TABLE DE SAPIN 12
Récit érotique écrit par Alainylon [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-01-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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TABLE DE SAPIN 12
Ma belle sœur m’a appelé alors que j’étais dans mon bureau pour avoir mon avis sur le fait de cocoter un couscous pour le retour de ses parents parti pour la semaine dans le midi de la France. Par la même occasion elle a souhaité que je m’occupe de faire les courses. Cela allait de soit !
Pour avoir les quantités j’ai dû appeler ma femme. Et c’est avec une liste en main que je me suis rendu dans la grande surface. Une heure plus tard, paniers en mains je me suis pointé chez mes beaux-parents.
À mon arrivée, ma belle-sœur se tenait penchée au dessus de la table de sapin en train de débarrasser le petit déjeuner. À en voir l’état du plateau, cela a dû être très copieux.
- Tu as tout trouvé ?
- Pas grâce à toi. Répliquais-je, en louchant sur ses jambes nues au-dessous de son tee-shirt avec un gros nounours en façade, qui faisait office de pyjamas. Il m’en fallait pas plus pour faire grimper ma libido. Le feu au ventre, tremblant, je me suis approché de ma belle-sœur. J’ai fait courir mes doigts le long de sa cuisse. Les faisant lentement remonter en direction de son sexe. La coquine s’abandonnant à ma caresse.
- Tu es en manque ? Me lança-t-elle.
- Je ne sais pas. Répliquai-je. Enfin je ne crois pas.
- C’est à ce demander ce que fou ma sœur. Me murmura-t-elle, à l‘oreille.
- Est-ce ma faute si tu te fringues comme une salope.
- Tu n’es pas obliger de regarder, mon cher beau-frère. Répondit-elle en s’écartant de ma main.
- Oui… je le sais bien. Mais je ne peux pas m’en empêcher. C’est dans mes gênes.
- Ah oui ! Et bien ça tombe bien. J’ai comme une envie pressante. Fit-elle en grimpant sur la table.
Elle a joué des hanches avant de s’accroupir dessus. Son regard défiant le mien.
- Tu penses que tu vas pouvoir éteindre le feu qui brûle en Moi ? Ajouta-t-elle, prenant une position qui m’exhiba son intimité nue de tout sous-vêtement. Je me suis saisi d’une chaise. Que j’ai porté en face d’elle pour prendre place dessus. Sa toison était à bonne hauteur. Juste en face de mon visage.
Incapable de résister à la tentation. J’ai approché mes narines frémissantes. J’ai perçu l’odeur d’une femme en rut. Je m’en délectais à l‘avance. J’ai envoyé mes lèvres se perdre dans la toison, très touffue. Le parfum qui s’en est dégagé était tout spécialement prenant. J’ai embrassé les poils avant de les prendre entre mes lèvres, comme pour les brouter.
Puis j’ai donné de petits coups de langue pour goûter à sa fente. Une caresse qui constituait un prélude à ce qui allait suivre. D’une langue experte, j’ai écarté les lèvres roses. Pour la nicher effrontément dans son nid d’amour. L’effluve dominant était celui de la sueur. Plus forte que d’habitude. Mais qui ne faisait pas disparaître les relents d’urine. Pris d’une impulsion, toujours avec ma langue j’ai titillé le clitoris. La réaction de ma belle-sœur m’a stupéfié. C’était comme si elle avait été traversée par un courant électrique. Elle s’est offert sans retenue à ma langue qui s’est mise à la fouillée goulûment.
Elle prit appuie avec ses mains sur mes épaules pour ne pas tomber en arrière, alors que je léchais les petites lèvres roses. Introduisant le bout de ma langue dans la fente qui s‘élargissait de plus en plus pour me permettre le passage. Elle a gémit de plus belle. S’est trémoussée gracieusement. Comme si elle avait vraiment le feu au cul.
Mon état fut très vite exacerbé par un surplus d’excitation. Au point de m’envoyer des ondes très perverses dans mon cerveau. Pas capable de résister à la tentation, j’ai ordonné à Patricia de ne pas bouger. Je me suis levé et j’ai approché les paniers au plus près de la table. Elle a comprit mon intention quand je me suis mis à éplucher une carotte. Une fois pelé, je me suis empressé de la faire s’allonger sur la table. Une fois installée, je lui ai caressé l’entrée de son vagin avec. Avant de la faire disparaître dans son antre. J’ai fait aller et venir la carotte, et je suis passé à la suivante. Et ainsi de suite, jusqu’à faire passer les deux kilo. De temps à autre quand l’envie me venait je lui enfonçais dans l’anneau étroit.
