TANTE CATHY
Récit érotique écrit par Tamalou [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-02-2019 dans la catégorie Pour la première fois
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TANTE CATHY
Elle a fait irruption dans ma chambre et elle a foncé droit sur moi.
Choqué, je lève mon regard vers elle, ma mâchoire inférieure pesant des tonnes.
"Sale petit vicieux" dit-elle en me regardant.
Les poings sur les hanches. Le feu brûlant de ses yeux.
Elle était magnifique.
Je savais de quoi elle parlait, mais je restais muet.
J'avais un problème. J'avais dépassé les bornes et elle voulait me le faire payer.
J'ai piaillé: "Quoi? De quoi tu parles?"
Mon visage m'a trahi. Mes joues brûlantes se couvraient de rouge, le rouge de la honte.
"Ne joue pas à ce jeu avec moi, petite crotte puante. N'essaye pas de faire comme si tu ne savais pas de quoi il s'agit."
Elle bouillait tandis que je la regardais, une chape de plomb glacé creusait un cratère dans mon estomac.
Ses bras croisés faisaient gonfler ses seins, Tante Cathy m'humilia en disant: "Allez, vas-y, montre-moi!"
J'étais perdu, confus.
Toute mon attention était concentrée sur sa poitrine gonflée reposant sur ses avant-bras croisés.
La chair rosée débordait des bonnets de son soutien-gorge.
Tante Cathy poussa un soupir, les joues gonflées d'exaspération.
"Tu as joué avec ton truc en m'espionnant, Samuel," dit-elle, volcanique et coléreuse.
Ma tante a tendu son bras et m'a piqué d'un index accusateur: "N'essaye pas de me raconter des sornettes. J'ai assez d'expérience pour savoir quand un avorton secoue sa bite."
La véhémence de son assaut verbal était étourdissante.
Puis ma tante m'a choqué en ajoutant: "Vas-y, fais-le maintenant. Je suis devant toi. Plus besoin de te dissimuler, petite larve! Tu veux te servir de ta pathétique petite bistouquette sur moi? Je te donne ta chance. Vas-y. Je suis là, devant toi, maintenant!"
Ma tante recula d'un pas et me présenta ses courbes, caressant ses flancs.
Malgré la vue séduisante de sa silhouette voluptueuse, la panique s'empara de moi:
"Non!" j'expirais: "Ce n'étais pas ... je n'étais pas …!"
Son éclat de rire, cumulé à sa main claquant sur sa cuisse, m'a fait sursauté.
"Mes couilles!"
En proie à une évidente colère, elle jurait comme un charretier. "Tu te tenais là. Dans l'embrasure de la porte. Regarde!"
Son doigt tendu me montrait la scène du crime.
Ma tante, courbée devant moi, son visage à quelques centimètres du mien, essayait de capturer mon regard.
Mais mes yeux étaient irrésistiblement attirés pas ses grosses mamelles qui se balançaient sous mon nez.
C'était trop, j'avais été incapable de résister. Ma tante, si séduisante avec ses formes voluptueuses, ses seins gonflés, ses fesses charnues, sortant de la baignoire avec la porte de la salle de bain entrouverte. Un saint n'aurait pas pu résister, alors moi!
Rien n'aurait pu m'en empêcher. Attiré par la vision de ses courbes lascives, je me suis tapi dans l'ombre, et j'ai regardé la beauté splendide. Puis, gêné par mon érection, dans le but de remettre les choses en place, je me suis caressé. Enfin, tout en me demandant ce que je pourrais bien lui faire si j'avais son corps à ma disposition, les caresses se sont transformées en branlette.
Penchée sur la baignoire pour se sécher, ma tante exposait ses fesses callipyges. De trois quart arrière, je voyais ses loches se balancer pendant qu'elle se tortillait pour enfiler sa culotte.
Sa peau brillait de la chaleur du bain tandis qu'elle attrapait son soutien-gorge, fixant l'appareil pour emprisonner ses seins.
Je n'avais pas pu voir ce qu'elle cachait entre ses jambes, j'imaginais quelque chose style piste d’atterrissage.
Obnubilé par mon fantasme, ma main travaillait sérieusement ma bite lorsqu'elle s'est retournée.
Ses yeux ont été attirés par le mouvement.
Avant qu'elle ne puisse pousser un cri ou esquisser un geste, je me me suis enfuis dans ma chambre.
Je n'y suis réfugié, recroquevillé sur mon lit, dans l'espoir qu'un miracle se produise.
Mais elle a fondu sur moi comme la misère sur le pauvre peuple.
Pleine de rage et de d'indignation, je redoutais sa vengeance.
"Tu m'espionnais. Sale petite larve furtive ... Je t'ai vu, Samuel!"
Ma tante poussa un énorme soupir, se redressa, essayant toujours de capturer mon regard.
Elle croisa ses bras sous ses impressionnantes loches, les remontant et les gonflant.
Ce mouvement m'hypnotisait. Ses seins me fascinaient. Les tétons poussaient contre la fine dentelle du sou-tif.
Je demandais si elle pouvait me crever les yeux avec ça.
"Mes seins!" railla tante Cathy. "C'est ça? Hein, petit pervers! C'est les seins de ta tante que tu reluques depuis tout à l'heure!"
J'ai dégluti, crispé et anxieux: "Ouais, tu ne diras rien, n'est-ce pas?"
Ma tante gloussa, les yeux plissés: "Ooh, monsieur ne veut pas que ça se sache, n'est-ce pas? Monsieur est un petit pervers, un sale petit rat, mais il ne faut rien dire qui puisse compromettre son honneur? C'est bien ça, petite crotte puante?"
"Je suis désolé, je te demande pardon!" ai-je tenté, suppliant et larmoyant.
"Ooh non, Samuel. Tu ne vas pas t'en tirer en disant désolé, pardon!"
Tante Cathy me dominait de toute sa taille et me fixait d'un regard étrange:
"Non, ce que tu vas faire, c'est me montrer exactement ce que tu faisais. C'était bien de le faire en cachette? Sans que je le sache? Alors ce sera aussi bien de le faire devant moi! Sans te cacher."
La mortification m'a gelé. Puis exalté. Mes joues étaient brûlantes, et une sueur froide transpirait le long de ma colonne vertébrale.
Consterné par cette épreuve, je protestais: "Quoi? Seigneur, mais non voyons, tante Cathy!"
Ma tante était inflexible, ne tenait aucun compte de mes protestations.
"Oh, tu vas le faire, Samuel. Pourceau vicieux. Tu penses qu'il est normal d'agiter ta petite bite en me regardant? Je suis la sœur de ta mère! Crétin! Je ne suis pas une pute que l'on siffle quand elle se déshabille. Je te connais depuis que tu es né. Tu devrais avoir un plus de respect pour les membres de ta famille! Débauché!"
Elle était magnifique en colère. Pleine de rage, sauvage, elle postillonnait en éructant ses insultes. Je ne l'avais jamais vue furieuse avant, sa colère libérait son langage vulgaire. Elle qui ne jurait jamais, sa rage lui faisait perdre son contrôle.
Mais surtout, surtout, dans sa colère, elle agitait divinement ses seins et ses fesses, et j'étais entre l'enfer et le paradis!
