TABLE DE SAPIN 17
Récit érotique écrit par Alainylon [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-08-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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TABLE DE SAPIN 17
Quel fut ma surprise de voir débarquer chez mes beaux-parents Marilyne, ma belle sœur en tenue de policier. Dont la chemise moulait magnifiquement sa poitrine. Nos regards se sont accrochés, avant que je la prenne pour l’appuyer contre le mur. Je n’ai pas pu empêché dans l’instant, de poser mes lèvres sur les siennes. Sa tenue réglementaire en était pour beaucoup. Au point de me déchaîner sur les boutons de sa chemise, avant de lui dégrafer son soutien-gorge pour atteindre la chair tiède et ferme de ses seins. De son côté, elle n’est pas restée inactif. Elle s’était saisi de la paire de menottes qui était accroché sagement à son ceinturon, pour les ouvrir. J‘ai sursauté quand elle m’a passé une menotte autour de mon poignet droit. Et elle a tiré sur la courte chaînette pour m’attirer jusqu’à derrière un tuyau de chauffage, au bas du mur. Une sensation étrange m’a alors envahi en entendant le déclic de la deuxième menotte. Loin d’être inquiet, j’ai éprouvé un profond plaisir à me retrouver à la merci de ma belle-sœur. Connaissant parfaitement sa perversité, je savais qu‘elle allait me mener jusqu‘au plaisir. Cette seule pensée me fit gonfler ma verge.
Puis elle s’est mise à me caresser. Alternant le doux, avec l’effleurement sur mes cuisses, sur mon ventre, et le moins doux, avec de légères griffures sur ma peau de mon torse. J’étais aux anges.
- Cela te plaît ? Me fit-elle.
- Et comment que ça me plaît. J’étais loin de m’attendre à ça quand tu m’as demandé qu’on se rejoigne chez les vieux.
- Mais ce n’est qu’un début. M’a-t-elle lancé, alors.
- Je suis preneur. Comme tu le sais, plus je jouir plus ça me va.
Elle s’est redressée et a été ouvert le frigo, y sortant une bouteille d’eau plate.
- Tu as soif ? Me fit-elle.
- Oui de toi. Lui ai-je répondu.
- Sois patient. Je bois et je m‘occupe de toi.
Elle a porté le goulot de la bouteille à ses lèvres. Et par petites gorgées elle en a un bu un quart de litre.
- Tu veux entendre une confidence. Fit-elle en buvant une grande rasade d‘eau.
- Je t‘écoute.
- Tu ne peux pas savoir combien de fois je me suis branlé en imaginant que j’urinais sur toi… voilà !… m’a-t-elle dit d’une voix très douce.
- Ah oui ! Et alors. Pourquoi me dire cela ?
Elle est restée muette quelques instants avant de prendre une nouvelle gorgée d‘eau, puis de me dire : - Tu vois pourquoi je t’ai immobilisé.
- Tu ne vas pas me faire croire que tu comptes le réaliser.
- Va savoir. Je suis en train d’y réfléchir.
Tout en accrochant mon regard, elle a posé la bouteille sur la table en sapin.
- Ma décision est prise !
- Et je peux savoir laquelle ?
Sans donné suite à ma question, elle est venue lentement jusqu’à moi pour enjamber le visage. Un pied de chaque côté de mes épaules. De réaliser son fantasme, l’exciter au plus haut point.
Dans ma tête, un remous de pensées virevoltait dans une ronde folle. Elle allait vraiment le faire ! Tout cela était trop fou.
J’ai vu son bassin se rapprocher de mon visage, alors qu’elle s’accroupissait. Elle a arrêté sa toison claire, fournie à seulement quelques centimètres de ma bouche. J’ai vu dans ses yeux qu’elle avait compris que j’avais compris. Son visage s’est alors enflammé. Ses lèvres baignaient dans une mouille abondante. Dont une gouttelette translucide s’est détachée pour finir sa course sur le haut de ma lèvre supérieur. Je me suis empressé d‘envoyer ma langue pour la recueillir.
Marilyne est restée immobile au-dessus de moi. Ce centralisant sans doute, sur le méfait qu’elle s’apprêtait à commettre. Je n’ai pas pu résister de balayer sa fente de ma langue. Son goût était un pur régal. M’encourageant de parcourir sa faille, de sa base jusqu’à son gros bouton tout dur. Que j’ai aspiré et que j’ai harcelé de ma langue.
