TANTE AMÉLIE
Récit érotique écrit par Mib14 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-02-2022 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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TANTE AMÉLIE
TANTE AMÉLIEJ’attends depuis une quinzaine de minutes dans la gare TGV d’une grande ville du sud de la France. J’attends ma tante qui vient assister à un colloque sur le rôle des femmes dans l’Empire romain. Elle avait prévu arriver quelques jours à l’avance pour qu’on puisse passer du temps ensemble. De toute façon, ses dépenses sont couvertes par le groupe d’étude pour lequel elle travaille. Je m’appelle Julie, j’ai 19 ans et je suis étudiante à l’université de cette ville colorée et chaude. Avant je voyais tante Amélie à quelques reprises pendant l’année mais depuis quelques mois, on s’est rapproché. On discute au téléphone. Je lui fais part de mes hésitations, de mes états d’âme. Amélie a 42 ans et dans la force de l’âge. Elle est élégante, grande, souriante, et a été gratifié d’un beau corps qu’elle entretient et dont elle est fière.
Ma mère habite Lyon mais on ne se voit pas souvent. En fait les deux femmes ne sont pas des sœurs, car Amélie a été adoptée. Elle est un peu à part dans la famille. Je l’appelle tante Amélie mais elle n’est pas en réalité ma vraie tante. Quand je lui ai demandé pourquoi Amélie ne s’était jamais mariée, elle m’a répondu « Ah celle-là, elle a suivi son propre chemin ». Ma mère est très conservatrice et ses réponses sont souvent évasives mais je ne suis pas idiote. J’habite à la résidence des filles à l’université. Je sais ce que je vois et je sais aussi ce que je ressens. J’en parle avec Amélie. Je compte beaucoup sur sa visite pour mettre certaines choses au clair et pour lui parler des sentiments que j’ai pour elle.
Finalement je vois le petit chapeau rond de ma tante qui se promène au-dessus de la foule.
« Enfin de la chaleur », s’écrie-t-elle, « La grisaille a déjà envahi Paris ».
Elle me serre dans ses bras et m’embrasse dans le cou après m’avoir fait la bise. Je suis étonnée mais je frissonne après ce dernier baiser. Elle dépose sa valise à l’hôtel et on est déjà en promenade sur la rue des boutiques.
« J’ai des vêtements à acheter et ils sont moins chers ici qu’à Paris », dit Amélie, « Tu veux me suivre ? ». dit-elle.
« Bien sûr, je te sers de guide », lui dis-jeOn a regardé une boutique de souliers, passé pas mal de temps dans une boutique de robes dans laquelle Amélie s’est presque laissé tenter.
« Tiens, avant le déjeuner, on devrait terminer avec celle-ci », dit Amélie en pointant dans la direction d’une boutique pour lingerie féminine.
« Ah oui…j’adore…», dis-je, imaginant très bien Amélie dans ce genre de boutiques. « J’y vais régulièrement ».
La gérante me reconnait et me fait un beau sourire. Il n’y a qu’une autre femme dans la petite boutique, une femme un peu plus jeune qu’Amélie mais de la même élégance. Les deux femmes échangent un sourire et je me retire un peu car je sens qu’Amélie veut engager la conversation avec cette femme.
« J’hésite à acheter ces strings tellement …tellement… », dit la femme.
« Tellement…révélateurs ? », termine Amélie« Oui, c’est ça…révélateurs…même si on porte une robe ou une jupe », dit la femme en riant.
« Ça vous irait très bien », dit Amélie en baissant le tonC’est à ce moment-là, vraiment à ce moment-là, que je compris finalement que non seulement Amélie était lesbienne mais qu’elle était aussi en chasse, même en ma présence.
« Ça nous irait bien à toutes les deux », dit la femme qui avait visiblement reconnu les avances d’Amélie et lui répondait dans l’affirmative.
J’étais médusée par la vitesse d’exécution et, en même temps, par l’élégance de cette connivence entre deux femmes qui en étaient certainement pas à leur première séduction publique.
« Je vois que vous n’êtes pas seule », ajoute la femme à voix basse« C’est ma nièce, mais pas vraiment. Ne vous inquiétez pas pour elle », rassure Amélie« Vous préférez qu’on passe à la salle d’essayage ou chez moi’, demande la femme sans hésitation.
« Ce serait plus privé chez vous, si ça ne vous dérange pas…ou à mon hôtel’, répond Amélie qui s’est rapprochée de la femme.
