon retour, et dans ton cul. Fis-je après un dernier coup de reins.
Je plaçais ma queue luisante de mouille dans mon slip et remontais mon pantalon.
- À tout de suite, fis-je en franchissant la porte.
La factrice que je reconnu étant celle qui faisait notre tournée autrefois, me reçut avec un sourire.
- Mais vous avez déménagé ? Me fit-elle.
- Non, c’est la maison de mes beaux-parents. Je ne savais pas que vous étiez ici à présent.
- J’en avais un peu marre de l’autre tournée et comme celle-là était libre, le facteur partit en retraite, je me suis proposée, et quelques semaines plus tard je fus attitré sur la tournée.
- Mes compliments, alors !
- Merci ! Mais sachez tout de même que vos blagues me manquent. Répondit-elle en ouvrant la porte coulissante latérale du véhicule jaune.
Elle se saisit de deux cartons d’assez bonne taille, et du courrier.
- Dîtes-moi, me demanda-t-elle, en me tendant les paquets, cela vous ferez plaisir des Pins ?
- Pas du tout ! Répondais-je.
- Vous ne les collectionnez pas ? Pourtant c’est à la mode.
- Ce n’est pas une chose que je collectionnerais.
- Et je peux savoir ce que vous collectionnez, vous ? D’un air moqueur. On ne c’est jamais, je pourrais peut-être enrichir votre collection.
- Je ne sais pas si je dois. Répliquais-je, un peu gêné de ce que je m‘apprêtais à lui dévoiler.
- Pourquoi ! Vous en avais honte ?
- Pas du tout, c’est que c’est un peu spécial.
- Vous savez, je n’en ai pas l’air comme ça mais je suis ouverte à tout !
- Allons bon ! Vous l’aurez voulu. Voilà, je collectionne les petites culottes portées. Vous savez tout à présent. Répondis-je, pas moins excité de ce que je venais de lui lâcher.
- Les goûts sont dans la nature. Répliquait-elle d’un air taquin.
- Vous voyez comme quoi … -Aller savoir, me coupa-t-elle.
- Ah oui ! Vous serez alors d’accord pour compléter ma collection ! Rétorquais-je heureux de la situation.
- Je ne dis pas non. Enfin si cela pourrait enrichir votre collecte.
- J’en saurai ravie.
- C’est vrai ? Répondait-elle, les yeux brillants.
- Si je vous le dis.
- Bien ! Alors je vous en promet une. Fit-elle en ouvrant la portière.
- Mais c’est que j’espérais, enfin de l’avoir tout de suite.
- Oh, mais l’inconvénient c’est que je vais resté sans culotte pour le restant de la tournée. Et ça voyez-vous je ne le veux pas. Mais je me promet de vous l’apportez jusqu’à chez vous, et pourquoi pas demain ?
- Mais alors dans ses conditions ça ne marche pas.
- Comment ça ?
- Je m’explique ! Je veux que la femme me la donne sur le champ. Pour être bien sûr que c’est la sienne, pardi !
- Mais je vous promet que se sera la mienne. D’ailleurs quel serait le but de vous en donner une autre.
- Il ne faut pas le prendre mal, il n’y a pas mort d’homme. Votre culotte ne fera pas malheureusement partie de ma collection.
-bon ! Fit-elle après réflexion, vous avez gagné, je vous demande alors de patienter quelques instants, le temps que je m‘en sépare.
Elle alla alors s’installer derrière le volant et ferma la portière. Mais grâce au reflet du rétro, je la vis se pencher, sans doute pour retirer ses chaussures. Puis elle déboutonna son pantalon bleu réglementaire. Après cela elle gesticula sur son siège pour le faire glisser à ses pieds. Puis elle se pencha à nouveau en avant, pour revenir quelques secondes plus tard avec en main son pantalon qu’elle posa soigneusement sur le siège passager. Vint alors le tour de sa lingerie, qu’elle fit suivre le même chemin que son froc. Poussée par la curiosité, je pris l’initiative de m’approcher au plus près de la portière, et par la même occasion l‘ouvrir, alors qu‘elle était en train de faire passer la culotte à ses pieds.
Surprise par mon audace, elle se redressa d’un bloc, croisant mon regard avant de laisser tomber.
- Il ne faut surtout pas vous gênez. Laissa-t-elle tomber.
- C’est bien ce que je fais. Lui répondant au tac au tac.