Tante Cathy m'a attrapé par les revers de ma veste pour attirer mon visage près du sien et m'a craché: "Je vais te donner une bonne leçon, animal nuisible. Tu vas faire tes saloperies devant moi et je vais te regarder, ce sera ma vengeance!"
Mon éducation m'a habitué à obéir à l'autorité. Tante Cathy en fait partie.
Que ses instructions soient immorales importait peu pour moi à l'époque. J'aurais pu refuser, mais mon esprit ne fonctionnait pas ainsi. Je tremblais devant une possible dénonciation, je paniquais, j'étais terrorisé par une potentielle réaction de ma mère.
Ou pire, de mon père! Là, on changeait de dimension! Quelle pourrait être la sanction? Je n'en avais aucune idée, et c'est pour cela que je tremblais de frousse! De toute façon, je savais que j'aurais des ennuis si elle décidait de parler. L'humiliation serait énorme. Insupportable. Cela se répandrait comme une traînée de poudre. La famille. Les amis. La honte. L'infamie. Le petit pervers, le petit vicieux, ce gros cochon. Marqué au fer rouge, à vie!
Non, elle me tenait, fière et sévère, j'étais cuit.
Je redoutais beaucoup moins une violence physique de sa part, que l'effet pernicieux de la délation.
La vie était cruelle et j'étais une petite merde.
"Mais je ne peux pas, tata, je ne peux pas!" je haletais en sentant ma bite se contracter.
"Tu vas m'obéir!" scanda ma tante, en détachant bien les syllabes, dents serrées, regard furibond.
J'étais recroquevillé sur mon lit alors qu'elle se tenait courbée au-dessus de moi, les poings crispés sur ma veste, son regard plongé dans le mien.
Je jetais un coup d'œil vers la porte, à la dérobée, me demandant si je pouvais lui échapper.
Comme si elle avait lu dans mes pensées, ma tante m'a sourit méchamment: "Tu tentes quoi que ce soit, Samuel, et je vais de ce pas dire à ma sœur quel sale petit voyou tu es. Tu veux que je parle à ma sœur?"
Tante Cathy a soulevé un seul sourcil pour souligner sa question.
Larmoyant, je gémissais: "Oh non, s'il te plaît, ne dis rien à ma mère."
Triomphante, la chienne incorruptible souriait en hochant la tête. Elle a désigné ma bite et m'a dit: "Exécution!"
J'ai essayé de mendier. Ça l'a fait rire.
"Tu as choisi la mauvaise proie, Samuel," dit tante Cathy.
Elle fit la moue, me regardant avec une fausse pitié dans son expression: "Pauvre de toi. Tu n'es qu'un petit idiot pervers! Tu espérais échapper à tante Cathy? Tu croyais que j'allais faire preuve de pitié? De mansuétude? Que j'allais te gracier, émue par tes larmes de crocodile? Tu m'as prise pour qui? Une idiote? Tu ne savais que je pouvais être une salope intégrale? N'as-tu jamais pensé au fait que je n'ai pas d'homme dans ma vie, Samuel?"
Je clignais des yeux devant la férocité de son expression.
"Je ... je ne sais pas, tante Cathy."
Ma tante riait de manière outrancière, la tête rejetée en arrière, les seins frétillants avant qu’elle ne se claque une cuisse du plat de la main. Soudain venimeuse après cet éclat de rire, le visage de ma tante redevint tendu quand elle se pencha sur moi.
"C'est parce que je ne crois pas à leur baratin. Parce que je suis une rebelle. Les hommes m'obéissent, ou ils ne me touchent pas."
Ma tante, méconnaissable, n'avait plus aucun point commun avec la femme que j'avais côtoyé toute ma vie.
"Alors, parce que je suis une rebelle, Samuel, ce que tu vas faire, c'est pêcher ton petit vermisseau et jouer avec."
Je l'ai fait parce que j'en avais férocement envie.
Je l'ai fait parce que je ne voulais pas qu'elle me rapine à ma mère.
Je l'ai fait parce que ça ne m'est pas venu à l'idée de refuser. Elle incarnait l'autorité.
Mon visage était en feu quand j'ai décompressé et tiré sur le prépuce ratatiné avec mes doigts tremblants.
Tante Cathy était cinglante: "Mon Dieu, ce n'est que ça? Ce n'est pas très impressionnant, Samuel? Dis-moi, as-tu déjà fait plaisir à une fille avec cette petite chose toute mollassonne?"
C'était une torture de l'entendre se moquer. Humilié, je me suis tourné vers le mur. Je ne pouvais plus supporter l'expression de son visage, la joie mauvaise de ses yeux brillants.
"Allez, vas-y, fais-toi durcir", a ajouté tante Cathy. "Secoue-moi ça, Samuel, sois énergique. Montre-moi les choses obscènes que tu faisais pour te pervertir."
Le visage rougissant de plus en plus, je caressais ma bite, reconnaissant et soulagé qu'elle reprenne vie quand je me suis touché.
"Regardez-moi ça" a tonné Cathy. "Une petite chose tellement pathétique. Accélère un bon coup!"
Après un moment, ma bite était complètement dressée, enflée et lancinante, le désir me chauffait les reins malgré la situation dans laquelle je me trouvais. Ma convoitise bouillait dans mes veines et me donnait la confiance de vraiment travailler ma bite.
Je ne pensais pas exactement cela, mais ce qui me traversait la tête, c'était quelque chose du genre: je vais te montrer, salope ...
Le silence s'était installé entre nous. Les seuls bruits audibles étaient le grincement du sommier et la branlette humide et glissante de mon poing glissant sur la tige, le liquide pré-éjaculatoire graissant l’action.
"Petite saloperie perverse! Tu es monté comme un âne!"murmura ma tante.
Enhardi par la luxure: "C'est l'effet que tu me fais!"
"C'est dégueulasse! Tu es dégueulasse!" protesta-t-elle.
"Tu es adorable, tante Cathy!" je gémissais, fou amoureux de ma tante.
"Tu aimes mes gros seins," répliqua tante Cathy. "J'ai remarqué que tu les regardais avant."
Quand elle a mentionné ses seins, ma concentration s'est focalisée sur ces énormes orbes enveloppés dans le soutien-gorge.
"Sale cochon", dit tante Cathy. "Tu les regardes maintenant. C'est juste sale, Samuel. Tu es un pourceau sale. "
Puis, après un regard méprisant de dédain, ma tante a attrapé le fermoir dans son dos: "D'accord, tu veux les voir? Est-ce que cela te rendra heureux? Regarde bien. Ce sont mes seins, une petite crotte pathétique comme toi ne pourra jamais jouer avec!"
Je restais bouche bée lorsqu'elle libéra les deux masses opalines de son soutien-gorge.
"Horrible petit connard", murmura tante Cathy en soulevant ses seins dans ses paumes: "Regarde ta tante. Je les branle. C'est juste répugnant, Samuel. Je suppose que tu voudrais aussi me voir quitter cette culotte."
Mon désir a bondi quand j'ai réalisé qu'elle allait le faire. Je me suis branlé plus fort, émerveillé par les sensations révélées au fond de moi.
"Un garçon grossier comme toi voudra voir ma chatte."