J’ai levé les yeux, et j’ai croisé son regard. Elle avait toute les stigmates de quelqu’un au seuil d’un orgasme dévastateur. D’ailleurs elle s’est mise à faire aller et venir, sa chatte le long de mes lèvres. Se frottant de plus en plus furieusement contre elle. Faisant cogner son clitoris gonflée à plusieurs contre mes narines. Ce qui lui a déclenché des cris, qui ont vrillé mes tympans, ravageant mon cerveau !
Et comme s’était prévisible elle a explosé. Ses genoux sont venus cogner le sol pendant que quelques gouttes de pisse se sont échappées de son méat. S’en est suivis des jets tièdes, par saccades. Arrosant de son aigreur ma bouche, mes joues et coulant le long de mon cou pour finir sa course sur le carrelage. Formant sur ce dernier une flaque. Et sa source n’avait pas l’air de s’arrêter. Tant son envie était importante. Elle a attendu que sa fontaine se tarisse pour se laisser rouler sur le côté, et rester allongée là, sur le carrelage froid du salon.
- Merci Marilyne. Lui ai-je lancé.
- Mais de quoi mon cher beau-frère ?
- Et bien de m’avoir pissé dessus.
- Ça était pour moi un grand plaisir de réaliser enfin un de mes fantasmes.
- Un de tes fantasmes ! C’est que tu en as d’autre ?
- Vas savoir. A-t-elle répondu en se levant.
- Tu ne me détache pas ? Lui demandais-je, alors qu’elle s’éloignait.
Bien cinq minutes s’était écoulées, sans qu’elle se préoccupe de moi.
- Bon ! Marilyne, c’est bien gentil tout ça, mais j’aimerai que tu me libère à présent.
- Non !
- Non ! Et pourquoi non !
- Un peu de patience, encore.
- Mais c’est que je commence à avoir quelques frissons.
- Je t’ai dit de patienter.
- Mais pourquoi ?
- Toujours des questions ! Attend et tu verras. Mais qu’est-ce qu’elle fou ? L’entendais dire pour elle-même.
- Tu attends quelqu’un ?
- Tu n’aimes plus les surprises ?
- Oui ! Mais je ne vois pas là… S’est alors que j’entendis qu’on toquer à la porte.
- Enfin ! Laissa échapper Marilyne en se précipitant jusqu’à la porte d’entrée.
- Mais qu’est-ce que tu fait là ? Lui ai-je lancé, en pleine panique. N’ouvre surtout pas cette foutue porte.
- Et je peux savoir pourquoi je t’écouterai.
- On ne sait pas qui se trouve derrière la porte.
- Toi peut-être pas, mais moi si.
Elle a pesé sur la poignet, et a tiré la porte à elle. Sa fille Amandine se tenait dans l‘embrasure.
- Mais qu’est-ce que tu as foutu ? L’interrogea sa mère.
- J‘ai rencontré une copine, voilà tout ! Alors j’ai papoté avec elle sans faire attention aux minutes qui s’écoulaient.
- Tu as peut-être oublié ma chère fille que c’est pour toi que j’ai organisé cette petite séance.
- Calme maman, calme ! Il n’y a pas le feu au lac. Bonjour tonton ! Fit-elle en s’approchant au-dessus de moi. Je vois que maman n‘a pas résigné sur les moyens. Ajouta-elle, le regard rivait sur mon bijou de famille.
- Bon ! Maintenant j’aimerais que l’une de vous deux me détache. Et m’explique ce qu’il se passe, ici.
- Il n’en est pas question ! M’a lancé Marilyne. Enfin pas encore. Tu voulais du haut vol, c’est bien cela que tu m’as dit au téléphone quand on s’est parlé, non ?
- Oui… bien sûr.
- Et bien tu vas l’avoir.
- Mais tu me l’as donné ? Ai-je répondu, pas très à mon aise, et cela depuis que ma nièce se soit penché au-dessus de ma verge.
- Que dirais tu d’une petite prolongation, tonton ? Fit Amandine, qui en deux trois mouvements, a fait passer son T-shirt par-dessus la tête, se retrouvant avec la poitrine nue. Puis elle a approché sa bouche jusqu’à ce qu’elle me prenne mon membre entre ses lèvres. Et très maladroitement, je précise bien, maladroitement, elle a tenté de me la sucer. Pendant ce temps Marilyne s’est accroupi derrière sa fille. Profitant qu’elle soit occupé, pour défaire les boutons de son jean. Ceci fait elle le lui fit glisser le long de ses jambes. Alors qu’Amandine essayait tant que mal à s’appliquer sur mon sexe. La maman revint à la charge, s’attaquant à la culotte blanche, la rendant ainsi nue à mes yeux.