Puis je suis passé aux courgettes. Dirigeant le bout arrondi vers sa chatte devenu luisante et béante. Elle a gémit de plus belle. Mordant sa lèvre inférieure pendant que le herbacé se faisait un passage dans ses entrailles.
- Oh, Alain… fourre-moi la plus grosse, fit-elle en me la désignant du doigt.
Je l’ai pris et je le lui ai enfoncé d‘un coup dans son vagin. Fourrant celle que je lui avais retirée, dans le cul. Ses parois rectales se sont s’écartées. Se sont assouplit, si bien que j’ai pu entamer un va-et-vient. Elle a beaucoup aimé. Décidément, ma belle-sœur était une chaude du cul !
Quand les courgettes fut toutes passées dans ses orifices, la coquine a voulu s’attaquée au aubergines.
- Tu vas réussir à me la mettre en entier, hein ?
- Je pense dans l’état où tu te trouves tu peux tout avaler.
- Alors vas-y… Bourre bien ma chatte. Dépêche-toi, Dépêche-toi ! Je ne tiens plus… J’ai redoublé les intromissions. Comme j’ai activé le rythme de mes mouvements dans les entrailles de ma partenaire. Celle-ci m’encourageait à continuer en poussant des cris rauques, la respiration haletante.
Elle était en sueur. Ses aisselles ont diffusé à profusion des effluves, caractéristiques de son plaisir. Comme pour venir renforcer encore la puissance de ses orgasmes à répétition. Ses hanches se sont mises à tanguer et rouler sans aucun contrôle. Ses fesses se sont soulevées d’elle-même. Je m’en suis saisis de la dernière aubergine et la fourrais dans son antre, pour remplacer la précédente enduit de sécrétion que j’ai déposais dans la gamelle. Puis je l’ai branlé avec la nouvelle, avec plus de durement. Faisant grimacer ma belle-sœur. Elle avait la chatte qui s’est contracté de façon incontrôlable. Se serrant constamment autour de l’aubergine qui encombré son ventre. Elle s’est agitée. Pompant le légume comme une chienne en chaleur.
- Je suis excité comme jamais… Branle-moi, branle-moi à fond… J’ai frissonné alors que je la branlais de plus belle. Elle a remué des hanches comme une assoiffée de sexe. Projetant de plus belle sa chatte à la rencontre du légume. J’ai épousé son rythme, faisant disparaître le légume dans sa totalité.
- Ouuiii, Alain ! Plus fort… Branle ma chatte aussi forte que tu peux… Défonce-moi, Alain ! Branle-moi, salaud… Pris d’une frénésie perverse, j’ai commencé à la tringler aussi fort que mon poignet pouvait supporter.
- Bon sang, comme c’est gros… Bon sang, comme c’est bon !
Elle a gémi sourdement, sans pouvoir s’arrêter.
- Tu vas une fois de plus me faire jouir mon cher beau-frère ! Oui défonce ta belle-sœur, défonce la bien ! Je jouis, Alain ! Je jouuuuiiiiiiiis !
Son ventre est parti en vagues. Ses fesses ont quitté la table. Se tordant de plaisir. De long geyser crémeux jaillit de sa tanière, coulant le long de la peau mauve et lisse du légume, finissant son voyage sur mes doigts. Son souffle s’est transformé en ahanement rauque.
Elle ne contrôlait plus rien. Pendant plusieurs secondes, son corps fut agité de soubresauts, avant de cesser d’un coup. Comme si on lui avait enlevé les piles. Elle est restée un bon moment allongée sur la table. Une fois récupérée elle m’a soufflé.
- Avec tout ça, j’ai… j’ai maintenant envie… de… de faire pipi, a-t-elle balbutié.
Une idée démoniaque m’a traversé mon esprit.
- Ne bouge pas, je te ramène la gamelle.
- Idiot… - Mais sache que je suis sérieux en te disant cela.
Elle m’a jeté un regard interloqué, puis a pouffé bêtement. Je l’ai suppliée à voix basse : - Ça me ferait tellement plaisir.
- Que vous êtes bêtes vous, les mecs ! A-t-elle dit.