Elle avait les pouces accrochés dans sa culotte, les yeux fixés sur mon visage.
"La chatte de ta tante! Quelle misère!"
Je déglutis laborieusement, mes tripes vibrantes de sensations tourbillonnantes.
"Salaud, vicieux, sale petit pervers," continua tante Cathy en me souriant. "Tu devrais avoir honte de te comporter ainsi!"
Elle dévoila sa chatte d'un geste brusque, faisant glisser sa culotte le long de ses jambes. Quand elle fut nue, ma tante a prit la pose, sans honte, bien campée sur ses jambes écartées, les poings sur ses hanches.
Ma tante me présentait sa face avant, je restais bouche bée devant ce corps voluptueux, me délectant de ses courbes vallonnées.
Mes yeux examinaient les moindres détails de sa chatte épilée et des épaisses lèvres charnues qui bordaient ses plis intimes.
"Ouais, je vois que ça te plait. Ça te fait frétiller de me voir nue? Dieu, tu es un tel pourceau pervers, Samuel. Je vais devoir vraiment dire à ta mère tout ce que tu m'as fait."
Elle a avancé son bassin de manière aguichante.
"Regarde bien. C'est tout ce que tu auras. Je vais te laisser quelques minutes pour te branler. Tu peux regarder, Samuel. Mais quand tu auras fini, je me rhabillerai et nous ne reparlerons plus jamais de ça!"
Enfiévré par l'excitation: "Tante Cathy, je veux te baiser!"
Les yeux de ma tante s'écarquillèrent de stupeur en se penchant sur moi. Ses seins se balançaient et gigotaient d'émotion, ce qui faillit provoquer un déluge de joie de ma bite.
"Putain de merde, petit morveux!" souffla tante Cathy. "Comment oses-tu?"
Incontrôlable, je tendais la main et attrapais sa poitrine.
Ma tante poussa un cri et se redressa, me frappant la main en criant: "Ne me touche pas!"
Je secouais ma bite, fou de désir. "S'il te plait, tantine" sanglotais-je, tendant la main vers ses trésors.
Ma tante m'a giflé. "Non. Je te l'ai dit, tu peux regarder, mais pas touche. Seuls mes amants peuvent me toucher."
Je l'ai regardée: "Tes amants?"
Ma tante s'est redressée. Souriante, elle me narguait en jouant avec ses seins.
"Cela demande beaucoup de temps et d'efforts pour arriver à me séduire!" a déclaré tante Cathy. "Je connais quelques jeunes hommes avec qui j'aime jouer. La plupart se contentent de m'adorer. Rares sont ceux qui peuvent me baiser."
"Oh, s'il te plaît, laisse-moi essayer, tante Cathy," désespéré par son refus.
"C'est impossible pour toi, Samuel," dit Tante Cathy en secouant la tête. Elle semblait désolée: "Je ne peux pas te laisser me toucher parce que tu es mon neveu. Ce serait tellement immoral. Je suis déjà bien gentille de te montrer ma nudité. Tu sais que je ne devrais pas, Samuel? Je veux dire, je suis ta tante. C’est malsain de faire ça. Je le fais juste pour te taquiner. Parce que tu as été si méchant que je dois bien te donner une leçon. Tu peux juste te branler, Samuel. Mais tu ne dois pas poser la main sur moi!"
Ma tante palpait son imposante poitrine, soupirant les yeux fermés: "Quel dommage de ne pas pouvoir en profiter. Une peau si douce et si lisse. Pauvre Samuel."
Tante Cathy se retourna pour me présenter sa croupe: "Et mes fesses, toutes rondes, tu en as envie, n'est-ce pas, Samuel? Un si beau cul! Tous mes petits chéris aiment embrasser mes fesses!"
Puis, choquante et impudique, ma tante s'est penchée en avant, cambrée et les jambes écartées, en écartant ses fesses avec ses mains.
"Est-ce que tu vois bien mes orifices, Samuel?"
J'admirais la raie culière de tante Cathy, son œillet brun plissé, sa chatte luisante d'excitation, ses lèvres épaisses qui s'écartaient avec une réticence visqueuse.
"Un de mes jeunes amants adore me lécher ici," murmura tante Cathy. Du bout du doigt, elle me désignait son rectum, puis a inséré deux doigts dans son sexe: "J'aime la sensation que me procure une langue chaude et agile qui s'insère là-dedans. C'est tellement honteux et avilissant", a ajouté ma tante en se retournant vers moi. "Qu'en penses-tu, Samuel? N'est-ce pas une honte de lécher les fesses d'une dame? Laper ses jus comme un petit animal soumis. Aimerais-tu faire ça pour moi, petit pervers?"
"Oh, tante Cathy, puis-je?"
Ma tante avait une expression étrange, le visage tendu, le regard fixe: "Goûte mes doigts, Samuel," soupira-t-elle.
J'ai sucé ses doigts. Je pouvais sentir son arôme, musqué et profond.
"Bien, juste pour cette fois," dit tante Cathy, "Tu peux lécher mes fesses. Arrête de te branler et amène-toi!"
Ma tante s'est mise à quatre pattes sur mon lit, en appui sur les coudes et sur les genoux. Les fesses en l'air, le front en appui sur le lit, elle me regardait entre ses cuisses écartées.
"Écarte mes fesses et lèche-moi!" souffla-t-elle.
"C'est la seule fois où tu me toucheras", murmura ma tante, les seins pendants. "Allez, mets-toi au travail! Lèche-moi, espèce de sale petit animal lubrique!"
Elle a soupiré quand j'ai tamponné son sphincter du bout de la langue.
"Ne me chatouille pas, crétin!" marmonna ma tante. "Appuie vraiment, pénètre là-dedans. Creuse et lèche mon cul!"
Sauvage et avide, poussé par le désir et la curiosité, j'ai sondé aussi profondément que possible, en écartant ses fesses pour pouvoir tortiller le bout de ma langue dans son rectum.
Son goût épicé m'enflammait.
Ma tante a émis toutes sortes de sons flatteurs, geignante et gémissante, se tortillant et s'offrant à ma caresse.
Alors, j'ai pris ma chance, une chance insensée face aux conséquences possibles, j'ai délaissé son anus pour lui lécher la chatte.
Ma tante suffoqua en gémissant, tendant son bras pour me caresser la joue et le menton: "Tu ne devrais pas me lécher là ... Mais juste pour une seconde ... Juste pour cette fois ..."
Ne croyant pas vraiment que je m'en sortais à si bon compte, j'ai sucé son clitoris, osant glisser un doigt dans sa moiteur.
"Putain de merde" murmura tante Cathy "Ne mets pas tes doigts là-dedans!"
Mais elle ne m'a pas empêché de glisser un deuxième doigt à côté du premier.
Je me suis activé des lèvres et de la langue sur son clitoris érigé pendant que je baisais sa chatte avec deux doigts bien raides.
Puis, quand j'ai ajouté un troisième doigt, ma tante a grondé, et elle a voulu goûter son parfum sur ma langue.
L'instant suivant, sans que je sache comment, nous étions accroupis côte à côte, bouches soudées, sa main caressant ma tige, mes doigts enfoncés dans sa chatte brûlante.