- Voilà ma fille, il est tout à toi. Je te l’avais dit que ça marcherait.
- Tu crois vraiment que je peux ?
- Et comment tu peux ma chérie ! Tu vois bien qu’il est vulnérable. Soumis à tout tes désirs.
- Oui ! Mais une fois qu’il sera libéré.
- T’occupe ma fille. Je connais parfaitement l’oiseau pour savoir qu’il n’en fera rien. Allez crois-moi Amandine, éclate-toi bien. Cette occasion n’est pas près de se reproduire. N’est-ce pas mon chou.
- Tu vas me payer cela ! Crois-moi !
- Quoi ! Une autre fessée ? Quand tu veux.
- Qu’est-ce que c’est cette fessée, maman ? Tu ne vas pas me dire Tonton te corrige ?
- T’occupe ma fille. Et donne lui ta chatte à sucer, tu vas voir comme il fait ça bien. N’est-ce pas Alain ? Que tu vas t’appliqué à faire jouir ta nièce.
Malgré tout ça j’étais fasciné par le spectacle qui se déroulait devant mes yeux. Mais je ne résistai pas longtemps à la tentation qu‘il m‘était donné, de coller ma bouche sur ce sexe nature et lui dévorer le minou. Ils sont dégagé une forte odeur particulièrement excitant. Je l’ai respiré à pleins poumons. Son émanation était très forte et sirupeuse. Elle sentait la jeune fille négligée.
Elle a gémit de bonheur sous mes coups de langue. Son ventre ruisselait de miel. Après un chapelet d’orgasme, elle s’est déplacé sur mon corps, jusqu’à approché mon pénis tout près de l’entrée de son vagin et a commencé par jouer à se caresser l’entrée du vagin avec mon gland.
- Non, pas par là ! hurla Marilyne. Je t’avais prévenu.
- Mais maman !
- Il n’y a pas de mais maman qui tienne ! Tu es vierge et je compte que tu y restes. D’ailleurs on en a parlé et tu étais d’accord avec moi.
- Oui mais... Je suis tellement excité que je suis prête à tout… - Oui je sais ce que tu ressens ma fille. Mais garde cela pour un autre.
- C’est pourtant mon droit.
- Oui comme le mien de bien te conseiller. A-t-elle ajouté en ouvrant la porte du réfrigérateur et y prendre une plaque de beurre. Et le lui tendit, en ajoutant : - En fait ce qu’on a convenu de faire, sinon je te promets de ne plus d’aidé à te trouver des jeux à la hauteur de ta faim sexuelle, ma petite. Le message est clair ?
- Comme tu veux maman. En se redressant.
- J’espère bien.
Ma nièce pris une noix et commençait à en enduire son minuscule orifice et son pourtour, en un lent massage qui joint à celui qu’elle se prodigua à la fente, l’a fait roucouler de plaisir. Tout de suite après, Elle s’est introduis son index préalablement graissé dans le petit trou froncé, en une pénétration délicate qu’elle a fait durer un moment, puis elle a ajouté très délicatement un deuxième doigt, faisant pénétrer cette double épaisseur tout en appliquant du beurre.
Pendant ce temps là, ma belle-sœur lubrifiait mon sexe, l‘enduisant lui-aussi d‘une couche de beurre. Elle a par la suite, aidé sa fille de dos pour moi, à positionner son anus au-dessus de mon sexe. Les fesses minces étalées offraient à ma vue la raie imberbe brillante, un sillon brun clair, à peine arqué, au milieu duquel le minuscule bourgeon luisant de son anus se contractait, comme pour me provoquer. J‘ai suivis ainsi fasciné le mouvement de ma nièce qui tendant ses fesses vers mon sexe bandé. Comme pour le manger. L’orifice minuscule offrit d’abord une certaine résistance, mais c’était sans compté sur ma partenaire, qui a poussé progressivement. J’ai alors vu mon gland se faire gober, et disparaître peu à peu dans son rectum. Elle a ondulé très doucement. J’ai commencé à mon tour à donner à mon ventre un mouvement d’avant en arrière, très lent et très ample.
Marilyne paraissait se délecter du spectacle.
- Active-toi ! M’a soufflé Amandine, en tournant la tête de mon côté.