- Je vois ça, petit cochon que vous êtes. Lâchait-elle.
Je profitais de l’instant pour porter mon regard à la fourche de ses cuisses. Pour m’apercevoir qu’elle avait le sexe épilé. Comme celui d’une petite fille.
- Ça vous plaît au moins ? Laissa-t-elle tomber, en écartant davantage ses cuisses, pour m‘exposer son intimité.
- C’est agréable à regarder. Répondis-je en me saisissant de la culotte chaude et humide qu’elle tenait du bouts des doigts.
- On pourrait peut-être ce revoir ? Me fit-elle, un sourire salace aux lèvres.
- C’est à réfléchir, oui… pourquoi pas. Je sais maintenant comment vous contactez.
- Je pourrais en dire de même.
- Bon, rhabillez-vous vite, on pourrait nous surprendre.
- Et cela ferait désordre, vous ne croyez pas ? Plaisantait-elle.
- À n’en pas douter. Fis-je en m’éloignant.
- Tu en as mis du temps, s’exclama ma belle mère toujours allongée sur la table, les jambes écartées, alors que je passais la porte d’entrée.
- Je faisais la discussion avec la factrice, répondis-je en posant les colis avec le courrier sur une chaise. Et là je lui exhiba ce que je tenais en main.
- Mais c’est une culotte ? S’étonna-t-elle.
- Oui tu es très perspicace à ce que je vois ! Et chaleureusement donné par la factrice ! Ripostais-je, en scrutant l’entrejambe, et d’ajoutais : la salope mouillait bien ! Ajoutais-je, qu’alors que venait de dehors, un bruit de moteur s’éloignant.
- Tu ne vas pas me dire qu’elle la portée.
- Oui, bien sûr.
- Et elle te la donnait ? S’exclama-t-elle.
- Tu sais bien qu’on ne me refuse rien, à moi.
- Je vois ça, laissa-t-elle tomber alors que je portais l’entrejambe jusqu’à mes narines.
- Mais tu n’y compte pas ? S’emporta-t-elle.
- Putain qu’elle sent bon de la foufoune, la salope.
- Cochon !
- C’est bien pour ça que tu m’aimes, non ? Cela te dirait de la sentir ? Lui fis-je après avoir éloigner le nylon de mes narines.
- Non merci ! Pas pour moi.
- Mais si, belle maman, si tu veux que je te donne du bon temps !
- Mais dis-moi mon gendre, c’est un dégueulasse chantage.
- Tu t’y feras, cautionnais-je, en lui approchant le textile à hauteur de son nez.
Elle ne fit même pas un geste de recul, se laissant entraîner dans le toboggan de ma perversité. Elle grimaça, en humant la petite lingerie, laissant échapper comme un petit gémissement. Je me mis à palper la vulve, à caresser la motte, mais aussi à cajoler les grandes lèvres. D’un coup, parce que j’en avais une énorme envie, je fis disparaître le bout de mon majeur dans le fente qui béait. Puis les nymphes aspirèrent phalange après phalange le doigt. Je sentis les parois vaginales se contractaient autour de mon majeur.
Comme je l’avais fait déjà mainte fois avec elle, je me mis à la travailler, d’un lent va-et-vient du doigt dans son intimité, et quand je la jugeais échauffée à point, je retirais lentement le doigt graissé de mouille, pour le faire glisser le long du sillon des petites lèvres, jusqu’à aller pincer le clitoris. Elle eut un râle, alors qu’elle m’offrait son intimité à tout mes caprices étonnamment impudiques.
Je la conduis ainsi, jusqu’à l’orgasme. Je profitais qu’elle soit chaude comme la braise pour m’occuper de son cul. D’écarter pour cela le bombé des fesses à l‘aide de mes mains, faisant apparaître la pastille de l'anus d’un brun foncé.
J’étais dans mon élément là. Je commençais par explorer l'orifice que je connaissais parfaitement, pour l‘avoir à plusieurs visité. Mais pour l’instant c’était tendu, replié. J’essayais tout de même de forcer l'ouverture. Comme la porte restait clos, je plongeais l'index dans la chatte, et l’enduit de mouille. Puis je le plaçais sur l'orifice culier et forçais jusqu’à ce que les parois de l'anus cédèrent. Et après plusieurs palpations, la chair se fit plus élastique, assez pour que je puisse rentrer mon doigt dans son entier.