"Viens!" insista tante Cathy: "Fais-moi des trucs lubriques. Fais-ça pour moi, Samuel!"
Ma tante suçait ma langue, sa main sur ma bite.
J'appréciais le spectacle de ma tante Cathy nue, ses courbes plantureuses, son regard fixé sur ses doigts caressant ma bite.
"Crois-tu que je vais te sucer?" ai-je entendu ma tante marmonner.
"Tu aimerais ça, n'est-ce pas Samuel? Moi, ta tante, sucer ta bite ..."
Elle se pencha encore plus, ses lèvres effleurèrent mon gland, mais elle se redressa en ricanant: "Tu pensais que j'allais le faire?"
"Je ne vais pas faire ça, Samuel. Je ne vais pas te sucer la bite. Tu es mon neveu. Et je suis une lady. Ce sont les salopes qui font des choses aussi dégradantes. Ce que je veux dire ..." elle haussait les sourcils en mimant l'innocence, "… sucer la bite de son neveu! Mon Dieu, c'est juste trop malsain d'envisager quelque chose d'aussi répugnant!"
Puis, instantanément, elle a plongé, bouche ouverte, sur ma bite qu'elle a gobé de sa bouche gourmande.
Elle me suçait en creusant ses joues, elle enfonçait ma bite entièrement entre ses lèvres pulpeuses, jusqu'à ce que son nez vienne heurter mon pubis. Elle gloussa quand le premier jet de sperme a jailli dans sa bouche.
Le deuxième a arrosé son visage. Les suivants ont arrosé sa poitrine et mon lit.
"Sale petit morveux malpropre!" dit tante Cathy sans lâcher ma bite. "Regarde ce bordel! Tu as osé, dans ma bouche, sur mes seins aussi! Mon Dieu ... quel pervers, dégoûtant!"
Sans lâcher ma bite, ma tante m'a poussé sur le dos en travers du lit et m'a enjambé. Tenant mon sexe à la verticale, elle a présenté sa chatte au-dessus en écartant ses replis intimes avec sa main libre.
"T'en as foutu partout," haleta tante Cathy.
Elle se laissa glisser en s'abaissant brusquement pour m'avaler.
"C'est ce que tu voulais, petit vicieux?"
Ma tante a commencé à onduler des hanches, secouant ses gros seins sous mon nez, ses mains en appui sur mon torse.
Elle me dévisageait en m'invectivant, tenait un monologue obscène, vilipendait ma perversité, se présentant comme une pauvre victime, violée par son neveu dépravé. Plus elle m'insultait, plus le mouvement de ses hanches augmentait et plus son souffle saccadé lui hachait la voix. Bientôt, elle fut incapable de parler, se contenta de gémir et de râler, avant de s'effondrer sur moi, tremblante et geignante, en plein délire.
Profitant de son état second, je laissais mes mains prendre possession de son corps, de ses hanches, de ses seins, de ses fesses.
Juste comme je pensais avoir atteint le sommet de la profanation, ma tante est sortie de sa transe: "À cru!" cria-t-elle, le visage tendu en me regardant dans les yeux. "Tu as joui en moi sans préservatif, Samuel ..."
J'avais joui, mais pas en elle, même si à cause de l'excitation, ma bite était restée ferme. Apparemment, c'était le petit truc magique qui lui permettait de redémarrer. Elle gémissait en se tordant et en se frottant sur moi. Elle me disait que ma bite n'était pas un petit ver pathétique et qu'elle lui faisait beaucoup de bien.
"... Je ne prends pas la pilule", a déclaré tante Cathy quand sa crise de démence fut calmée. "Tu pourrais me rendre enceinte. Tu pourrais mettre un bébé dans mon ventre."
Je la laissais avec ses élucubrations, me concentrant sur la chair pulpeuse de ses seins gonflés, maltraitant l'un, mordillant l'autre, tandis qu'elle me broyait de toute la vigueur de ses hanches, sa chatte spongieuse sur ma bite dressée.
Elle haletait et grognait, ses hanches tournoyaient dans un maelström fou, son désir semblant désespéré et urgent tandis que sa chatte ruisselait sur ma bite.
Mes mains étaient pleines de son corps. Elle était effondrée sur moi, pantelante, le visage enfoncé dans mon cou, babillant des absurdités obscènes, espérant l'orgasme libérateur.
Il est arrivé lentement. Tante Cathy, après plusieurs spasmes accompagnés de gémissement, cessa le mouvement frénétique de ses hanches. Puis elle laissa échapper un profond soupir, tremblante comme une feuille morte sous le vent d'automne, se pressant contre moi, son visage enfoui dans mon cou.
Gardant ma bite en elle, tante Cathy s’étendit de tout son long sur moi.
"Mon Dieu, j'ai perdu la tête!" souffla-t-elle, couvrant ma bouche de petits bécots.
Sérieuse, elle me demanda: "Tu ne diras rien, n'est-ce pas Samuel?"
J'ai bien senti l'inquiétude dans son ton et son regard.
"Eh bien, je pourrais garder cela secret" ai-je répondu, saisissant l'opportunité. "Mais tu vas devoir t'abandonner à nouveau, tante Cathy. Je veux pouvoir profiter de ce corps à ma guise!" Je soulignais mon titre de propriété d'une claque sonore sur sa fesse.
Ma tante m'a dévisagé fixement pendant plusieurs longues secondes. Puis elle s'est redressée, sa chatte gluante sur ma peau nue, et j'ai glissé ma jambe entre ses cuisses.
"Sale petit fumier, tu veux me faire chanter, pourriture?" un sourire narquois sur les lèvres.
"Oui," dis-je, souriant et fier de moi: "Je veux bénéficier de ta bonne éducation pour bien me comporter avec une dame."
Je l'ai vue écarquiller les yeux: "Tu veux que je sois ton instructrice? Mais tu sais déjà tout, chéri!"
"Je ... je pense que tu es adorable, tante Cathy. Je veux dire, je ne pensais pas que tu étais aussi merveilleuse!"
"Bien, j'y vais maintenant, Samuel. Nous en reparlerons à l'occasion. Ta mère sera bientôt à la maison."
"Mais on recommencera?"
"Quoi? Tu veux me violer encore une fois? Avec ce petit vermicelle?"
"Oui," dis-je en lui souriant.
Ma tante jeta un coup d'œil fiévreux vers la porte. Elle me regarda, la lèvre inférieure coincée entre ses dents.
"Nous en reparlerons", dit-elle en ramassant ses vêtements.
Tante Cathy s'est prestement rhabillée.
"Mais j'aimerais bien," dit-elle.
"Suis-je ton amant, ou ton petit ami?"
Tante Cathy me sourit et vint sur le lit.
Elle caressa mon visage, son expression se fit tendre alors qu'elle embrassait ma bouche.
"Pour avoir mis ta langue dans mon cul? Bien sûr que tu l'es, Samuel!"
Ma tante m'a encore embrassé, mes mains pelotaient ses seins et ses fesses.
Quand elle s'est redressée, tante Cathy ronronna: "Tu es mon amant, Samuel. Le seul. L'unique. Je n'en ai pas d'autres. Juste toi!"
"Je t'aime", dis-je, la poitrine pleine d'émotion.
Puis elle est partie, refermant la porte sur un avenir plein de possibilités.