Mais elle a tout de même accepté de s’accroupir au dessus la gamelle. Tout en riant nerveusement, elle a commencé à uriner pour mon plus grand plaisir. Je n‘ai pas pu résister de mettre mon doigt au contact du jet, déviant sa courbe. Celle-ci, très chaude, coulait le long de ma main, avant de s’égoutter dans la gamelle en gouttelettes.
La chaleur dans la pièce, devenait de plus en plus, étouffante. Tout en suçant ma main, je l’ai rejoint sur le plateau de la table. Devinant mes intentions elle m’a donné un coup de main à retirer mon pantalon. Mon slip.
Sans que j’aie eu besoin de dire qu’est-ce que ce soit. Elle est venue s’asseoir sur mon sexe brûlant de désir. Ses lèvres humides m’ont aspiré. Le désir était tellement fort que nos sexes unis dégoulinaient comme des fontaines. Elle a entamé une cavalcade, respirant à grand coup. Nous avons tout deux, laissé échapper un profond râle de bien-être, tellement ce moment d’union était désiré. Alors avec regret, je suis sorti de la chatte gourmande. Retenant du mieux mon flux de sève qui bouillonnait en moi. Je me suis mis au-dessus la gamelle et je me suis branlé sous les yeux de Patricia. Elle se pouffait de rire. Soudain le premier jet de sperme a giclé avec une grande violence. Nappant les aubergines d‘une couche crémeuse, blanchâtre. Puis trois autres suivirent la première, moins violent. Patricia a attendu la fin de ma jouissance pour se pencher et d’un coup de langue précis elle a gobé la dernière goutte de liqueur à la pointe du sexe. Elle a relevé la tête et s’est éclatée, d’un rire cristallin. Elle m’a désigné la gamelle d’un geste de la tête, qui a fait balancer sa chevelure.
- Quelle drôle d’idée f ?
- Comment ça ?
- Enfin tout… les légumes, la pisse… - Mais je trouve cela très excitant. Pas toi ?
- Non pas trop. Je trouve ça un peu dégueu… - Et bien s’est simple, répondis-je en découpant les légumes.
- Mais… mais tu ne les laves pas.
- Pour quoi faire ? Cela ne sera que meilleurs.
- J’ai honte.
- Mais de quoi ma belle ?
- De tout ça ! Quoi !
- Personne n’en saura rien. Cela sera notre secret. Un de plus… - Bien ! Si tu le dis.
- Fais-moi confiance.
- Je vais me préparer ! Parvient-elle à dire entre deux roucoulements.
Puis elle a disparu, légère…
Pour avoir les quantités j’ai dû appeler ma femme. Et c’est avec une liste en main que je me suis rendu dans la grande surface. Une heure plus tard, paniers en mains je me suis pointé chez mes beaux-parents.
À mon arrivée, ma belle-sœur se tenait penchée au dessus de la table de sapin en train de débarrasser le petit déjeuner. À en voir l’état du plateau, cela a dû être très copieux.
- Tu as tout trouvé ?
- Pas grâce à toi. Répliquais-je, en louchant sur ses jambes nues au-dessous de son tee-shirt avec un gros nounours en façade, qui faisait office de pyjamas. Il m’en fallait pas plus pour faire grimper ma libido. Le feu au ventre, tremblant, je me suis approché de ma belle-sœur. J’ai fait courir mes doigts le long de sa cuisse. Les faisant lentement remonter en direction de son sexe. La coquine s’abandonnant à ma caresse.
- Tu es en manque ? Me lança-t-elle.
- Je ne sais pas. Répliquai-je. Enfin je ne crois pas.
- C’est à ce demander ce que fou ma sœur. Me murmura-t-elle, à l‘oreille.
- Est-ce ma faute si tu te fringues comme une salope.
- Tu n’es pas obliger de regarder, mon cher beau-frère. Répondit-elle en s’écartant de ma main.
- Oui… je le sais bien. Mais je ne peux pas m’en empêcher. C’est dans mes gênes.
- Ah oui ! Et bien ça tombe bien. J’ai comme une envie pressante. Fit-elle en grimpant sur la table.
Elle a joué des hanches avant de s’accroupir dessus. Son regard défiant le mien.
- Tu penses que tu vas pouvoir éteindre le feu qui brûle en Moi ? Ajouta-t-elle, prenant une position qui m’exhiba son intimité nue de tout sous-vêtement. Je me suis saisi d’une chaise. Que j’ai porté en face d’elle pour prendre place dessus. Sa toison était à bonne hauteur. Juste en face de mon visage.