Yeux clos, belle-maman roucoulait avec sur ses lèvres un sourire que je qualifierais d’heureux. Jugeant que son anus était assez élastique pour me recevoir, je remplaçais mon doigt par ma queue. Qui une fois installer au fond de son cul, ce mit à aller et venir dans ses entrailles, et cela jusqu’à l’orgasme.
Après m’être bien soulagé, je lui demandais l’autorisation de me servir un café. Mais alors que je le dégustais assis, elle me fit savoir qu’elle avait l’intention d’organiser sa pendaison de crémaillère et pas plus tard que le week-end suivant, et qu’après, en compagnie de son mari, tous deux partiront pour une quinzaine de jour en vacances dans le sud de la France.
- Ta fille est au courant ? Lui envoyais-je.
- Non ! Même pas que j‘ai l‘intention de vous inviter.
- Un barbecue, au moins ?
- Ça peut se faire, oui pourquoi pas ! J’ai prévus d’inviter pas mal de monde, tu sais !
- Ah oui ! Et je peux savoir combien nous serions ?
- Vous, bien sûr, le fiston avec sa famille. Tout de suite, par pur réflexe le visage de ma cochonne de belle-sœur Maryline m‘apparut. Isabelle, poursuivit-elle, tu sais la collègue qui travaille dans le service de ton beau-père.
- Mais elle n’est pas en congé de maternité ? La coupais-je, après avoir chasser de ma mémoire le visage de la coquine Maryline..
- Oui, mais l’accouchement est prévue pour seulement la fin du mois, comme celui de la chère Maryline. Tient encore elle ? Pensais-je. Donc, ajouta-t- elle, avec son mari bien sûr, ainsi que les couples, Fred et Sylvie, et Charlie avec sa copine, et pour finir Véronique.
- Seule ?
- Non, avec son nouveau mec.
- Toujours aussi porter sur le cul.
- Il n’y a pas de mal à se faire du bien ! D’ailleurs si cela peut t’intéresser, elle n’arrête pas à chaque occasion de parler de toi. Comme quoi elle ne serait pas contre un petit extra avec toi, enfin ! Mais ça tu le sais déjà.
- Tu vois là, je suis très étonné que tu m‘en parles.
- Comme si tu ne le savais pas.
Dominique pour vous la décrire, était légèrement demeurée, et même pas belle. Mais il dégageait de chez elle, une profonde sensualité. De taille moyenne, elle était bien ronde, et ses vêtements, quels qui soient, mettaient en valeur ses formes plus qu’appétissantes. À la chevelure brune, libre sur ses épaules, avec un sourire ravissant. Toujours en débardeur, laissant ainsi ses aisselles à la vue de qui voulait les voir. Bien sûr mal rasées, qui donnaient l’impression d’une femme de ferme peu soignée.
En ce jour de crémaillère, après l’apéro prit dans la salon, parce que dehors malheureusement il pleuvait, les convives fut invité de s’installer autour de la fameuse tables de sapin dissimulé sous une belle nappe blanche. La belle-doche avait pour la circonstance sorti son plus beau service. Comme à son habitude, elle me fit m’installer à sa droite, dès fois que l‘envie de la toucher me venait.
Isabelle, que sa robe dévoiler toutes les formes majestueuses de la grossesse accompagner de son mari prirent place face à moi. Et à la suite les deux autres couples, puis le troisième composé de Dominique et son mec du moment au nom de Hervé. Mon beau frère et sa femme enceinte à ma gauche, le beau-père et ma femme s’installant eux à chaque bout de table.
Tous le long du repas, mon regard croisa celui de Dominique. Une impression indéfinissable qui eut pour effet de me tarauder l‘esprit. Et tout cela alors que son partenaire s’exhibait en milles pitreries douteuses, se trémoussant même parfois de façon ridicule.
Le dîner était comme toujours des plus appétissant. Et cela alors que nos échanges de regards avec Dominique ne cessaient pas. À n’en savoir que penser. Était-ce de l’attirance, ou une drague visuelle ?
La soirée s’étirait langoureusement. J’étais des plus calme sur ma chaise, écoutant les blagues des uns, les confessions des autres, sous les regards toujours aussi provocatrice de Dominique. Puis la belle-mère eut l’excellente idée de mettre un CD de la compagnie créole. Qui eut pour effet d’envoyer tout ce beau petit monde jusqu’à la piste de danse improvisé. N’étant pas né avec le rythme dans la peau, je donnais un coup de main à la mère de ma femme à débarrasser la table. Elle profita de ce moment pour me confier son besoin de nous voir de nouveau et cela avant qu‘elle parte en vacances. J’essayais bien de la réconforter, sans lui promettre ce que je ne serais pas capable de tenir.