Choqué, je lève mon regard vers elle, ma mâchoire inférieure pesant des tonnes.
"Sale petit vicieux" dit-elle en me regardant.
Les poings sur les hanches. Le feu brûlant de ses yeux.
Elle était magnifique.
Je savais de quoi elle parlait, mais je restais muet.
J'avais un problème. J'avais dépassé les bornes et elle voulait me le faire payer.
J'ai piaillé: "Quoi? De quoi tu parles?"
Mon visage m'a trahi. Mes joues brûlantes se couvraient de rouge, le rouge de la honte.
"Ne joue pas à ce jeu avec moi, petite crotte puante. N'essaye pas de faire comme si tu ne savais pas de quoi il s'agit."
Elle bouillait tandis que je la regardais, une chape de plomb glacé creusait un cratère dans mon estomac.
Ses bras croisés faisaient gonfler ses seins, Tante Cathy m'humilia en disant: "Allez, vas-y, montre-moi!"
J'étais perdu, confus.
Toute mon attention était concentrée sur sa poitrine gonflée reposant sur ses avant-bras croisés.
La chair rosée débordait des bonnets de son soutien-gorge.
Tante Cathy poussa un soupir, les joues gonflées d'exaspération.
"Tu as joué avec ton truc en m'espionnant, Samuel," dit-elle, volcanique et coléreuse.
Ma tante a tendu son bras et m'a piqué d'un index accusateur: "N'essaye pas de me raconter des sornettes. J'ai assez d'expérience pour savoir quand un avorton secoue sa bite."
La véhémence de son assaut verbal était étourdissante.
Puis ma tante m'a choqué en ajoutant: "Vas-y, fais-le maintenant. Je suis devant toi. Plus besoin de te dissimuler, petite larve! Tu veux te servir de ta pathétique petite bistouquette sur moi? Je te donne ta chance. Vas-y. Je suis là, devant toi, maintenant!"
Ma tante recula d'un pas et me présenta ses courbes, caressant ses flancs.
Malgré la vue séduisante de sa silhouette voluptueuse, la panique s'empara de moi:
"Non!" j'expirais: "Ce n'étais pas ... je n'étais pas …!"
Son éclat de rire, cumulé à sa main claquant sur sa cuisse, m'a fait sursauté.
"Mes couilles!"
En proie à une évidente colère, elle jurait comme un charretier. "Tu te tenais là. Dans l'embrasure de la porte. Regarde!"
Son doigt tendu me montrait la scène du crime.
Ma tante, courbée devant moi, son visage à quelques centimètres du mien, essayait de capturer mon regard.
Mais mes yeux étaient irrésistiblement attirés pas ses grosses mamelles qui se balançaient sous mon nez.
C'était trop, j'avais été incapable de résister. Ma tante, si séduisante avec ses formes voluptueuses, ses seins gonflés, ses fesses charnues, sortant de la baignoire avec la porte de la salle de bain entrouverte. Un saint n'aurait pas pu résister, alors moi!
Rien n'aurait pu m'en empêcher. Attiré par la vision de ses courbes lascives, je me suis tapi dans l'ombre, et j'ai regardé la beauté splendide. Puis, gêné par mon érection, dans le but de remettre les choses en place, je me suis caressé. Enfin, tout en me demandant ce que je pourrais bien lui faire si j'avais son corps à ma disposition, les caresses se sont transformées en branlette.
Penchée sur la baignoire pour se sécher, ma tante exposait ses fesses callipyges. De trois quart arrière, je voyais ses loches se balancer pendant qu'elle se tortillait pour enfiler sa culotte.
Sa peau brillait de la chaleur du bain tandis qu'elle attrapait son soutien-gorge, fixant l'appareil pour emprisonner ses seins.
Je n'avais pas pu voir ce qu'elle cachait entre ses jambes, j'imaginais quelque chose style piste d’atterrissage.
Obnubilé par mon fantasme, ma main travaillait sérieusement ma bite lorsqu'elle s'est retournée.
Ses yeux ont été attirés par le mouvement.
Avant qu'elle ne puisse pousser un cri ou esquisser un geste, je me me suis enfuis dans ma chambre.
Je n'y suis réfugié, recroquevillé sur mon lit, dans l'espoir qu'un miracle se produise.
Mais elle a fondu sur moi comme la misère sur le pauvre peuple.
Pleine de rage et de d'indignation, je redoutais sa vengeance.
"Tu m'espionnais. Sale petite larve furtive ... Je t'ai vu, Samuel!"
Ma tante poussa un énorme soupir, se redressa, essayant toujours de capturer mon regard.
Elle croisa ses bras sous ses impressionnantes loches, les remontant et les gonflant.
Ce mouvement m'hypnotisait. Ses seins me fascinaient. Les tétons poussaient contre la fine dentelle du sou-tif.
Je demandais si elle pouvait me crever les yeux avec ça.
"Mes seins!" railla tante Cathy. "C'est ça? Hein, petit pervers! C'est les seins de ta tante que tu reluques depuis tout à l'heure!"
J'ai dégluti, crispé et anxieux: "Ouais, tu ne diras rien, n'est-ce pas?"
Ma tante gloussa, les yeux plissés: "Ooh, monsieur ne veut pas que ça se sache, n'est-ce pas? Monsieur est un petit pervers, un sale petit rat, mais il ne faut rien dire qui puisse compromettre son honneur? C'est bien ça, petite crotte puante?"
"Je suis désolé, je te demande pardon!" ai-je tenté, suppliant et larmoyant.
"Ooh non, Samuel. Tu ne vas pas t'en tirer en disant désolé, pardon!"
Tante Cathy me dominait de toute sa taille et me fixait d'un regard étrange:
"Non, ce que tu vas faire, c'est me montrer exactement ce que tu faisais. C'était bien de le faire en cachette? Sans que je le sache? Alors ce sera aussi bien de le faire devant moi! Sans te cacher."
La mortification m'a gelé. Puis exalté. Mes joues étaient brûlantes, et une sueur froide transpirait le long de ma colonne vertébrale.
Consterné par cette épreuve, je protestais: "Quoi? Seigneur, mais non voyons, tante Cathy!"
Ma tante était inflexible, ne tenait aucun compte de mes protestations.
"Oh, tu vas le faire, Samuel. Pourceau vicieux. Tu penses qu'il est normal d'agiter ta petite bite en me regardant? Je suis la sœur de ta mère! Crétin! Je ne suis pas une pute que l'on siffle quand elle se déshabille. Je te connais depuis que tu es né. Tu devrais avoir un plus de respect pour les membres de ta famille! Débauché!"
Elle était magnifique en colère. Pleine de rage, sauvage, elle postillonnait en éructant ses insultes. Je ne l'avais jamais vue furieuse avant, sa colère libérait son langage vulgaire. Elle qui ne jurait jamais, sa rage lui faisait perdre son contrôle.
Mais surtout, surtout, dans sa colère, elle agitait divinement ses seins et ses fesses, et j'étais entre l'enfer et le paradis!
Tante Cathy m'a attrapé par les revers de ma veste pour attirer mon visage près du sien et m'a craché: "Je vais te donner une bonne leçon, animal nuisible. Tu vas faire tes saloperies devant moi et je vais te regarder, ce sera ma vengeance!"