J’ai alors accéléré la cadence. Regardant ma verge violer ses fesses. Allant et venant inexorablement au milieu de ces deux globes luxurieux. Nos soupirs et notre exhortation se sont mêlé. La coquine ondulait sous moi, ses coups de reins allant à la rencontre de mes assauts. Ma nièce s’est mise à souffler très fort, tout en se contorsionnant. Et brusquement, elle s’est immobilisée, en haletant. Elle a attendu de reprendre son souffle pour me dire.
- C’était très bon. J’ai eu un fabuleux orgasme, tonton.
Ma belle-sœur a attendu que sa fille déserte les lieux pour venir enfin me libérer.
- Tu m’en veux ?
- Pourquoi t’en voudrais-je, s’était le souhait de ta fille, non ?
- Tu ne peux pas savoir à quel point tu lui as fait plaisir, là.
Puis elle s’est mise à me caresser. Alternant le doux, avec l’effleurement sur mes cuisses, sur mon ventre, et le moins doux, avec de légères griffures sur ma peau de mon torse. J’étais aux anges.
- Cela te plaît ? Me fit-elle.
- Et comment que ça me plaît. J’étais loin de m’attendre à ça quand tu m’as demandé qu’on se rejoigne chez les vieux.
- Mais ce n’est qu’un début. M’a-t-elle lancé, alors.
- Je suis preneur. Comme tu le sais, plus je jouir plus ça me va.
Elle s’est redressée et a été ouvert le frigo, y sortant une bouteille d’eau plate.
- Tu as soif ? Me fit-elle.
- Oui de toi. Lui ai-je répondu.
- Sois patient. Je bois et je m‘occupe de toi.
Elle a porté le goulot de la bouteille à ses lèvres. Et par petites gorgées elle en a un bu un quart de litre.
- Tu veux entendre une confidence. Fit-elle en buvant une grande rasade d‘eau.
- Je t‘écoute.
- Tu ne peux pas savoir combien de fois je me suis branlé en imaginant que j’urinais sur toi… voilà !… m’a-t-elle dit d’une voix très douce.
- Ah oui ! Et alors. Pourquoi me dire cela ?
Elle est restée muette quelques instants avant de prendre une nouvelle gorgée d‘eau, puis de me dire : - Tu vois pourquoi je t’ai immobilisé.
- Tu ne vas pas me faire croire que tu comptes le réaliser.
- Va savoir. Je suis en train d’y réfléchir.
Tout en accrochant mon regard, elle a posé la bouteille sur la table en sapin.
- Ma décision est prise !
- Et je peux savoir laquelle ?
Sans donné suite à ma question, elle est venue lentement jusqu’à moi pour enjamber le visage. Un pied de chaque côté de mes épaules. De réaliser son fantasme, l’exciter au plus haut point.
Dans ma tête, un remous de pensées virevoltait dans une ronde folle. Elle allait vraiment le faire ! Tout cela était trop fou.
J’ai vu son bassin se rapprocher de mon visage, alors qu’elle s’accroupissait. Elle a arrêté sa toison claire, fournie à seulement quelques centimètres de ma bouche. J’ai vu dans ses yeux qu’elle avait compris que j’avais compris. Son visage s’est alors enflammé. Ses lèvres baignaient dans une mouille abondante. Dont une gouttelette translucide s’est détachée pour finir sa course sur le haut de ma lèvre supérieur. Je me suis empressé d‘envoyer ma langue pour la recueillir.
Marilyne est restée immobile au-dessus de moi. Ce centralisant sans doute, sur le méfait qu’elle s’apprêtait à commettre. Je n’ai pas pu résister de balayer sa fente de ma langue. Son goût était un pur régal. M’encourageant de parcourir sa faille, de sa base jusqu’à son gros bouton tout dur. Que j’ai aspiré et que j’ai harcelé de ma langue.
J’ai levé les yeux, et j’ai croisé son regard. Elle avait toute les stigmates de quelqu’un au seuil d’un orgasme dévastateur. D’ailleurs elle s’est mise à faire aller et venir, sa chatte le long de mes lèvres. Se frottant de plus en plus furieusement contre elle. Faisant cogner son clitoris gonflée à plusieurs contre mes narines. Ce qui lui a déclenché des cris, qui ont vrillé mes tympans, ravageant mon cerveau !
Et comme s’était prévisible elle a explosé. Ses genoux sont venus cogner le sol pendant que quelques gouttes de pisse se sont échappées de son méat. S’en est suivis des jets tièdes, par saccades. Arrosant de son aigreur ma bouche, mes joues et coulant le long de mon cou pour finir sa course sur le carrelage. Formant sur ce dernier une flaque. Et sa source n’avait pas l’air de s’arrêter. Tant son envie était importante. Elle a attendu que sa fontaine se tarisse pour se laisser rouler sur le côté, et rester allongée là, sur le carrelage froid du salon.