« Suivez-moi avec ou sans votre nièce », dit la femme en faisant un clin d’œil à ma tante.
Amélie s’approche de moi avec un sourire timide et cochon à la fois.
« J’ai tout compris », lui dis-je, « Je veux y aller aussi ».
« D’accord, mais tu ne diras rien à personne », dit Amélie soudain sérieuse« Promis…c’est entre nous », lui répondis-je.
La jolie brune de la boutique se prénomme Suzanne et habite à deux pas de là. Elle semble contente de me voir me joindre à elles. Elle habite dans un immeuble moderne en béton, assez laid de l’extérieur, mais très joli à l’intérieur.
Une fois dans l’appartement qui est tout ensoleillé, il y a un très court moment d’inconfort en entrant dans la chambre.
« Je regarde et j’apprends », dis-je en me retirant sur un petit canapé dans le coin de la chambre.
Les deux femmes, encore habillées, enlèvent leurs souliers et s’enlacent au milieu de la grande chambre. Un long baiser de langues accompagne les attouchements les plus intimes. Assise sur le canapé, je sens déjà que ma culotte est mouillée. Je la retire et je relève ma robe au-dessus de ma tête pour me préparer à une séance de masturbation. J’ai déjà participé à des séances entre femmes et j’en ai vues souvent mais celle-ci entre deux femmes mûres et belles c’est du nouveau et ça m’excite beaucoup.
Les deux amoureuses n’ont conservé que leur string et continuent à s’embrasser debout. Amélie me montre son dos et ses fesses couvertes en partie par son string. Suzanne pose sa tête sur l’épaule de ma tante et me sourit. Ses mains abaissent le string d’Amélie et écartent les fesses. Suzanne fait exprès pour me montrer l’entre-fesses de ma tante et m’exciter encore plus. Finalement les deux femmes complètement nues, après avoir échangé et humé leur string, se placent dans la position classique qui permet à deux femmes de se sucer la chatte. Amélie est sous Suzanne, ce qui me permit de voir les fesses de Suzanne et aussi son trou plissé. Suzanne se donne complètement à Amélie mais je la voie aussi s’exhiber à la jeune femme que je suis. Ça promet.
Une fois le premier orgasme atteint, les deux lesbiennes rendent hommage, chacune à son tour, aux fesses de l’autre et les langues s’activent entre deux paires de fesses pleines et bien formées agrémentées d’un trou bien bleu, visible et plissé. J’ai mon premier orgasme. Aussitôt, j’écarte les cuisses et me lèche les doigts pendant que Suzanne me regarde. C’est à mon tour d’envoyer un message.
Après une courte pause, c’est Suzanne qui grimpe sur Amélie pour voir sa réaction. Les deux femmes tentent d’établir une domination pour un frottage. Je regarde avec attention tout en jouant lentement avec mon clito en érection. Amélie accepte les avances de Suzanne et prend la position soumise pour l’accouplement au féminin. Nos regards se croisent un instant. Je la vois non seulement nue pour la première fois mais aussi en action avec une autre femme. J’atteins mon second orgasme avant même que les deux femmes commencent à se frotter. Amélie croise ses jambes autour de la taille de Suzanne qui s’ajuste pour amener sa chatte poilue sur la touffe mouillée d’Amélie. Elles atteignent leur rythme de croisière assez rapidement et je peux voir les muscles de fesses de Suzanne se tendre à chaque coup de hanches. C’est un très beau spectacle qu’il m’est donné de voir : deux femmes en surexcitation sexuelle qui se frottent le clito avec force et désir, action qu’elles ont toutes les deux accomplis des douzaines de fois avec d’autres mais pour la première fois ensemble. Elles crient leur joie, un cri rapidement étouffé par un baiser juteux et salivant.
Amélie et Suzanne sont couchées côte à côte, reprenant leur souffle et se tenant par la main.
Je suis nue et je me lèvre du canapé.