Mon éducation m'a habitué à obéir à l'autorité. Tante Cathy en fait partie.
Que ses instructions soient immorales importait peu pour moi à l'époque. J'aurais pu refuser, mais mon esprit ne fonctionnait pas ainsi. Je tremblais devant une possible dénonciation, je paniquais, j'étais terrorisé par une potentielle réaction de ma mère.
Ou pire, de mon père! Là, on changeait de dimension! Quelle pourrait être la sanction? Je n'en avais aucune idée, et c'est pour cela que je tremblais de frousse! De toute façon, je savais que j'aurais des ennuis si elle décidait de parler. L'humiliation serait énorme. Insupportable. Cela se répandrait comme une traînée de poudre. La famille. Les amis. La honte. L'infamie. Le petit pervers, le petit vicieux, ce gros cochon. Marqué au fer rouge, à vie!
Non, elle me tenait, fière et sévère, j'étais cuit.
Je redoutais beaucoup moins une violence physique de sa part, que l'effet pernicieux de la délation.
La vie était cruelle et j'étais une petite merde.
"Mais je ne peux pas, tata, je ne peux pas!" je haletais en sentant ma bite se contracter.
"Tu vas m'obéir!" scanda ma tante, en détachant bien les syllabes, dents serrées, regard furibond.
J'étais recroquevillé sur mon lit alors qu'elle se tenait courbée au-dessus de moi, les poings crispés sur ma veste, son regard plongé dans le mien.
Je jetais un coup d'œil vers la porte, à la dérobée, me demandant si je pouvais lui échapper.
Comme si elle avait lu dans mes pensées, ma tante m'a sourit méchamment: "Tu tentes quoi que ce soit, Samuel, et je vais de ce pas dire à ma sœur quel sale petit voyou tu es. Tu veux que je parle à ma sœur?"
Tante Cathy a soulevé un seul sourcil pour souligner sa question.
Larmoyant, je gémissais: "Oh non, s'il te plaît, ne dis rien à ma mère."
Triomphante, la chienne incorruptible souriait en hochant la tête. Elle a désigné ma bite et m'a dit: "Exécution!"
J'ai essayé de mendier. Ça l'a fait rire.
"Tu as choisi la mauvaise proie, Samuel," dit tante Cathy.
Elle fit la moue, me regardant avec une fausse pitié dans son expression: "Pauvre de toi. Tu n'es qu'un petit idiot pervers! Tu espérais échapper à tante Cathy? Tu croyais que j'allais faire preuve de pitié? De mansuétude? Que j'allais te gracier, émue par tes larmes de crocodile? Tu m'as prise pour qui? Une idiote? Tu ne savais que je pouvais être une salope intégrale? N'as-tu jamais pensé au fait que je n'ai pas d'homme dans ma vie, Samuel?"
Je clignais des yeux devant la férocité de son expression.
"Je ... je ne sais pas, tante Cathy."
Ma tante riait de manière outrancière, la tête rejetée en arrière, les seins frétillants avant qu’elle ne se claque une cuisse du plat de la main. Soudain venimeuse après cet éclat de rire, le visage de ma tante redevint tendu quand elle se pencha sur moi.
"C'est parce que je ne crois pas à leur baratin. Parce que je suis une rebelle. Les hommes m'obéissent, ou ils ne me touchent pas."
Ma tante, méconnaissable, n'avait plus aucun point commun avec la femme que j'avais côtoyé toute ma vie.
"Alors, parce que je suis une rebelle, Samuel, ce que tu vas faire, c'est pêcher ton petit vermisseau et jouer avec."
Je l'ai fait parce que j'en avais férocement envie.
Je l'ai fait parce que je ne voulais pas qu'elle me rapine à ma mère.
Je l'ai fait parce que ça ne m'est pas venu à l'idée de refuser. Elle incarnait l'autorité.
Mon visage était en feu quand j'ai décompressé et tiré sur le prépuce ratatiné avec mes doigts tremblants.
Tante Cathy était cinglante: "Mon Dieu, ce n'est que ça? Ce n'est pas très impressionnant, Samuel? Dis-moi, as-tu déjà fait plaisir à une fille avec cette petite chose toute mollassonne?"
C'était une torture de l'entendre se moquer. Humilié, je me suis tourné vers le mur. Je ne pouvais plus supporter l'expression de son visage, la joie mauvaise de ses yeux brillants.
"Allez, vas-y, fais-toi durcir", a ajouté tante Cathy. "Secoue-moi ça, Samuel, sois énergique. Montre-moi les choses obscènes que tu faisais pour te pervertir."
Le visage rougissant de plus en plus, je caressais ma bite, reconnaissant et soulagé qu'elle reprenne vie quand je me suis touché.
"Regardez-moi ça" a tonné Cathy. "Une petite chose tellement pathétique. Accélère un bon coup!"
Après un moment, ma bite était complètement dressée, enflée et lancinante, le désir me chauffait les reins malgré la situation dans laquelle je me trouvais. Ma convoitise bouillait dans mes veines et me donnait la confiance de vraiment travailler ma bite.
Je ne pensais pas exactement cela, mais ce qui me traversait la tête, c'était quelque chose du genre: je vais te montrer, salope ...
Le silence s'était installé entre nous. Les seuls bruits audibles étaient le grincement du sommier et la branlette humide et glissante de mon poing glissant sur la tige, le liquide pré-éjaculatoire graissant l’action.
"Petite saloperie perverse! Tu es monté comme un âne!"murmura ma tante.
Enhardi par la luxure: "C'est l'effet que tu me fais!"
"C'est dégueulasse! Tu es dégueulasse!" protesta-t-elle.
"Tu es adorable, tante Cathy!" je gémissais, fou amoureux de ma tante.
"Tu aimes mes gros seins," répliqua tante Cathy. "J'ai remarqué que tu les regardais avant."
Quand elle a mentionné ses seins, ma concentration s'est focalisée sur ces énormes orbes enveloppés dans le soutien-gorge.
"Sale cochon", dit tante Cathy. "Tu les regardes maintenant. C'est juste sale, Samuel. Tu es un pourceau sale. "
Puis, après un regard méprisant de dédain, ma tante a attrapé le fermoir dans son dos: "D'accord, tu veux les voir? Est-ce que cela te rendra heureux? Regarde bien. Ce sont mes seins, une petite crotte pathétique comme toi ne pourra jamais jouer avec!"
Je restais bouche bée lorsqu'elle libéra les deux masses opalines de son soutien-gorge.
"Horrible petit connard", murmura tante Cathy en soulevant ses seins dans ses paumes: "Regarde ta tante. Je les branle. C'est juste répugnant, Samuel. Je suppose que tu voudrais aussi me voir quitter cette culotte."
Mon désir a bondi quand j'ai réalisé qu'elle allait le faire. Je me suis branlé plus fort, émerveillé par les sensations révélées au fond de moi.
"Un garçon grossier comme toi voudra voir ma chatte."
Elle avait les pouces accrochés dans sa culotte, les yeux fixés sur mon visage.
"La chatte de ta tante! Quelle misère!"
Je déglutis laborieusement, mes tripes vibrantes de sensations tourbillonnantes.