- Merci Marilyne. Lui ai-je lancé.
- Mais de quoi mon cher beau-frère ?
- Et bien de m’avoir pissé dessus.
- Ça était pour moi un grand plaisir de réaliser enfin un de mes fantasmes.
- Un de tes fantasmes ! C’est que tu en as d’autre ?
- Vas savoir. A-t-elle répondu en se levant.
- Tu ne me détache pas ? Lui demandais-je, alors qu’elle s’éloignait.
Bien cinq minutes s’était écoulées, sans qu’elle se préoccupe de moi.
- Bon ! Marilyne, c’est bien gentil tout ça, mais j’aimerai que tu me libère à présent.
- Non !
- Non ! Et pourquoi non !
- Un peu de patience, encore.
- Mais c’est que je commence à avoir quelques frissons.
- Je t’ai dit de patienter.
- Mais pourquoi ?
- Toujours des questions ! Attend et tu verras. Mais qu’est-ce qu’elle fou ? L’entendais dire pour elle-même.
- Tu attends quelqu’un ?
- Tu n’aimes plus les surprises ?
- Oui ! Mais je ne vois pas là… S’est alors que j’entendis qu’on toquer à la porte.
- Enfin ! Laissa échapper Marilyne en se précipitant jusqu’à la porte d’entrée.
- Mais qu’est-ce que tu fait là ? Lui ai-je lancé, en pleine panique. N’ouvre surtout pas cette foutue porte.
- Et je peux savoir pourquoi je t’écouterai.
- On ne sait pas qui se trouve derrière la porte.
- Toi peut-être pas, mais moi si.
Elle a pesé sur la poignet, et a tiré la porte à elle. Sa fille Amandine se tenait dans l‘embrasure.
- Mais qu’est-ce que tu as foutu ? L’interrogea sa mère.
- J‘ai rencontré une copine, voilà tout ! Alors j’ai papoté avec elle sans faire attention aux minutes qui s’écoulaient.
- Tu as peut-être oublié ma chère fille que c’est pour toi que j’ai organisé cette petite séance.
- Calme maman, calme ! Il n’y a pas le feu au lac. Bonjour tonton ! Fit-elle en s’approchant au-dessus de moi. Je vois que maman n‘a pas résigné sur les moyens. Ajouta-elle, le regard rivait sur mon bijou de famille.
- Bon ! Maintenant j’aimerais que l’une de vous deux me détache. Et m’explique ce qu’il se passe, ici.
- Il n’en est pas question ! M’a lancé Marilyne. Enfin pas encore. Tu voulais du haut vol, c’est bien cela que tu m’as dit au téléphone quand on s’est parlé, non ?
- Oui… bien sûr.
- Et bien tu vas l’avoir.
- Mais tu me l’as donné ? Ai-je répondu, pas très à mon aise, et cela depuis que ma nièce se soit penché au-dessus de ma verge.
- Que dirais tu d’une petite prolongation, tonton ? Fit Amandine, qui en deux trois mouvements, a fait passer son T-shirt par-dessus la tête, se retrouvant avec la poitrine nue. Puis elle a approché sa bouche jusqu’à ce qu’elle me prenne mon membre entre ses lèvres. Et très maladroitement, je précise bien, maladroitement, elle a tenté de me la sucer. Pendant ce temps Marilyne s’est accroupi derrière sa fille. Profitant qu’elle soit occupé, pour défaire les boutons de son jean. Ceci fait elle le lui fit glisser le long de ses jambes. Alors qu’Amandine essayait tant que mal à s’appliquer sur mon sexe. La maman revint à la charge, s’attaquant à la culotte blanche, la rendant ainsi nue à mes yeux.
- Voilà ma fille, il est tout à toi. Je te l’avais dit que ça marcherait.
- Tu crois vraiment que je peux ?
- Et comment tu peux ma chérie ! Tu vois bien qu’il est vulnérable. Soumis à tout tes désirs.
- Oui ! Mais une fois qu’il sera libéré.
- T’occupe ma fille. Je connais parfaitement l’oiseau pour savoir qu’il n’en fera rien. Allez crois-moi Amandine, éclate-toi bien. Cette occasion n’est pas près de se reproduire. N’est-ce pas mon chou.