Incapable de résister à la tentation. J’ai approché mes narines frémissantes. J’ai perçu l’odeur d’une femme en rut. Je m’en délectais à l‘avance. J’ai envoyé mes lèvres se perdre dans la toison, très touffue. Le parfum qui s’en est dégagé était tout spécialement prenant. J’ai embrassé les poils avant de les prendre entre mes lèvres, comme pour les brouter.
Puis j’ai donné de petits coups de langue pour goûter à sa fente. Une caresse qui constituait un prélude à ce qui allait suivre. D’une langue experte, j’ai écarté les lèvres roses. Pour la nicher effrontément dans son nid d’amour. L’effluve dominant était celui de la sueur. Plus forte que d’habitude. Mais qui ne faisait pas disparaître les relents d’urine. Pris d’une impulsion, toujours avec ma langue j’ai titillé le clitoris. La réaction de ma belle-sœur m’a stupéfié. C’était comme si elle avait été traversée par un courant électrique. Elle s’est offert sans retenue à ma langue qui s’est mise à la fouillée goulûment.
Elle prit appuie avec ses mains sur mes épaules pour ne pas tomber en arrière, alors que je léchais les petites lèvres roses. Introduisant le bout de ma langue dans la fente qui s‘élargissait de plus en plus pour me permettre le passage. Elle a gémit de plus belle. S’est trémoussée gracieusement. Comme si elle avait vraiment le feu au cul.
Mon état fut très vite exacerbé par un surplus d’excitation. Au point de m’envoyer des ondes très perverses dans mon cerveau. Pas capable de résister à la tentation, j’ai ordonné à Patricia de ne pas bouger. Je me suis levé et j’ai approché les paniers au plus près de la table. Elle a comprit mon intention quand je me suis mis à éplucher une carotte. Une fois pelé, je me suis empressé de la faire s’allonger sur la table. Une fois installée, je lui ai caressé l’entrée de son vagin avec. Avant de la faire disparaître dans son antre. J’ai fait aller et venir la carotte, et je suis passé à la suivante. Et ainsi de suite, jusqu’à faire passer les deux kilo. De temps à autre quand l’envie me venait je lui enfonçais dans l’anneau étroit.
Puis je suis passé aux courgettes. Dirigeant le bout arrondi vers sa chatte devenu luisante et béante. Elle a gémit de plus belle. Mordant sa lèvre inférieure pendant que le herbacé se faisait un passage dans ses entrailles.
- Oh, Alain… fourre-moi la plus grosse, fit-elle en me la désignant du doigt.
Je l’ai pris et je le lui ai enfoncé d‘un coup dans son vagin. Fourrant celle que je lui avais retirée, dans le cul. Ses parois rectales se sont s’écartées. Se sont assouplit, si bien que j’ai pu entamer un va-et-vient. Elle a beaucoup aimé. Décidément, ma belle-sœur était une chaude du cul !
Quand les courgettes fut toutes passées dans ses orifices, la coquine a voulu s’attaquée au aubergines.
- Tu vas réussir à me la mettre en entier, hein ?
- Je pense dans l’état où tu te trouves tu peux tout avaler.
- Alors vas-y… Bourre bien ma chatte. Dépêche-toi, Dépêche-toi ! Je ne tiens plus… J’ai redoublé les intromissions. Comme j’ai activé le rythme de mes mouvements dans les entrailles de ma partenaire. Celle-ci m’encourageait à continuer en poussant des cris rauques, la respiration haletante.
Elle était en sueur. Ses aisselles ont diffusé à profusion des effluves, caractéristiques de son plaisir. Comme pour venir renforcer encore la puissance de ses orgasmes à répétition. Ses hanches se sont mises à tanguer et rouler sans aucun contrôle. Ses fesses se sont soulevées d’elle-même. Je m’en suis saisis de la dernière aubergine et la fourrais dans son antre, pour remplacer la précédente enduit de sécrétion que j’ai déposais dans la gamelle. Puis je l’ai branlé avec la nouvelle, avec plus de durement. Faisant grimacer ma belle-sœur. Elle avait la chatte qui s’est contracté de façon incontrôlable. Se serrant constamment autour de l’aubergine qui encombré son ventre. Elle s’est agitée. Pompant le légume comme une chienne en chaleur.
- Je suis excité comme jamais… Branle-moi, branle-moi à fond… J’ai frissonné alors que je la branlais de plus belle. Elle a remué des hanches comme une assoiffée de sexe. Projetant de plus belle sa chatte à la rencontre du légume. J’ai épousé son rythme, faisant disparaître le légume dans sa totalité.