Amélie se lève et prend ma place. Sur le lit, Suzanne m’attend depuis le début. Aussitôt que je mets le genou sur le lit, elle me saute dessus. Elle est plus grande et plus forte que moi. Elle ouvre mes cuisses et y enfouie la tête, prenant ma touffe au complet dans sa bouche. Elle me suce les lèvres comme un aspirateur, puis le clito. Je jouis dans les prochaines minutes. Amélie s’est glissée derrière Suzanne pour lui bouffer le cul. Le trio se forme. Suzanne remonte son corps sur le mien jusqu’à ce que sa chatte couverte de poils longs et noirs rencontre ma bouche. Dans cette position, que Suzanne maitrisait à merveille, ma langue peut s’engouffrer entre ses lèvres rouges et dans son trou, pendant que son clito en érection se frotte contre mon nez. J’ouvre la bouche pour lui signifier que je suis prête. Quelques minutes plus tard elle me gicle en pleine bouche. Suzanne se retourne et place ses genoux de chaque côté de ma tête. C’est à mon tour de rendre hommage à cette paire de fesses en forme de poires et qui contient une belle rondelle mauve et bien plissée. Je me régale tandis que Suzanne et Amélie s’embrassent et se massent les nichons. Même si Amélie est presque en position pour me prendre, elle laisse Suzanne nous séparer. Elle n’est pas prête.
« Ma vessie va éclater », dit Amélie« La mienne aussi », dit SuzanneLes deux femmes nues, couvertes de cyprine séchée, se tenant par la main, se dirigent vers la salle de toilette. Je fais la voyeuse et me masturbe lentement en voyant mes deux amies s’asperger de nectar jaune dans le grand bain rose.
Après une douche, on se retrouve toutes les trois sur le lit. Cette fois Suzanne me prend comme elle avait baisé Amélie, face à face, chatte à chatte, nichons à nichons. Je la tiens par les fesses pendant qu’elle me laboure la fente avec son clito dur et flexible à la fois. Puis c’est le frottage, les deux boutons se pressant l’un contre l’autre, puis se quittent puis se reprennent encore. Je sens bien la cyprine de Suzanne gicler contre la mienne dans un orgasme mutuel.
-----------------------------------------------------------------------------------------------------------Amélie et moi marchons vers son hôtel la main dans la main.
« Suzanne t’a donné son numéro ? », demande Amélie sur un ton amusé« Oui et moi le mien », répondis-je« C’est chouette. Vous allez bien vous amuser. », dit Amélie, « Bien sûr, je suis un peu jalouse mais je ne devrais pas car tu es ma nièce » « Je ne suis pas ta nièce car tu n’es pas la sœur de ma mère, alors ne me fait plus regretter notre rencontre et les autres que nous aurons », dis-je finalement libérée de ce secret.
« Tu sais…dans ces séances à trois…tout devient un peu flou…et des coups de langue peuvent se perdre…tu comprends ? … », marmonna Amélie en rougissant« Oui je comprends…j’assume mes coups de langue… », dis-je en riant« Tu viens prendre une douche à mon hôtel ? », demande innocemment AmélieJe ne réponds pas et je sentis sa main serrer la mienne.
--------------------------------------------------------------------------------------------------------Je regarde par la fenêtre de l’hôtel le soleil se lever. Je suis nue mais il fait déjà chaud. Amélie dort étendue sur le lit. Disons qu’on a brisé la glace. On a prévu une rencontre avec Suzanne avant le départ d’Amélie. Je ne dirai rien à maman. FIN
Ma mère habite Lyon mais on ne se voit pas souvent. En fait les deux femmes ne sont pas des sœurs, car Amélie a été adoptée. Elle est un peu à part dans la famille. Je l’appelle tante Amélie mais elle n’est pas en réalité ma vraie tante. Quand je lui ai demandé pourquoi Amélie ne s’était jamais mariée, elle m’a répondu « Ah celle-là, elle a suivi son propre chemin ». Ma mère est très conservatrice et ses réponses sont souvent évasives mais je ne suis pas idiote. J’habite à la résidence des filles à l’université. Je sais ce que je vois et je sais aussi ce que je ressens. J’en parle avec Amélie. Je compte beaucoup sur sa visite pour mettre certaines choses au clair et pour lui parler des sentiments que j’ai pour elle.
Finalement je vois le petit chapeau rond de ma tante qui se promène au-dessus de la foule.
« Enfin de la chaleur », s’écrie-t-elle, « La grisaille a déjà envahi Paris ».
Elle me serre dans ses bras et m’embrasse dans le cou après m’avoir fait la bise. Je suis étonnée mais je frissonne après ce dernier baiser. Elle dépose sa valise à l’hôtel et on est déjà en promenade sur la rue des boutiques.
« J’ai des vêtements à acheter et ils sont moins chers ici qu’à Paris », dit Amélie, « Tu veux me suivre ? ». dit-elle.
« Bien sûr, je te sers de guide », lui dis-jeOn a regardé une boutique de souliers, passé pas mal de temps dans une boutique de robes dans laquelle Amélie s’est presque laissé tenter.