Et alors que j’essuyais la vaisselle, la fameuse Dominique se laissa tomber sur un des fauteuils, qu’elle avait soigneusement placé en face de moi. Après s’être bien assurer que je la regardais, elle croisa les jambes si haut que j’aperçu le triangle de soie de couleur rose. Et tout ça en me projetant des regards plein de désir, de perversion, que mes yeux ne pouvaient plus en recevoir. Cette femme était l’amour !
À un tel point que je fus très vite submergé par une envie perverse. Je profitais de ma proximité avec ma belle-mère pour lui en faire part. Je ne vous cache pas qu’elle était des plus heureuse des femmes par ma confession. Nous profitions que la musique couvre nos paroles pour lui étaler mon plan. Tout de suite elle me provoqua avec un art consommé avec de petits gestes discrets mais divinement sensuels.
Mais alors que je m’apprêtais à l’inviter à passer dans un endroit que je dirais plus discret, pour assouvir ma soif sexuelle, des cris se firent entendre dans la salle. Isabelle la fameuse future maman venait de s’écrouler sur le fauteuil libre, l’autre étant toujours occupé par la coquine Dominique, dont le malaise d’Isabelle était bien loin de ses tracas sur l‘instant.
Panique générale autour de la pauvre malheureuse. Heureusement pour elle, ma femme était infirmière. Et après quelques instants entre ses mains la future maman revenait parmi nous.
Elle nous expliqua qu’alors qu’elle dansait elle fut prise de bouffées de chaleur, d’une vision trouble, puis d’un vertige, et après plus rien. Le mari proposa alors de rentrer chez eux, ce qu’elle refusa catégoriquement, préférant mieux se reposer. Se refusant de gâcher la soirée de son mari à cause d‘elle. Alors ma belle-mère bonne comme le bon pain lui proposait d’aller s’allonger sur son lit. Ce que Isabelle accepta. Et ce fut soutenu par mes soins et à un degré moindre de celle de son époux, dont l’alcool le rendait plus vulnérable que nous prenions le chemin de la chambre.
Mais très vite, je pris l’initiative de le dissuadé d’arrêter de m’aider, lui signifiant que je pourrais l’exécuter tout seul. D’ailleurs il ne se fit pas prier pour me la céder, faisant lui chemin arrière. Heureux de pouvoir retourner s’amuser, mais surtout d‘aller prendre un verre.
Une fois allonger sur le lit, alors que ma belle-mère la déchausser, je demandais à Isabelle si elle désirait quelque chose.
- Je veux bien un verre d’eau s‘il te plaît, j’ai la gorge sèche.
- Je te ramène cela au plus vite.
À mon retour, Isabelle se trouvait seule dans la pièce, mais assoupie puisqu’elle ne répondit pas à mon appel. Je posais le verre sur la table de nuit, et alors que je m’apprêtais à quitter la chambre, mon regard se portait sur ses pieds gainées de nylon blanc. Un faible chez moi. À ne pas pouvoir me contenir de les humer.
Après avoir tendu l’oreille pour m’assurer que personne venait, je me penchais aux dessus des orteils. Que je me mis à lécher, sucer, embrasser, le talon, la plate de ses deux petons odorants. Je passais et repassais ma langue sur ses orteils gainés de nylon tantôt avec douceur ou avec plus de vigueur. Je n’imaginais pas une tel importuner. Mon sexe me faisait mal au fond de mon slip. Ils avaient une délicieuse odeur de cuir de sueur mêlée.
C’était à regret que je quittais la pièce non pas sans lui avoir baisser de nouveau les pieds, et mis quelques coups de langue en plus. Pourquoi avoir fait cela ? Je ne sais me l’expliquer.
Par la suite, je coupais la lumière et fermer la porte de la chambre derrière moi, allons rejoindre la fête, la bouche emplie du goût des pieds d’Isabelle, mais aussi, et plus que jamais, une envie supplémentaire de foutre.
-Merde la factrice ! Fit ma belle-mère.
-Ce n’est pas grave, il y a la boîte à lettres ! Répondis-je, incapable de m’arrêter en si bon chemin, sur une voie qui allait me mener jusqu’à la jouissance.