- Ouuiii, Alain ! Plus fort… Branle ma chatte aussi forte que tu peux… Défonce-moi, Alain ! Branle-moi, salaud… Pris d’une frénésie perverse, j’ai commencé à la tringler aussi fort que mon poignet pouvait supporter.
- Bon sang, comme c’est gros… Bon sang, comme c’est bon !
Elle a gémi sourdement, sans pouvoir s’arrêter.
- Tu vas une fois de plus me faire jouir mon cher beau-frère ! Oui défonce ta belle-sœur, défonce la bien ! Je jouis, Alain ! Je jouuuuiiiiiiiis !
Son ventre est parti en vagues. Ses fesses ont quitté la table. Se tordant de plaisir. De long geyser crémeux jaillit de sa tanière, coulant le long de la peau mauve et lisse du légume, finissant son voyage sur mes doigts. Son souffle s’est transformé en ahanement rauque.
Elle ne contrôlait plus rien. Pendant plusieurs secondes, son corps fut agité de soubresauts, avant de cesser d’un coup. Comme si on lui avait enlevé les piles. Elle est restée un bon moment allongée sur la table. Une fois récupérée elle m’a soufflé.
- Avec tout ça, j’ai… j’ai maintenant envie… de… de faire pipi, a-t-elle balbutié.
Une idée démoniaque m’a traversé mon esprit.
- Ne bouge pas, je te ramène la gamelle.
- Idiot… - Mais sache que je suis sérieux en te disant cela.
Elle m’a jeté un regard interloqué, puis a pouffé bêtement. Je l’ai suppliée à voix basse : - Ça me ferait tellement plaisir.
- Que vous êtes bêtes vous, les mecs ! A-t-elle dit.
Mais elle a tout de même accepté de s’accroupir au dessus la gamelle. Tout en riant nerveusement, elle a commencé à uriner pour mon plus grand plaisir. Je n‘ai pas pu résister de mettre mon doigt au contact du jet, déviant sa courbe. Celle-ci, très chaude, coulait le long de ma main, avant de s’égoutter dans la gamelle en gouttelettes.
La chaleur dans la pièce, devenait de plus en plus, étouffante. Tout en suçant ma main, je l’ai rejoint sur le plateau de la table. Devinant mes intentions elle m’a donné un coup de main à retirer mon pantalon. Mon slip.
Sans que j’aie eu besoin de dire qu’est-ce que ce soit. Elle est venue s’asseoir sur mon sexe brûlant de désir. Ses lèvres humides m’ont aspiré. Le désir était tellement fort que nos sexes unis dégoulinaient comme des fontaines. Elle a entamé une cavalcade, respirant à grand coup. Nous avons tout deux, laissé échapper un profond râle de bien-être, tellement ce moment d’union était désiré. Alors avec regret, je suis sorti de la chatte gourmande. Retenant du mieux mon flux de sève qui bouillonnait en moi. Je me suis mis au-dessus la gamelle et je me suis branlé sous les yeux de Patricia. Elle se pouffait de rire. Soudain le premier jet de sperme a giclé avec une grande violence. Nappant les aubergines d‘une couche crémeuse, blanchâtre. Puis trois autres suivirent la première, moins violent. Patricia a attendu la fin de ma jouissance pour se pencher et d’un coup de langue précis elle a gobé la dernière goutte de liqueur à la pointe du sexe. Elle a relevé la tête et s’est éclatée, d’un rire cristallin. Elle m’a désigné la gamelle d’un geste de la tête, qui a fait balancer sa chevelure.
- Quelle drôle d’idée f ?
- Comment ça ?
- Enfin tout… les légumes, la pisse… - Mais je trouve cela très excitant. Pas toi ?
- Non pas trop. Je trouve ça un peu dégueu… - Et bien s’est simple, répondis-je en découpant les légumes.
- Mais… mais tu ne les laves pas.
- Pour quoi faire ? Cela ne sera que meilleurs.
- J’ai honte.
- Mais de quoi ma belle ?
- De tout ça ! Quoi !
- Personne n’en saura rien. Cela sera notre secret. Un de plus… - Bien ! Si tu le dis.
- Fais-moi confiance.
- Je vais me préparer ! Parvient-elle à dire entre deux roucoulements.
Puis elle a disparu, légère…
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