- Tu vas me payer cela ! Crois-moi !
- Quoi ! Une autre fessée ? Quand tu veux.
- Qu’est-ce que c’est cette fessée, maman ? Tu ne vas pas me dire Tonton te corrige ?
- T’occupe ma fille. Et donne lui ta chatte à sucer, tu vas voir comme il fait ça bien. N’est-ce pas Alain ? Que tu vas t’appliqué à faire jouir ta nièce.
Malgré tout ça j’étais fasciné par le spectacle qui se déroulait devant mes yeux. Mais je ne résistai pas longtemps à la tentation qu‘il m‘était donné, de coller ma bouche sur ce sexe nature et lui dévorer le minou. Ils sont dégagé une forte odeur particulièrement excitant. Je l’ai respiré à pleins poumons. Son émanation était très forte et sirupeuse. Elle sentait la jeune fille négligée.
Elle a gémit de bonheur sous mes coups de langue. Son ventre ruisselait de miel. Après un chapelet d’orgasme, elle s’est déplacé sur mon corps, jusqu’à approché mon pénis tout près de l’entrée de son vagin et a commencé par jouer à se caresser l’entrée du vagin avec mon gland.
- Non, pas par là ! hurla Marilyne. Je t’avais prévenu.
- Mais maman !
- Il n’y a pas de mais maman qui tienne ! Tu es vierge et je compte que tu y restes. D’ailleurs on en a parlé et tu étais d’accord avec moi.
- Oui mais... Je suis tellement excité que je suis prête à tout… - Oui je sais ce que tu ressens ma fille. Mais garde cela pour un autre.
- C’est pourtant mon droit.
- Oui comme le mien de bien te conseiller. A-t-elle ajouté en ouvrant la porte du réfrigérateur et y prendre une plaque de beurre. Et le lui tendit, en ajoutant : - En fait ce qu’on a convenu de faire, sinon je te promets de ne plus d’aidé à te trouver des jeux à la hauteur de ta faim sexuelle, ma petite. Le message est clair ?
- Comme tu veux maman. En se redressant.
- J’espère bien.
Ma nièce pris une noix et commençait à en enduire son minuscule orifice et son pourtour, en un lent massage qui joint à celui qu’elle se prodigua à la fente, l’a fait roucouler de plaisir. Tout de suite après, Elle s’est introduis son index préalablement graissé dans le petit trou froncé, en une pénétration délicate qu’elle a fait durer un moment, puis elle a ajouté très délicatement un deuxième doigt, faisant pénétrer cette double épaisseur tout en appliquant du beurre.
Pendant ce temps là, ma belle-sœur lubrifiait mon sexe, l‘enduisant lui-aussi d‘une couche de beurre. Elle a par la suite, aidé sa fille de dos pour moi, à positionner son anus au-dessus de mon sexe. Les fesses minces étalées offraient à ma vue la raie imberbe brillante, un sillon brun clair, à peine arqué, au milieu duquel le minuscule bourgeon luisant de son anus se contractait, comme pour me provoquer. J‘ai suivis ainsi fasciné le mouvement de ma nièce qui tendant ses fesses vers mon sexe bandé. Comme pour le manger. L’orifice minuscule offrit d’abord une certaine résistance, mais c’était sans compté sur ma partenaire, qui a poussé progressivement. J’ai alors vu mon gland se faire gober, et disparaître peu à peu dans son rectum. Elle a ondulé très doucement. J’ai commencé à mon tour à donner à mon ventre un mouvement d’avant en arrière, très lent et très ample.
Marilyne paraissait se délecter du spectacle.
- Active-toi ! M’a soufflé Amandine, en tournant la tête de mon côté.
J’ai alors accéléré la cadence. Regardant ma verge violer ses fesses. Allant et venant inexorablement au milieu de ces deux globes luxurieux. Nos soupirs et notre exhortation se sont mêlé. La coquine ondulait sous moi, ses coups de reins allant à la rencontre de mes assauts. Ma nièce s’est mise à souffler très fort, tout en se contorsionnant. Et brusquement, elle s’est immobilisée, en haletant. Elle a attendu de reprendre son souffle pour me dire.
- C’était très bon. J’ai eu un fabuleux orgasme, tonton.
Ma belle-sœur a attendu que sa fille déserte les lieux pour venir enfin me libérer.
- Tu m’en veux ?
- Pourquoi t’en voudrais-je, s’était le souhait de ta fille, non ?
- Tu ne peux pas savoir à quel point tu lui as fait plaisir, là.
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