-Il ne faut pas y penser, ton beau-père m’avait avertie ce matin comme quoi il devait recevoir un gros colis, et qu’il ne rentrerait pas dans la boite.
-Bon, je me propose d’y aller.
-Tu en es sûr ?
-Toi tu ne bouges pas, je te finis dès mon retour, et dans ton cul. Fis-je après un dernier coup de reins.
Je plaçais ma queue luisante de mouille dans mon slip et remontais mon pantalon.
- À tout de suite, fis-je en franchissant la porte.
La factrice que je reconnu étant celle qui faisait notre tournée autrefois, me reçut avec un sourire.
- Mais vous avez déménagé ? Me fit-elle.
- Non, c’est la maison de mes beaux-parents. Je ne savais pas que vous étiez ici à présent.
- J’en avais un peu marre de l’autre tournée et comme celle-là était libre, le facteur partit en retraite, je me suis proposée, et quelques semaines plus tard je fus attitré sur la tournée.
- Mes compliments, alors !
- Merci ! Mais sachez tout de même que vos blagues me manquent. Répondit-elle en ouvrant la porte coulissante latérale du véhicule jaune.
Elle se saisit de deux cartons d’assez bonne taille, et du courrier.
- Dîtes-moi, me demanda-t-elle, en me tendant les paquets, cela vous ferez plaisir des Pins ?
- Pas du tout ! Répondais-je.
- Vous ne les collectionnez pas ? Pourtant c’est à la mode.
- Ce n’est pas une chose que je collectionnerais.
- Et je peux savoir ce que vous collectionnez, vous ? D’un air moqueur. On ne c’est jamais, je pourrais peut-être enrichir votre collection.
- Je ne sais pas si je dois. Répliquais-je, un peu gêné de ce que je m‘apprêtais à lui dévoiler.
- Pourquoi ! Vous en avais honte ?
- Pas du tout, c’est que c’est un peu spécial.
- Vous savez, je n’en ai pas l’air comme ça mais je suis ouverte à tout !
- Allons bon ! Vous l’aurez voulu. Voilà, je collectionne les petites culottes portées. Vous savez tout à présent. Répondis-je, pas moins excité de ce que je venais de lui lâcher.
- Les goûts sont dans la nature. Répliquait-elle d’un air taquin.
- Vous voyez comme quoi … -Aller savoir, me coupa-t-elle.
- Ah oui ! Vous serez alors d’accord pour compléter ma collection ! Rétorquais-je heureux de la situation.
- Je ne dis pas non. Enfin si cela pourrait enrichir votre collecte.
- J’en saurai ravie.
- C’est vrai ? Répondait-elle, les yeux brillants.
- Si je vous le dis.
- Bien ! Alors je vous en promet une. Fit-elle en ouvrant la portière.
- Mais c’est que j’espérais, enfin de l’avoir tout de suite.
- Oh, mais l’inconvénient c’est que je vais resté sans culotte pour le restant de la tournée. Et ça voyez-vous je ne le veux pas. Mais je me promet de vous l’apportez jusqu’à chez vous, et pourquoi pas demain ?
- Mais alors dans ses conditions ça ne marche pas.
- Comment ça ?
- Je m’explique ! Je veux que la femme me la donne sur le champ. Pour être bien sûr que c’est la sienne, pardi !
- Mais je vous promet que se sera la mienne. D’ailleurs quel serait le but de vous en donner une autre.
- Il ne faut pas le prendre mal, il n’y a pas mort d’homme. Votre culotte ne fera pas malheureusement partie de ma collection.
-bon ! Fit-elle après réflexion, vous avez gagné, je vous demande alors de patienter quelques instants, le temps que je m‘en sépare.
Elle alla alors s’installer derrière le volant et ferma la portière. Mais grâce au reflet du rétro, je la vis se pencher, sans doute pour retirer ses chaussures. Puis elle déboutonna son pantalon bleu réglementaire. Après cela elle gesticula sur son siège pour le faire glisser à ses pieds. Puis elle se pencha à nouveau en avant, pour revenir quelques secondes plus tard avec en main son pantalon qu’elle posa soigneusement sur le siège passager. Vint alors le tour de sa lingerie, qu’elle fit suivre le même chemin que son froc. Poussée par la curiosité, je pris l’initiative de m’approcher au plus près de la portière, et par la même occasion l‘ouvrir, alors qu‘elle était en train de faire passer la culotte à ses pieds.