« Tiens, avant le déjeuner, on devrait terminer avec celle-ci », dit Amélie en pointant dans la direction d’une boutique pour lingerie féminine.
« Ah oui…j’adore…», dis-je, imaginant très bien Amélie dans ce genre de boutiques. « J’y vais régulièrement ».
La gérante me reconnait et me fait un beau sourire. Il n’y a qu’une autre femme dans la petite boutique, une femme un peu plus jeune qu’Amélie mais de la même élégance. Les deux femmes échangent un sourire et je me retire un peu car je sens qu’Amélie veut engager la conversation avec cette femme.
« J’hésite à acheter ces strings tellement …tellement… », dit la femme.
« Tellement…révélateurs ? », termine Amélie« Oui, c’est ça…révélateurs…même si on porte une robe ou une jupe », dit la femme en riant.
« Ça vous irait très bien », dit Amélie en baissant le tonC’est à ce moment-là, vraiment à ce moment-là, que je compris finalement que non seulement Amélie était lesbienne mais qu’elle était aussi en chasse, même en ma présence.
« Ça nous irait bien à toutes les deux », dit la femme qui avait visiblement reconnu les avances d’Amélie et lui répondait dans l’affirmative.
J’étais médusée par la vitesse d’exécution et, en même temps, par l’élégance de cette connivence entre deux femmes qui en étaient certainement pas à leur première séduction publique.
« Je vois que vous n’êtes pas seule », ajoute la femme à voix basse« C’est ma nièce, mais pas vraiment. Ne vous inquiétez pas pour elle », rassure Amélie« Vous préférez qu’on passe à la salle d’essayage ou chez moi’, demande la femme sans hésitation.
« Ce serait plus privé chez vous, si ça ne vous dérange pas…ou à mon hôtel’, répond Amélie qui s’est rapprochée de la femme.
« Suivez-moi avec ou sans votre nièce », dit la femme en faisant un clin d’œil à ma tante.
Amélie s’approche de moi avec un sourire timide et cochon à la fois.
« J’ai tout compris », lui dis-je, « Je veux y aller aussi ».
« D’accord, mais tu ne diras rien à personne », dit Amélie soudain sérieuse« Promis…c’est entre nous », lui répondis-je.
La jolie brune de la boutique se prénomme Suzanne et habite à deux pas de là. Elle semble contente de me voir me joindre à elles. Elle habite dans un immeuble moderne en béton, assez laid de l’extérieur, mais très joli à l’intérieur.
Une fois dans l’appartement qui est tout ensoleillé, il y a un très court moment d’inconfort en entrant dans la chambre.
« Je regarde et j’apprends », dis-je en me retirant sur un petit canapé dans le coin de la chambre.
Les deux femmes, encore habillées, enlèvent leurs souliers et s’enlacent au milieu de la grande chambre. Un long baiser de langues accompagne les attouchements les plus intimes. Assise sur le canapé, je sens déjà que ma culotte est mouillée. Je la retire et je relève ma robe au-dessus de ma tête pour me préparer à une séance de masturbation. J’ai déjà participé à des séances entre femmes et j’en ai vues souvent mais celle-ci entre deux femmes mûres et belles c’est du nouveau et ça m’excite beaucoup.
Les deux amoureuses n’ont conservé que leur string et continuent à s’embrasser debout. Amélie me montre son dos et ses fesses couvertes en partie par son string. Suzanne pose sa tête sur l’épaule de ma tante et me sourit. Ses mains abaissent le string d’Amélie et écartent les fesses. Suzanne fait exprès pour me montrer l’entre-fesses de ma tante et m’exciter encore plus. Finalement les deux femmes complètement nues, après avoir échangé et humé leur string, se placent dans la position classique qui permet à deux femmes de se sucer la chatte. Amélie est sous Suzanne, ce qui me permit de voir les fesses de Suzanne et aussi son trou plissé. Suzanne se donne complètement à Amélie mais je la voie aussi s’exhiber à la jeune femme que je suis. Ça promet.
Une fois le premier orgasme atteint, les deux lesbiennes rendent hommage, chacune à son tour, aux fesses de l’autre et les langues s’activent entre deux paires de fesses pleines et bien formées agrémentées d’un trou bien bleu, visible et plissé. J’ai mon premier orgasme. Aussitôt, j’écarte les cuisses et me lèche les doigts pendant que Suzanne me regarde. C’est à mon tour d’envoyer un message.
