Tania
Récit érotique écrit par Huguette34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-04-2011 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Tania
Je sors de chez Tania: j’étais chez elle depuis hier soir. Nous avions besoin de parler de nous, surtout de nous, de nos relations physiques qui durent quand même depuis presque deux ans. Il me semblais avant de la voir qu’elle me boudait un peu à la suite d’une coucherie de ma part avec une de nos copines. De temps en temps il nous arrivent de baiser avec une autre pour simplement nous apercevoir que finalement nous sommes bien ensemble.
Dès mon arrivée, Tania m’a embrassé sur la bouche: j’ai mis ma langue contre la sienne. Nous les avons caressées dans nos bouches. Elle m’a fait entrer chez elle pour pouvoir me caresser un peu mieux les seins. Je ne me lasse pas de ces caresses, surtout quand c’est elle qui me les fait. Elle sait que je ne porte jamais de sous vêtement, c’est simple pour elle de me taquiner les tétons. Ma vengeance est rapide: je pose une main sur son bas ventre pour commencer à l’exciter. Je fait aller mon majeur entre ses cuisses, sur son jean, j’appuie pas mal pour toucher son sexe. Si elle me laisse faire: j’ai gagné. C’est comme ça donc que nous avons commencé notre dispute.
Nous l’avons continuée en nous déshabillant. Comme j’étais chez elle, étant l’invitée, c’est moi qui ai eu droit la première à des caresses très poussées. Elle continue ses baisers sur la bouche, en mettant ses mains sur mes hanches, je la laisse faire, sauf que je tends mon pubis quand elle est venue plus bas, à la recherche de mon bouton. J’écarte un peu les jambes pour qu’elle me donne le plaisir que j’attend. Elle sait bien me masturber, en faisant durer le plaisir: elle cesse tout mouvement souvent: j’ai beau lui dire: - Branles moi, n’arrête pas,Tania n’en fait qu’à sa tête. Je résultat est que je ne jouis qu’après une bonne douzaine de minutes.
Ensuite elle me fait coucher. Elle vient sur moi carrément, comme si elle avait une bite. Nos bas ventres sont soudés et elle fait les mêmes mouvement qu’une baise avec un homme. Je sens son jus qui sort de sa chatte qui coule sur la mienne. Je ne tiens plus tellement elle m’excite. Elle fait tout pour que je sois encore plus énervée: elle fait caresser mes seins par les siens. Je réagis comme je peux en mettant mes mains sur ses fesses, je passe un doigt dans la raie pour descendre vers son anus. J’adore caresser son petit trou, d’abord, je le trouve mignon et ensuite il s’ouvre toujours devant mon doigt ou ma langue.
Ce n’est que quand mon doigt entre dans son cul qu’elle réagit: d’abord en l’acceptant, ensuite en se tournant de façon que son cul reste sous ma coupe et ensuite en m’enjambant.
Elle aime, comme moi, les 69. Quand elle pose sa moule sur ma bouche, que la mienne est sur la sienne, nous passons d’agréables moment de jouissance. Cette fois elle ne l’a pas fait dès le premier 69, souvent elle sort les godes qui nous permettent de palier au manque de bites.
Nous connaissons tellement nos désirs que nous savons-nous baiser ainsi sans problème et aussi quoi de plus beau que de voir un gode s’enfoncer dans le con d’une autre.
Nous avons tellement joué ensemble que nous nous sommes endormies affalées l’une sur l’autre.
Le lendemain quand Tania se réveille elle reprend là où nous nous étions arrêtées. Elle n’a qu’un léger mouvement à faire pour reprendre mon clitoris dans sa bouche. Tania ne me réveille pas de suite: je sursaute quand je jouis. Je ne peux lui rendre le baiser sur son bouton: elle se lève pour préparer le petit déjeuner.
Je suis comme elle, affamée. Je vais l’aider dans la cuisine, seulement nous sommes nues, tentée par la nudité de l’autre. Elle ouvre le placard pour sortir les biscotes: elle se trouve presque enfermée par mes caresses sur ses fesses. Très « en colère » elle me rend ce que j’ai fait sauf qu’elle passe sa main entre mes fesses à la recherche de mon cul: j’ attends à ce que son doigt vienne dans mon ventre. Je comprend mon erreur quand elle se baisse pour passer sa langue sur mon anus. J’écarte les fesses à deux main et ouvre mon cul: sa langue entre facilement. Tania a une langue plus longue que les autre. Elle en met au moins la moitié dans mon anus. Sa sodomie est toujours agréable. Cette fois j’y rajoute une masturbation. Je suis obligée de me tenir à la table pour ne pas tomber de bonheur. Nous arrivons à petit déjeuner cahincaha. A la suite nous passons dans la salle de bain pour la douche obligatoire. Maintenant c’est à moi de jouer.
Je règle la chaleur et la puissance du jet de la douche. Je sors les gants de toilette, les onguents, bref ce qu’il faut. Je lave Tania comme une enfant, en insistant sur les endroit les plus sales: entre les jambes, entre les fesses, le sexe bien sur. Ce n’est qu’un prétexte pour la peloter. Elle me le rend bien. Par contre il n’y que moi qui ai le droit de nous rincer: le jet d’eau passe partout, surtout sur les clitoris. Tania est très amatrice de cette jouissance. Je la fait partit 3 ou 4 fois avant de me branler une fois.
Je l’essuie partout, surtout entre les jambes et sur les seins. Elle m’en fait autant.
Nous retrouvons le lit pour nous aimer encore par un énième 69. Cette fois le gode sert pour nous sodomiser. Que de plaisir à voir le gode manié par une main féminine qui entre et sort d’un cul.