Surprise par mon audace, elle se redressa d’un bloc, croisant mon regard avant de laisser tomber.
- Il ne faut surtout pas vous gênez. Laissa-t-elle tomber.
- C’est bien ce que je fais. Lui répondant au tac au tac.
- Je vois ça, petit cochon que vous êtes. Lâchait-elle.
Je profitais de l’instant pour porter mon regard à la fourche de ses cuisses. Pour m’apercevoir qu’elle avait le sexe épilé. Comme celui d’une petite fille.
- Ça vous plaît au moins ? Laissa-t-elle tomber, en écartant davantage ses cuisses, pour m‘exposer son intimité.
- C’est agréable à regarder. Répondis-je en me saisissant de la culotte chaude et humide qu’elle tenait du bouts des doigts.
- On pourrait peut-être ce revoir ? Me fit-elle, un sourire salace aux lèvres.
- C’est à réfléchir, oui… pourquoi pas. Je sais maintenant comment vous contactez.
- Je pourrais en dire de même.
- Bon, rhabillez-vous vite, on pourrait nous surprendre.
- Et cela ferait désordre, vous ne croyez pas ? Plaisantait-elle.
- À n’en pas douter. Fis-je en m’éloignant.
- Tu en as mis du temps, s’exclama ma belle mère toujours allongée sur la table, les jambes écartées, alors que je passais la porte d’entrée.
- Je faisais la discussion avec la factrice, répondis-je en posant les colis avec le courrier sur une chaise. Et là je lui exhiba ce que je tenais en main.
- Mais c’est une culotte ? S’étonna-t-elle.
- Oui tu es très perspicace à ce que je vois ! Et chaleureusement donné par la factrice ! Ripostais-je, en scrutant l’entrejambe, et d’ajoutais : la salope mouillait bien ! Ajoutais-je, qu’alors que venait de dehors, un bruit de moteur s’éloignant.
- Tu ne vas pas me dire qu’elle la portée.
- Oui, bien sûr.
- Et elle te la donnait ? S’exclama-t-elle.
- Tu sais bien qu’on ne me refuse rien, à moi.
- Je vois ça, laissa-t-elle tomber alors que je portais l’entrejambe jusqu’à mes narines.
- Mais tu n’y compte pas ? S’emporta-t-elle.
- Putain qu’elle sent bon de la foufoune, la salope.
- Cochon !
- C’est bien pour ça que tu m’aimes, non ? Cela te dirait de la sentir ? Lui fis-je après avoir éloigner le nylon de mes narines.
- Non merci ! Pas pour moi.
- Mais si, belle maman, si tu veux que je te donne du bon temps !
- Mais dis-moi mon gendre, c’est un dégueulasse chantage.
- Tu t’y feras, cautionnais-je, en lui approchant le textile à hauteur de son nez.
Elle ne fit même pas un geste de recul, se laissant entraîner dans le toboggan de ma perversité. Elle grimaça, en humant la petite lingerie, laissant échapper comme un petit gémissement. Je me mis à palper la vulve, à caresser la motte, mais aussi à cajoler les grandes lèvres. D’un coup, parce que j’en avais une énorme envie, je fis disparaître le bout de mon majeur dans le fente qui béait. Puis les nymphes aspirèrent phalange après phalange le doigt. Je sentis les parois vaginales se contractaient autour de mon majeur.
Comme je l’avais fait déjà mainte fois avec elle, je me mis à la travailler, d’un lent va-et-vient du doigt dans son intimité, et quand je la jugeais échauffée à point, je retirais lentement le doigt graissé de mouille, pour le faire glisser le long du sillon des petites lèvres, jusqu’à aller pincer le clitoris. Elle eut un râle, alors qu’elle m’offrait son intimité à tout mes caprices étonnamment impudiques.
Je la conduis ainsi, jusqu’à l’orgasme. Je profitais qu’elle soit chaude comme la braise pour m’occuper de son cul. D’écarter pour cela le bombé des fesses à l‘aide de mes mains, faisant apparaître la pastille de l'anus d’un brun foncé.
J’étais dans mon élément là. Je commençais par explorer l'orifice que je connaissais parfaitement, pour l‘avoir à plusieurs visité. Mais pour l’instant c’était tendu, replié. J’essayais tout de même de forcer l'ouverture. Comme la porte restait clos, je plongeais l'index dans la chatte, et l’enduit de mouille. Puis je le plaçais sur l'orifice culier et forçais jusqu’à ce que les parois de l'anus cédèrent. Et après plusieurs palpations, la chair se fit plus élastique, assez pour que je puisse rentrer mon doigt dans son entier.