Après une courte pause, c’est Suzanne qui grimpe sur Amélie pour voir sa réaction. Les deux femmes tentent d’établir une domination pour un frottage. Je regarde avec attention tout en jouant lentement avec mon clito en érection. Amélie accepte les avances de Suzanne et prend la position soumise pour l’accouplement au féminin. Nos regards se croisent un instant. Je la vois non seulement nue pour la première fois mais aussi en action avec une autre femme. J’atteins mon second orgasme avant même que les deux femmes commencent à se frotter. Amélie croise ses jambes autour de la taille de Suzanne qui s’ajuste pour amener sa chatte poilue sur la touffe mouillée d’Amélie. Elles atteignent leur rythme de croisière assez rapidement et je peux voir les muscles de fesses de Suzanne se tendre à chaque coup de hanches. C’est un très beau spectacle qu’il m’est donné de voir : deux femmes en surexcitation sexuelle qui se frottent le clito avec force et désir, action qu’elles ont toutes les deux accomplis des douzaines de fois avec d’autres mais pour la première fois ensemble. Elles crient leur joie, un cri rapidement étouffé par un baiser juteux et salivant.
Amélie et Suzanne sont couchées côte à côte, reprenant leur souffle et se tenant par la main.
Je suis nue et je me lèvre du canapé.
Amélie se lève et prend ma place. Sur le lit, Suzanne m’attend depuis le début. Aussitôt que je mets le genou sur le lit, elle me saute dessus. Elle est plus grande et plus forte que moi. Elle ouvre mes cuisses et y enfouie la tête, prenant ma touffe au complet dans sa bouche. Elle me suce les lèvres comme un aspirateur, puis le clito. Je jouis dans les prochaines minutes. Amélie s’est glissée derrière Suzanne pour lui bouffer le cul. Le trio se forme. Suzanne remonte son corps sur le mien jusqu’à ce que sa chatte couverte de poils longs et noirs rencontre ma bouche. Dans cette position, que Suzanne maitrisait à merveille, ma langue peut s’engouffrer entre ses lèvres rouges et dans son trou, pendant que son clito en érection se frotte contre mon nez. J’ouvre la bouche pour lui signifier que je suis prête. Quelques minutes plus tard elle me gicle en pleine bouche. Suzanne se retourne et place ses genoux de chaque côté de ma tête. C’est à mon tour de rendre hommage à cette paire de fesses en forme de poires et qui contient une belle rondelle mauve et bien plissée. Je me régale tandis que Suzanne et Amélie s’embrassent et se massent les nichons. Même si Amélie est presque en position pour me prendre, elle laisse Suzanne nous séparer. Elle n’est pas prête.
« Ma vessie va éclater », dit Amélie« La mienne aussi », dit SuzanneLes deux femmes nues, couvertes de cyprine séchée, se tenant par la main, se dirigent vers la salle de toilette. Je fais la voyeuse et me masturbe lentement en voyant mes deux amies s’asperger de nectar jaune dans le grand bain rose.
Après une douche, on se retrouve toutes les trois sur le lit. Cette fois Suzanne me prend comme elle avait baisé Amélie, face à face, chatte à chatte, nichons à nichons. Je la tiens par les fesses pendant qu’elle me laboure la fente avec son clito dur et flexible à la fois. Puis c’est le frottage, les deux boutons se pressant l’un contre l’autre, puis se quittent puis se reprennent encore. Je sens bien la cyprine de Suzanne gicler contre la mienne dans un orgasme mutuel.
-----------------------------------------------------------------------------------------------------------Amélie et moi marchons vers son hôtel la main dans la main.
« Suzanne t’a donné son numéro ? », demande Amélie sur un ton amusé« Oui et moi le mien », répondis-je« C’est chouette. Vous allez bien vous amuser. », dit Amélie, « Bien sûr, je suis un peu jalouse mais je ne devrais pas car tu es ma nièce » « Je ne suis pas ta nièce car tu n’es pas la sœur de ma mère, alors ne me fait plus regretter notre rencontre et les autres que nous aurons », dis-je finalement libérée de ce secret.
« Tu sais…dans ces séances à trois…tout devient un peu flou…et des coups de langue peuvent se perdre…tu comprends ? … », marmonna Amélie en rougissant« Oui je comprends…j’assume mes coups de langue… », dis-je en riant« Tu viens prendre une douche à mon hôtel ? », demande innocemment AmélieJe ne réponds pas et je sentis sa main serrer la mienne.
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