Nous finissons la journée toujours nue, malgré la présence d’un voisin curieux qui nous épie sans arrêt. Nous le voyons même se masturber: ce con nous excite encore plus quand nous baisons.
Je dois partir: la semaine prochaine elle vient chez moi.
Dès mon arrivée, Tania m’a embrassé sur la bouche: j’ai mis ma langue contre la sienne. Nous les avons caressées dans nos bouches. Elle m’a fait entrer chez elle pour pouvoir me caresser un peu mieux les seins. Je ne me lasse pas de ces caresses, surtout quand c’est elle qui me les fait. Elle sait que je ne porte jamais de sous vêtement, c’est simple pour elle de me taquiner les tétons. Ma vengeance est rapide: je pose une main sur son bas ventre pour commencer à l’exciter. Je fait aller mon majeur entre ses cuisses, sur son jean, j’appuie pas mal pour toucher son sexe. Si elle me laisse faire: j’ai gagné. C’est comme ça donc que nous avons commencé notre dispute.
Nous l’avons continuée en nous déshabillant. Comme j’étais chez elle, étant l’invitée, c’est moi qui ai eu droit la première à des caresses très poussées. Elle continue ses baisers sur la bouche, en mettant ses mains sur mes hanches, je la laisse faire, sauf que je tends mon pubis quand elle est venue plus bas, à la recherche de mon bouton. J’écarte un peu les jambes pour qu’elle me donne le plaisir que j’attend. Elle sait bien me masturber, en faisant durer le plaisir: elle cesse tout mouvement souvent: j’ai beau lui dire: - Branles moi, n’arrête pas,Tania n’en fait qu’à sa tête. Je résultat est que je ne jouis qu’après une bonne douzaine de minutes.
Ensuite elle me fait coucher. Elle vient sur moi carrément, comme si elle avait une bite. Nos bas ventres sont soudés et elle fait les mêmes mouvement qu’une baise avec un homme. Je sens son jus qui sort de sa chatte qui coule sur la mienne. Je ne tiens plus tellement elle m’excite. Elle fait tout pour que je sois encore plus énervée: elle fait caresser mes seins par les siens. Je réagis comme je peux en mettant mes mains sur ses fesses, je passe un doigt dans la raie pour descendre vers son anus. J’adore caresser son petit trou, d’abord, je le trouve mignon et ensuite il s’ouvre toujours devant mon doigt ou ma langue.
Ce n’est que quand mon doigt entre dans son cul qu’elle réagit: d’abord en l’acceptant, ensuite en se tournant de façon que son cul reste sous ma coupe et ensuite en m’enjambant.
Elle aime, comme moi, les 69. Quand elle pose sa moule sur ma bouche, que la mienne est sur la sienne, nous passons d’agréables moment de jouissance. Cette fois elle ne l’a pas fait dès le premier 69, souvent elle sort les godes qui nous permettent de palier au manque de bites.
Nous connaissons tellement nos désirs que nous savons-nous baiser ainsi sans problème et aussi quoi de plus beau que de voir un gode s’enfoncer dans le con d’une autre.
Nous avons tellement joué ensemble que nous nous sommes endormies affalées l’une sur l’autre.
Le lendemain quand Tania se réveille elle reprend là où nous nous étions arrêtées. Elle n’a qu’un léger mouvement à faire pour reprendre mon clitoris dans sa bouche. Tania ne me réveille pas de suite: je sursaute quand je jouis. Je ne peux lui rendre le baiser sur son bouton: elle se lève pour préparer le petit déjeuner.
Je suis comme elle, affamée. Je vais l’aider dans la cuisine, seulement nous sommes nues, tentée par la nudité de l’autre. Elle ouvre le placard pour sortir les biscotes: elle se trouve presque enfermée par mes caresses sur ses fesses. Très « en colère » elle me rend ce que j’ai fait sauf qu’elle passe sa main entre mes fesses à la recherche de mon cul: j’ attends à ce que son doigt vienne dans mon ventre. Je comprend mon erreur quand elle se baisse pour passer sa langue sur mon anus. J’écarte les fesses à deux main et ouvre mon cul: sa langue entre facilement. Tania a une langue plus longue que les autre. Elle en met au moins la moitié dans mon anus. Sa sodomie est toujours agréable. Cette fois j’y rajoute une masturbation. Je suis obligée de me tenir à la table pour ne pas tomber de bonheur. Nous arrivons à petit déjeuner cahincaha. A la suite nous passons dans la salle de bain pour la douche obligatoire. Maintenant c’est à moi de jouer.
Je règle la chaleur et la puissance du jet de la douche. Je sors les gants de toilette, les onguents, bref ce qu’il faut. Je lave Tania comme une enfant, en insistant sur les endroit les plus sales: entre les jambes, entre les fesses, le sexe bien sur. Ce n’est qu’un prétexte pour la peloter. Elle me le rend bien. Par contre il n’y que moi qui ai le droit de nous rincer: le jet d’eau passe partout, surtout sur les clitoris. Tania est très amatrice de cette jouissance. Je la fait partit 3 ou 4 fois avant de me branler une fois.
Je l’essuie partout, surtout entre les jambes et sur les seins. Elle m’en fait autant.
Nous retrouvons le lit pour nous aimer encore par un énième 69. Cette fois le gode sert pour nous sodomiser. Que de plaisir à voir le gode manié par une main féminine qui entre et sort d’un cul.
Nous finissons la journée toujours nue, malgré la présence d’un voisin curieux qui nous épie sans arrêt. Nous le voyons même se masturber: ce con nous excite encore plus quand nous baisons.
Je dois partir: la semaine prochaine elle vient chez moi.
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je voudrais bien discuter avec toi huguette les gouines me font bander comme un ane