Yeux clos, belle-maman roucoulait avec sur ses lèvres un sourire que je qualifierais d’heureux. Jugeant que son anus était assez élastique pour me recevoir, je remplaçais mon doigt par ma queue. Qui une fois installer au fond de son cul, ce mit à aller et venir dans ses entrailles, et cela jusqu’à l’orgasme.
Après m’être bien soulagé, je lui demandais l’autorisation de me servir un café. Mais alors que je le dégustais assis, elle me fit savoir qu’elle avait l’intention d’organiser sa pendaison de crémaillère et pas plus tard que le week-end suivant, et qu’après, en compagnie de son mari, tous deux partiront pour une quinzaine de jour en vacances dans le sud de la France.
- Ta fille est au courant ? Lui envoyais-je.
- Non ! Même pas que j‘ai l‘intention de vous inviter.
- Un barbecue, au moins ?
- Ça peut se faire, oui pourquoi pas ! J’ai prévus d’inviter pas mal de monde, tu sais !
- Ah oui ! Et je peux savoir combien nous serions ?
- Vous, bien sûr, le fiston avec sa famille. Tout de suite, par pur réflexe le visage de ma cochonne de belle-sœur Maryline m‘apparut. Isabelle, poursuivit-elle, tu sais la collègue qui travaille dans le service de ton beau-père.
- Mais elle n’est pas en congé de maternité ? La coupais-je, après avoir chasser de ma mémoire le visage de la coquine Maryline..
- Oui, mais l’accouchement est prévue pour seulement la fin du mois, comme celui de la chère Maryline. Tient encore elle ? Pensais-je. Donc, ajouta-t- elle, avec son mari bien sûr, ainsi que les couples, Fred et Sylvie, et Charlie avec sa copine, et pour finir Véronique.
- Seule ?
- Non, avec son nouveau mec.
- Toujours aussi porter sur le cul.
- Il n’y a pas de mal à se faire du bien ! D’ailleurs si cela peut t’intéresser, elle n’arrête pas à chaque occasion de parler de toi. Comme quoi elle ne serait pas contre un petit extra avec toi, enfin ! Mais ça tu le sais déjà.
- Tu vois là, je suis très étonné que tu m‘en parles.
- Comme si tu ne le savais pas.
Dominique pour vous la décrire, était légèrement demeurée, et même pas belle. Mais il dégageait de chez elle, une profonde sensualité. De taille moyenne, elle était bien ronde, et ses vêtements, quels qui soient, mettaient en valeur ses formes plus qu’appétissantes. À la chevelure brune, libre sur ses épaules, avec un sourire ravissant. Toujours en débardeur, laissant ainsi ses aisselles à la vue de qui voulait les voir. Bien sûr mal rasées, qui donnaient l’impression d’une femme de ferme peu soignée.
En ce jour de crémaillère, après l’apéro prit dans la salon, parce que dehors malheureusement il pleuvait, les convives fut invité de s’installer autour de la fameuse tables de sapin dissimulé sous une belle nappe blanche. La belle-doche avait pour la circonstance sorti son plus beau service. Comme à son habitude, elle me fit m’installer à sa droite, dès fois que l‘envie de la toucher me venait.
Isabelle, que sa robe dévoiler toutes les formes majestueuses de la grossesse accompagner de son mari prirent place face à moi. Et à la suite les deux autres couples, puis le troisième composé de Dominique et son mec du moment au nom de Hervé. Mon beau frère et sa femme enceinte à ma gauche, le beau-père et ma femme s’installant eux à chaque bout de table.
Tous le long du repas, mon regard croisa celui de Dominique. Une impression indéfinissable qui eut pour effet de me tarauder l‘esprit. Et tout cela alors que son partenaire s’exhibait en milles pitreries douteuses, se trémoussant même parfois de façon ridicule.
Le dîner était comme toujours des plus appétissant. Et cela alors que nos échanges de regards avec Dominique ne cessaient pas. À n’en savoir que penser. Était-ce de l’attirance, ou une drague visuelle ?