"Salaud, vicieux, sale petit pervers," continua tante Cathy en me souriant. "Tu devrais avoir honte de te comporter ainsi!"
Elle dévoila sa chatte d'un geste brusque, faisant glisser sa culotte le long de ses jambes. Quand elle fut nue, ma tante a prit la pose, sans honte, bien campée sur ses jambes écartées, les poings sur ses hanches.
Ma tante me présentait sa face avant, je restais bouche bée devant ce corps voluptueux, me délectant de ses courbes vallonnées.
Mes yeux examinaient les moindres détails de sa chatte épilée et des épaisses lèvres charnues qui bordaient ses plis intimes.
"Ouais, je vois que ça te plait. Ça te fait frétiller de me voir nue? Dieu, tu es un tel pourceau pervers, Samuel. Je vais devoir vraiment dire à ta mère tout ce que tu m'as fait."
Elle a avancé son bassin de manière aguichante.
"Regarde bien. C'est tout ce que tu auras. Je vais te laisser quelques minutes pour te branler. Tu peux regarder, Samuel. Mais quand tu auras fini, je me rhabillerai et nous ne reparlerons plus jamais de ça!"
Enfiévré par l'excitation: "Tante Cathy, je veux te baiser!"
Les yeux de ma tante s'écarquillèrent de stupeur en se penchant sur moi. Ses seins se balançaient et gigotaient d'émotion, ce qui faillit provoquer un déluge de joie de ma bite.
"Putain de merde, petit morveux!" souffla tante Cathy. "Comment oses-tu?"
Incontrôlable, je tendais la main et attrapais sa poitrine.
Ma tante poussa un cri et se redressa, me frappant la main en criant: "Ne me touche pas!"
Je secouais ma bite, fou de désir. "S'il te plait, tantine" sanglotais-je, tendant la main vers ses trésors.
Ma tante m'a giflé. "Non. Je te l'ai dit, tu peux regarder, mais pas touche. Seuls mes amants peuvent me toucher."
Je l'ai regardée: "Tes amants?"
Ma tante s'est redressée. Souriante, elle me narguait en jouant avec ses seins.
"Cela demande beaucoup de temps et d'efforts pour arriver à me séduire!" a déclaré tante Cathy. "Je connais quelques jeunes hommes avec qui j'aime jouer. La plupart se contentent de m'adorer. Rares sont ceux qui peuvent me baiser."
"Oh, s'il te plaît, laisse-moi essayer, tante Cathy," désespéré par son refus.
"C'est impossible pour toi, Samuel," dit Tante Cathy en secouant la tête. Elle semblait désolée: "Je ne peux pas te laisser me toucher parce que tu es mon neveu. Ce serait tellement immoral. Je suis déjà bien gentille de te montrer ma nudité. Tu sais que je ne devrais pas, Samuel? Je veux dire, je suis ta tante. C’est malsain de faire ça. Je le fais juste pour te taquiner. Parce que tu as été si méchant que je dois bien te donner une leçon. Tu peux juste te branler, Samuel. Mais tu ne dois pas poser la main sur moi!"
Ma tante palpait son imposante poitrine, soupirant les yeux fermés: "Quel dommage de ne pas pouvoir en profiter. Une peau si douce et si lisse. Pauvre Samuel."
Tante Cathy se retourna pour me présenter sa croupe: "Et mes fesses, toutes rondes, tu en as envie, n'est-ce pas, Samuel? Un si beau cul! Tous mes petits chéris aiment embrasser mes fesses!"
Puis, choquante et impudique, ma tante s'est penchée en avant, cambrée et les jambes écartées, en écartant ses fesses avec ses mains.
"Est-ce que tu vois bien mes orifices, Samuel?"
J'admirais la raie culière de tante Cathy, son œillet brun plissé, sa chatte luisante d'excitation, ses lèvres épaisses qui s'écartaient avec une réticence visqueuse.
"Un de mes jeunes amants adore me lécher ici," murmura tante Cathy. Du bout du doigt, elle me désignait son rectum, puis a inséré deux doigts dans son sexe: "J'aime la sensation que me procure une langue chaude et agile qui s'insère là-dedans. C'est tellement honteux et avilissant", a ajouté ma tante en se retournant vers moi. "Qu'en penses-tu, Samuel? N'est-ce pas une honte de lécher les fesses d'une dame? Laper ses jus comme un petit animal soumis. Aimerais-tu faire ça pour moi, petit pervers?"
"Oh, tante Cathy, puis-je?"
Ma tante avait une expression étrange, le visage tendu, le regard fixe: "Goûte mes doigts, Samuel," soupira-t-elle.
J'ai sucé ses doigts. Je pouvais sentir son arôme, musqué et profond.
"Bien, juste pour cette fois," dit tante Cathy, "Tu peux lécher mes fesses. Arrête de te branler et amène-toi!"
Ma tante s'est mise à quatre pattes sur mon lit, en appui sur les coudes et sur les genoux. Les fesses en l'air, le front en appui sur le lit, elle me regardait entre ses cuisses écartées.
"Écarte mes fesses et lèche-moi!" souffla-t-elle.
"C'est la seule fois où tu me toucheras", murmura ma tante, les seins pendants. "Allez, mets-toi au travail! Lèche-moi, espèce de sale petit animal lubrique!"
Elle a soupiré quand j'ai tamponné son sphincter du bout de la langue.
"Ne me chatouille pas, crétin!" marmonna ma tante. "Appuie vraiment, pénètre là-dedans. Creuse et lèche mon cul!"
Sauvage et avide, poussé par le désir et la curiosité, j'ai sondé aussi profondément que possible, en écartant ses fesses pour pouvoir tortiller le bout de ma langue dans son rectum.
Son goût épicé m'enflammait.
Ma tante a émis toutes sortes de sons flatteurs, geignante et gémissante, se tortillant et s'offrant à ma caresse.
Alors, j'ai pris ma chance, une chance insensée face aux conséquences possibles, j'ai délaissé son anus pour lui lécher la chatte.
Ma tante suffoqua en gémissant, tendant son bras pour me caresser la joue et le menton: "Tu ne devrais pas me lécher là ... Mais juste pour une seconde ... Juste pour cette fois ..."
Ne croyant pas vraiment que je m'en sortais à si bon compte, j'ai sucé son clitoris, osant glisser un doigt dans sa moiteur.
"Putain de merde" murmura tante Cathy "Ne mets pas tes doigts là-dedans!"
Mais elle ne m'a pas empêché de glisser un deuxième doigt à côté du premier.
Je me suis activé des lèvres et de la langue sur son clitoris érigé pendant que je baisais sa chatte avec deux doigts bien raides.
Puis, quand j'ai ajouté un troisième doigt, ma tante a grondé, et elle a voulu goûter son parfum sur ma langue.
L'instant suivant, sans que je sache comment, nous étions accroupis côte à côte, bouches soudées, sa main caressant ma tige, mes doigts enfoncés dans sa chatte brûlante.
"Viens!" insista tante Cathy: "Fais-moi des trucs lubriques. Fais-ça pour moi, Samuel!"
Ma tante suçait ma langue, sa main sur ma bite.