La soirée s’étirait langoureusement. J’étais des plus calme sur ma chaise, écoutant les blagues des uns, les confessions des autres, sous les regards toujours aussi provocatrice de Dominique. Puis la belle-mère eut l’excellente idée de mettre un CD de la compagnie créole. Qui eut pour effet d’envoyer tout ce beau petit monde jusqu’à la piste de danse improvisé. N’étant pas né avec le rythme dans la peau, je donnais un coup de main à la mère de ma femme à débarrasser la table. Elle profita de ce moment pour me confier son besoin de nous voir de nouveau et cela avant qu‘elle parte en vacances. J’essayais bien de la réconforter, sans lui promettre ce que je ne serais pas capable de tenir.
Et alors que j’essuyais la vaisselle, la fameuse Dominique se laissa tomber sur un des fauteuils, qu’elle avait soigneusement placé en face de moi. Après s’être bien assurer que je la regardais, elle croisa les jambes si haut que j’aperçu le triangle de soie de couleur rose. Et tout ça en me projetant des regards plein de désir, de perversion, que mes yeux ne pouvaient plus en recevoir. Cette femme était l’amour !
À un tel point que je fus très vite submergé par une envie perverse. Je profitais de ma proximité avec ma belle-mère pour lui en faire part. Je ne vous cache pas qu’elle était des plus heureuse des femmes par ma confession. Nous profitions que la musique couvre nos paroles pour lui étaler mon plan. Tout de suite elle me provoqua avec un art consommé avec de petits gestes discrets mais divinement sensuels.
Mais alors que je m’apprêtais à l’inviter à passer dans un endroit que je dirais plus discret, pour assouvir ma soif sexuelle, des cris se firent entendre dans la salle. Isabelle la fameuse future maman venait de s’écrouler sur le fauteuil libre, l’autre étant toujours occupé par la coquine Dominique, dont le malaise d’Isabelle était bien loin de ses tracas sur l‘instant.
Panique générale autour de la pauvre malheureuse. Heureusement pour elle, ma femme était infirmière. Et après quelques instants entre ses mains la future maman revenait parmi nous.
Elle nous expliqua qu’alors qu’elle dansait elle fut prise de bouffées de chaleur, d’une vision trouble, puis d’un vertige, et après plus rien. Le mari proposa alors de rentrer chez eux, ce qu’elle refusa catégoriquement, préférant mieux se reposer. Se refusant de gâcher la soirée de son mari à cause d‘elle. Alors ma belle-mère bonne comme le bon pain lui proposait d’aller s’allonger sur son lit. Ce que Isabelle accepta. Et ce fut soutenu par mes soins et à un degré moindre de celle de son époux, dont l’alcool le rendait plus vulnérable que nous prenions le chemin de la chambre.
Mais très vite, je pris l’initiative de le dissuadé d’arrêter de m’aider, lui signifiant que je pourrais l’exécuter tout seul. D’ailleurs il ne se fit pas prier pour me la céder, faisant lui chemin arrière. Heureux de pouvoir retourner s’amuser, mais surtout d‘aller prendre un verre.
Une fois allonger sur le lit, alors que ma belle-mère la déchausser, je demandais à Isabelle si elle désirait quelque chose.
- Je veux bien un verre d’eau s‘il te plaît, j’ai la gorge sèche.
- Je te ramène cela au plus vite.
À mon retour, Isabelle se trouvait seule dans la pièce, mais assoupie puisqu’elle ne répondit pas à mon appel. Je posais le verre sur la table de nuit, et alors que je m’apprêtais à quitter la chambre, mon regard se portait sur ses pieds gainées de nylon blanc. Un faible chez moi. À ne pas pouvoir me contenir de les humer.
Après avoir tendu l’oreille pour m’assurer que personne venait, je me penchais aux dessus des orteils. Que je me mis à lécher, sucer, embrasser, le talon, la plate de ses deux petons odorants. Je passais et repassais ma langue sur ses orteils gainés de nylon tantôt avec douceur ou avec plus de vigueur. Je n’imaginais pas une tel importuner. Mon sexe me faisait mal au fond de mon slip. Ils avaient une délicieuse odeur de cuir de sueur mêlée.
C’était à regret que je quittais la pièce non pas sans lui avoir baisser de nouveau les pieds, et mis quelques coups de langue en plus. Pourquoi avoir fait cela ? Je ne sais me l’expliquer.
Par la suite, je coupais la lumière et fermer la porte de la chambre derrière moi, allons rejoindre la fête, la bouche emplie du goût des pieds d’Isabelle, mais aussi, et plus que jamais, une envie supplémentaire de foutre.
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