J'appréciais le spectacle de ma tante Cathy nue, ses courbes plantureuses, son regard fixé sur ses doigts caressant ma bite.
"Crois-tu que je vais te sucer?" ai-je entendu ma tante marmonner.
"Tu aimerais ça, n'est-ce pas Samuel? Moi, ta tante, sucer ta bite ..."
Elle se pencha encore plus, ses lèvres effleurèrent mon gland, mais elle se redressa en ricanant: "Tu pensais que j'allais le faire?"
"Je ne vais pas faire ça, Samuel. Je ne vais pas te sucer la bite. Tu es mon neveu. Et je suis une lady. Ce sont les salopes qui font des choses aussi dégradantes. Ce que je veux dire ..." elle haussait les sourcils en mimant l'innocence, "… sucer la bite de son neveu! Mon Dieu, c'est juste trop malsain d'envisager quelque chose d'aussi répugnant!"
Puis, instantanément, elle a plongé, bouche ouverte, sur ma bite qu'elle a gobé de sa bouche gourmande.
Elle me suçait en creusant ses joues, elle enfonçait ma bite entièrement entre ses lèvres pulpeuses, jusqu'à ce que son nez vienne heurter mon pubis. Elle gloussa quand le premier jet de sperme a jailli dans sa bouche.
Le deuxième a arrosé son visage. Les suivants ont arrosé sa poitrine et mon lit.
"Sale petit morveux malpropre!" dit tante Cathy sans lâcher ma bite. "Regarde ce bordel! Tu as osé, dans ma bouche, sur mes seins aussi! Mon Dieu ... quel pervers, dégoûtant!"
Sans lâcher ma bite, ma tante m'a poussé sur le dos en travers du lit et m'a enjambé. Tenant mon sexe à la verticale, elle a présenté sa chatte au-dessus en écartant ses replis intimes avec sa main libre.
"T'en as foutu partout," haleta tante Cathy.
Elle se laissa glisser en s'abaissant brusquement pour m'avaler.
"C'est ce que tu voulais, petit vicieux?"
Ma tante a commencé à onduler des hanches, secouant ses gros seins sous mon nez, ses mains en appui sur mon torse.
Elle me dévisageait en m'invectivant, tenait un monologue obscène, vilipendait ma perversité, se présentant comme une pauvre victime, violée par son neveu dépravé. Plus elle m'insultait, plus le mouvement de ses hanches augmentait et plus son souffle saccadé lui hachait la voix. Bientôt, elle fut incapable de parler, se contenta de gémir et de râler, avant de s'effondrer sur moi, tremblante et geignante, en plein délire.
Profitant de son état second, je laissais mes mains prendre possession de son corps, de ses hanches, de ses seins, de ses fesses.
Juste comme je pensais avoir atteint le sommet de la profanation, ma tante est sortie de sa transe: "À cru!" cria-t-elle, le visage tendu en me regardant dans les yeux. "Tu as joui en moi sans préservatif, Samuel ..."
J'avais joui, mais pas en elle, même si à cause de l'excitation, ma bite était restée ferme. Apparemment, c'était le petit truc magique qui lui permettait de redémarrer. Elle gémissait en se tordant et en se frottant sur moi. Elle me disait que ma bite n'était pas un petit ver pathétique et qu'elle lui faisait beaucoup de bien.
"... Je ne prends pas la pilule", a déclaré tante Cathy quand sa crise de démence fut calmée. "Tu pourrais me rendre enceinte. Tu pourrais mettre un bébé dans mon ventre."
Je la laissais avec ses élucubrations, me concentrant sur la chair pulpeuse de ses seins gonflés, maltraitant l'un, mordillant l'autre, tandis qu'elle me broyait de toute la vigueur de ses hanches, sa chatte spongieuse sur ma bite dressée.
Elle haletait et grognait, ses hanches tournoyaient dans un maelström fou, son désir semblant désespéré et urgent tandis que sa chatte ruisselait sur ma bite.
Mes mains étaient pleines de son corps. Elle était effondrée sur moi, pantelante, le visage enfoncé dans mon cou, babillant des absurdités obscènes, espérant l'orgasme libérateur.
Il est arrivé lentement. Tante Cathy, après plusieurs spasmes accompagnés de gémissement, cessa le mouvement frénétique de ses hanches. Puis elle laissa échapper un profond soupir, tremblante comme une feuille morte sous le vent d'automne, se pressant contre moi, son visage enfoui dans mon cou.
Gardant ma bite en elle, tante Cathy s’étendit de tout son long sur moi.
"Mon Dieu, j'ai perdu la tête!" souffla-t-elle, couvrant ma bouche de petits bécots.
Sérieuse, elle me demanda: "Tu ne diras rien, n'est-ce pas Samuel?"
J'ai bien senti l'inquiétude dans son ton et son regard.
"Eh bien, je pourrais garder cela secret" ai-je répondu, saisissant l'opportunité. "Mais tu vas devoir t'abandonner à nouveau, tante Cathy. Je veux pouvoir profiter de ce corps à ma guise!" Je soulignais mon titre de propriété d'une claque sonore sur sa fesse.
Ma tante m'a dévisagé fixement pendant plusieurs longues secondes. Puis elle s'est redressée, sa chatte gluante sur ma peau nue, et j'ai glissé ma jambe entre ses cuisses.
"Sale petit fumier, tu veux me faire chanter, pourriture?" un sourire narquois sur les lèvres.
"Oui," dis-je, souriant et fier de moi: "Je veux bénéficier de ta bonne éducation pour bien me comporter avec une dame."
Je l'ai vue écarquiller les yeux: "Tu veux que je sois ton instructrice? Mais tu sais déjà tout, chéri!"
"Je ... je pense que tu es adorable, tante Cathy. Je veux dire, je ne pensais pas que tu étais aussi merveilleuse!"
"Bien, j'y vais maintenant, Samuel. Nous en reparlerons à l'occasion. Ta mère sera bientôt à la maison."
"Mais on recommencera?"
"Quoi? Tu veux me violer encore une fois? Avec ce petit vermicelle?"
"Oui," dis-je en lui souriant.
Ma tante jeta un coup d'œil fiévreux vers la porte. Elle me regarda, la lèvre inférieure coincée entre ses dents.
"Nous en reparlerons", dit-elle en ramassant ses vêtements.
Tante Cathy s'est prestement rhabillée.
"Mais j'aimerais bien," dit-elle.
"Suis-je ton amant, ou ton petit ami?"
Tante Cathy me sourit et vint sur le lit.
Elle caressa mon visage, son expression se fit tendre alors qu'elle embrassait ma bouche.
"Pour avoir mis ta langue dans mon cul? Bien sûr que tu l'es, Samuel!"
Ma tante m'a encore embrassé, mes mains pelotaient ses seins et ses fesses.
Quand elle s'est redressée, tante Cathy ronronna: "Tu es mon amant, Samuel. Le seul. L'unique. Je n'en ai pas d'autres. Juste toi!"
"Je t'aime", dis-je, la poitrine pleine d'émotion.
Puis elle est partie, refermant la porte sur un avenir plein de possibilités.
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
histoire qui fait monter la tension ! j'aime !!
Une suite
Je ruisselle..
très bonne histoire , beaucoup de plaisir à la lire